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Guerre de restauration de Belvy

10 391 octets ajoutés, 20 août 2023 à 22:54
|forces=
{{{!}} style="width:100%;"
{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} 127 424 Gardes<br>50 80 000 Belvois<br/>{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} 180 000 (Apesbourgs)<br>40 50 000 (Pitcairn)<br/>
{{!}}}
'''Bataille de Rampare'''<br>
Le 26 Tercevent<br>
Victoire tactique et stratégique des Apesbourgs. <br>
'''Bataille de Beltour'''<br>
Le 33 Tercevent<br>
Victoire tactique et stratégique des Apesbourgs. <br>
'''Bataille de Vinlême'''<br>
Le 52 Tercevent<br>
L'armée de Belvy, en déroute, se replie vers Grancité avec les maigres restes de ses effectifs.<br>
Seuls 23 000 hommes sont encore en état de combattre pour le royaume.<br>
 
Victoire tactique et stratégique des Apesbourgs. <br>
=== L'appel à l'aide du Roi Helias IV Hugues 1er ==='''Siège de Grancité'''<br>Le 3 Démévent, l'armée royale de Belvy est définitivement repoussée dans la capitale de Grancité. Exsangue et épuisée, elle s'enferme dans l'enceinte fortifiée de la ville pour y conduire son baroud d'honneur.<br>Très vite, les armées Apesbourgeoises encerclent la capitale, et débutent les travaux de siège. Plusieurs jours durant, les troupes d'invasion creusent tranchées et redoutes, et organisent autour du siège toute une chaine logistique destinée à faciliter leurs opérations.<br>Le roi de Belvy, ses soldats et ses citoyens ne peuvent, depuis l'intérieur des murailles, que regarder leurs ennemis refermer leur étreinte autour d'eux et les couper définitivement debout ravitaillement. Dès lors, le rationnement des vivres est décidé, pour tenir le plus longtemps possible sur les réserves de guerre que le roi avait eu la présence d'esprit de faire accumuler dans la capitale.<br> Le 16 Démévent, après plusieurs jours de siège sous la menace Apesbourgeoise, le roi de Belvy saisit la dernière option qui s'offrait à lui. Dans une lettre qu'il signe de sa main, il implore le Consulat de la Garde, allié du royaume, de se porter à son secours.<br>La lettre écrite, il la confie à un de ses plus braves chevaliers, le chevalier Gesclin, qui quitte la capitale sous couvert de la nuit en longeant les berges de la rivière Serpentine. Une fois les lignes ennemies dépassées, il vole un cheval et se rend au plus vite vers l'empire de Stendel et, plus précisément, Fort Herobrine.<br> '''Le messager de Belvy'''<br>Le 53 Démévent, après un long et périlleux voyage, le chevalier Gesclin parvient en pleine nuit à Fort Herobrine, où il est dirigé vers le Grand Quartier Général de la Garde Volontaire. Présentant les armes du royaume de Belvy, il est rapidement conduit auprès du haut-commissaire aux affaires étrangères, le général Colincourt, que l'on fait réveiller en urgence.<br>Si le chevalier explique la situation au général, la missive qu'il porte est destinée au 1er consul [[Ghideon Zorn]]. Sur ordre de Colincourt, le Consul est donc également réveillé, et vient prendre connaissance de la situation.<br> Au matin du 54 Démévent, un Conseil de guerre exceptionnel en présence de tous les généraux de corps, d'armée, colonels-généraux, major-général et maréchaux est organisé en urgence.<br>Présidé par le 1er Consul, ce conseil extraordinaire a pour but de définir la réponse de la Garde Volontaire à l'agression du royaume de Belvy par la dynastie des Apesbourgs.<br>Devant la précarité de la situation rapportée par le chevalier Gesclin, il apparait rapidement qu'une armée nombreuse sera trop longue à mobiliser et à projeter sur place dans un premier temps, alors qu'il est nécéssaire de prendre une mesure rapide pour empêcher l'imminente reddition - ou capture - de la ville de Grancité.<br> Si il est tout de même décidé de réunir une armée et de l'envoyer sur place pour vaincre les troupes Apesbourgeoises et libérer Belvy, il est également résolu qu'une délégation diplomatique devait être envoyée sur place séance-tenante, de sorte à empêcher une action offensive de la part des assiégeants sur la capitale.<br> En effet, le 1er Consul Zorn anticipe alors que si une délégation du consulat venait à se trouver dans l'enceinte de la ville de Grancité, les assiégeants n'oseraient pas attaquer la capitale au risque de tuer un ressortissant impérial, pire même, un Garde Volontaire.<br>La présence d'un diplomate issu d'une force aussi puissante et renommée que la Garde ne pourrait que dissuader les ennemis de Belvy de se lancer dans un assaut inconsidéré; et servirait également à rassurer les populations et les troupes de Belvy quant à un salut futur, leur donnant la force de tenir le siège au travers des privations et du harcèlement.<br> Pour effectuer la périlleuse mission de passer au travers des troupes assiégeantes pour s'enfermer dans la ville fortifiée de Grancité avec les assiégés, le 1er Consul Zorn se tourne vers le '''Général Dumesnil''', alors commandant du corps de réserve, et reconnu dans la Garde pour son rôle au cours du siège de [[Tolwhig]] durant la [[Première Campagne des Titanides]].<br> Le 56 Démévent, la délégation diplomatique de la Garde commandée par le général Daumesnil quitte donc Fort Herobrine pour le royaume de Belvy, accompagnée par la 8e compagnie du [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#3e_régiment_de_grenadiers_à_pieds_de_la_Garde|3e régiment de Grenadiers à Pieds]] de la Garde Consulaire.<br>
=== Intervention de la Garde Volontaire ===
Le 45 Radévard, après le long voyage depuis Fort Herobrine, le général Dumesnil et sa délégation parviennent à Belvy. Arrivant sur les abords de Grancité, ils se trouvent alors sur les arrières de l'immense armée des Apesbourgs, réunie autour de la ville pour en faire le siège. Face aux 120 gardes formant la délégation et son escorte, une marée humaine de près de 100 000 hommes s'étend alors dans une succession de bivouacs, camps fortifiés, batteries de siège et tours de siège de diverses tailles. <br>Rapidement et pour d'évidentes raisons, il apparait que l'unique route menant aux portes de la ville est occupée par de nombreux soldats Apesbouregois et est tapissée de barrages divers. En outre, la présence de la délégation de la garde ayant été rapportée dès son entrée sur le territoire occupé, elle est d'ores et déjà suivie par un contingent de cavaliers Apesbourgeois qui, bien que restant passifs, semblent particulièrement désapprouver la présence de la Garde.<br>Malgré leur hostilité, ces derniers sont toutefois contraints de rester en retrait, le Consulat de la Garde étant encore officiellement neutre et ne faisant pas partie des belligérants de la guerre.<br> Arrivant à un premier barrage, le général Dumesnil et ses hommes seront sommés de faire demi-tour par un émissaire des Apesbourgs. Malgré tout, dédaignant de nouer le dialogue avec les envahisseurs de Belvy, le général Dumesnil déclarera simplement:<br>"Je suis ici par la volonté du Consul, comme ambassadeur de la Garde à Belvy. Je n'ai aucune permission à vous demander pour circuler sur les terres de nos amis, et n'ai de temps à perdre avec des maraudeurs comme vous. Si vous souhaitez croiser le fer avec un général de la Garde, je suis votre homme. Sinon, ôtez-vous de mon chemin".<br> Peu désireux de créer un incident diplomatique qui précipiterait l'entrée de la Garde dans le conflit, les officiers Apesbourgs ordonnèrent alors que l'on dégage la route, et laissèrent la voie libre au général Dumesnil et à sa colonne.<br>S'ensuivit alors une scène irréelle où, au milieu de la gigantesque armée Apesbourgeoise amassée de part et d'autre de la route; la colonne de quelques cent gardes marcha au pas, bannière au vent et l'arme au bras.<br>Silencieux, les grenadiers, les officiers et le général Dumesnils arrivèrent finalement devant la grade porte des murailles de Grancité, qui s'ouvrit devant eux.<br> Une foule en liesse, réunie derrière la grande porte, accueillit la colonne sous de vifs hourras.<br> Rapport de Daumesnil: Part le 50 Radévard et arrive à FH Le 25 tronvard<br>Rappel des troupes à fort herobrine: Le 30 Tronvard<br>Le roi debelvy rédige une lettre et jure allégeance si la garde intervent: part le 30 Tronvard et arrive le 5 Pénavard<br>Le 1er consul et la Grande Armée quittent FH le 10 Pénavard<br>Arrivée de la Garde à Belvy le 5 Nérévard<br>Arrivée du corps de la Garde Consulaire à Grancité le 10 Nérévard<br>Le 1er consul fend le siège ennemi pour rencontrer le roi de belvy dans Grancité assiégée le 13 Nérévard<br>Signature du traité de Grancité le 14 Nérévard<br>La Garde laisse aux Apesbourgs un délai de trois semaines pour se retirer de grancité et retourner sur leur domaine, sans quoi elle déclarera la guerre totale le 1er Pampélune '''Libération de Grancité'''<br>Le 25 Nérévard, le siège de grancité est entièrement levé et l'armée Apesbourgeoise se replie vers l'Ouest<br> '''Déclaration de guerre de la Garde'''Le 1er Pampélune, les troupes Apesbourgeoises sont encore sur le territoire de Belvy, le 1er consul leur déclare donc la guerre.<br>
=== La reconquête de Belvy ===
=== Royaume de Belvy ===
Le royaume de Belvy est gouverné par le roi Hugues 1er de Belvy, fils du roiGodefroy IV "Le Bon" de Belvy.<br>
=== [[Garde Volontaire]] ===
===== Mission diplomatique =====
- Ambassadeur spécial: Général de division Dumesnil "Le héros de Tolwhig"<br>
- Vice-ambassadeur: Colonel Weber<br>
- Premier aide de camp: Capitaine Dumouriez<br>
- Second aide de camp: Capitaine Lalande<br>
- Premier ordonnance: Lieutenant Durion<br>
- Second ordonnance: Lieutenant De Castres<br>
- Escorte composée de la 8e compagnie de grenadiers d'honneur du 3e régiment de grenadiers à pieds du capitaine De Kerguevin<br>
=== Dynastie des Apesbourgs ===
= Forces en présence =
=== Royaume de Belvy ===
Les forces du royaume de Belvy sont composées de quelques 80 000 hommes levés par conscription, et de quelques centaines de chevaliers et de nobles en armes.<br>
L'armée de Belvy se compose comme suit:<br>
 
'''Ordre des chevaliers de Belvy'''<br>
 
'''Première légion'''<br>
 
'''Seconde légion'''<br>
=== [[Garde Volontaire]] ===
= Trivia =
=== Anecdotes ===
 
En pleine bataille, le roi Leopold II d'Apesbourg-Astria et le Maréchal Pencroff s'affrontèrent lors d'un duel d'escrime à mort. Durant le duel, le maréchal Pencroff reçut une estafilade au bras gauche et à la poitrine; mais le roi Leopold perdit la vie d'un coup d'estoc au coeur.<br>
 
=== Citations ===
"J'écarterai par l'épée les ténèbres que le diable a voulu jeter sur belvy, et j'en inonderai les plaines du sang des ennemis de la liberté."<br>
Premier Consul Zorn.<br>
 
"Les dynasties, les couronnes et leurs royaumes ne sont rien que des maquettes de papier sur les cartes du consul. Et pareillement au papier, un simple souffle les fait voler, et une simple braise les calcine."<br>
Maréchal Pencroff.<br>
 
"Ils sont trois-mille, nous sommes sept-cent. Sabre au clair, nous attaquons."<br>
Maréchal Pencroff.<br>
 
 
[[Catégorie:Garde Volontaire]]
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