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Campagne des immaculés

18 696 octets ajoutés, 19 août 2022 à 23:40
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[[Fichier:Campagne immacules 1.png|400px|vignette|Incendie du saint-siège provoqué par les troupes de la Garde à la fin de la campagne contre l'église de la veine noire]]
[[Fichier:Campagne immacules 2.png|400px|vignette|Saccage du royaume de Fersen par les troupes de la Garde à la fin de la campagne]]
== Le contexte ==
Dans le courant de la décennie 250 du calendrier érachien naquit un culte particulièrement belliqueux nommé '''église de la veine noire''', dans la région des bas-plateaux. Cette région, située à plusieurs jours de cheval à l'est de Stendel, était connue pour être un point de passage commercial de premier ordre: la région était en effet fort montagneuse et la route qui suivait le fleuve de la veine-noire était une artère marchande fort prisée des caravanes. Malheureusement, l'église qui avait pris le nom de la rivière entreprit de bannir de la région tous ceux qui n'était ni de l'espèce humaine, ni de celle des elfes. De fait, certains commerçants non-humains eurent de plus en plus de mal à traverser la région, et se retrouvaient parfois pris à partie par la branche armée de l'église: les '''paladins immaculés'''. <br>
'''Bataille de Maringo'''<br>
Le '''35 Tercevent 265''', au matin, une patrouille de hussards partie sonder le col de passeroche rapporta l'arrivée imminente de troupes du royaume de Fersen. Posté à quelques kilomètres du col, au village de Maringo ou les maréchaux l'avaient regroupé, le corps se mit immédiatement en alerte.<br>
Vers neuf heures, l'avant-garde du corps des maréchaux s'élança en direction du col, accompagnée de la première division du maréchal Pencroff. A ce moment de la journée, nul ne sait combien d'ennemis sont en approche, aussi le maréchal Pencroff se tient-il prêt à rétrograder en cas de surnombre. Il est près de dix heures lorsque l'avant-garde et la première division arrivent à l'embouchure du col. Malheureusement, le maréchal s’aperçoit alors qu'il a été pris de vitesse parune unité de près de 1000 cavaliers de Fersen, qui défendent la route et les environs directs du col. Arrêtant ses troupes, le maréchal Pencroff prend un instant pour réfléchir à un moyen de les déloger en utilisant ses deux régiments de dragons,mais des bruits de tambours en provenance du défilé rocheux lui indiquent l'arrivée imminente de fantassins ennemis: il semble alors évident qu'il n'aura pas le temps de déployer ses unités et son artillerie pour tenir l'embouchure du col. Qu'à cela ne tienne, sa division n'est pas isolée comme l'avait été celle du maréchal Zorn lors de la bataille de Passeroche quelques jours plus tôt, aussi n'est-il pas capital de tenir coute-que-coute la sortie des montagnes. Le maréchal Pencroff décide donc de se replier sur le village de Maringo dans lequel le maréchal Zorn organise déjà la défense de la zone, et ou des mesures ont déjà été prises pour les artilleurs. Avant de quitter les abords de Passeroche, le maréchal Pencroff ordonne tout de même à deux compagnies du régiment de maréchal-hussards de couvrir sa retraite et de compter les unités ennemies en route.<br>
Rétrogradant donc vers Maringo, qu'il atteint vers onze heures, le maréchal Pencroff est informé par ses cavaliers que les troupes ennemies se sont lancées à sa poursuite, et qu'elles sont fortes d'WIPenviron une légion ennemi. On soupçonne alors que les restes de la légion Bonlieux se soient ralliés à une nouvelle légion, et que les deux colonnes aient fait bloc pour forcer le passage. D'après les premières observations, ce sont près de 8000 hommes qui seraient en marche en direction de maringo.<br> Vers midi, le maréchal Pencroff et le maréchal Zorn achevèrent de réorganiser les défenses du village en prenant en compte les deux divisions, l'avant-garde et l'arrière-garde. Réduit lui-même à près de 8000 combattants du fait des pertes subies dans les batailles précédentes, le corps allait donc affronter une force égale en nombre, mais il disposait pour lui de l'avantage du terrain. Les canons du corps avaient été mis en batterie derrière des redoutes de terre, un hopital de campagne avait été installé dans l'enceinte du village pour traiter au plus vite les blessés et des voies rapides de ravitaillement avaient été préparées de sorte à ce que toutes les unités soient réapprovisionnées le plus rapidement possible dans le feu. Chaque rue du village avait été barricadée, et les soldats attendaient de se battre de pied ferme.<br>LVers treize heures cependant, une nouvelle inquiétante arriva à l'avantétat-garde major des maréchaux. Après que les 8000 hommes des legions de Fersen eurent achevé de se redéployer à la sortie du col, ces derniers furent rejoints par une formation compacte et massive d'environ 2 à 3000 miliciens armés d'arquebuses. Ce renfort, impromptu, laissait entendre que les forces du royaume de Fersen se portaient à près de 11 000 hommes, bien que l'on put douter de la qualité de cette milice.<br> Vers quatorze heures, les troupes du royaume de Fersen arrivèrent en vue du village de maringo. Immédiatement, elles se déployèrent en ordre profond, et entamèrent un contournement du village derrière un repli de terrain qui les mettaient à l'abri des canons postés en direction de la division route du col. Ils purent, ainsi, se rapprocher du village, sur un axe d'attaque qui avait heureusement été prévu par les maréchaux. Puis, prenant possession d'une colline dont le plateau surplombait légèrement le village à une distance de près de quatre-cent-mètres; ils entreprirent de mettre en batterie leur artillerie.<br>Le royaume de Fersen disposait, au cours de cavalerie cette bataille, d'un ensemble de seize canons d'un calibre approchant les 10 livres. Le duc Von Wurmseer, qui commandait la garde volontaire rejoint légion qui avait passé le col, fit alors disposer ses bouches-à-feu en grandes batteries et ordonna le bombardement du village.<br> Ce bombardement, qui visait l'entrée du village, était en réalité du tir de barrage visant à empêcher le corps des maréchauxde se déployer sur ce flanc du village. Le duc Von Wurmseer éspérait ainsi couvrir le mouvement du duc Von Bonlieux, survivant de Passeroche, qui panse l'avait rejoint avec les restes de sa légion. En effet, ce dernier avant massé ses plaiestroupes sur l'aile gauche de la légion Wurmseer et se préparait à prendre d'assaut le village à la tête de près de 6000 hommes issus de sa légion et de la milice. Les légions du En parallèle de ces préparatifs, le duc von bonlieux Wurmsser fit déployer sa propre légion en ligne, et du renforça son aile droite à l'aide de sa cavalerie forte de près de 1000 dragons. Avec cette cavalerie, l'aile droite de l'armée de Fersen était donc l'aile faible, tandis que l'aile gauche tenue par Bonlieux devait être l'aile forte sur laquelle s'appuierait le mouvement.<br>De leur position dans le village, très exposée à l'artillerie, les maréchaux ne pouvaient pas voir les colonnes avec lesquelles le duc von Wurmseer débouchent des montagnes Bonlieux se préparait à donner l'assaut sur le village. Ils pouvaient, en revanche, deviner leur présence par l'appui de la seule cavalerie ennemie sur la droite de ses lignes et le col fait que l'aile gauche ennemie aboutissait sur un défilé en forme de passerochecouloir fondant vers le village.<br>Anticipant l'assaut sur le point précis ou débouchait l'aile gauche ennemie, qui a été dégagé entreles maréchaux ordonnèrent immédiatement aux deux régiments de fusiliers-tempsgrenadiers de s'y rendre pour en verrouiller l'accès à tout pris. Le terrain empêche Puisque ce point de la défense du village était le plus menacé, ils y envoyèrent en réserve les deux régiments d'impérial-grenadiers, les deux meilleurs régiments d'infanterie à leur disposition. Outre les grenadiers d'élite, ils firent démonter les 1500 dragons du corps , qui vinrent se porter en renfort des maréchaux dfusiliers-grenadiers; portant ainsi l'effectif de ce point à 3500 hommes de front et 2000 grenadiers en réserve. Puis, pour faire face à l'utiliser aile droite ennemie qui était son artillerie. Les aile faible et de laquelle on n'attendait que peu de mouvements, les maréchaux déployèrent les deux légions adverses chargent régiments de tirailleurs-grenadiers appuyés par le village régiment de vélites-carabiniers, pour un effectif total de Maringo3000 hommes. De violents combats au <br>Quant à la cavalerie du corps , les 1500 dragons ayant été réquisitionnés pour combattre à pieds, il ne restait plus que 1000 cavaliers lourds des régiments de maréchal-cuirassier et colonel-général-cavalerie ainsi que les 1000 hussards du corps ont lieux tout autour . La cavalerie loure fut stationnée sur l'arrière du dispositif, prête à se porter à l'aide des fusiliers-grenadiers sur le point chaud ou à assister les tirailleurs-grenadiers en cas de mouvement sur l'aile droite ennemie. Les hussards, eux, furent réunis sur l'arrière du village, prêts à tenter une sortie à la première occasion. La division <br>Pour ce combat, qui s'annonçait musclé, le maréchal Zorn décida de commander en personne les unités de fusiliers-grenadiers qui allaient vraisemblablement recevoir le premier coup d'estoc du duc von Bonlieux. Le maréchal Pencroff, de son coté, décida de se tenir près des tirailleurs-grenadiers et de ses hussards, attendant une fenêtre pour envoyer sa cavalerieou pour renforcer ses fantassins.<br>Enfin, rassembléel'artillerie du corps fut retirée des extérieurs directs du village et disposée dans les rues, chargée à mitraille, lance notamment sur les lignes des fusiliers-grenadiers. Quelques batteries furent disposées près des tirailleurs-grenadiers pour appuyer leur défense, et une charge totale batterie d'artillerie à cheval fut gardée en réserve pour tenter, si une opportunité s'ouvrait, de détruire les canons de Fersen.<br> Vers quinze heures, alors que le bombardement ennemi battait son plein, le duc von bonlieux passa à l'assaut sur le flanc droit des légionsvillage. Les ulhans Marchant en tête de sa colonne aux cotés de sa cohorte de pionniers, il se rua sur les murets qui encadraient la bourgade et derrière lesquels se tenaient les dragons soldats des légions ne sont 1er et 2e régiments de fusiliers-grenadiers. Immédiatement après que les troupes ennemies eurent quitté le relief qui les abritaient, les colonnes furent accueillies par une mousquetade nourrie. Par salve, dans un premier temps, les soldats du corps fauchèrent les premiers rangs adverses, qui n'en reculèrent pas suffisants pour arrêter autant. Menées par le duc, les deux régiments pionniers, qui étaient tous de cuirassiers solides combattants aguerris et formés au travail de sape en première ligne, chargèrent avec rage. En quelques minutes, malgré les deux régiments pertes effroyables que subissait leur cohorte, ils se rapprochèrent des murets de pierre. Poussés par les 5 à 6000 hommes qui les suivaient en colonne, ils s'écoulaient comme un torrent vers les défenseurs du village, qui répondirent par le feu-à-volonté. Le champ de bataille se noya rapidement dans un brouillard blanc que vomissait les mousquets, alors que les premiers coups de pioche dans les murs se faisaient entendre. Au milieu de dragons lancés ses hommes, le maréchal Zorn ramassa un mousquet sur euxle corps sans vie d'un fusilier, et se joignit à la ligne. La cavalerie Plusieurs fois, sa garde rapprochée tenta de le faire revenir en arrière, sans succès. Derrière les combats, rangés fébrilement en bataillons, les soldats d'élite des régiments d'Impérial-grenadiers attendaient d'entrer dans la légion fournaise.<br> De son coté, le maréchal Pencroff ne resta pas oisif. Quand le duc von bonlieux Bonlieux débuta son attaque sur le village, il sut que l'aile gauche ennemie était au contact du maréchal Zorn et de ses régiments. Sachant cette aile ennemie fixée, il savait qu'il lui suffisait de pousser sur l'aile droite pour la faire fléchir, puis rompre. Malheureusement, il ne disposait pour cela que de 3000 fantassins et 1000 hussards à opposer aux 4000 fantassins et 1000 cavaliers du duc von Wurmseer. Si il savait que les soldats d'élite du corps des maréchaux pourraient facilement vaincre à 1 contre 2 et qu'il pouvait théoriquement affronter la légion von Wurmseer sont anéantiessans problèmes, il ne pouvait cependant pas raisonnablement dégarnir sa propre aile pour mener un assaut total, sans réserve suffisantes. Il se résolut donc à faire mouvement vers l'aile droite ennemie pour faire feu sur ses lignes sans tenter le contact dans un premier temps, de sorte à prendre l'initiative sur elle et endiguer un éventuel bond en avant de sa part. Cela l'obligeait, en revanche, à utiliser ses trois régiments d'infanterie, mais allait sans doute soulager le maréchal Zorn. La <br>Evidemment, il restait également en réserve les 1000 cuirassiers de la cavalerie lourde; mais les maréchaux avaient convenu de ne les utiliser qu'en dernier recours, au cas ou l'aile du maréchal Zorn ou du maréchal Pencroff serait enfoncée. Il était donc exclu de les employer pour appuyer une manœuvre hors du village, à plus forte raison sur les collines ou l'artillerie de Fersen était encore déployée. Car ce qui genait le plus le maréchal Pencroff, ce n'était pas tant la garde attaque présence de soldats en surnombre, que ses propre hommes dépassaient de loin; mais la présence de canons en grande concentration sur la colline. Attaquer de front pareille batterie serait suicidaire, il fallait tenir depuis les murs du village.<br> Vers seize heures, grâce à la défense acharnée du maréchal Zorn et des fusiliers-grenadiers, l'assaut du duc von Bonlieux semblait patiner. Mais malgré leur tenacité, les flancs troupes des fantassins maréchaux ne purent que constater l'état de destruction avancé des légionsmurets de pierre qui, criblés de balles et de coups de pioche, ne demandaient plus qu'à céder. Le moral restait cependant au beau fixe, encouragé par la présence des maréchaux; et il semblait évident que les troupes de Fersen avaient jusqu'alors subi près du double des pertes du corps. La plaine qui bordait le village était couverte des corps des pionniers et des lansquenets du duc von Bonlieux, et leurs attaques se faisaient de Bonlieux est capturé alors plus en plus lentes; bien que l'on put craindre que la rupture prochaine du mur ne ranime leur rage. Du coté du maréchal Pencroff, la ligne droite ennemie et sa ligne se livraient une guerre d'attrition méthodique. Les soldats des deux camps, à couverts derrière les murs du village et derrière le talus qui le bordait, s'arquebusaient à tout va. Le maréchal lui-même, ayant saisi un mousquet sur un mort, tirait sur tous ceux qui passaient à sa portée, arguant qu'il mène offrirait un sabre d'honneur à tous ceux qui touchaient une tête. Les coups de feu claquaient de part et d'autre, emportant des malheureux dans les deux camps, bien que la légion Wurmseer eut à souffrir des plus nombreuses pertes. En effet, il faut noter que l'aile du maréchal Pencroff était composée de deux régiments de tirailleurs-grenadiers et d'un régiment de vélites-carabiniers; qui avaient tous la réputation de recruter parmi les meilleurs tireurs du corps. Outre ces fins-tireurs, le maréchal était aussi appuyé par 200 mousquetaires qui, ayant démonté, faisaient la démonstration de leurs talents d'adresse.<br> Vers dix-sept heures, les combats s'éternisaient encore lorsque le mur d'enceinte du village qui abritait les troupes du maréchal Zorn céda enfin, dévoilant les lignes de ce dernier et les privant d'un couvert fort salutaire. Voyant que les défenses du village étaient amoindries, le duc von Bonlieux jeta toutes ses forces en avant, au contact des fusiliers-grenadiers. Près de 5000 hommes se ruèrent alors au corps à corps contre les 3000 hommes valides restant pour le défendre. Immédiatement, voyant l'entrée du village prise d'assaut , le maréchal Zorn fit donner les régiments d'infanterieImpérial-grenadiers, qui se joignirent à la bataille l'arme au bras. Une violente confrontation à la baïonnette, à l'épée et à la hache s'engagea alors, tandis que l'aile gauche de fersen et l'aile du maréchal Zorn s'écharpaient de front. La lutte, sur laquelle le maréchal Zorn et ses grenadiers avaient l'avantage, était toutefois extrêmement violente et mobilisa toutes les ressources de l'aile. Voyant le combat s'engager sur sa droite, le maréchal Pencroff ordonna aux cuirassiers de se porter en arrière des lignes du maréchal Zorn, prêts à charger au pas dans les rues du village pour dégager repousser l'ennemi. Sa propre aile, entièrement déployée face à la légion von Wurmseer, ne pouvait apporter d'autre secours, tiraillant elle-même à 3000 contre 5000; et il ne pouvait risquer de contournement avec ses seuls hussards, attendu que les flancs de l'ennemi étaient couverts par près de 1000 cavaliers lourds de Fersen.<br> Sur toute la ligne, la lutte était totale mais le corps des maréchaux, plus aguerri et mieux formé, conservait indéniablement l'avantage. Mais le maréchal Pencroff et le maréchal Zorn comprirent rapidement que cet engagement total de deux légions entières n'était pas un risque inconsidéré, et que les troupes de Fersen avaient encore un atour dans leur manche. La confirmation de leurs craintes arriva vers dix-sept heures trente lorsque, arrivant par la route de Passeroche, une troisième légion est anéantiefut annoncée.<br>Il s'agissait alors de la légion Alvichi, forte de 5000 hommes, et qui avait progressé à cinq heures de marche derrière la légion Wurmseer. Le duc plan de l'armée de Fersen devint clair: la légion Wurmseer prend et les restes de la fuitelégion Bonlieux devaient fixer le corps des maréchaux et l'engager intégralement, le temps qu'une 3e légion ne vienne leur prêter assistance pour porter le coup de grâce. A présent, sa le panache de fumée de la légion se débandealvichi était visible depuis tout le champ de bataille, et il semblait clair qu'il serait au contact du corps des maréchaux avant le crépuscule. Le Engagé sur toute la ligne et déjà dépassé par le nombre, le corps des maréchaux courrait le risque d'être flanqué ou pris à revers, et n'avait plus le luxe de se redéployer. Sa seule réserve était alors composée des 1000 hussards et des 1000 cuirassiers qui pouvaient encore quitter les arrières du maréchal Zorn; mais aucun appui d'infanterie n'était à espérer.<br> Malgré cette terrible annonce d'un renfort ennemi, le moral des soldats du corps ne baissa pas, et l'annonce de cette complication soudaine sembla même pousser les hommes dans leurs derniers retranchements. Du coté des forces de Fersen en revanche, les renforts deux ducs comme leurs hommes poussèrent un profond soupir de soulagement, et se virent déjà vainqueurs, éprouvés mais victorieux. Sur le champ de bataille, le maréchal Zorn continuait de se démener dans la mêlée, entouré à présent de ses grognards dont chacun continuait à se battre avec la force de dix hommes. Le maréchal Pencroff, de son coté, laissa le commandement de son aile à la garde ont tenu générale Marceline, sa major-générale, pour prendre le village commandement de maringola cavalerie.<br>Le général DarkalnePriant pour que le centre tienne, il s'entoura de ses mousquetaires et de ses hussards, et ordonna aux cuirassiers de rester dans le village en ultime réserve. Il se prépara alors, bien que la manœuvre fut d'un effroyable danger, à se jeter avec ses cavaliers sur le flanc de l'aile droite adverse. Il savait que cette aile était couverte par 1000 cavaliers lourds et par une artillerie bien positionnée ainsi que par de nombreux fantassins; mais il gageait qu'une percée sur cette aile, appuyée à propos par les cuirassiers ou par une avance soudaine de son infanterie, pourrait permettre de rompre la ligne de l'armée de Fersen avant que la 3e légion ennemie ne se porte en renfort et n'engage le combat. Les cavaliers se regroupèrent alors en trois lignes, qui a mené devaient se séparer à la sortie du village pour se déployer en ordre relâché et tâcher ainsi d'éviter au mieux les coups de l'artillerie. Une charge en désordre aurait sans doute moins d'impact lors du contact avec les cavaliers et les fantassins ennemis, mais le maréchal comptait sur l'inégalable bravoure de ses soldats pour emporter la décision ou périr couverts de gloire.<br> Mais alors que, vers dix-huit heures, le maréchal Pencroff s'apprêtait à charger de front et le maréchal Zorn se démenait pour tenir l'entrée du village; une nouvelle leur arriva et changea diamétralement le rapport de force des combats. Sur l'arrière du village, dissimulés jusqu'alors par le relief accidenté de la région, la division de cavalerie salvatricedu général Darkalne se présenta dans la plaine. Arrivant par le sud-ouest, c'est nommé colonel-à dire par l'arrière droite des maréchaux, le général des et ses 2000 cuirassiers et dragonsdévalaient la pente d'une colline au trot, sonnant au clairon l'appel aux armes.<br>(présents: PencroffImmédiatement, ghideonsoulagé par ce soudain renfort et reconnaissant avec émotion les étendards de la garde volontaire, le maréchal Pencroff fit envoyer un officier d'ordonnance pour instruire le général Darkalne)de ses ordres:<br>NDLR: "Vous aurez à coeur, mon général, de porter vos cavaliers sur notre flanc gauche, à l'est; pour y faire face à la cavalerie de la légion qui nous y incommode. Vous poursuivrez ensuite l'assaut sur toute leur aile, que je vous serais gré de bonlieux HSbriser. J'aurais l'honneur d'appuyer votre mouvement, mais puisque vous arrivez je vous laisse l'honneur de la charge; avec mes salutations."<br> Quelques minutes plus tard, la division Darkalne se porta à l'arrière-gauche du village, qu'elle dépassa par l'Est. Elle fut rejointe par le maréchal, qui la laissa passer pour conduire ses hussards plein Est et contourner au large, lui est captuédans l'espoir de prendre le centre ennemi par ses arrières.<br>
- Cohorte de jagers du vicomte Von Nassau<br>
- Cavalcade des dragons du comte Von Lieberman<br>
 
[[Catégorie:Garde Volontaire]]
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