| nom alias = Maréchal Pencroff<br> Le Maréchal Hussard<br> Le diable bleu
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[[Fichier:Pencroff, an 2759B.png|300px|sans_cadre]]
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[[Garde Volontaire]]<br>
[[Forces armées impériales]]<br>
[[Maison Pencroff de Férincs]]<br>
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|140px|sans_cadre]]
}}
Le '''Maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs''' est un des [[Gouverneurs]] de l'empire Stendenlien. <br>Il est également le patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], une famille de la haute noblesse d'épée stendelienne.<br>Originaire d'une contrée étrangère à l'empire,il s'engagea très jeune et a gravi gravit les échelons des [[Forces armées impériales]], à partir du grade de soldat. Survivant Vétéran de la [[Guerre Civile Stendelienne]] et survivant de bataille de Nyan-Cat , il fut promu officier malgré son rang de roturier et fondateur de créa la[[Garde Volontaire]]au lendemain du cessez-le-feu.<br>Fort de ses succès militaires à la tête de la Garde, il rejoindra; , plus tard, les rangs de la prestigieuse chevalerie Chevalerie de Stendel.Militaire aguerri, d'un caractère studieux et investi dans son rôle de défenseur, il obtiendra le rang de '''Chevalier''' et le grade de Général avec les honneurs.<br>Protecteur loyal des populations impériales; , il retournera sans délai à ses fonctions à la tête de la Garde, où de nouveaux faits d'armes tant dans la garde qu'auprès de la chevalerie lui valurent,plus tard, finalement d'être nommé Gouverneur de l'Empire de [[Empire stendelienStendel]]par l'Empereur en personne.<br>Sa rigueur morale, sa compétence militaire, sa lucidité, son refus de l'intrigue et sa franchise en firent rapidement un modèle pour les générations de soldat rejoignant les armes dans l'ombre de ce patriarche, qui ne se ménagea pas pour améliorer leur condition.<br>
Parmi les [[Gouverneurs]]Siégeant au gouvernement, il fait partie le maréchal Pencroff s'est rapidement emparé des partisans de la '''Justice absolue''' et sujets militaires, s'est attelé attelant à renforcer et améliorer réformer les [[Forces armées impériales]]. Il a également fondé <br>Ayant laissé le commandement de la Garde à son camarade et ami le maréchal [[Ghideon Zorn]], il fondera la [[Guilde des Explorateurs]], afin de permettre à des aventuriers payés par l'empire de vivre de missions d'assistance aux populations comme la chasse aux monstres ou les missions de recherche. Plus tard, il fondera également et la [[Brigade des chasseurs de démons]] pour faire face aux nouvelles menaces qui pesaient sur renforcer la protection de la population civile.<br>Il deviendra également '''Marquis''' du fief de [[Férincs]] qu'il venait de sauver d'une invasion barbare, et donnera son nom au s'attela à ses nouvelles fonctions de seigneur avec le dévouement qui le caractérise. C'est à Férincs, d'ailleurs, que naîtra le [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] qu', son propre régiment dont il fonde et commande en personneprendra la charge vénale de Colonel-major.<br>
Le maréchal Pencroff considère la protection de la population impériale du peuple impérial comme une mission sacréedont il s'acquitte avec déférence. Il ne recule devant aucun effort pour y parvenirD'un caractère simple et modeste, quitte il n'accorde d'importance qu'à faire preuve de cruauté envers ceux qui oseraient menacer la sûreté de l'empire et se tient souvent en marge des mondanités et des fastes de la cour, leur préférant la populationrusticité franche du monde militaire.<br>Son absence de pitié au combat Dédaignant tout intérêt personnel, n'entretenant qu'une modeste fortune et ne puisant sa gloire que dans la violence tourmente des combats; il a pour réputation de ses offensives lui valurent le surnom ne jamais se parjurer ou démériter de sa parole, n'hésitant jamais à mettre sa vie en jeu pour se maintenir à la hauteur de "diable bleu"son serment. <br>
= Biographie =
En temps de paix, le maréchal s'affaire à réformer les [[Forces armées impériales]], afin de les adapter aux nouvelles formes de conflit.<br>
Il se retire également le plus clair de son temps dans son fief de [[Férincs]] dont il est '''Marquis'''.<br>
Patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], le maréchal Pencroff est le père, entre autres enfants, du Chevalier d'empire et Commandant de Hussards de la Garde Volontaire [[Emile-Bonaventure Pencroff]] et du Chevalier et Capitaine [[Antoine-Bonaventure Pencroff]], servant dans le [[Régiment de Férincs Cavalerie]].<br>
====Jeunesse====
====Dans la Chevalerie====
Après plus d'un an de candidatureLe 21 Pampélune 181, le Colonel Pencroff fut chevalierisé par l'Empereur Dokmixer en compagnie de [[Shrui]], son camarade de promotion. En parallèle de ce nouveau rang, il prit le grade et l'appellation de Général de la Garde Volontaire, dont il conservait encore le commandement représentatif mais où, déjà, il n'occupait plus que des fonctions de contrôleur Général; ses devoirs de chevalier devant le tenir souvent éloigné de sa garnison.<br>
Il passa alors plusieurs mois à parcourir les routes et les chemins de Stendel, allant de ville en ville pour y passer en revue les troupes et y réprimer le banditisme; tout en se tenant à disposition des populations civiles lorsque celles-ci avaient besoin d'assistance.
Malgré ses longues patrouilles en solitaire et le temps qu'il devait passer en garnison à la chevalerie de Stendel, le général Pencroff continua de visiter le Fort Herobrine aussi souvent que possible, pour y rencontrer ses troupes. Le commandement effectif était alors assumé par le Colonel [[Ghideon Zorn]] et les officiers [[Thalkion]] et [[Wariow]]. La Garde Volontaire poursuivait ses missions dans les [[Terres du sud]] et tendait à étendre son influence petit à petit vers de nouveaux territoires: les [[Terres sans drapeau]], qui regroupent toutes les zones neutres de l'empire qui ne sont revendiquées par aucune communauté ou aucun peuple.<br>
====Gouverneur de l'Empire====
[[Fichier:Pencroff12.png|400px|vignette|Le maréchal Pencroff traversant un champ lors de bataille couvert des corps décharnés des ennemis la [[Campagne de l'empireTolwhig]] en 210]]Après Le 54 Tronvard 192,après ses nombreuses années de service sous les drapeaux de l'empire, en qualité de Garde Volontaire puis de Chevalier; le général Pencroff fut nommé Gouverneur par le gouvernement impérial et adopta le grade et l'appellation de '''Maréchal d'empire'''. Gouverneur militaire, il entretient un lien étroit avec les [[Forces armées impériales]], autour desquelles il concentre son activité. il n'est pas rare par exemple de le voir commander directement des troupes sur les théâtres d'opération, ou de le voir passer en revue diverses unités. Il dispose de son propre état-major et de sa propre '''Division''' qui forme sa garde rapprochée; et conserve de solides attaches après de la chevalerie et de la [[Garde Volontaire]], ses armes d'origine.<br>
En parallèle de ses activités auprès des armées impériales, il est également le fondateur de la [[Guilde des Explorateurs]] qui permet aux aventuriers de tous rangs et de tous niveaux de se rassembler dans un cadre officiel pour participer à diverses missions d'intérêt général.<br>
Outre cette mission, il officie également à l'autorité impériale de l'état-civil qui traite les candidatures des villageois et des citoyens.<br>
[[Fichier:Consul5.png|400px|vignette|Le Premier consul Ghideon Zorn et le maréchal Pencroff passant les troupes en revue]]
En l'an de grâce 278, suite aux "évènements de 274", le Gouverneur Pencroff est nommé '''Marquis de [[Férincs]]''' par lettre patente. Outre ses fonctions au gouvernement impérial et dans la Garde Volontaire, il accepte donc la gestion de ce fief à titre seigneurial.<br>
Il est à cette occasion élevé de son rang nobiliaire de Chevalier à celui de Marquis et adopte la particule "de férincs" qu'il ajoute à son patronyme, devenant "Le maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs"et fondant la [[Maison Pencroff de Férincs]].<br>
Dès sa nomination, il fait construire dans son nouveau fief un manoir qu'il nomme "La commanderie" et qui sera achevé en 279. Dès la fin des travaux, il en fait sa résidence principale et y prend ses quartiers avec une partie de son état-major.<br>
Il nomme également la générale [[Wendy Marvel]] comme seconde dans la gestion du fief.<br>
En Iffélia de l'an 305, la mission se poursuit sans encombre après avoir achevé sa phase préparatoire. Désormais déployées, les forces de la division établissent des rapports journaliers relatant leurs observations sur un large rayon autour de leurs bases.<br>
En Cidélia de l'an 306, le maréchal Pencroff prend le commandement de l''''armée du Nord''' composée des 1er, 3e et 4e et 5e corps d'armée, de la division de jeune garde et d'une division temporaire de cavalerie pour prendre part à la [[Guerre de succession d'Atalante]] dans le camp de la princesse Anne d'Atalante. La Garde Volontaire aide alors la princesse, écartée du pouvoir par la faction de son frère cadet, à reprendre son trône.<br>
En Iffélia de l'an 307, après des décennies de recherches, la gendarmerie de la Garde retrouve la trace du démon '''Moloch''', dont l'invocation avait été à l'origine de la [[Prohibition de la magie noire]]. Le maréchal Pencroff prend alors personnellement le commandement d'une '''Demi-brigade de conjuration''' composée de chasseurs de démons et de gendarmes de la moyenne garde ainsi que de voltigeurs de la jeune garde.<br>
En 309, la Garde Volontaire apprend que plusieurs nations du continent d'Oldmont s'allient en vue d'une prochaine guerre; probablement dirigée contre le consulat de la Garde. Le maréchal Pencroff assiste alors le 1er Consul Zorn dans l'élaboration de plus visant à prendre l'ennemi de court et de porter le conflit sur son propre territoire avant qu'il ne puisse poser le pied sur la terre sainte de Stendel.<br>
A cette occasion, le maréchal Pencroff, qui a récemment réformé les Demi-brigades d'exploration, suggère d'utiliser ces dernières en forces de reconnaissance et de guérilla et de les projeter sans attendre le déclenchement des conflits. Ces unités devront alors utiliser le peu de temps restant avant l'initiative ennemie pour reconnaitre son territoire, ses positions, et en faire des cartographies et des états des lieux précis.<br>
Cette stratégie de déploiement de forces de renseignements nombreuses en amont du conflit porte ses fruits et permet à l'état-major de la garde d'obtenir rapidement des informations sur les bases adverses, les concentrations de ses troupes et ses lignes logistiques; alors même que les coalisés se pensent encore avantagés par la surprise.<br>
==== Les guerres de coalitions ====
[[Fichier:102.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff, marquis de Férincs, profitant des jardins de son chateau durant l'été 321.]]
Aux premiers jours de l'an de grâce 310, la [[Guerre de la Seconde Coalition]] éclate finalement.<br>
Grâce à ses renseignements et sa préparation, la garde parvient alors à prendre l'ennemi de vitesse, et utilise ses demi-brigades d'exploration précédemment déployées comme forces de guérilla pour conduire une série d'attaques sur les bases logistiques ennemies et ralentir son élan. Les coalisés ayant perdu leur momentum, la garde volontaire débarque alors sur le continent d'Oldmont toute entière. Le maréchal Pencroff, colonel-général de la cavalerie, prend alors le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]] et se projette aux devants de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]].
Les rapides mouvements des corps forcent l'ennemi au repli pour éviter son débordement complet. Si cette première retraite générale lui permet un temps de distancer les corps d'infanterie, le corps du maréchal Pencroff parvient toutefois à un coup de force grâce à un habile mouvement de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e Division de Cavalerie]] et de ses quatre régiments de dragons.<br>
Dépassant l'ennemi, il gravite alors sur ses arrières et le harcèle avec les deux régiments de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#3e_Division_de_cavalerie|1ère brigade de hussards]].<br>
Les mouvements incessants de la cavalerie du maréchal Pencroff joueront un rôle décisif tout au long de la '''Campagne du Nord''' aux côtés de la '''1ère Armée''' dirigée par le 1er consul et maréchal [[Ghideon Zorn]].<br>
En 314, le maréchal Pencroff participe à la [[Guerre de la Troisième Coalition]], au cours de laquelle il conserve le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]]. <br>
Il suit de près, dans cette campagne, le corps de la Garde Consulaire commandé par le consul Zorn en personne.<br>
Le maréchal et son corps d'armée s'illustrent alors dans plusieurs affrontements homériques comme la '''Bataille d'heisenburg''', la '''Bataille de Closwitz''' et la '''Bataille de sainte-helme'''.<br>
De cette dernière bataille, le philosophe Arnst Leigbeit écrira comme témoignage:<br>
"Alors que les lignes de milliers de soldats se faisaient face, immobiles, dans la tourment de la mousquetade; un torrent d'hommes à cheval sembla jaillir comme la lave d'un volcan, écrasant et calcinant sur sa route la malheureuse résistance qui lui était faite. Quel spectacle terrible, quelle fantastique vision, et quel horrible souvenir que cette charge de cavaliers qui, en masse compacte, percuta la ligne coalisée comme un météore eut percuté une planète. Un millier d'hommes périrent en quelques minutes sous les sabots et les sabres, mais si horrible fut-ce; que c'était beau."<br>
Après plusieurs mois de vifs et meurtriers combats, l'empire de Hohen et l'empire de Kislev sont vaincus avec perte et fracas. La Garde Volontaire, ne souhaitant pas faire peser sur leur population le prix de l'imbécilité de leurs seigneurs, commet l'erreur de se montrer clémente.<br>
Cette largesse, qui fait le bonheur des conspirateurs coalisés, fait en réalité partie d'un plan du Consul Zorn pour inciter la coalition à se reformer trop vite et sans préparation, que lui porter plus tard un coup de grâce plus sûr et rapide.<br>
En 316, les empires de Hohen, de Kislev et d'Oster s'allient une dernière fois malgré les concessions que la garde avait eu la mansuétude de prendre à leur égard. Levant plusieurs gigantesques armées grâce à la mobilisation obligatoire de leur population, la coalition des trois empires tente de prendre la garde de vitesse lors de la [[Guerre de la Quatrième Coalition]], et parvient à reprendre une partie des territoires précédemment "neutralisés" par le consul Zorn.<br>
Mais ces succès contre les milices locales sont de courte durée: le 1er consul Zorn, qui attendait cette dernière alliance de leur part, met à exécution le dernier volet de son plan pour dissoudre et anéantir les empires coalisés.<br>
Le maréchal Pencroff se voit alors confier le commandement de '''L'armée des montagnes''', forte des 3e et 6e corps d'armée ainsi que de sa fidèle [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e Division de Cavalerie]], la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#1e_Division_de_cavalerie|1e Division de Cavalerie]] ayant été adjointe à la '''Garde Consulaire''' en réserve générale de l'armée.<br>
Franchissant, à la fin de l'hiver, une région de haute-montagne réputée infranchissable; le maréchal Pencroff et ses troupes parviennent à prendre la coalition à revers dans ce qui deviendra la "Campagne des pics".<br>
Quelques victoires plus tard, la Garde Volontaire sort une nouvelle fois victorieuse, et les empires coalisés sont cette fois soumis par la force.<br>
En l'an de grâce 320, la garde volontaire s'engage dans la [[Guerre des rancunes]], considérée comme la '''Guerre de la Cinquième Coalition''' malgré le fait que les belligérants ne soient plus que des versions diminuées de leurs entités précédentes.<br>
En 321, le marquisat de [[Férincs]], dont le maréchal Pencroff est seigneur, voit ses frontières considérablement étendues. Le fief du maréchal comprend maintenant non moins de trois bourgs; et un nouveau château est construit pour accueillir la maison Pencroff De Férincs.
En Tronvard de l'an 322, suite à "l'affaire de Malpasset" le maréchal Pencroff ordonne et commande l'[[Opération Vendémiaire]]; une vaste opération de traque et de répression visant à abolir les agissements odieux du Comte de Malpasset sur le fief éponyme.<br>
Le maréchal mobilisa pour cette opération le [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] et la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e division de cavalerie]] avec ses quatre régiments de dragons; alignant ainsi quelques 4000 cavaliers en armes.<br>
En Fifrelune 325, le maréchal transforme le '''Régiment de la Maréchaussée de Férincs''' en un régiment de cavalerie à part entière, qui prend alors le nom de [[Régiment de Férincs Cavalerie]]. Il annonce, dès la réforme de l'unité, sa volonté de transformer la régiment en une unité de campagne à part entière; et de confier le commandement de l'unité à son fils [[Antoine-Bonaventure Pencroff]] dès lors que celui-ci serait prêt.<br>
En 326, le maréchal participe à la [[Guerre de restauration de Belvy]] aux commandes du Corps de Cavalerie de la [[Garde Volontaire]].<br>
En 331, le maréchal Pencroff prend le commandement d'une armée de deux corps, les 2e et 6e corps, placés sous la dénomination de "Force Gascogne". Il conduit alors les troupes au royaume de Gargantua, où une caste de démons tente de s'emparer du trône.<br>
Cet engagement est le premier depuis de longues années où le maréchal Pencroff reprend des fonctions de commandant en chef. C'est également la première fois depuis de longues années qu'il est engagé sans son très fameux et très cher '''Corps de Cavalerie'''.<br>
Après divers combats de moyenne intensité au début du conflit, la simple présence d'une armée de la Garde Volontaire suffit à faire capituler l'adversaire. Magnanime, le maréchal Pencroff accepte le départ des démons sans massacrer ces derniers, à la condition qu'ils n'acceptent de se tenir à une certaine distance de l'empire.<br>
En 335, le maréchal Pencroff réforme le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#1er_r.C3.A9giment_de_cuirassiers-lanciers_de_la_Garde|Régiment des Cuirassiers de la Garde]] et le équipe de '''lances''' pour former le '''Régiment de Cuirassiers-lanciers de la Garde'''. L'ambition du maréchal, dans son rôle de Colonel-Général de la Cavalerie, est de tirer profit de l'excellente tenue en charge des cuirassiers et des avantages cumulés de la cuirasse et de la lance lors des engagements de cavalerie contre une cavalerie adverse ou contre des lignes d'infanterie. Une fois le choc passé, les cuirassiers peuvent abandonner la lance et poursuivre le combat au sabre-latte.<br>
Le maréchal expérimente ces nouvelles méthodes lors des manoeuvres annuelles de 335.<br>
En 337, le maréchal Pencroff participe, avec la totalité de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]], à la [[Grande Guerre Continentale]].<br>
Au cours de cette campagne que d'aucuns décrivent comme un des plus rudes engagements de la [[Garde Volontaire]], le maréchal et la [[Maison Pencroff de Férincs]] jouent un rôle prépondérant dans les combats, mais paient également un lourd tribu. En effet, dans la tourmente et l'indescriptible chaos de la bataille finale, le fils aîné du maréchal, [[Emile-Bonaventure Pencroff]], tombe au combat en sauvant par une charge héroïque l'aile droite de l'armée.<br>
Le maréchal Pencroff, à propos du sacrifice de son propre fils sur l'autel de la protection de l'empire, commentera avec pudeur:<br>
"Il est des enjeux et des valeurs qui dépassent les mortels que nous sommes. Nombre de soldats ont versé leur sang pour protéger ceux qui vivent à l'ombre de notre bouclier. Le sacrifice de mon propre fils, comme celui de chaque soldat tombé à cette bataille, n'a pas été vain et leur héritage vivra tant que les tambours battront aux pieds de nos drapeaux. Je l'ai enterré avec ses hommes, il l'a bien mérité."<br>
==== Le nouveau monde ====
= Rapport aux Forces Armées =
Servir dans l'état-major d'un maréchal d'empire est un honneur, une consécration pour un officier d'état-major. Ce privilège est réservé aux officiers les plus illustres et dignes, aptes au commandement et fins tacticiens.<br>
De fait, par leur position à proximité du maréchal, les officiers qui composent son état-major sont ses plus proches conseillers et collaborateur. Ils complètent la vision de leur chef, aident à la prise de décision et veillent à l'application des ordres.<br>
On trouve, dans ce cercle très restreint, trois types d'officiers:<br>
'''Le major-général''':<br>
C'est le chef de l'état-major. Placé sous les ordres du maréchal, c'est lui qui a la charge de faire la synthèse de tous ses ordres et de les faire exécuter. Le major-général tient donc un rôle central au sommet de l'arborescence militaire et doit être assez proche de son commandant pour saisir rapidement ses intentions profondes et les traduire en ordres clairs pour le reste des forces. Cette fonction est réservée aux tacticiens et logisticiens les plus aguerris, et qui ont la confiance du maréchal. En temps de paix comme en temps de guerre, le major-général suit le maréchal partout où il va, à l'exception des combats.<br>
Ce rang est communément attribué à un général de Division. Le maréchal Pencroff y préfère un officier de cavalerie.<br>
'''Les aides de camp et aides de camp généraux''':<br>
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-voix et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit exécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>
Ce rang est généralement dévolu à des généraux de brigades (aides-de-camp généraux) ou à des colonels. Dans tous les cas, il s'agit d'officiers aguerris ayant de nombreuses campagnes à leur actif.<br>
'''Les officiers d'ordonnance''':<br>
Les officiers d'ordonnance sont les véritables couteaux-suisses de l'état-major. Messagers, officiers de renseignement, secrétaires, intendants; ils ont la charge de noter et de véhiculer toutes les instructions émises par l'état-major du maréchal, via le maréchal lui-même ou son major-général.<br>
Ces fonctions sont généralement attribuées à de jeunes officiers s'étant illustrés par leur vigueur et leur hardiesse au combat. En somme, souvent des capitaines ou des lieutenants.<br>
Par ordre hiérarchique, voici la composition de cet état-major:<br>
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| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Gabriel FeraudJean-roc Coignet
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel FeraudLt-Col Lepic.png|200px]]
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| activité = Premier aide-de-camp | sexe = Homme | espèce = Humain | affiliation = [[Garde Volontaire]] | arme = Cavalerie | ennemi = }}| width="16%"| {{Infobox Personnage | nom = Lt-Col. Jean-roc Coignet | nom alias = | image = [[Fichier:Lt-Col Lepic.png|200px]] | taille image = | légende = | naissance = | origine = | décès = | cheveux = | yeux = | caractéristique = Lieutenant-Colonel | activité = Second aide-de-campGrand écuyer
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Infanterie
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}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Lt-Col. Maurice Gribauval
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel dHubert.png|200px]]
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| naissance =
| origine =
| décès =
| cheveux =
| yeux =
| caractéristique = Lieutenant-Colonel
| activité = Troisième aide-de-camp
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Artillerie
| ennemi =
}}
Rapidement, sa carrière dans l'infanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, tant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'Auersdatte]], elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de la crête d'Eséparge. Ce dernier, reconnaissant et impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance-tenante et la fait inscrire à l'école de guerre où, dès la fin de la campagne, elle passe son brevet d'état-major.<br>
Promue lieutenant-colonel, elle intègre l'inspection générale de l'armée où elle est chargée des études relatives au développement de l'infanterie de la garde. Promue colonel, elle intègre finalement l'état-major du maréchal comme aide-de-camp, avant d'y être nommée générale de brigade.<br>
- '''Colonel Gabriel Feraud''', premier aide-de-camp du maréchal<br>
Brillant officier de cavalerie légère, le colonel Gabriel Feraud a eu l'honneur de commander l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avant d'intégrer l'état-major de ce dernier. Cavalier hors-pair et fiévreux duelliste, il se joue des combats et considère la guerre comme un jeu.<br>
- '''Lieutenant-Colonel Jean-roc Coignet''', second aide-de-camp du maréchal<br>
Le lieutenant-colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>
Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est succéssivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroique pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major.<br>
- '''LieutenantColonel Jean-Colonel Maurice Gribauvalroc Coignet''', troisième aidegrand écuyer du maréchal<br>Le Colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>Artilleur renommé issu Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de lgrenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'artillerie à cheval la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, et mathématicien le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il est promu Colonel. Toujours dans l'académie militaire état-Major du maréchal pendant les '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le début des sciences années 300, il refuse une promotion comme général de brigade pour rester auprès du Refuge de Panmaréchal, qui le nomme grand-écuyer.<br>
- '''Colonel Diane Kavendix''', chirurgien-major<br>
La commandante Naaza Larray est tout simplement l'assistante et la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La commandante Larray n'avait jamais servi dans les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix ont convaincu ce dernier de la recruter.<br>
- '''5 4 officiers d'ordonnance du maréchal'''<br>Issus de diverses unités montées, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir le maréchal. Ce sont de véritables couteaux suisses, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers. Leur fidélité au maréchal est absolue.<br>Parmi les 5 4 officiers d'ordonnance, on compte:<br>- Capitaine adjudant-major Commandant Riley Ninime<br>- Lieutenant Capitaine Lev Leps<br>- Lieutenant Margot LajoixCapitaine Centenac<br>- Lieutenant Elise Tulard<br>- Lieutenant Hajime TsukushimaCapitaine Brunbrouk<br>
Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]].<br>
[[Guerre de succession d'Atalante]]<br>
[[Guerre de la Seconde Coalition]]<br>
[[Guerre de la Troisième Coalition]]<br>
[[Guerre de la Quatrième Coalition]]<br>
[[Guerre des rancunes]]<br>
[[Opération Vendémiaire]]<br>
[[Guerre de restauration de Belvy]]<br>
= Distinctions et Décorations =
- Sergent (villageois), sous-officier volontaire dans une cohorte impériale (passé)<br>
- Soldat (Paysan), engagé volontaire dans une cohorte impériale (passé)<br>
'''Rang social'''<br>
- 54 Tronvard 192: Gouverneur<br>
- 21 Pampélune 181: Chevalier<br>
= Citations =
"On meurt tous un jour. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante qu'Il faut un coup de mitraillesiècle pour faire une nation, mais une bataille peut suffire à la défaire."<br>
"Messieurs, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous allons avoir l'honneur de charger !"<br>
"Il suffit d'un coup de plume pour faire un duc, mais il faut vingt ans pour faire un général."<br>
"Les nations qui séparent les intellectuels des guerriers sont gouvernées par des lâches et défendues par des idiots."<br>
"Seuls les guerriers peuvent être pacifistes, les autres n'ont juste pas le choix."<br>
"A la guerre, il faut n'être jamais sur de rien, et toujours prêt à tout."<br>
"On ne s'engage pas dans l'armée pour faire dans la dentelle. Notre boulot c'est de détruire des choses et tuer des gens."<br>
"La diplomatie est l'affaire des politiciens. Compromis, concessions, langue de bois... Une fois qu'ils ont échoués, on vient mettre tout le monde d'accord."<br>
= Armoiries =
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|400px|sans_cadre|centré|Armoiries de la famille Maison Pencroffde Férincs]]<br>
'''Les armoiries du maréchal Pencroff sont composés des éléments suivants''':<br>
- L'écu de la famille Pencroff de Férincs, aux couleurs de l'empire, de la [[Garde Volontaire]]et portant la tête de chat de Férincs et les étoiles de maréchal.<br>
- La couronne symbolisant le titre de gouverneur<br>
- Les deux bâtons de maréchal symbolisant le grade militaire<br>