= Biographie =
=== '''Jeunesse ==='''<br>
Né en l'an de grâce 46 de notre ère dans une modeste famille de marins résident dans une contrée lointaine de l'empire, Bonaventure Pencroff a passé sa jeunesse
au bord de la mer et semblait voué à devenir pêcheur.<br>
Son destin changea radicalement quand, pris dans une tempête, son bâtiment dût faire escale en capitale de Stendel pour y réparer des avaries. Profitant des quelques jours de permission qu'il avait devant lui, le jeune Pencroff découvrit cette terre pleine de promesses qu'est celle de l'Empire Stendelien. <br>
Au moment ou son navire devait reprendre la mer, le jeune Pencroff résigna son contrat et se lança donc dans cette nouvelle aventure.<br>
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Au cours des premiers mois de sa vie Stendelienne, il devint bûcheron et fut employé dans différentes exploitations autour de la capitale. Il s'installa dans la banlieue sud de Stendel où il se lança dans la construction d'une modeste chaumière. En dehors de ses heures de travail, il prit l'habitude de se rendre en capitale pour y assister aux moult activités qui animaient la vie stendelienne de l'époque, et visiter les diverses tavernes dans lesquelles la population se ruait à toutes heures. Au fil du temps, semaines après semaines, il se constitua de modestes économies et commença à songer à se mettre à son compte en temps que bûcheron. Villageois, il envisageait également de candidater au rang de citoyen.<br>
La guerre civile allait malheureusement contrecarrer ses plans.
<br>=== '''La Guerre Civile ==='''<br>
Lorsque la guerre civile éclata entre l'Empire de Stendel et le Nivem, le jeune Pencroff prit tout de suite le parti de sa patrie d'adoption. Quand l'appel aux armes fut diffusé dans la population, il quitta sa chaumière, abandonna son métier de bûcheron et se présenta sous les drapeaux. Après quelques semaines de formation, il fut incorporé avec le grade de soldat dans les [[Forces armées impériales]], dans la garnison du fort nyan-cat.<br>
Quand les armées du Nivem vinrent assiéger la forteresse, il organisa, avec ses compagnons d'armes, la défense active des murailles. Le jour de la bataille, alors que les hordes de soldats Nivemis se jetèrent aux pieds du fort, il combattit plusieurs des vagues d'assaut avant d'être grièvement blessé. Lorsque les combats cessèrent, on le retrouva inanimé sous une pile de cadavres et on l'évacua vers la capitale avec les rares survivants.<br>
Il passa plusieurs jours à récupérer de ses blessures, et notamment d'un traumatisme crânien qui, dira-t-on plus tard, sera à l'origine de sauts d'humeur meurtriers. Loin d'être refroidi par l'expérience terrible des combats et la mort de ses compagnons et n'ayant pas de famille chez qui rentrer; il décida alors de se vouer corps et âmes à la protection de l'empire qui l'avait adopté. Alors que la guerre battait son plein, il suivit une formation d'officier en capitale; le recrutement des cadres ayant été élargi pour combler les trous laissés par les batailles dans les effectifs. Une fois sa formation accomplie, il faut nommé Lieutenant, au moment ou les combats devaient cesser. <br>
La menace étant toujours présente, et les régions désertes au sud de la capitale représentant une faille dans le système défensif impérial, on lui proposa un poste.
<br>=== '''Le 22e de Cavalerie ==='''<br>
Sa nouvelle affectation devait le conduire dans ce qui, plus tard, deviendrait le fief de la [[Garde Volontaire]]: Herobrine Valley. Il commandait alors une troupe de cavalerie en qualité de capitaine, et avait été chargé par l'état-major impérial d'établir une base avancée dans ce désert inhospitalier. Alors, à bras d'hommes et à force de sueur et de sang, on construisit la première version de Fort Herobrine, qui n'était alors qu'un petit ensemble de baraquements entourés d'une muraille de bois et de grès. Les jours passèrent, puis les semaines, puis les mois. La modeste garnison ne fut pas relevée et resta à son poste, guettant l'arrivée d'ennemis qui devaient ne jamais venir. Au bout de quelques mois, la nouvelle arriva aux oreilles des soldats du 22e de cavalerie: La guerre civile était terminée, les soldats du 22e avaient gagné sans combattre.<br>
S'ensuivit alors une longue période de paix pendant laquelle l'utilité de la garnison de Fort Herobrine perdit grandement de sa substance et durant laquelle les troupes allouées à la protection furent diminuées pour ne conserver qu'un service minimum.
<br>=== '''La Garde Volontaire ===[[Fichier:Drapeau garde volontaire.png|200px|vignette|étendard de la Garde Volontaire]]'''<br>Plusieurs années après la fondation de Fort Herobrine, la composition du 22e de cavalerie commença à montrer des signes de faiblesse. Dans un élan de modernisation, l'unité fut dissoute et on chargea le Capitaine Pencroff de reformer une nouvelle unité plus polyvalente et qui devait être en mesure d'effectuer de nouvelles missions plus variées et impliquant diverses composantes en plus de la cavalerie. La Garde Volontaire naquit ainsi, réunissant pour la première fois sous une même bannière des cavaliers, des fantassins et des artilleurs. Le régiment, fraichement créé, entreprit alors la rénovation de sa forteresse et de ses différentes infrastructures. Petit à petit, les rangs s'étoffèrent de nouveaux officiers et le capitaine Pencroff fut promu commandant<br>[[Fichier:Drapeau garde volontaire.png|200px|vignette|étendard de la Garde Volontaire]]
De nouvelles menaces vinrent alors planer sur l'empire, comme la magie noire ou la banditisme qui sévissait plus que jamais depuis la fin de la guerre et le rappel des troupes. Les soldats de Fort Herobrine, en plus de leur mission de défense et de contrôle de la zone Sud de Stendel, se virent alors dans l'obligation de patrouiller toujours plus loins de leurs murailles, sur les routes et les sentiers, pour assurer la protection des populations civiles innocentes. On recruta plus de soldats, qui s'engageaient dans cette jeune arme pour grossir les rangs des premiers défenseurs de leurs familles. Le régiment vit, en quelques mois, ses effectifs doubler; et le nombre de ses missions alla croissant.<br>
Le commandant Pencroff, qui se retrouvait alors aux commandes de cette formidable force; put s'appuyer sur le soutien solide de ses nouveaux adjoints qui allaient devenir, plus tard, l'état-major de la garde Volontaire: [[Ghideon Zorn]], [[Thalkion]], [[Wariow]] ou encore [[Wendy]].<br>
Le temps passa et, afin d'accueillir les nouveaux membres et de s'accorder avec l'accroissement permanent des missions, il fut décidé de rénover à nouveau la forteresse pour procéder à son agrandissement et à une série d'améliorations. Le régiment, qui avait alors pris une dimension considérable, devint alors une brigade. Le commandant pencroff fut promu Colonel maistre-de-camp et poursuivit avec ses officiers la modernisation de son arme et la réorganisation permanente des troupes. Les soldats, qui pour beaucoup avaient servi depuis la création du fort, avaient considérablement gagné en expérience et représentaient alors une force formidable au service de la population impériale. Les gardes s'illustraient par leurs grandes qualités militaires et leur fort attachement à l'empire en avait fait un fidèle et précieux allié pour ce dernier et pour son peuple.<br>
Après plusieurs années de service au sein de cette force de volontaires fidèles à l'empire, et après s'être assuré que la continuité du commandement de la garde serait assurée par son officier en second [[Ghideon Zorn]]; le colonel Pencroff décida de se lancer dans l'aventure chevalière. Il déposa alors sa candidature en capitale de Stendel.
<br>=== '''Dans la Chevalerie ==='''<br>
Après plus d'un an de candidature, le Colonel Pencroff fut chevalierisé par l'Empereur Dokmixer en compagnie de [[Shrui]], son camarade de promotion. En parallèle de ce nouveau rang, il prit le grade et l'appellation de Général de la Garde Volontaire, dont il conservait encore le commandement représentatif mais où, déjà, il n'occupait plus que des fonctions de contrôleur Général; ses devoirs de chevalier devant le tenir souvent éloigné de sa garnison.<br>
Il passa alors plusieurs mois à parcourir les routes et les chemins de Stendel, allant de ville en ville pour y passer en revue les troupes et y réprimer le banditisme; tout en se tenant à disposition des populations civiles lorsque celles-ci avaient besoin d'assistance.
Après plusieurs mois de service dans la chevalerie, le général Pencroff reçut du gouvernement l'autorisation d'en moderniser le casernement en capitale. Il est à l'origine de la tour-bibliothèque et de la salle de permanence dans laquelle les chevaliers d'aujourd'hui passent le temps durant leurs tours de garnison.<br>
Quelques mois plus tard, il devait être appelé à de nouvelles fonctions mais conserva toujours un lien étroit avec la chevalerie. Aujourd'hui encore, en qualité de Maréchal, il est à l'origine de la création de l'escouade des sentinelles: un groupe de chevaliers qu'il commande personnellement.
<br>=== '''Gouverneur de l'Empire ==='''<br>
Après ses nombreuses années de service sous les drapeaux de l'empire, en qualité de Garde Volontaire puis de Chevalier; le général Pencroff fut nomma Gouverneur par le gouvernement impérial et prit le grade et l'appellation de '''Maréchal d'empire'''.<br>
Gouverneur militaire, il entretient un lien étroit avec les [[Forces armées impériales]], autour desquelles il concentre son activité. il n'est pas rare par exemple de le voir commander directement des troupes sur les théâtres d'opération, ou de le voir passer en revue diverses unités. Il dispose de son propre état-major et de sa propre brigade de cavalerie lourde qui forme sa garde rapprochée; et conserve de solides attaches après de la chevalerie et de la [[Garde Volontaire]] (dont il porte encore l'uniforme).<br>