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Guerre de restauration de Belvy

2 891 octets ajoutés, 20 août 2023 à 22:54
La présence d'un diplomate issu d'une force aussi puissante et renommée que la Garde ne pourrait que dissuader les ennemis de Belvy de se lancer dans un assaut inconsidéré; et servirait également à rassurer les populations et les troupes de Belvy quant à un salut futur, leur donnant la force de tenir le siège au travers des privations et du harcèlement.<br>
Pour effectuer la périlleuse mission de passer au travers des troupes assiégeantes pour s'enfermer dans la ville fortifiée de Grancité avec les assiégés, le 1er Consul Zorn se tourne vers le '''Général Dumesnil''', alors commandant du corps de réserve, et reconnu dans la Garde pour son rôle au cours du siège de [[Tolwhig]] durant la [[Première Campagne des Titanides]].<br> Le 56 Démévent, la délégation diplomatique de la Garde commandée par le général Daumesnil quitte donc Fort Herobrine pour le royaume de Belvy, accompagnée par la 8e compagnie du [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#3e_régiment_de_grenadiers_à_pieds_de_la_Garde|3e régiment de Grenadiers à Pieds]] de la Garde Consulaire.<br>
=== Intervention de la Garde Volontaire ===
Arrivée Le 45 Radévard, après le long voyage depuis Fort Herobrine, le général Dumesnil et sa délégation parviennent à Belvy. Arrivant sur les abords de Grancité, ils se trouvent alors sur les arrières de l'immense armée des Apesbourgs, réunie autour de la ville pour en faire le siège. Face aux 120 gardes formant la délégation et son escorte, une marée humaine de près de 100 000 hommes s'étend alors dans une succession de bivouacs, camps fortifiés, batteries de siège et tours de siège de diverses tailles. <br>Rapidement et pour d'évidentes raisons, il apparait que l'unique route menant aux portes de la ville est occupée par de nombreux soldats Apesbouregois et est tapissée de barrages divers. En outre, la présence de la délégation de la garde ayant été rapportée dès son entrée sur le territoire occupé, elle est d'ores et déjà suivie par un contingent de cavaliers Apesbourgeois qui, bien que restant passifs, semblent particulièrement désapprouver la présence de la Garde.<br>Malgré leur hostilité, ces derniers sont toutefois contraints de rester en retrait, le Consulat de la Garde étant encore officiellement neutre et ne faisant pas partie des belligérants de la guerre.<br> Arrivant à un premier barrage, le général Dumesnil et ses hommes seront sommés de faire demi-tour par un émissaire des Apesbourgs. Malgré tout, dédaignant de nouer le dialogue avec les envahisseurs de Belvy, le général Dumesnil déclarera simplement:<br>"Je suis ici par la volonté du Consul, comme ambassadeurde la Garde à Belvy. Je n'ai aucune permission à vous demander pour circuler sur les terres de nos amis, et n'ai de temps à perdre avec des maraudeurs comme vous. Si vous souhaitez croiser le fer avec un général de la Garde, je suis votre homme. Sinon, ôtez-vous de mon chemin".<br> Peu désireux de créer un incident diplomatique qui précipiterait l'entrée de la Garde dans le conflit, les officiers Apesbourgs ordonnèrent alors que l'on dégage la route, et laissèrent la voie libre au général Daumesnil: Le 45 RadévardDumesnil et à sa colonne.<br>S'ensuivit alors une scène irréelle où, au milieu de la gigantesque armée Apesbourgeoise amassée de part et d'autre de la route; la colonne de quelques cent gardes marcha au pas, bannière au vent et l'arme au bras.<br>Silencieux, les grenadiers, les officiers et le général Dumesnils arrivèrent finalement devant la grade porte des murailles de Grancité, qui s'ouvrit devant eux.<br> Une foule en liesse, réunie derrière la grande porte, accueillit la colonne sous de vifs hourras.<br> 
Rapport de Daumesnil: Part le 50 Radévard et arrive à FH Le 25 tronvard<br>
Rappel des troupes à fort herobrine: Le 30 Tronvard<br>
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