Modifications

Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Campagne Verte

45 690 octets ajoutés, 1 août 2023 à 23:58
aucun résumé de modification
La fin de la campagne met un terme à "la menace verte" pressentie par le Général Zorn en 242 lors de la Bataille Verte, ayant vu la Garde se heurter à une force de reconnaissance ennemie. Commencée par l'embuscade et le presque anéantissement du bataillon d'exploration le 2 Tronvard 258, elle mène au déploiement d'une force initiale d'environ 23 400 impériaux à plus de sept-cents kilomètres de chez eux pour trois mois.
{{Infobox/Début}}Conflit Militaire{{Infobox/Titre|{{{lieu|{{PAGENAME}}}}}|AEC2DC}}dénomination = "Invasion de la Cerdène"{{Infobox/Image|{{{image|}}}|{{{légende|}}}|{{{taille image|220}}}|{{{légende|Illustration.}}}|||Fiction}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Description|description = La campagne Verte est une série d'opérations au-delà des frontières impériales opposant la [[Garde Volontaire]] aux forces orques de '''l'Union des clans'''.{{{description|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Lieux|Royaume de Belvy{{{lieux|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Periode| date = De Tronvard de l'an 258 à Fifrelune Pampélune de l'an 259 du [[Calendrier Erachien]]{{{periode|}}}}}lieux = Royaume de Belvy{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Belligérants|issue = Victoire de la [[Garde Volontaire]], [[Corps * Traité des Maréchaux]], Royaume Valeureux* Opération de Belvy, Union des clans{{{belligérants|}}}}}la Sape{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Commandants |* [[Ghideon ZornCampagne de la Maur'Ya]] {{{commandants|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Alignement|Impérial, Extérieur{{{alignement|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Forces en présence| '''Corps d'armée "l'Infernal" ''' :27 270 <br>
'''|belligérants={{{!}} style="width:100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} [[Fichier:Blason_garde.png|sans_cadre]] [[Garde Volontaire]]<br>[[Corps des Maréchaux]]<br>Royaume de Belvy{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} Union des Clans''' clans<br/>{{!}}} |commandants={{{!}} style="width: ~ 110 000 100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} Mar. [[Ghideon Zorn]]<br/> Gén. Lannes<br> Gén. Degole<br>Gén. Rollet{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {Forces{!}} Chef de guerre Bugrol <br/>{{!}}} |alignement={{{!}} style="width:100%;"{{!}}style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}}Impérial<br/>{{Infobox!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} Union des clans<br/Ligne mixte optionnelle>{{!}}} |Issueforces={{{!}} style="width:100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} 27 270 hommes<br/>{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} ~110 000 orques<br/>{{!}}} |Victoire de la Gardepertes={{{issue|!}}style="width:100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}}?? morts<br/>{{Infobox!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} 98 000 morts<br/Ligne mixte optionnelle|Batailles>7 000 prisonniers{{!}}} |batailles terrestres = Bataille de la Grande Botte<br>
Bataille des Colonnes <br>
Bataille des Cendres <br>
Bataille de la Vallée Rouge
{{{gentile|}}}}}{{Infobox/Notice|Infobox Campagne Militaire|AEC2DC}}{{Infobox/Fin}}
= Contexte =
A 14h l'assaut est donné et les tirailleurs avancent. Ces habiles tireurs fauchent pendant de longues minutes tout ce qui se trouve devant eux et ne manquent pas de reculer à chaque tentative de charge de l'adversaire. La masse orque, éclaircie et rendue inoffensive se replie sur Tamur même après trente minutes d'échecs. Leur chef, Mork (ou Gork selon les sources des combattants) veut forcer les gardes à entrer dans le bourg où il pense dominer au combat au corps à corps. Cette erreur coutera la vie du reste de l'arrière-garde orque. Une des erreurs communes des ennemis de la Garde est de penser que ses forces sont uniquement constituées d'humains. Or, Lecourbe fait mettre ses grenadiers et carabiniers en trois colonnes, avec à la tête de chacune une compagnie de chimères : "La Meute", hommes-loups de la 2e de grenadiers du 7e de ligne, "Les démons du Nord", hommes-ours de la 1ère de grenadiers du 4e de ligne et " ", hommes-reptiles de la 2e de carabiniers du 1er léger. Les colonnes se mettent en marche à 14h50, Lecourbe et les officiers en tête. Quand les premiers orques se ruent sur elles, c'est en levant la tête qu'ils découvrent alors l'ennemi qu'ils affrontent. Tamur est nettoyé à la baïonnette en moins d'une heure. Les fuyards orques sont cueillis par les voltigeurs déployés autour du bourg.<br>
=== Bataille de la Grande Botte===
A la suite des combats de Tamur, un détachement de hussards et dragons (1er bataillon du 1er de hussards et du 1er de dragons) est formé et chargé de rattraper la horde orque plus au Sud et de la ralentir. Plusieurs charges sont menées. A quelques reprises, les dragons sont démontés et tiraillent l'arrière orque. Après deux jours d'harcèlement, le 49 Pénavard, les orques cessent leur mouvement pour faire face aux troupes de la Garde.<br>
=== Combats de Saulin ===
Le 8 Névéard la brigade Esperey, menée par le général de cavalerie éponyme arrive aux abords des ruines du bourg de Saulin à 14h, au Sud de la route principale empruntée par la première division. Là, des forces orques estimées à environ quatre mille têtes sont trouvées stationnées dans les ruines. Esperey fait faire prévenir l'état-major de la troisième division et déploie sa batterie d'artillerie à pieds face au bourg. A 14h30, les six bouches à feu de douze livres ainsi que les deux obusiers font feu dessus. Ayant essuyés pendant prêt d'une heure les tirs d'artillerie, les peaux-vertes tentent une sorte du bourg à 15h30 en direction des batteries les visant. Leur assaut est repoussé par les tirs du 2e d'infanterie réserviste, suivi d'une charge sur le flanc gauche du 3e bataillon de cavalerie étrangère. A 16h, la brigade Esperey est rejointe par la cavalerie et l'artillerie à cheval de la brigade Sarlovèze. L'infanterie n'est plus elle qu'à trente minutes de marche. La batterie d'artillerie est alors agrandie à dix bouches à feu et quatre obusiers. Esperey fait mettre en colonnes le 2e de réservistes et le 1er bataillon du 3e d'infanterie étrangère. A leur tête, il attaque le bourg. Simultanément, les dragons de Filranmel charge les rues du bourg sur son flanc droit. Les orques sont culbutés et contraints à abandonner le bourg. Presque deux mille sont tués.
 [[Fichier:Artillerie_narnin. jpg|300px|thumb|right|Artillerie de la Garde à Narnin.]]
=== Combats de Narnin ===
Dans la fin d'après-midi du 10 Nérévard, la brigade Wakouma atteint le bourg de Narnin, et s'arrête à un kilomètre de celui-ci. Depuis deux jours, les éclaireurs ont repéré une force orque à proximité de la brigade. N'ayant plus trouvé sa trace depuis le 10 au matin, le Chevalier-Grenadier Wakouma est certain que la masse orque s'est tapie dans les ruines du bourg. Ne souhaitant pas dévier de leur route les brigades Bondaulde et Srajo, il fait prévenir l'état-major de la deuxième division qu'il a les forces nécessaires pour s'occuper de cette menace. Avant d'aller rejoindre le bivouac de ses hommes, il profite de l'obscurité pour s'approcher des abords du bourg accompagné d'une dizaine de hussards-vélites. Au Nord, entre le bourg et le fleuve la Sentinelle, il repère un mince filet de terre d'un peu plus de cinq cent mètres de large. Lui alors vient en tête que se serait l'endroit parfait pour être attaqué en embuscade.<br>Le 11 au matin, la brigade se met en marche sur le filet de terre repéré par la veille. Le 2e bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers est disposé en ligne. Entre lui et le bourg, le 1er de fusiliers avance en colonnes. A côté de ces colonnes, cachées de la vue du bourg par celles-ci, l'artillerie de la brigade (composée de deux pièces de douze et deux pièces de six) se déplace une colonne. A 7h30, comme Wakouma l'attendait, des orques sortent du bourg et attaquent la colonne d'infanterie. Mise en ligne, elle fait feu. Derrière, l'artillerie se déploie. Alors que malgré le feu la nuée orque progresse, le centre de la ligne recule derrière l'artillerie, déployée et chargée à la mitraille. Un seul tir suffit à faire stopper l'{avancée ennemie : il arrache tout son avant. Le bataillon de tirailleurs-grenadiers se dispose sur la droite de la ligne, et ouvre le feu sur le flanc orque. En vingt minutes de combat, les orques débandent en désordre dans le bourg. Ils sont arrêtés par la cavalerie de la brigade, la 4e compagnie de cavalerie "colonel-général" en cours tête, ayant attendue qu'ils quittent les ruines pour y passer et se disposer derrière eux. Les peaux-vertes sont encerclées. A la vue de rédaction}l'avancée des bouches à feu dont elles avaient vu le carnage, elles déposent les armes et se rendent. Il est 8h30, environ deux mille orques sont capturés, et un millier est déjà tombé. Wakouma est stupéfait de voir ce qu'il considérait comme de violents guerriers se rendre après une si mauvaise lutte. Il fait amasser les prisonniers au bord de la Sentinelle et met en place une "grande baignade". Les deux mille orques sont poussés à l'eau. Ceux qui tentent de remonter sur la rive sont attendus à la baïonnette. A 10h, la brigade reprend sa route.
=== Prise de Rampare ===
Le 15 Nérévard, la division Lannes arrive devant Rampare, l'ancienne capitale du royaume de Belvy. Devant les troupes se trouve alors une cité réduite à néant. Les éclaireurs repèrent rapidement la présence d'orques, en grand nombre. Une première estimation est faite à huit mille, mais l'{état-major divisionnaire en cours suppose le double. A 15h, L'artillerie est disposée en deux batteries et ouvre le feu, mais la taille imposante de rédaction}la ville réduit son utilité et ses dégâts. Le 1er léger ainsi que huit cents voltigeurs tirés des régiments de ligne sont réunis et envoyés tirailler les abords des ruines, le Général Lecourbe à leur tête. Quelques tirs font mouche, mais les orques se cantonnent à leur position conscients des erreurs commises à Saulin et Narnin. A 16h30, le Général Zorn arrive sur le théâtre avec son état-major et le régiment de Vieille Garde à cheval. Un aide de camp du Maréchal rapporte : "Le Maréchal Zorn est arrivé à toute allure, si bien que son cheval, exténué, s'est écroulé de fatigue. S'approchant du Général Lannes, il s'est alors exclamé : "Damnit ! J'ai bien cru que j'allais arrivé trop tard et que tu aurais déjà dévoré toutes ces bêtes. Me voilà rassuré, commençons notre besogne."" Ghideon réunit l'état-major et distribue ses ordres. La première division arrive Lannes doit rester devant Rampare. Les combats se poursuivront le lendemain, en présence des deux autres divisions. La 2e et 3e division arrivent respectivement à Rampare 22h et 23h30. Elles sont disposées chacune sur un flanc de la ville. Les orques n'ont ainsi plus qu'une voix de retraite, surveillée et fait face prête à être le lieu d'une partie charge de cavalerie si le besoin venait à se faire. Seule l'artillerie de la Horde des Gueules division Lannes continue de Dragontirer jusqu'à 1h. Elle tient couvre ainsi l'ennemi dans arrivée et le positionnement des deux autres divisions. Au matin du 16 Nérévard, à 6h, quand le Soleil éclaire le champ de bataille, le commandement orque est réveillé par le feu& de six batteries d'artillerie et découvre son quasi-encerclement. Sa surprise est bientôt suivie de sa panique après qu'une premier déluge de boulets et obus balaye les ruines avant . Certains bâtiments, déjà fragilisés, s'écroulent et emportent avec eux des groupes entiers d'orques. A 6h30, la ville est enveloppée d'un nuage de poussière. Chaque division fait alors s'avancer trois colonnes. A l'arrivée Est de la ville, le Général Lannes mène le 1er et 2e de ligne, suivis des grenadiers et carabiniers du 4e, du 7e et du 1er léger. Au Sud, le Général Rollet précède les trois régiments d'infanterie étrangère, animés par la ferme volonté de reprendre leur capitale d'origine. Enfin, au Nord-Est, le Maréchal Zorn prend la troisième puis tête des 1er et 2e impérial-grenadiers et du 2e de fusiliers-grenadiers, suivi du général Bondaulde et après avoir distribué ses dernières instructions.<br> A 7h15, les colonnes avancent. Les tirs d'artillerie et la poussière ayant entourée les ruines rendent leur avancée indécelable. A 7h30, les neuf colonnes se jettent sur la ville, tandis qu'à son arrière, au Nord-Ouest, la deuxième divisionbrigade Nansouty et le "colonel-général" attendent. Le CorpsDans les ruines, réuniles orques n'ont pas le temps de réagir. Ils sont culbutés de tous côtés. Les fuyards s'entremêlent, force échappent à une colonne pour tomber sur l'autre. Une centaine de monteurs orques réussissent à atteindre leurs montures et tentent une charge sur le 2e d'infanterie. Ils sont percutés à la perpendiculaire par le chemin dans 2e bataillon du 1er hussard avant d'atteindre leur objectif. A 8h15, les forces orques se regroupent au Nord-Ouest de la ville, et se divisent en deux groupes. L'un sort des ruines par l'Ouest, l'autre par le Nord. Au Nord, les fuyards sont chargés par Nansouty, rétrogradent à nouveau dans Rampare et massacre y sont cueillis à la baïonnette. Environ sept mille peaux-vertes parviennent à s'échapper. Dans la ville, les combats se finissent définitivement à 9h. Quatre mille orques sont morts pendant la bataille. Deux mille blessés sont trouvés, et exécutés. <br> A la fin de la bataille, un aide de camp questionne le Maréchal sur la raison d'une charge à la baïonnette aussi risquée.<br>"Il y a deux façons de battre des orques présents. Un quart La première, la plus innée, est de les tenir à distance. Les tirailler, avancer et reculer des forces lignes de feu, tirer à l'artillerie. La seconde est de jouer sur leur nature même. Les orques parvient sont des créatures confiantes dues à leurs capacités physiques. Ils inspirent la peur à leurs ennemis, et trouvent un malin plaisir à les charger jusqu'à leur débandade. Aujourd'hui, nous les avons brisés. Immobilisés dans ces ruines, forcés de se cacher pour éviter nos balles et incapables de sortir avec nos canons pointés sur eux, tétanisés à l'idée de faire comme leurs camarades de Saulin et Narnin. Alors voilà qu'au matin, ils sont encerclés, noyés sous des tas de gravas, et chargés à leur surprise de plein fouet. Leur moral a été brisé et la bataille remportée avant même que le premier coup de baïonnette soit donné."<br> A 10h, Les divisions se replierregroupent. La deuxième engage la poursuite des fuyards, suivie de chaque côté par la première et la troisième.
=== Bataille des Morts ===
'''{en cours Le 19 Nérévard, la brigade Srajo de rédaction}'''Le Corps poursuit les survivants la deuxième division arrive à 12h aux portes du Grand Cimetière, à la suite de la prise masse de Ramparepeaux-vertes en fuite. La poursuite lCe lieu, couvert d'amène au Grand Cimetièrearmoiries et ossements, lieu est le champ de la bataille ayant mené à l'ultime défaite du royaume de Belvy contre les orques, et à la chute de Rampare et des bourgs alentourssa capitale. La deuxième division pénètre brigade entre dans le cimetière. Srajo veut attaquer dès que possible les orques présents pour les forcer à l'arrêt. A 12h30, le contact avec l'arrière orque est commencé. La brigade renforce sa position et déploie ses pièces pour tenir les orques à distance. A 13h, toute la masse orque fait demi tour pour attaquer la brigade en nette infériorité numérique. Au même instant, à un kilomètre et demie, les deux autres brigades Wakouma et Bondaulde entrent à leur tour dans le contournecimetière. Pendant trente minutes, Srajo et ses hommes repoussent les assauts des peaux-vertes. Le 1er bataillon du 2e de fusiliers-grenadiers accueille à la baïonnette une charge orque et la repousse. Les légions hussards-vélites sont lancés à plusieurs reprises sur les flancs orques tenant pour éviter des débordements et l'encerclement de la brigade. A 13h30, Wakouma et Bondaulde déploient leurs brigades respectivement sur le flanc droit et gauche. A 13h45, les 1er et 2e de fusiliers-grenadiers, les 1er et 2e de tirailleurs-grenadiers et le Cimetière 2e "impérial-grenadiers" forment une longue ligne et font feu. Derrière, l'artillerie regroupe quatorze bouche à feu et est disposée en deux batteries de cinq canons et deux obusiers chacune. A 14h15, des monteurs orques se rassemblent en direction de l'aile gauche. Le général de division Degole fait mettre le 2e de tirailleurs-grenadiers et le 2e impérial-grenadiers en carrés bataillonnaires. Ghideon et son état-major arrivent peu après. A 14h40, les monteurs chargent les carrés et s'engouffrent entre. Ils sont poussées au repli décimés. Les peu d'entre eux qui parviennent à percer et cueillies rentrer dans les carrés sont abattus à l'intérieur. A 15h15, les forces orques reculent. Ghideon décide de ne pas les poursuivre. Il pense que les orques attendront la nuit pour partir dans l'obscurité, plutôt que d'être poursuivis à nouveau. C'est ce qu'il se passe. Pour autant, ils ignorent alors que la première et la troisième division sont arrivées vers 18h, et qu'elles encerclent la sortiedu cimetière. A 22h30, les peaux-vertes tentent de sortir. Elles sont accueillies par une gerbe de feu. Alors qu'elles tentent de rebrousser chemin, le Maréchal Zorn surgit sur un léger promontoire, sabre en main et s'écrit : "Pour l'Empire ! Tuez les tous !". Il charge alors suivi des deux régiments d'Impérial-Grenadiers. Dans la mêlée, environ deux milles orques parviennent à s'échapper. Les autres sont massacrés.
=== Bataille des Colonnes ===
'''{en cours de rédaction}'''Les survivants de Le 19 Nérévard au soir, le corps établit plusieurs bivouacs après la Bataille bataille des Morts conduise le Corps vers . Le 20 Nérévard au matin, des hussards sont projetés pour essayer de trouver la position supposée du reste trace des fuyards de la Hordeveille. Estimée Vers 13h, le groupe orque est repéré plus au même nombre que celle des Crocs Nord, le corps se met alors en marche. A la façon d'Acieravancer des orques, il ne lui Ghideon remarque que ceux-ci semblent se laisser poursuivre. Il en déduit que le corps est supposé que sept à huit mille guerriers restantsconduit vers une nouvelle force orque. OrPour autant, en vue des batailles gagnées depuis le début de Nérévard et donc des effectifs ennemis décimés, ce sont vingtil estime celle-cinq ci à dix mille orques qui dévalentpeaux-vertes environ, confiantesau plus.<br> Après plusieurs jours de poursuite, le 26 Nérévard, le corps atteint à midi le bas d'un ensemble de grandes collines. Les divisions sont arrêtées à quelques kilomètres pour pouvoir au besoin faire tirer l'artillerie sur les collines pentes. La deuxième division (division Degole) est disposée au centre, la première (division Lannes) sur l'aile droite et la troisième (Division Rollet) sur lesquelles sont arrivées l'aile gauche. La réserve comme à son habitude est arrêtée derrière le centre. A 13h, de lourds tambours se font entendre par les divisions troupes de la Garde. Peu de temps après, une nuée verte est aperçue à l'horizon et avance. Plus de six mille orques dévalent les pentes des collines, en une épaisse masse. L'artillerie est mise disposée en trois grandes batteries . A 13h30, une cinquantaine de pièces se tiennent prêtes à faire feu. Derrière, sur le sommet des hauteurs, une nouvelle nuée fait son apparition. C'est plus qu'une quinzaine de milliers d'orques qui s'avancent alors au loin, à la surprise de l'état-major. Sur l'aile gauche, des monteurs orques sont repérés tentant d'approcher la deuxième batterie. Le 2e de chevau-légers, équipé de lances et le 1er de dragons sont envoyés en leur direction. A 13h45, la première nuée orque n'est plus qu'à un kilomètre du dispositif de la Garde, et tire au bouletsemble s'amasser pour attaquer le centre. Ghideon veut profiter de son espacement avec le reste des guerriers pour la faire débander, puis se redéployer pour faire face ensuite à la deuxième attaque. Sous les ordres du maréchal, le colonel Pernetti prépare à faire charger la première batterie située au centre à la mitraille, après qu'elle ait tiré de premiers boulets ronds. Le choc est inévitable, l'état-major le sait. Malgré le travail de l'artillerie, la troupe ennemie est trop dense pour être brisée. Ghideon fait alors mettre en colonnes les six régiments d'infanterie de la division Degole. Sur chaque flanc de la division, les brigades Esperey et Ney se préparent à avancer et faire feu sur les cotés ennemis. A 13h50, les chevau-légers du 2e chargent de plein fouet les monteurs orques, lances en main. Ceux-ci sont immobilisés. Derrière, le 1er de dragon se scinde en bataillons. Le premier rejoint la mêlée, et permet le recul des chevau-légers, leur travail de choc étant fait. LLes deux autres s'avancée écartent vers la gauche et la droite, et chargent de flanc le groupe orque . Après plusieurs minutes de combat, les monteurs sont débandés. A cinq-cents mètres du centre, le premier groupe orque essuie lui les tirs de la première batterie d'artillerie et est stoppée nettroué de toutes parts. A 14h, il n'est plus qu'à soixante-quinze mètres de la batterie, et des colonnes. Plusieurs orques semblent alors s'avancer. Un aide de camp du maréchal Zorn relate la scène :<br> "La majorité cinquantaine d'orques qui s'avança semblait différente des troupes sont mises autres guerriers. Pour seul habit une sorte de tunique, ils portaient des colliers et bracelets d'os. Certains tenaient en main des bâtons. Ils commencèrent à agiter leurs bras, et brailler dans un de ces dialectes incompréhensibles. Nous comprirent plus tard qu'il s'agissait de shamans, de puissants sorciers orques. Qu'importe, leur comportement agaça rapidement le Maréchal, qui fît un signe de tête au colonel Pernetti. Les vingt bouches à feu de la batterie ouvrirent le feu à la mitraille. Des shamans et de l'avant orque, il ne resta rien."<br> A la suite des premiers tirs à la mitraille, les colonnesd'infanterie, menées par Ghideon se mettent en marche. Mise en choc par la perte ridicule de leurs shamans, les plus sages et puissants de leurs tribus, et chargentles tirs d'artillerie, appuyées la nuée orque est culbutée en douze points (chaque régiment ayant formé une colonne par bataillon). Ses guerriers débandent sur le moment. Après s'être éloignés, une partie d'entre eux tente de se regrouper. Les régiments d'infanterie des charges brigades Esperey et Ney ouvrent le feu et achèvent de flanc détruire leur volonté de se battre. Derrière, la cavalerieseconde nuée orque s'arrête et fait demi-tour. Le choc contraint au recul commandement orque ne veut pas jeter à nouveau tous ses guerriers, et comprend que les attaques de masse ne fonctionnent pas. Il fait retraiter en pseudo-ordre ses troupes. Il veut tenter de gagner le Sud, poursuivi par le corps l'Infernal, là où toutes les orquesautres hordes se sont déjà amassées. Le reste La cavalerie légère élimine une partie des fuyards de la Horde parvient à se replier première nuée. A 16h, la bataille est terminée. L'état-major accorde au corps un peu de manière plus ou moins organiséerepos jusqu'au lendemain matin
=== Combats du bois des Caures ===
 [[Fichier:Ghideon_boisdescaures.jpg|300px|thumb|right|Le Général Zorn au bois des Caures.]]  Le 27 Nérévard à 6h, l'Infernal reprend sa route à la suite de la Horde orque. Le 30 Nérévard, celle-ci s'engouffre dans le bois des Caures, énorme forêt étendue sur des dizaines de kilomètres. Arrivé à son orée, la troisième division forme une avant-garde et fait rentrer son infanterie. Le reste de la division (cavalerie et artillerie) et les divisions Lannes et Degole contourne la forêt par le Sud et le Nord. <br> A 10h30, le 32 Nérévard, l'{avant-garde entre en cours de rédaction}contact avec l'arrière garde orque. Elle est alors composée du 2e d'infanterie étrangère, du 1er bataillon du 2e d'infanterie réserviste et de deux-cents dragons de Filranmel démontés. L'Escarmouches entre larrière-garde ennemie est elle estimée à trois mille guerriers, et cinq cents lanceurs de javelots. L'avant-garde , disposée pour du Corps tiraillement, ouvre le feu et force le déploiement de l'arrièregarde orque. A 11h, cinq cents orques se jettent sur l'aile gauche de l'avant-garde . Celle-ci recule pour continuer à tirer, avant de les repousser à la Horde des Gueules de Dragonbaïonnette. Les combats continuent jusqu'à 13h. Le 1er et 3e d'infanterie étrangère, le 1er d'infanterie réserviste et le 2e bataillon du 2e d'infanterie réserviste arrivent alors, menés par le Maréchal Zorn. Celui-ci ayant fait distribuer ses instructions avant d'entrer dans les bois.  
=== Bataille des Cendres ===
Dans le bois des Caures, Ghideon fait déployer le 1er et 3e d'infanterie étrangère, respectivement sur l'aile gauche et droite. Les troupes réservistes tolwhigiennes sont gardées à l'{en cours de rédaction}arrière du centre. Le soudain surnombre des gardes fait reculer l'arrière garde orque. La poursuite est engagée toute la journée. Le lendemain, le 33 Nérévard au matin, l''L'avant-arrière garde, appuyée orque sort de la forêt et est rattrapée par les deux premières brigades forces de la troisième division, Garde. Le Maréchal Zorn fait mettre en colonne le 1er d'infanterie étrangère et le 1er de réservistes et perce à leur tête le groupe orque. La ligne de feu du centre et de l'aile droite achève le travail et met en débandade l'arrière-garde orque et contraint ennemie à 9h. A 9h15, la Horde, dont la dénomination est retenue comme "la Horde à des Gueules de Dragon", fait déployer des troupes sept mille peaux-vertes pour faire faceà l'avancée de la Garde, et couvrir la retraite du reste de ses effectifs. La première A 10h, la cavalerie et deuxième l'artillerie de la division débouche Rollet rejoignent son infanterie. Les pièces à pieds de chaque côté l'artillerie sont déployées. A 10h30, les divisions Lannes et Degole débouchent de part et d'autre de la forêt, menacent et avancent sur les flancs orques et fait . Le corps progresse alors sur les orques qui lui font face. A 12h, la Horde est contrainte à s'arrêter engager au complet dans la bataille. <br> Le champ de bataille se situe sur une large plaine, délimitée à l'Est par le bois des Caures, au Sud par une vieille route et se déployer la Horde au Nord par le village de Nore. A 12h30, les orques sont dans sa totalitéune situation difficile. Après Leurs troupes ont du avancer sous le feu de l'artillerie, et leur déploiement tardif leur a couté plusieurs heures centaines de combatcombattants. Pour autant, les combats s'éternisent. Les trois divisions de la Garde se sont cette fois déployées sous les yeux orques, et aucun renfort n'est à attendre pour surprendre l'ennemi sur un flanc. De 13h30 à 15h le village de Nore est le Maréchal Zorn ne parvient pas lieu de répétés combats à faire flancher la bataille l'arme blanche, sans qu'un camp puisse s'en rendre maître. Cette fois-ci, l'état-major orque limite les charges suicidaires, si bien que sa faveurformation tient tête à celle de la Garde. A 16h, voyant que la situation n'évolue toujours pas, le Général Zorn remarque que le vent a tourné et qu'il souffle à présent vers l'Ouest. Il fait reculer le ordonne un recul organisé du centre dans le bois des Caures, et un semblant de repli dans la forêt et envoie recul des messagers vers la flancs gauche et droit en extérieur de la droite pour donner ses instructionsforêt. Aux yeux de l'ennemi, le mouvement paraît être celui d'un repli. Le gros du dispositif orque Exaltés par ce qu'elles appellent déjà une victoire, les troupes orques s'engouffre engouffrent en cohue majorité dans les bois à la poursuite de la forêtdivision Rollet. Plus tardA 17h15, Zorn fait s'arrêter ses troupes, la division et fait allumer une ligne demande à ce que des feux soient allumés partout devant. En moins de feu devant ellesquinze minutes, l'incendie devient incontrôlable. Le vent pousse le feu un mur de flammes sur les orquesla Horde, affolée. A l'extérieur de la forêtdu bois, les orques restants sont isolés divisions Lannes et Degole avancent à nouveau et massacrésécrasent les unités ennemies qui n'étaient pas entrées dans le bois. Les survivants du feu L'artillerie est déployée en lisière de la forêt sont attendus sous une pluie de balles et . La mitrailleaccueille les survivants des flammes. La Horde A 19h, la bataille est entièrement massacréegagnée.
== Manœuvre des Braves ==
Avancée audacieuse du A la suite de la bataille des Cendres, le Maréchal Zorn fait mettre l'Infernal se met en bivouacs, et envoie plusieurs groupes d'éclaireurs au Sud. Entre le Corps et les éclaireurs, des petits relais sont installés, pour parvenir à faire face à fournir les cavaliers en chevaux frais, et accélérer l'arrivée des informations. Ainsi, l'Infernal reste en bivouac du 34 Nérévard au 47. Durant ce temps, les éclaireurs envoyés ont rapportés l'installation d'orques dans plusieurs ruines, mais n'ont remarqué aucun grand mouvement de troupes. Pour Zorn, le Sud est bel et bien le lieu de rassemblement de la Grande Horde dans la vallée . Il veut faire manoeuvrer le plus rapidement le Corps pour enlever le plus d'orques possibles avant que ne ceux-ci ne rassemblent en une grande masse. Le 48 Nérévard, les trois divisions de l'Infernal se mettent en marche pour le Sud et traversent les grandes falaises. Passée cette étape, les vingt-cinq mille gardes de l'Infernal se retrouvent au Sud du milieu d'un territoire sous possession d'un ennemi d'un deux à trois fois plus nombreux.  [[Fichier:Dragons_obre.jpg|300px|thumb|right|Dragons de Belvyla Garde à Obre.]]
=== Combats d'Obre ===
Les combats d'Obre sont à l'origine de la mise à l'honneur par le Général Zorn du 1er de dragons et du 2e de chevau-légers après la campagne Verte. Le 48 Nérévard, le corps a pour instruction de filer vers l'Est. Pour autant, le bourg d'Obre, à l'Ouest, a été pointé comme abritant une force d'environ trois mille peaux vertes. Pour que l'action soit rapide, Zorn fait réunir les officiers des deux régiments de cavalerie, leur donne ses directives par papier, et leur annonce "Prenez vos cavaliers, six pièces d'artillerie à cheval et pacifiez moi ces ruines." La brigade provisoire arrive aux abords du bourg le 48 au soir, et se met en bivouacs derrière un repli de terrain, au Nord-Est. Le lendemain matin, l'artillerie est déployée à 7h en une unique batterie plus à l'Est et pilonne Obre. Les dragons du 1er démontent, et s'approchent des abords du bourg à 7h30. A 7h45, l'assaut est donné, ils attaquent au mousqueton de premières rues. Les orques, d'abord repoussés sous le feu, chargent. Sous le couvert de l'artillerie, le 1er effectue un mouvement de recul sans cesser le feu, digne de tirailleurs et parvient jusqu'au repli de terrain où étaient attachés leurs chevaux. Quand les peaux vertes arrivent au sommet du repli, ils sont chargés par six cents dragons à cheval. La surprise est totale. Après plusieurs minutes de mêlées, ils sont à nouveau chargés sur chaque flanc par les chevau-légers lanciers et débandent. Les survivants sont poursuivis et sabrés jusqu'à 11h, puis la brigade plie bagage. Elle rejoint sa division au soir.
 
 
=== Combats de Graisier ===
Le 52 à 13h, la division Degole arrive en vue du bourg de Graisier. La présence orque sur place ayant été estimée faible une semaine plus tôt par les éclaireurs, la division avait reçu pour ordre de prendre le bourg. Le Général Degole fait placer son artillerie en une unique batterie de quatorze bouches à feu à l'Ouest, sur une surélévation du terrain. A 14h, les première et troisième brigades sont lancées à l'assaut du bourg. Mais, à mi chemin, à la surprise de l'état-major divisionnaire, des détonations surviennent : la brigade Srajo essuie des tirs de boulets en provenance du Sud-Est. Le Général Srajo réagit rapidement, et la 4e et 5e compagnie de hussards vélites s'élancent en direction des tirs. Degole fait envoyer à leur suite un bataillon de cavalerie colonel-général. Aux abords de Graisier, les brigades poursuivent leur marche. A 14h30, avant qu'elles puissent atteindre le bourg, ce sont les troupes orques qui en sortent. S'attendant à une charge ennemie, Srajo et Wakouma mettent en place une première ligne de feu. Longue vue en main, l'aide de camp de Wakouma lui signale alors que les guerriers orques n'ont pas de haches en main, mais ce qui semble être des arquebuses. C'est la première fois dans la campagne qu'une arme à feu est vue dans les mains d'une peau verte, ce qui déstabilise quelque peu les deux généraux. Informé cinq minutes plus tard, Degole fait mettre en marche la brigade Bondaulde pour rejoindre le front. En parallèle, les hussards vélites atteignent l'artillerie ennemie, défendue par une centaine de monteurs orques. Rejoins par le bataillon de cavalerie colonel-général, les cavaliers chargent. En supériorité numérique, les gardes encerclent rapidement les monteurs et les défont. Peu de temps après, l'artillerie orque est tue. A 14h45, de premiers échanges de tirs ont lieu entre les première et troisième brigade et la masse verte. Si les tirs orques sont imprécis, le conflit n'a jusque là connu aucune intensité de feu comparable. Presque poussés par la masse orque qui ne cesse de gonfler, la ligne de feu des deux brigades tient. Elle est rejointe trente minutes plus tard par la brigade Bondaulde sur son flanc droit. Le 2e de tirailleurs-grenadiers ouvre alors le feu sur le côté ennemi. A gauche, les 1ère, 2e et 3e compagnies de hussards-vélites, épaulées par les 4e et 5e de colonel-général chargent. Compressés, les orques se replient dans Graisier. Il est 16h40. Le Général Degole décide d'attendre avant d'attaquer le bourg. Il continue son bombardement dessus. A 18h, la brigade Ney arrive sur le champ de bataille. En effet, plus tôt, entendant au loin les tirs d'artillerie, le Général Lannes n'y avait pas reconnu que le bruit de canons de la Garde. Il avait alors pris l'initiative de faire marcher ses troupes au canon. Ney fait déployer ses six bouches à feu en une deuxième batterie. A 19h45, alors que la brigade Desaix arrive sur le champ de bataille et déploie son artillerie, 4 colonnes d'infanterie, de mille cinq cents à plus de deux mille gardes chacune, attaquent simultanément les ruines du bourg. Débordées, et éprouvées par l'artillerie et les précédents combats, les peaux vertes sont débandées puis massacrées. A 20h30, Graisier est totalement entre les mains de la Garde. Le Général Zorn, informé de l'équipement improbable des troupes orques arrive sur place au soir, vers 21h30. Il inspecte l'artillerie ennemie, puis ses arquebuses. Consterné, il constate l'équipement n'est pas bâtard mais semble avoir été produit en série.
 
 
=== Passage de la Veilleuse ===
 
[[Fichier:Ghideon_en_campagne.png|300px|thumb|right|Ghideon Zorn avant le passage de la Veilleuse.]]
 
Le 56 Nérévard, l'ensemble de l'Infernal arrive en bordure de la Veilleuse, fleuve de quarante mètres de large le séparant du reste des forces orques. Le seul pont traversant le fleuve saboté, la Garde n'a pour seule option que de faire travailler ses pontonniers. En face, plusieurs milliers de peaux vertes narguent le corps, prêtes à ouvrir le feu sur le moindre ouvrir. Déployées en deux grande batteries à 13h, l'artillerie du corps a vite raison de l'enthousiasme ennemi. Sous le couvert des tirs de boulets, des bouches à feu sont déployées au bord du fleuve et chargées à la mitraille. Rapidement, arrosées, les troupes orques reculent. Du 56 au 58, les pontonniers bâtissent deux ponts de bateaux sur la rive. Ceux-ci doivent permettre la traversée du corps dans son intégralité. Le 59 au matin, toujours sous le couvert de l'artillerie, ils sont déployés sur l'eau. A 12h, le Général Zorn prend la tête de la brigade Desaix qui traverse la Veilleuse. Elle se dispose de manière à tenir la position le temps que le reste du corps traverse. Le premier de dragon se tient sur l'aile droite de la ligne, prêt à intervenir. De premiers canons sont déployés et chargés à la mitraille. A 13h, un premier assaut orque est lancé. De premiers échangent de tirs ont lieu à 13h20. Les tirailleurs des 1er et 2e de ligne sont réunis en un bataillon, et se disposent de manière à ouvrir le feu sur le flanc droit adverse. Après plusieurs volées de tirs, la mitraille a raison de l'assaut. A 15h, une nouvelle attaque orque se jette sur les troupes de la Garde. La division Lannes vient alors de finir de traverser le pont. Les brigades Ney et Lecourbe viennent s'adjoindre à la brigade Desaix. Une vingtaine de bouches à feu sont alignées et ouvrent le feu en batterie. A 15h30, division dans son ensemble avance sous le couvert des boulets. Quatre régiment de lignes sont au front, tandis que le 7e de ligne reste en réserve. Le Général Zorn, en première ligne, analyse la situation. Quelques cinq mille orques s'avancent. Plus loin, un masse deux à trois fois plusieurs nombreuse s'organise. A ses côtés, à la longue vue, le Général Lannes lui fait remarquer des pièces d'artillerie sont mises en batterie du côté de l'ennemi. Plutôt que de faire allonger encore plus sa ligne, Zorn fait demander la traversée immédiate de la brigade Nansouty, du colonel-général, du 1er de dragons de Filranmel et de l'artillerie à cheval restante. A l'avant, le flanc gauche est engagé avec les troupes orques. Les tirailleurs et le 1er d'infanterie légère, menés par Lecourbe, tiennent tête aux peaux vertes. Après des échanges de tirs, Leourbe fait faire charger le 2e bataillon du 2e de chevau-légers, lances en main, sur le flanc ennemi. Au centre, le feu est ouvert à 16h. Le Général Zorn fait avancer ses lignes tout en réunissant sous sa main quatre compagnies de grenadiers. A leur tête, il ordonne la charge. Le centre ennemi, contacté, plie. Ce recul amène à la débande du flanc droit orque, déjà en mal face aux lanciers de la garde. La cavalerie de Lecourbe poursuit les fuyards, tandis que l'infanterie se referme sur les unités ennemies encore debout. A 17h, les combats sont terminés. La division Lannes est alors à deux kilomètres des ponts. Derrière elle, plus de deux mille cavaliers attendent, bientôt rejoints par le 1er de dragons. Une deuxième batterie d'artillerie est formée sur le flanc gauche avec dix bouches à feu. Enfin, la Division Rollet commence à arriver de l'autre côté de la rive. Celle de Degole, plus expérimentée, couvre l'arrière du corps avec la Vieille Garde.<br>
 
A 17h30, l'artillerie orque ouvre le feu. Zorn ordonne à ce que la division Lannes avance, et à ce que les troupes de Degole se positionnent sur son flanc droit. La masse orque elle, organisée en deux lignes maladroites, avance aussi, en supériorité numérique. Le Général Zorn fait parvenir un ordre au Général Nansouty :<br>
 
"Réunissez les cavaliers que vous avez sous la main, percutez les rangs ennemis, faites taire leurs canons et revenez à moi. Vive l'Empire."<br>
 
A 18h, les deux camps ne sont plus qu'à cinq cent mètres l'un de l'autre. Nansouty, suivi de deux mille cinq cents cavaliers, disposés en deux lignes, s'avance au devant des lignes. La charge est donnée. La première ligne de cavaliers écrase les rangs orques, puis peine à traverser la deuxième. La deuxième ligne, composée de cuirassiers, arrive à sa suite et ouvre le chemin au sabre. Derrière les lignes ennemies, les cavaliers reforment leur rang tandis que les dragons de Filranmel continuent leur avancée pour prendre l'artillerie orque. Le centre orque lui, est désorganisé et à moitié anéanti. Sur le flanc droit, les premiers fantassins de Rollet arrivent et font pression sur les rangs orques. Du flanc gauche au droit orque, le moral baisse : le gauche est prise avec les renforts de Rollet, le centre a été presque détruit, le droit subit les tirs de vingt bouches à feu, tandis qu'à l'arrière, l'artillerie orque ne supporte plus l'avancée de ses fantassins. A l'arrière, les cavaliers de Nansouty s'avancent à nouveau, cette fois vers la gauche orque. De l'autre côté, le 1er de cavalerie étrangère se prépare aussi à la charge. A 18h50, le flanc gauche orque est percuté par l'arrière et l'avant par la cavalerie. Il débande, et entraine avec lui le centre. Le flanc droit lui, tient un peu plus. Les trente bouches à feu de l'artillerie se concentrent alors dessus. Des groupes entiers sont fauchés pendant que, de part et d'autre, l'infanterie se referme sur la formation orque. Celle-ci débande. Il est 19h30, la voie est ouverte pour les troupes de la Garde.<br>
 
A l'arrière, la division Degole et la Vieille Garde ont fini de traverser les ponts, qui sont ensuite retirés. Le Général Zorn annonce alors à ses officiers la manœuvre qu'ils devront exécuter le lendemain matin.
 
=== La percée des Valeureux ===
Au matin du 60 Nérévard, la Campagne Verte approche de son dernier acte. La suite est événements est claire pour le Général Zorn, aussi confiant qu'à l'habitude. Pour autant, au lendemain de la traversée de la Veilleuse, il connait sa situation : l'ennemi est partout. Des masses de 5000 à 10 0000 peaux vertes encerclent l'Infernal de part et d'autre. La manœuvre que veut effectuer Zorn est simple : il ne veut qu'à aucun moment le corps ne s'arrête avant d'avoir atteint la vallée au Sud de Belvy, lieu où il suppose le rassemblement orque. Les divisions doivent manœuvrer, affronter en supériorité l'ennemi en plusieurs points pour lui ôter le plus de troupes possibles, puis continuer à avancer. S'arrêter serait mourir en laissant le temps aux différentes troupes orques de tomber sur le corps en plusieurs points.<br>
 
Le corps marche d'abord vers le Sud-Est. Le 61, à 17h, la division Degole se projette sur un premier agroupement de peaux-vertes. A 21h, l'affrontement est remporté, la division se remet en marche. Simultanément, les divisions Rollet et Lannes affrontent dix mille peaux-vertes plus à l'Est. Après avoir presque encerclé l'ennemi, elles le mettent en déroute. La voie par le Sud est ouverte. Le 63, le corps est poursuivi par une masse de plus de vingt mille peaux-vertes. Ghideon veut éviter la bataille, qui le forcerait à se déployer et à être exposé à l'arrivée de renforts ennemis. Il charge alors la division Rollet de faire s'arrêter l'ennemi. Le 64, à midi, la division arrive au contact de la force adverse. Elle déploie de premiers canons en plusieurs points, et étire le plus possible ses troupes, mimant une force bien plus conséquente qu'elle ne l'est. A 14h, les troupes orques se mettent en ordre de bataille, pensant affronter la majorité du corps, et commencent à avancer. La division se remet en ordre de marche, et repart. <br>
 
Du 1er Pampélune 269 au 7, le corps continue sa manœuvre. Il esquive habilement les quelques grosses masses orques et ses divisions écrase des attroupements de plusieurs milliers de peaux vertes. Le 8 Pampélune, l'Infernal arrive par le Nord-Ouest à la Vallée rouge. Il prend position sur les hauteurs de la partie Ouest de celle-ci. S'il a dans sa manœuvre ôté la vie à plus de vingt mille peaux vertes, et mis presque autant en déroute, les forces qui se dressent autour de lui sont conséquentes. De l'autre côté de la vallée, devant lui à dix kilomètres, trente mille peaux vertes attendant l'ordre de marcher à la bataille. De même, derrière au Nord, vingt mille orques se rassemblent et marchent en direction de la vallée. La bataille la plus violente de la campagne se profile.
 
 
=== Bataille de la Vallée Rouge ===
'''{en cours de rédaction}'''
Le 9 Pampélune 269, l'Infernal dispose de 22 500 troupiers sur les 27 000 d'origine, en comptant 1 500 volontaires du Royaume de Belvy envoyés avant la manœuvre des braves pour combler les trous de certains régiments. S'il est en nette infériorité numérique, Zorn n'en est pour autant pas inquiété. Le matin du 9, regardant sa montre à gousset, il dira simplement "Nous sommes dans les temps.". Le corps est disposé sur plusieurs clairières, plus ou moins plates, situées sur différentes hauteurs. La division Degole est placée au centre, la division Lannes sur le flanc gauche et la division Rollet sur le droit. Plus en arrière et en hauteur, la réserve est prête à être déployée si nécessaire. Une particularité de la disposition des troupes est que la division Lannes n'a déployée sur le flanc gauche que la brigade Desaix. Les deux autres brigades Ney et Lecourbe sont tenues plus en arrière, prêtes à marcher.<br>
 
A 8h, les orques positionnent leurs forces en bas de la vallée. L'état-major orque est confiant. Il se sait en supériorité numérique, et sous-estime les effectifs de la Garde qu'il pense très diminués suite à la percée de celle-ci depuis la traversée de la Veilleuse. Une partie des forces orques estimée à dix mille s'avance jusqu'à une ferme abandonnée, position centrale de la vallée. Dans le même temps, Ghideon fait regrouper les tirailleurs de l'ensemble des régiments, appuyés par le 1er et 2e de grenadiers-tirailleurs. Cette brigade à l'équivalent de trois régiments est confiée au Général Lecourbe, qui est chargé de prendre position à deux kilomètres dans la vallée pour tirailler l'ennemi. A cette distance, les orques seront sujet aux tirs de mousquets mais aussi de canons. De l'autre côté, plusieurs bombardes orques sont déployées et commencent à ouvrir le feu sur les tirailleurs. Bien qu'affectés par les tirs, ceux-ci s'en accommodent pourtant notamment en raison de leur déploiement espacé qui limite les dégâts de l'artillerie. A l'inverse, les troupes orques en marche arrivent à 9h30 à portée des premiers gardes. Les tirs partent et couchent les têtes de file orques ce qui n'arrête pour autant pas l'avancée de la masse verte. Comme cela s'était vu pour la première fois à Graisier, quelques unités orques équipées d'arquebuses ripostent elles aussi en ouvrant le feu. A 9h40, l'ensemble des batteries d'artillerie de la Garde, à distance de feu, reçoit l'ordre d'émonder les colonnes vertes. A 10h, après avoir reculé en tiraillant les ennemis, les troupes de Lecourbe reçoivent l'ordre de se replier derrière les positions de la Garde. Lecourbe retourne au commandement de sa brigade. Les orques forment eux peu après une colonne de plusieurs de peaux vertes, qu'ils projettent sur la brigade Desaix, la pensant isolée. Les peaux vertes arrivent au contact de la brigade et se déploient de manière à l'attaquer de face et par les flancs. <br>
 
 
Au milieu de la vallée se dresse une vieille ferme, abandonnée, à environ quatre kilomètres de la position des troupes de la Garde.
1er temps : Flanc gauche dégarni : attaque orque. Premiers combats d'avant-garde (tirailleurs) + tirs d'artillerie. Orcques déploient de l'artillerie dans la vallée. Attaque sur le flanc gauche : repoussée + contre attaque décisive. Envoie de renforts orques. En parallèle, attaque de cav + grenadiers sur l'artillerie : réussie. Trou dans le dispositif d'attaque orque, repli pour orga. <br>
2e temps : Pendant le repli orque, avancée d'une partie des troupes de chaque division : mime d'assaut sur les troupes orques en repli. Les orques lancent une deuxième attaque, cueillie en première ligne par les tirailleurs, qui les poussent à avancer. Le dispositif avancé recule jusqu'à reprendre position sur les hauteurs. Les troupes orques se retrouvent sous le feu d'artillerie, et déjà bien engagée. Elles tentent un assaut n'ayant plus tellement le choix : repoussé.
3e temps : au repli du deuxième assaut orque, le Général Zorn regarde l'heure puis lance une attaque généralisée : les trois divisions avancent. L'état-major orque engage alors une grande partie de ses forces : vingt-cinq-mille peaux-vertes. A hauteur de la ferme, et à 3 kilomètres de l'ennemi; Zorn fait placer le 1er bataillon du 7e de ligne dans la ferme, et demande à son commandant de la barricader et d'y tenir jusqu'au bout. Le reste des forces de la Garde se replie en bas des hauteurs de l'Ouest. Cette fois ci, les orques ne commettent pas la même erreur et tiennent position à 600 mètres de la ferme. Un groupe d'orques est lancé pour la prendre et est repoussé. Au loin, des navires commencent à être aperçus. Le Général Zorn ordonne alors aux troupes d'avancer et à l'artillerie de se déployer en avant pour faire feu sur les positions orques. Les orques, alors sous le feu, redoublent d'effort pour faire céder la position de la ferme, à présent encerclée, dont le bataillon qui la tient fait feu à 360°, accumulant les cadavres ennemis autour de sa position.
 
= Conséquences =
== Pertes ==
A l'issue de la Campagne, les pertes orques sont estimées "indénombrables". En effet, plus de 98 000 orques sont pointés morts ou disparus. Environ 7 000 sont faits prisonniers, puis exécutés les jours suivants.<br>
 
 
== Traité des Valeureux ==
Au lendemain de la Campagne Verte, l'''{en cours état-major de rédaction}'''Accord entre la Garde et rencontre le gouvernement du Royaume de Belvyle 24 Pampélune 269. Celui-ci remercie la Garde en lui offrant L'ancien territoire du royaume éponyme a été entièrement nettoyé des troupes hordes orques qui deviendront la première division étrangère et en avaient pris possession. Le Royaume de Belvy retrouve alors l'entièreté de son ancien territoire. En signe de sa reconnaissance, il jure fidélité au Consulat de la Garde et à l'Empire. En plus de cela, des troupiers volontaires de Belvy sont offerts à la Garde, et forment la première génération de ce qui devient la première division étrangère, division d'élite.
== Opération de la "Sape" ==
Du 27 au 61 Pampélune 269, les divisions de l'Infernal sont dispersées pour détruire les camps et villages orques situés au Nord-Ouest de Belvy. Les uns sont brûlés, les autres emportés par les eaux déviés de fleuves, et encore d'autres sont entièrement rasés à la hache. L'objectif est d'éviter la reconstitution d'{en cours une horde, dont les soldats seraient animés de haine et vengeance. Les orques résistants sont massacrés sans traitement de rédaction}faveur. Si l'opération prévoyait à l'origine de ne laisser aucun survivant, dans sa grande pitié le Maréchal Zorn força la population orque restante à l'Des troupes sont dépêchées exil dans les camps orques pour y purger le Malmontagnes Ouest de Belvy.<br> L'opération de la Sape marque la fin de la Campagne Verte.
== Campagne de la Maur'Ya ==
Le 2 Fifrelune, l'Infernal arrive aux abords de Saulin, bourg en reconstruction par la population revenue vivre sur les terres alentours débarrassées des orques. Des bruits de tir hâtent l'avancée des troupes en direction du bourg. Arrivé en vue de celui-ci, l'{état-major y découvre un carnage. Des centaines de nains, en armure, se prêtent à un massacre en règle : les parcelles de champs sont imbibées du sang des fermiers qui les remettaient en état. Les rues sont en cours proie au chaos de rédaction}leurs habitants, tentant d'échapper à leur mort. La mince garde du bourg elle, jonche à ses portes, décimée en ayant tenu son devoir. <br> La vue de ce massacre et surtout de cette trahison met en colère le Maréchal Zorn. Restant calme, il dira simplement "Tuez les tous." avant de s'élancer avec la cavalerie de la Vieille Garde en direction du bourg. Après la reprise du bourg, le commandement nain demande aux forces de la Garde se retirer de Belvy. Il pense que sa supériorité numérique face à des troupes fatiguées d'une première campagne lui assure la victoire, et que l'Les sales nains état-major de la MaurGarde ne prendra pas le risque d'Yaentrer en Campagne. <br>Pour autant, les Maréchaux Zorn et Pencroff ne laissent pas passer cet affront. Le clan des Barbes Argentés, après avoir lâchement abandonné leur allié le Royaume de Belvy laissé son ancien partenaire aux mains des orques, tentent le trahit à présent pour s'emparer de lui prendre ses anciennes terres. La De plus, il pense pouvoir insulter l'honneur des troupes de la Garde force , assuré que celle-ci abandonnera son nouvel allié. Le 4 Fifrelune, Zorn fait adresser aux soldats un discours de départ en Campagne. "[...] C'est enfin vos lauriers qu'ils veulent arracher de votre front. Ils veulent que nous évacuions Belvy à l'aspect de leur armée ! Les insensés ! Qu'ils sachent donc qu'il serait mille fois plus facile de détruire la grande capitale que de flétrir l'honneur des enfants de l'Empire ! Soldats, il n'est aucun d'entre vous qui veuille retourner en Stendel par un autre chemin que celui de l'entrée honneur. Nous ne devons rentrer que sous des arcs de triomphe !"<br>C'est le début de la [[Campagne de leurs mines et les massacre jusqula Maur'au dernierYa]].
= Description =
'''2e Division : Division ???Degole<br>
''Composée de la Division Zorn et de la brigade d'Esperey.<br>''
- 2 pièces de 12 livres et 2 obusiers d'artillerie à pieds<br>
- 2 obusiers de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 3e brigade : brigade Srajo
- 2 pièces de 12 livres d'artillerie à pieds<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* Arrière :
- Régiment de la Vieille Garde à cheval<br>
 
==== Etat des troupes à la Vallée Rouge ====
'''1ère Division : Division Lannes<br>
''Composée de la division Glavallis.<br>
 
* 1ère brigade : brigade Lecourbe
- 1er d'infanterie légère (958)<br>
- 1ère batterie du 1er bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
- 1er et 2e bataillons du 1er de hussards (329)<br>
- 2e bataillon du 2e de chevau-légers (176)<br>
 
* 2e brigade : brigade Desaix
- 1er d'infanterie de ligne (893)<br>
- 2e d'infanterie de ligne (1076)<br>
- 2e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
- 1er bataillon du 2e de chevau-légers (132)<br>
- 1er de dragons (518)<br>
 
* 3e brigade : brigade Ney
- 4e d'infanterie de ligne (911)<br>
- 7e d'infanterie de ligne (1105)<br>
- 2e batterie du 1er bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
- 3e bataillon du 1er de hussards (167)<br>
- 3e bataillon du 2e de chevau-légers (138)<br>
 
* Arrière :
- 2e et 3e compagnies de sapeurs<br>
- 1ère et 2e compagnies du train d'artillerie<br>
- 2e compagnie du train d'équipage<br>
- Compagnie médicale de la Garde<br>
 
 
'''2e Division : Division Degole<br>
''Composée de la Division Zorn et de la brigade d'Esperey.<br>
 
* 1ère brigade : brigade Wakouma
- 1er de fusiliers-grenadiers (842)<br>
- 2e bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers (413)<br>
- 2e et 3e compagnies de hussards-vélites (164)<br>
- 4e compagnie de cavalerie "colonel-général" (76)<br>
- 2 pièces de 12 livres d'artillerie à pieds<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 2e brigade : brigade Bondaulde
- 2e de tirailleurs-grenadiers (796)<br>
- 1er d'infanterie "impérial-grenadier" (917)<br>
- 2e d'infanterie "impérial-grenadier" (936)<br>
- 1ère compagnie de hussards-vélites (61)<br>
- 1ère, 2e et 3e compagnies de cavalerie "colonel-général" (239)<br>
- 2 pièces de 12 livres et 2 obusiers d'artillerie à pieds<br>
- 2 obusiers de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 3e brigade : brigade Srajo
- 2e de fusiliers-grenadiers (877)<br>
- 1er bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers (398)<br>
- 4e et 5e compagnies de hussards-vélites (159)<br>
- 5e compagnie de cavalerie "colonel-général" (84)<br>
- 2 pièces de 12 livres d'artillerie à pieds<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* Arrière :
- Bataillon du train de la division Zorn<br>
- Ambulance de la division Zorn<br>
 
 
'''3e Division : Division Rollet<br>
''Composée de la brigade de réservistes tolwhigiens, de réguliers du Royaume de Belvy, du 3e bataillon d'artillerie à pieds et des dragons de Filranmel.<br>
 
* 1ère brigade : brigade Sarlovèze
- 2e d'infanterie étrangère (786)<br>
- Dragons de Filranmel (413)<br>
- 2e batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 2e brigade : brigade Lamarque
- 1er d'infanterie étrangère (809)<br>
- 1er d'infanterie réserviste (746)<br>
- 1er et 2e bataillon de cavalerie étrangère (324)<br>
- 2e batterie du 3e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
 
* 3e brigade : brigade Esperey
- 3e d'infanterie étrangère (863)<br>
- 2e d'infanterie réserviste (817)<br>
- 3e bataillon de cavalerie étrangère (132)<br>
- 1ère batterie du 3e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
 
* Arrière :
- Train étranger<br>
- Service médical étranger<br>
- Génie étranger<br>
 
 
'''Réserve :<br>
 
* Brigade Nansouty :
- 1er de cuirassiers (564)<br>
- 2e de cuirassiers (583)<br>
 
* Brigade de la Vieille Garde :
- Régiment de la Vieille Garde à pieds (500)<br>
- Régiment de la Vieille Garde à cheval (400)<br>
 
 
==== Troupes débarquées à la Vallée Rouge ====
 
'''Division de renfort : Division Pencroff<br>
''Composée de fusiliers marins de la Garde et de cavalerie issue du Corps des Maréchaux.<br>''
 
* 1ère brigade :
- 1er de fusiliers marins<br>
- Régiment de Maréchal-hussards<br>
 
* 2e brigade :
- 2e de fusiliers marins<br>
- Régiment de Threa-thaesi Dragons<br>
- Régiment de Maréchal-cuirassiers<br>
=== Union des Clans ===
A la fin de la Campagne Verte, le Général Zorn s'exclama : "Je suis sincèrement le plus grand ami du peuple orc. Je l'ai débarrassé d'une tâche qui salissait son existence. Je suis certain qu'il saura m'en être reconnaissant."<br>
"Pressé fortement sur ma droitegauche, mon cendre cède, impossible de me mouvoir. Situation excellente : j'attaque." Le Général Zorn à la bataille de la Vallée Rouge.
== Bibliographique ==
[[Catégorie:Garde Volontaire]]
contributeur
986

modifications

Menu de navigation