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Modifications

Pencroff

28 878 octets ajoutés, 1 mars
| nom alias = Maréchal Pencroff<br> Le Maréchal Hussard<br> Le diable bleu
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[[Fichier:Pencroff, an 2759B.png|300px|sans_cadre]]
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[[Garde Volontaire]]<br>
[[Forces armées impériales]]<br>
[[Maison Pencroff de Férincs]]<br>
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|140px|sans_cadre]]
}}
Le '''Maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs''' est un des [[Gouverneurs]] de l'empire Stendenlien. <br>Il est également le patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], une famille de la haute noblesse d'épée stendelienne.<br>Originaire d'une contrée étrangère à l'empire,il s'engagea très jeune et a gravi gravit les échelons des [[Forces armées impériales]], à partir du grade de soldat. Survivant Vétéran de la [[Guerre Civile Stendelienne]] et survivant de bataille de Nyan-Cat , il fut promu officier malgré son rang de roturier et fondateur de créa la[[Garde Volontaire]]au lendemain du cessez-le-feu.<br>Fort de ses succès militaires à la tête de la Garde, il rejoindra; , plus tard, les rangs de la prestigieuse chevalerie Chevalerie de Stendel.Militaire aguerri, d'un caractère studieux et investi dans son rôle de défenseur, il obtiendra le rang de '''Chevalier''' et le grade de Général avec les honneurs.<br>Protecteur loyal des populations impériales; , il retournera sans délai à ses fonctions à la tête de la Garde, où de nouveaux faits d'armes tant dans la garde qu'auprès de la chevalerie lui valurent,plus tard, finalement d'être nommé Gouverneur de l'Empire de [[Empire stendelienStendel]]par l'Empereur en personne.<br>Sa rigueur morale, sa compétence militaire, sa lucidité, son refus de l'intrigue et sa franchise en firent rapidement un modèle pour les générations de soldat rejoignant les armes dans l'ombre de ce patriarche, qui ne se ménagea pas pour améliorer leur condition.<br>
Parmi les [[Gouverneurs]]Siégeant au gouvernement, il fait partie le maréchal Pencroff s'est rapidement emparé des partisans de la '''Justice absolue''' et sujets militaires, s'est attelé attelant à renforcer et améliorer réformer les [[Forces armées impériales]]. Il a également fondé <br>Ayant laissé le commandement de la Garde à son camarade et ami le maréchal [[Ghideon Zorn]], il fondera la [[Guilde des Explorateurs]], afin et la [[Brigade des chasseurs de démons]] pour renforcer la protection de permettre à des aventuriers payés par lla population civile.<br>Il deviendra également '''Marquis'''empire du fief de vivre [[Férincs]] qu'il venait de missions sauver d'assistance aux populations comme la chasse aux monstres ou les missions une invasion barbare, et s'attela à ses nouvelles fonctions de rechercheseigneur avec le dévouement qui le caractérise. Plus tardC'est à Férincs, il fondera également la d'ailleurs, que naîtra le [[Brigade des chasseurs Régiment de démonsPencroff Cavalerie]] pour faire face aux nouvelles menaces qui pesaient sur , son propre régiment dont il prendra la population civilecharge vénale de Colonel-major.<br>
Le maréchal Pencroff considère la protection de la population impériale du peuple impérial comme une mission sacréedont il s'acquitte avec déférence. Il ne recule devant aucun effort pour y parvenirD'un caractère simple et modeste, quitte il n'accorde d'importance qu'à faire preuve de cruauté envers ceux qui oseraient menacer la sûreté de l'empire et se tient souvent en marge des mondanités et des fastes de la cour, leur préférant la populationrusticité franche du monde militaire.<br>Son absence de pitié au combat Dédaignant tout intérêt personnel, n'entretenant qu'une modeste fortune et ne puisant sa gloire que dans la violence tourmente des combats; il a pour réputation de ses offensives lui valurent le surnom ne jamais se parjurer ou démériter de sa parole, n'hésitant jamais à mettre sa vie en jeu pour se maintenir à la hauteur de "diable bleu"son serment. <br>
= Biographie =
[[Fichier:GrandeArmee2.png|400px|vignette|Troupes de la Garde Volontaire, l'arme fondée par le maréchal Pencroff]]
Le Maréchal Pencroff est ce que l'on pourrait appeler un "soldat-né". Engagé sous les drapeaux dès la fin de l'enfance, il aura été de toutes les guerres dans le camp Stendelien depuis la grande '''guerre civile''', combattant sur tous les théâtres et gravissant tous les grades de l'armée impériale à force de passes d'armes.<br>
Ces longues années de combat, qui l'auront mené à croiser le fer des steppes glacées jusqu'aux déserts les plus ardents contre tous les ennemis de l'empire, auront fait de lui un stratège et un tacticien aguerri, rompu à tous les exercices de la guerre, et particulièrement adroit dans son art.<br>
En temps de paix, le maréchal s'affaire à réformer les [[Forces armées impériales]], afin de les adapter aux nouvelles formes de conflit.<br>
Il se retire également le plus clair de son temps dans son fief de [[Férincs]] dont il est '''Marquis'''.<br>
 
Patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], le maréchal Pencroff est le père, entre autres enfants, du Chevalier d'empire et Commandant de Hussards de la Garde Volontaire [[Emile-Bonaventure Pencroff]] et du Chevalier et Capitaine [[Antoine-Bonaventure Pencroff]], servant dans le [[Régiment de Férincs Cavalerie]].<br>
====Jeunesse====
Aîné d'une grande fratrie, il grandit sur le pont du cotre de sa famille, sorte de petit voilier destiné à la pêche en haute mer. Il y fit son baptême de la mer, naviguant avec son père et ses oncles.<br>
Durant l'hiver de l'an 43, la situation économique de sa famille se détériore, et le jeune Bonaventure, alors âgé de 14 ans, doit s'engager dans la marine marchande afin de soutenir financièrement ses proches.<br>
Il entre alors avec le grande grade de Mousse sur le clipper "Muiron", un navire de commerce destiné au transport rapide de ressources vers le continent.<br>
Habile marin, le jeune mousse est rapidement nommé gabier du fait de son agilité. Il passe alors le plus clair de son temps dans le gréement du navire pour y entretenir voiles et cordages, ce dont il s’acquitte efficacement. Nommé matelot dès sa première traversée,<br>
Sans emploi et avec pour toute fortune sa dernière solde, il ne reste cependant pas oisif très longtemps. Terre de richesses et d'opportunités, l'empire de Stendel se trouve être un véritable eden pour le marin, qui trouve rapidement un nouvel emploi dans une scierie de la banlieue sud de la capitale.<br>
Deux années durant, il pratique le métier de bûcheron dans les luxuriantes forêts de chênes, pour un salaire bien supérieur à son ancienne solde. Il s'installe donc dans la banlieue, et s’attelle rapidement à reprendre les envois d'argent à sa famille, restée à Còrsega.<br>
Sachant lire et écrire, il achète également de nombreux ouvrages pour parfaire sa rédaction; et présente sa candidature au entame les démarches pour obtenir le rang social de villageois. Rang qu'il obtient en l'an 48.<br>
Mais au commencement de l'an 48, la reprise de la guerre entre l'empire de Stendel et l'infâme Nivem contrecarre ses plans.
<br>
====La Guerre Civile====
Lorsque les hostilités reprennent entre Stendel et le Nivem, le jeune Bonaventure est âgé de 19 ans. Apprenant par un crieur public que la rébellion a décidé de marcher contre l'empire, il décide de quitter sa vie paisible et de s'enrôler sous les armes de sa nouvelle patrie.<br>Il se porte donc volontaire pour rejoindre l'armée impériale, et est incorporé dans l'infanterie avec le grade de soldat.<br>Rapidement, sachant lire et écrire à la différence de nombre des autres engagés, il est nommé sergent au sein de son régiment. Son expérience de marin joue alors en sa faveur, la discipline et le sens de l'organisation n'ayant plus rien de nouveau pour lui.<br>Jeune, vif et résolu; il est affecté à la garnison du fort de Marie-Nyan cat au début du mois de Lérolia, position dont on sait déjà qu'elle est un objectif privilégié des rebelles.<br> La vie dans la garnison rappelle au jeune sergent son ancienne carrière de marin. Les rondes fonctionnent par quarts, la hiérarchie est semblable à celle de son ancien navire et il s’accommode vite de ses nouvelles fonctions.<br>Accompagnant les officiers, aidant à l'instruction des hommes et assurant diverses tâches administratives; il s'éprend également de littérature militaire technique, et s'intéresse à la tactique et à la stratégie.<br>passionné par cet univers qu'il découvre, il ambitionne de gravir les échelons de l'armée, et prépare secrètement à passer le concours pour devenir officier.<br> Le 42 lérolia de l'an 48, il participe l'armée du Nivem se présente aux abords de la forteresse. Forte d'un net avantage numérique, elle ne s'attarde pas à assiéger la place et prend d'assaut les murailles. Les défenseurs, dépassés, luttent alors pour leur survie.<br>Le sergent Pencroff, en poste sur les murs, repousse plusieurs fois les offensives rebelles. Le chaos se généralise vite, de même que la panique, qui se répand à une vitesse terrible dans la garnison de jeunes soldats que le vétérans ne parviennent plus à assurer.<br>Finalement, dans la tourmente, les défenses de la place cèdent et l'ennemi pénètre dans l'enceinte. Une nouvelle lutte acharnée se livre alors en contrebas des murs, pour tenter de repousser l'adversaire en surnombre.<br>Dans la mêlée, combattant en première ligne, le sergent Pencroff est atteint d'un violent coup qui l'assomme, le commotionnant fortement et laissant sur son visage une terrible estafilade. Il est alors laissé pour mort dans la cour, au milieu des cadavres.<br>L'ennemi, finalement, se rend maître de la forteresse, mais ses réjouissances sont de courtes durées, et les rebelles doivent rapidement quitter les lieux. Les blessés impériaux, finalement secourus, sont évacués.<br> Le sergent Pencroff reste inanimé deux jours durant, avant de reprendre connaissance. Sa commotion est guérie grâce aux soins des mages impériaux, mais le jeune militaire conservera toute sa vie une cicatrice en travers de l’œil droit.<br>Il reste plusieurs jours alité, en proie à la bataille frustration d'avoir laissé le fort être pris par les hordes rebelles, qu'il jure de poursuivre jusqu'en enfer, promesse qui deviendra rapidement une de Marie-Nyan catses raisons d'être.<br>Dans cette optique, et désirant toujours évoluer au sein de l'armée impériale, il se remet à préparer le concours pour obtenir une lieutenance et présente sa candidature.<br>
En l'an 49, de par ses états de service, ses qualités militaires et sa blessure de guerre, le jeune pencroff est finalement autorisé à passer le concours d'officier.<br>Roturier, paysan de rang social, il en sort tout de même premier du classement sur plus de cent candidats, et est admis à l'école militaire dans la spécialité de cavalerie, la plus prestigieuse.<br>En parallèle de sa formation qu'il poursuit sans grandes difficultés, il rédige également une demande officielle pour l'obtention du rang social de villageois, la caste directement supérieure à la sienne.<br>Le 2 Iffélia de l'an 50, il obtient ce rang, et est promu enregistré comme villageois.
<br>
====Le 22e de Cavalerie====
Sa nouvelle affectation devait En Agrevent de l'an 50, la scolarité du jeune Pencroff au sein de l'école militaire s'achève. Il obtient sa lieutenance et sort 4e d'une promotion de cent élèves.<br>La guerre civile se poursuivant, l'armée impériale ne laisse pas aux jeunes officiers le conduire temps de se reposer, et les affecte directement en unité de combat.<br> Mais alors que nombre d'entre eux son affectés dans ce quides régiments réguliers et que les majors de la promotions sont acceptés au sein de régiments prestigieux, plus tard, deviendrait le fief jeune lieutenant Pencroff est écarté par des nobles jaloux de voir un jeune homme de la [[Garde Volontaire]]: Herobrine Valleysa classe sociale mieux classé que leurs enfants. Il commandait alors <br>Au lieu de rejoindre un régiment de cuirassiers ou de chevau-légers, il est soudainement affecté à une troupe unité de reconnaissance de second-plan: le 22e détachement de cavalerie en qualité de .<br>L'unité, fraîchement crée, compte alors un capitaine, deux lieutenants, deux sergents et avait une centaine de cavaliers issus de différents corps-francs. Tous ont été chargé par écartés des armes principales pour leur indiscipline, leur condition sociale ou suite à différentes cabales avec des nobles.<br>La troupe, à l'état-major impérial allure d'unité punitive, n'est alors pas au bout de ses peines: elle est envoyée dans la vallée d'établir une base avancée Herobrine, aux confis des frontières sud de l'empire, dans ce un désert inhospitalierisolé réputé pour être le repère de rebelles et de bandits de grand chemin. Il était accompagné <br> Le lieutenant Pencroff quitte alors la capitale pour une mission de sécurisation de deux autres officiersces terres lointaines, les lieutenants [[Liths]] et [[Isaac Asimov]]à laquelle l'état-major ne daigna pas donner de date de fin.<br>Mais contre toute attente, bien qu'il avait rencontré lors en fut décontenancé aux premiers instants, le jeune officier ne sembla pas s'inquiéter le moins du monde de sa nouvelle affectation. Au contraire.<br>Voyant cette mission comme une aventure, il décide de conjurer le mauvais sort en allant au bout de son instructionengagement et en démontrant sa valeur par le fer. Notons quDès lors, chaque fois que le capitaine l'envoie aux avants-gardes, le lieutenant Pencroff fouille ciel et terre en quête d'ennemis à combattre.<br> En cidélia de l'époquean 52, deux ans après le désert choisi pour abriter cet avant-poste début de la mission, le 22e détachement de cavalerie n'était entouré est toujours pas revenu en capitale.<br>Arrivé dans le désert d'aucun territoire et n'était donc couvert par aucune route. Il fallait s'y rendre herobrine, il sillonne inlassablement les [[Terres du sud]] à pieds la recherche de rebelles, de brigands ou de monstres à cheval occire; et les convois il y a alors fort à faire.<br>De nombreux combats de matériaux rencontres et de ravitaillement se faisaient de jour. Alorsnombreuses escarmouches ponctuent les patrouilles, à bras det le détachement s'hommes et aguerrit à force un rythme effrénée. friand de sueur et de sangcombat, le lieutenant Pencroff est devenu un cavalier des plus habile, on construisit la première version de Fort Herobrine, qui n'était alors même qu'un petit ensemble bretteur hors-pair.<br>Mais la situation de baraquements entourés la troupe change le 18 Cidélia lorsqu'au cours d'une muraille escarmouche avec des trafiquants d'esclaves, le capitaine Dhumas, commandant le détachement, est tué par un contrebandier.<br> Officier le plus expérimenté, le lieutenant Pencroff prend alors le commandement de bois l'unité, et envoie à l'état-major la nouvelle de grèsla mort de son chef. Les jours passèrent<br>Alors que la mission s'éternise, puis les semainestous espèrent que cette perte conduirait le commandement à rappeler la troupe, puis les moismais il n'en fut rien. La modeste garnison ne guerre contre le Nivem étant toujours d'actualité, il était hors de question de laisser le sud Stendelien sans surveillance.<br>contre toute attente, le lieutenant Pencroff fut pas relevée et resta à son postedonc promu capitaine, guettant l'arrivée avec la charge d'ennemis assurer le commandement du 22e détachement. Des renforts furent envoyés pour combler les dernières pertes, dont un jeune lieutenant qui devaient ne jamais venirdevait reprendre la fonction de 3e officier du groupe. Au bout <br> Le 10 iffélia de quelques moisl'an 52, la nouvelle arriva aux oreilles des soldats du le 22e détachement de cavalerieest donc commandé par le capitaine Pencroff, épaulé par le lieutenant [[Liths]] et le lieutenant [[Isaac Asimov]].<br>Sa mission, elle, restait inchangée: La guerre civile était terminéepatrouiller encore et toujours dans le sud, et croiser le fer contre tous ceux qui, par la force ou par la ruse, tentaient d’emprunter ces contrées isolées pour nuire à la sûreté impériale.<br>Sans trève, sans repos, sans relève, le 22e détachement allait poursuivre ce seul but pendant quatre années encore, combattant souvent et devant fréquemment regarnir ses rangs pour remplacer les soldats du 22e avaient gagné sans combattrepertes.<br>SFinalement, en Nérévard de l'ensuivit alors an 55, une longue période nouvelle feuille de route parvint au capitaine Pencroff.<br>La menace sur le sud devenant pressante, il était à craindre que les forces du Nivem ne cherchent à faire la jonction entre leurs territoires de paix pendant laquelle l'utilité est et leurs bastions de l'ouest. L'ennemi avançait ses pions et jouait, dans ces dernières années, ses dernières forces.<br>Le sud de Stendel étant dépourvu de toute défense solide, on chargea alors le 22e détachement de cavalerie d'en assurer la garnison sauvegarde, élargissant pour cela ses moyens et ses prérogatives.<br>Le capitaine Pencroff fut donc promu au grade de Fort Herobrine perdit grandement de sa substance commandant, et durant laquelle on doubla les troupes allouées à la protection effectifs du détachement pour en faire un escadron. Des ordres furent diminuées également donnés pour ne conserver qu'un service minimumavant-poste permanent soit établi dans le désert d'herobrine séance-tenante.<br> Le 1er pampélune de l'an 56, le commandant Pencroff ordonna la construction d'un avant poste sur la plus haute dune du désert d'herobrine, dont il prit le nom.<br>Le [[Fort Herobrine]] venait de naître.
<br>
 
====Le Fort Herobrine====
[[Fichier:Random14.png|400px|vignette|Cavaliers du Fort Herobrine après une charge contre des mercenaires rebelles]]
Rapidement, en mimélune de l'an 56, la construction du premier avant-poste de "Fort herobrine" est achevée. Le fort n'est alors qu'un petit ensemble de bâtiments utilitaires entourés d'une haute palissade de bois. Les arbres utilisés pour sa construction sont coupés et importés depuis la forêt qui borde le désert par le nord, dans l'actuel royaume de [[Simurgh]]. Le reste des matériaux, essentiellement du grès, est récolté dans le désert lui-même et grossièrement travaillé de sorte à donner une base solide aux bâtiments.<br>
Le Fort Herobrine est alors le premier casernement fixe du 22e de cavalerie et ses effectifs, anciens comme nouveaux, se voient dotés de quartiers de vie. En outre, des écuries sont construites pour les chevaux, et un poste de commandement permanent est mis en place.<br>
Le 22e détachement de cavalerie étant devenu un escadron, il est alors composé de deux compagnies de cavaliers. La première compagnie est confiée au commandement du capitaine [[Lith]], et la seconde est confiée au capitaine [[Isaac Asimov]]. En outre, le commandant Pencroff se voit doter de son premier aide-de-camp, le jeune lieutenant [[Sissi Giroux]], fraîchement promu depuis le grade de sergent qu'il occupait au sein du détachement.<br>
 
Le 63 Radévard de l'an 62, l'empire de [[Stendel]] signe un traité de paix avec l'infâme alliance du Nivem. Ce dernier, bien que victorieux sur le champ de bataille, est exsangue et ne peut plus mener sa lutte pour l'indépendance. Les rebelles conservent les terres ayant fait sécession, mais ne sont pas en mesure de sécuriser quelque autre territoire et doivent cesser le combat contre l'empire. Officiellement, la guerre laisse alors place à un cessez-le-feu, mais les troupes du 22e escadron de cavalerie restent mobilisées et continuent de veiller sur les [[Terres du sud]].<br>
La nouvelle de la défaite lors de la [[Bataille de Ouate-et-Relou]] atteint cependant profondément le commandant Pencroff, qui considérera longtemps ce traité de paix comme un affront fait aux innombrables soldats impériaux tués au combat.<br>
 
Le 62 Tercevent de l'an 88, avides de sang mais ne pouvant s'attaquer à l'Empire depuis la signature du traité de paix de 62, les cohortes de l'infâme Nivem attaquent les troupes d'Elu'myr lors de la [[Bataille de VertDaim]]. Cantonné dans les terres du sud, le 22e escadron le participe pas aux combats, l'empire n'étant pas directement mêlé au conflit. Le commandant Pencroff et ses hommes ne peuvent alors qu'assister impuissants à la défaite de la pauvre nation d'Elu'myr sous la barbarie rebelle, qui poussera dans ce combat son véritable chant du cygne.<br>
En effet, affaiblie par le traité de paix et des années de guerre, l'alliance du Nivem ne sera plus, dès lors, en mesure de combattre.<br>
Dans la décennie qui suivit son ultime victoire, la rébellion s'éteindra dans le tumulte de luttes intestines, pour donner naissance à plusieurs états partiellement indépendants à la trajectoire incertaine.<br>
 
Au premier jour de l'an 100, la rébellion éteinte et la paix sécurisée sur Stendel, une missive est envoyée au commandant Pencroff.<br>
Après tant d'années de bons et loyaux services, le 22e escadron de cavalerie a perdu sa raison d'être et est réformé. Conformément à l'usage en temps de paix, l'unité est "réduite à sa compagnie maistre-de-camp", c'est à dire réduite à une seule compagnie dormante chargée d'assurer la veille de l'unité. La moitié des effectifs sont alors libérés de leurs obligations militaires ou mutés en capitale, et le commandant Pencroff ne conserve auprès de lui que les capitaines Lith, Isaac Asimov et le lieutenant Sissi.<br>
En récompense de ses années de service, l'unité monte d'un rang dans la préséance hiérarchique des unités militaires, et gagne le droit de porter un nom propre et un titre de spécialité. Le commandant Pencroff décide alors de nommer l'unité "1er escadron de hussards".<br>
L'unité passe alors les deux décénnies suivantes en garnison à Fort Herobrine, investie de la mission de réprimer le banditisme et la contrebande.<br>
 
le 6 Démévent de l'an 119, la nation de [[Simurgh]] est fondée au nord de Fort Herobrine. Pour la première fois, des routes sont tracées en direction des [[Terres du sud]] et la garnison de Fort Herobrine dispose de la possibilité de se ravitailler sans avoir à se rendre en banlieue sud de Stendel.<br>
Une entente cordiale démarre alors avec le chevalier [[Stalroc]], fondateur de cette jeune nation et ancien citoyen de Nevah.<br>
Cette rupture de l'isolation du Fort permet un regain de son activité, et de nouveaux volontaires se présentent à ses portes. En quelques années, la seconde compagnie de l'escadron est recrée, et le 1er escadron de hussards quitte le sommeil.<br>
 
Au commencement de la décennie 130, une troisième compagnie est finalement crée et confiée au capitaine Sissi giroux. Le 1er escadron de hussards devient alors officiellement le 1er régiment de hussards. Bien que le commandant Pencroff ne dispose théoriquement pas du grade requis pour le commandent de cet échelon d'unité, une exception est toutefois faite pour qu'il en conserve la direction, eu égards à ses années de service et à son rôle dans le maintien de l'unité à un haut niveau opérationnel.<br>
Mais alors que le 1er régiment de hussards se forme, le commandant commence à poser les bases d'une nouvelle ère pour son unité: la [[Garde Volontaire]] était sur le point de voir le jour.<br>
====La Garde Volontaire====
[[Fichier:Drapeau garde volontaireRandom2.png|200px400px|vignette|étendard Colonnes infernales de la Garde Volontairecapturant une nouvelle ville à l'ennemi]]Plusieurs années après Au début de la fondation de Fort Herobrinedécennie 130, la composition du 22e de cavalerie commença à montrer des signes de faiblesse. Dans un élan de modernisation, l'unité fut dissoute et on chargea le Capitaine Pencroff de reformer une nouvelle unité plus polyvalente et qui devait être en mesure d'effectuer de nouvelles missions plus variées et impliquant diverses composantes en plus de la cavalerie. La Garde Volontaire naquit ainsi, réunissant pour la première fois sous une même bannière des cavaliers, des fantassins et des artilleurs. Le régiment, fraichement créé, entreprit alors la rénovation de sa forteresse et de ses différentes infrastructures. Petit à petit, les rangs s'étoffèrent de nouveaux officiers et le capitaine Pencroff fut promu commandant<br>
De nouvelles menaces vinrent alors planer sur l'empire, comme la magie noire ou la banditisme qui sévissait plus que jamais depuis la fin de la guerre et le rappel des troupes. Les soldats de Fort Herobrine, en plus de leur mission de défense et de contrôle de la zone Sud de Stendel, se virent alors dans l'obligation de patrouiller toujours plus loins de leurs murailles, sur les routes et les sentiers, pour assurer la protection des populations civiles innocentes. On recruta plus de soldats, qui s'engageaient dans cette jeune arme pour grossir les rangs des premiers défenseurs de leurs familles. Le régiment vit, en quelques mois, ses effectifs doubler; et le nombre de ses missions alla croissant.<br>
Le commandant Pencroff, qui se retrouvait alors aux commandes de cette formidable force; put s'appuyer sur le soutien solide de ses nouveaux adjoints qui allaient devenir, plus tard, l'état-major de la garde Volontaire: [[Ghideon Zorn]], [[Thalkion]], [[Wariow]] ou encore [[Wendy Marvel]].<br>
====Dans la Chevalerie====
Après plus d'un an de candidatureLe 21 Pampélune 181, le Colonel Pencroff fut chevalierisé par l'Empereur Dokmixer en compagnie de [[Shrui]], son camarade de promotion. En parallèle de ce nouveau rang, il prit le grade et l'appellation de Général de la Garde Volontaire, dont il conservait encore le commandement représentatif mais où, déjà, il n'occupait plus que des fonctions de contrôleur Général; ses devoirs de chevalier devant le tenir souvent éloigné de sa garnison.<br>
Il passa alors plusieurs mois à parcourir les routes et les chemins de Stendel, allant de ville en ville pour y passer en revue les troupes et y réprimer le banditisme; tout en se tenant à disposition des populations civiles lorsque celles-ci avaient besoin d'assistance.
Malgré ses longues patrouilles en solitaire et le temps qu'il devait passer en garnison à la chevalerie de Stendel, le général Pencroff continua de visiter le Fort Herobrine aussi souvent que possible, pour y rencontrer ses troupes. Le commandement effectif était alors assumé par le Colonel [[Ghideon Zorn]] et les officiers [[Thalkion]] et [[Wariow]]. La Garde Volontaire poursuivait ses missions dans les [[Terres du sud]] et tendait à étendre son influence petit à petit vers de nouveaux territoires: les [[Terres sans drapeau]], qui regroupent toutes les zones neutres de l'empire qui ne sont revendiquées par aucune communauté ou aucun peuple.<br>
====Gouverneur de l'Empire====
[[Fichier:TableauPenc12.png|500px400px|vignette|droite|Le Maréchal maréchal Pencroff à lors de la bataille du sillon-des-anges, [[Campagne de Tolwhig]] en 251.210]] Après Le 54 Tronvard 192,après ses nombreuses années de service sous les drapeaux de l'empire, en qualité de Garde Volontaire puis de Chevalier; le général Pencroff fut nommé Gouverneur par le gouvernement impérial et adopta le grade et l'appellation de '''Maréchal d'empire'''. Gouverneur militaire, il entretient un lien étroit avec les [[Forces armées impériales]], autour desquelles il concentre son activité. il n'est pas rare par exemple de le voir commander directement des troupes sur les théâtres d'opération, ou de le voir passer en revue diverses unités. Il dispose de son propre état-major et de sa propre '''Division''' qui forme sa garde rapprochée; et conserve de solides attaches après de la chevalerie et de la [[Garde Volontaire]], ses armes d'origine.<br>
En parallèle de ses activités auprès des armées impériales, il est également le fondateur de la [[Guilde des Explorateurs]] qui permet aux aventuriers de tous rangs et de tous niveaux de se rassembler dans un cadre officiel pour participer à diverses missions d'intérêt général.<br>
Outre cette mission, il officie également à l'autorité impériale de l'état-civil qui traite les candidatures des villageois et des citoyens.<br>
==== Marquis de Férincs ====
[[Fichier:Consul5.png|400px|vignette|Le Premier consul Ghideon Zorn et le maréchal Pencroff passant les troupes en revue]]
En l'an de grâce 278, suite aux "évènements de 274", le Gouverneur Pencroff est nommé '''Marquis de [[Férincs]]''' par lettre patente. Outre ses fonctions au gouvernement impérial et dans la Garde Volontaire, il accepte donc la gestion de ce fief à titre seigneurial.<br>
Il est à cette occasion élevé de son rang nobiliaire de Chevalier à celui de Marquis et adopte la particule "de férincs" qu'il ajoute à son patronyme, devenant "Le maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs"et fondant la [[Maison Pencroff de Férincs]].<br>
Dès sa nomination, il fait construire dans son nouveau fief un manoir qu'il nomme "La commanderie" et qui sera achevé en 279. Dès la fin des travaux, il en fait sa résidence principale et y prend ses quartiers avec une partie de son état-major.<br>
Il nomme également la générale [[Wendy Marvel]] comme seconde dans la gestion du fief.<br>
Il fait partie des partisans de la nouvelle doctrine du Premier Consul Zorn dite de "l'offensive préventive" et prépare la garde à ses futures engagements et projections hors des frontières du monde connu.<br>
En radévard de cette même année, suite à des activités suspectes, il prend le commandement temporaire de la "division expéditionnaire" et se rend sur les terres de Mirovitch pour une mission d'observation. Forte de 4 régiments d'infanterie de ligne: les 32, 33, 34 et 35e de ligne, la division cantonne aux abords du bagne en renfort du régiment de dragons qui s'y trouvait déjà.<br>
 
En Démévent de l'an 304, le maréchal met en place l'opération '''Perses''' sur les territoires de New-Stendel. Supervisant ce déploiement d'une division entière depuis le bagne de Mirovitch, le maréchal accroit ainsi les capacités de réponse de la garde dans cette région de même que ses canaux de renseignements. Il crée également pour l'occasion le 9e régiment de dragons, et en confie le commandement au Colonel Du Guesclin. Personnellement investi par cette opération, il se rend fréquemment sur place pour passer les forces en revue et recevoir les rapports du général Kleber.<br>
En Iffélia de l'an 305, la mission se poursuit sans encombre après avoir achevé sa phase préparatoire. Désormais déployées, les forces de la division établissent des rapports journaliers relatant leurs observations sur un large rayon autour de leurs bases.<br>
 
En Cidélia de l'an 306, le maréchal Pencroff prend le commandement de l''''armée du Nord''' composée des 1er, 3e et 4e corps d'armée, de la division de jeune garde et d'une division temporaire de cavalerie pour prendre part à la [[Guerre de succession d'Atalante]] dans le camp de la princesse Anne d'Atalante. La Garde Volontaire aide alors la princesse, écartée du pouvoir par la faction de son frère cadet, à reprendre son trône.<br>
 
En Iffélia de l'an 307, après des décennies de recherches, la gendarmerie de la Garde retrouve la trace du démon '''Moloch''', dont l'invocation avait été à l'origine de la [[Prohibition de la magie noire]]. Le maréchal Pencroff prend alors personnellement le commandement d'une '''Demi-brigade de conjuration''' composée de chasseurs de démons et de gendarmes de la moyenne garde ainsi que de voltigeurs de la jeune garde.<br>
 
En 309, la Garde Volontaire apprend que plusieurs nations du continent d'Oldmont s'allient en vue d'une prochaine guerre; probablement dirigée contre le consulat de la Garde. Le maréchal Pencroff assiste alors le 1er Consul Zorn dans l'élaboration de plus visant à prendre l'ennemi de court et de porter le conflit sur son propre territoire avant qu'il ne puisse poser le pied sur la terre sainte de Stendel.<br>
A cette occasion, le maréchal Pencroff, qui a récemment réformé les Demi-brigades d'exploration, suggère d'utiliser ces dernières en forces de reconnaissance et de guérilla et de les projeter sans attendre le déclenchement des conflits. Ces unités devront alors utiliser le peu de temps restant avant l'initiative ennemie pour reconnaitre son territoire, ses positions, et en faire des cartographies et des états des lieux précis.<br>
Cette stratégie de déploiement de forces de renseignements nombreuses en amont du conflit porte ses fruits et permet à l'état-major de la garde d'obtenir rapidement des informations sur les bases adverses, les concentrations de ses troupes et ses lignes logistiques; alors même que les coalisés se pensent encore avantagés par la surprise.<br>
 
==== Les guerres de coalitions ====
[[Fichier:102.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff, marquis de Férincs, profitant des jardins de son chateau durant l'été 321.]]
Aux premiers jours de l'an de grâce 310, la [[Guerre de la Seconde Coalition]] éclate finalement.<br>
Grâce à ses renseignements et sa préparation, la garde parvient alors à prendre l'ennemi de vitesse, et utilise ses demi-brigades d'exploration précédemment déployées comme forces de guérilla pour conduire une série d'attaques sur les bases logistiques ennemies et ralentir son élan. Les coalisés ayant perdu leur momentum, la garde volontaire débarque alors sur le continent d'Oldmont toute entière. Le maréchal Pencroff, colonel-général de la cavalerie, prend alors le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]] et se projette aux devants de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]].
 
Les rapides mouvements des corps forcent l'ennemi au repli pour éviter son débordement complet. Si cette première retraite générale lui permet un temps de distancer les corps d'infanterie, le corps du maréchal Pencroff parvient toutefois à un coup de force grâce à un habile mouvement de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e Division de Cavalerie]] et de ses quatre régiments de dragons.<br>
Dépassant l'ennemi, il gravite alors sur ses arrières et le harcèle avec les deux régiments de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#3e_Division_de_cavalerie|1ère brigade de hussards]].<br>
 
Les mouvements incessants de la cavalerie du maréchal Pencroff joueront un rôle décisif tout au long de la '''Campagne du Nord''' aux côtés de la '''1ère Armée''' dirigée par le 1er consul et maréchal [[Ghideon Zorn]].<br>
 
En 314, le maréchal Pencroff participe à la [[Guerre de la Troisième Coalition]], au cours de laquelle il conserve le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]]. <br>
Il suit de près, dans cette campagne, le corps de la Garde Consulaire commandé par le consul Zorn en personne.<br>
Le maréchal et son corps d'armée s'illustrent alors dans plusieurs affrontements homériques comme la '''Bataille d'heisenburg''', la '''Bataille de Closwitz''' et la '''Bataille de sainte-helme'''.<br>
 
De cette dernière bataille, le philosophe Arnst Leigbeit écrira comme témoignage:<br>
"Alors que les lignes de milliers de soldats se faisaient face, immobiles, dans la tourment de la mousquetade; un torrent d'hommes à cheval sembla jaillir comme la lave d'un volcan, écrasant et calcinant sur sa route la malheureuse résistance qui lui était faite. Quel spectacle terrible, quelle fantastique vision, et quel horrible souvenir que cette charge de cavaliers qui, en masse compacte, percuta la ligne coalisée comme un météore eut percuté une planète. Un millier d'hommes périrent en quelques minutes sous les sabots et les sabres, mais si horrible fut-ce; que c'était beau."<br>
 
Après plusieurs mois de vifs et meurtriers combats, l'empire de Hohen et l'empire de Kislev sont vaincus avec perte et fracas. La Garde Volontaire, ne souhaitant pas faire peser sur leur population le prix de l'imbécilité de leurs seigneurs, commet l'erreur de se montrer clémente.<br>
Cette largesse, qui fait le bonheur des conspirateurs coalisés, fait en réalité partie d'un plan du Consul Zorn pour inciter la coalition à se reformer trop vite et sans préparation, que lui porter plus tard un coup de grâce plus sûr et rapide.<br>
 
En 316, les empires de Hohen, de Kislev et d'Oster s'allient une dernière fois malgré les concessions que la garde avait eu la mansuétude de prendre à leur égard. Levant plusieurs gigantesques armées grâce à la mobilisation obligatoire de leur population, la coalition des trois empires tente de prendre la garde de vitesse lors de la [[Guerre de la Quatrième Coalition]], et parvient à reprendre une partie des territoires précédemment "neutralisés" par le consul Zorn.<br>
Mais ces succès contre les milices locales sont de courte durée: le 1er consul Zorn, qui attendait cette dernière alliance de leur part, met à exécution le dernier volet de son plan pour dissoudre et anéantir les empires coalisés.<br>
 
Le maréchal Pencroff se voit alors confier le commandement de '''L'armée des montagnes''', forte des 3e et 6e corps d'armée ainsi que de sa fidèle [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e Division de Cavalerie]], la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#1e_Division_de_cavalerie|1e Division de Cavalerie]] ayant été adjointe à la '''Garde Consulaire''' en réserve générale de l'armée.<br>
 
Franchissant, à la fin de l'hiver, une région de haute-montagne réputée infranchissable; le maréchal Pencroff et ses troupes parviennent à prendre la coalition à revers dans ce qui deviendra la "Campagne des pics".<br>
Quelques victoires plus tard, la Garde Volontaire sort une nouvelle fois victorieuse, et les empires coalisés sont cette fois soumis par la force.<br>
 
En l'an de grâce 320, la garde volontaire s'engage dans la [[Guerre des rancunes]], considérée comme la '''Guerre de la Cinquième Coalition''' malgré le fait que les belligérants ne soient plus que des versions diminuées de leurs entités précédentes.<br>
 
En 321, le marquisat de [[Férincs]], dont le maréchal Pencroff est seigneur, voit ses frontières considérablement étendues. Le fief du maréchal comprend maintenant non moins de trois bourgs; et un nouveau château est construit pour accueillir la maison Pencroff De Férincs.
 
En Tronvard de l'an 322, suite à "l'affaire de Malpasset" le maréchal Pencroff ordonne et commande l'[[Opération Vendémiaire]]; une vaste opération de traque et de répression visant à abolir les agissements odieux du Comte de Malpasset sur le fief éponyme.<br>
Le maréchal mobilisa pour cette opération le [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] et la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e division de cavalerie]] avec ses quatre régiments de dragons; alignant ainsi quelques 4000 cavaliers en armes.<br>
 
En Fifrelune 325, le maréchal transforme le '''Régiment de la Maréchaussée de Férincs''' en un régiment de cavalerie à part entière, qui prend alors le nom de [[Régiment de Férincs Cavalerie]]. Il annonce, dès la réforme de l'unité, sa volonté de transformer la régiment en une unité de campagne à part entière; et de confier le commandement de l'unité à son fils [[Antoine-Bonaventure Pencroff]] dès lors que celui-ci serait prêt.<br>
 
En 326, le maréchal participe à la [[Guerre de restauration de Belvy]] aux commandes du Corps de Cavalerie de la [[Garde Volontaire]].<br>
 
En 331, le maréchal Pencroff prend le commandement d'une armée de deux corps, les 2e et 6e corps, placés sous la dénomination de "Force Gascogne". Il conduit alors les troupes au royaume de Gargantua, où une caste de démons tente de s'emparer du trône.<br>
Cet engagement est le premier depuis de longues années où le maréchal Pencroff reprend des fonctions de commandant en chef. C'est également la première fois depuis de longues années qu'il est engagé sans son très fameux et très cher '''Corps de Cavalerie'''.<br>
Après divers combats de moyenne intensité au début du conflit, la simple présence d'une armée de la Garde Volontaire suffit à faire capituler l'adversaire. Magnanime, le maréchal Pencroff accepte le départ des démons sans massacrer ces derniers, à la condition qu'ils n'acceptent de se tenir à une certaine distance de l'empire.<br>
 
En 335, le maréchal Pencroff réforme le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#1er_r.C3.A9giment_de_cuirassiers-lanciers_de_la_Garde|Régiment des Cuirassiers de la Garde]] et le équipe de '''lances''' pour former le '''Régiment de Cuirassiers-lanciers de la Garde'''. L'ambition du maréchal, dans son rôle de Colonel-Général de la Cavalerie, est de tirer profit de l'excellente tenue en charge des cuirassiers et des avantages cumulés de la cuirasse et de la lance lors des engagements de cavalerie contre une cavalerie adverse ou contre des lignes d'infanterie. Une fois le choc passé, les cuirassiers peuvent abandonner la lance et poursuivre le combat au sabre-latte.<br>
Le maréchal expérimente ces nouvelles méthodes lors des manoeuvres annuelles de 335.<br>
 
En 337, le maréchal Pencroff participe, avec la totalité de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]], à la [[Grande Guerre Continentale]].<br>
Au cours de cette campagne que d'aucuns décrivent comme un des plus rudes engagements de la [[Garde Volontaire]], le maréchal et la [[Maison Pencroff de Férincs]] jouent un rôle prépondérant dans les combats, mais paient également un lourd tribu. En effet, dans la tourmente et l'indescriptible chaos de la bataille finale, le fils aîné du maréchal, [[Emile-Bonaventure Pencroff]], tombe au combat en sauvant par une charge héroïque l'aile droite de l'armée.<br>
Le maréchal Pencroff, à propos du sacrifice de son propre fils sur l'autel de la protection de l'empire, commentera avec pudeur:<br>
"Il est des enjeux et des valeurs qui dépassent les mortels que nous sommes. Nombre de soldats ont versé leur sang pour protéger ceux qui vivent à l'ombre de notre bouclier. Le sacrifice de mon propre fils, comme celui de chaque soldat tombé à cette bataille, n'a pas été vain et leur héritage vivra tant que les tambours battront aux pieds de nos drapeaux. Je l'ai enterré avec ses hommes, il l'a bien mérité."<br>
 
==== Le nouveau monde ====
= Rapport aux Forces Armées =
=== Fonctions militaires ===
Le maréchal Pencroff occupe plusieurs fonctions militaires au sein de l'empire de [[Stendel]] et de la [[Garde Volontaire]].<br>
Gouverneur Impérial, il assure avec le gouverneur [[ghideon Zorn]] les fonctions de commandement de l'état-major des armées. Il est d'ailleurs à l'origine de la réforme des armes impériales et de la création de la [[Brigade des chasseurs de démons]].<br>
 
Au sein de la [[garde Volontaire]], le maréchal Pencroff occupe principalement la fonction d'inspecteur général de l'armée et préside à ce titre l'inspection générale de la garde; sous le contrôle direct du Premier Consul et en étroite collaboration avec la major-générale de l'armée [[Wendy Marvel]].<br>
Ses principales missions à ce poste sont:<br>
- Contrôler et mesurer l'opérabilité des troupes par des revues fréquentes au sein des régiments et des échelons tactiques et stratégiques.<br>
- Tirer des enseignements des expériences opérationnelles de la garde et traduire ces retours d’expériences en réformes destinées à conserver la garde dans un état de constante évolution.<br>
- Rechercher et développer de nouvelles doctrines, de nouveaux cadres d'emploi et de nouvelles tactiques et stratégies pour améliorer l'opérabilité de la garde et accentuer sa montée en puissance.<br>
- Rédiger, ajuster et veiller à l'application uniforme des réformes au sein des unités.<br>
 
Outre les fonctions d'inspecteur général, le maréchal Pencroff occupe également la fonction de colonel-général de la cavalerie. A ce titre, il préside le comité d'armes de la cavalerie composé des colonels de tous les régiments de cavalerie de la garde. Sous sa présidence, le comité de la cavalerie décide des promotions et de l'avancement en son sein, des réformes éventuelles à effectuer au sein de l'arme; et rédige également un rapport situationnel à l'attention du Premier Consul Zorn visant à tenir ce dernier au courant de l'état exact des troupes de manière mensuelle.<br>
 
Enfin, le maréchal Pencroff assure également une fonction de commandement opérationnelle à la tête du Corps de cavalerie. Aux commandes de ce corps de réserve, le maréchal appuie l'action des corps d'armée en campagne et assure les missions de reconnaissance au profit de la grande armée.<br>
Ce commandement, moins encombrant stratégiquement que celui d'un corps de manœuvre, place le maréchal Pencroff dans une position tactique idéale: En bataille, alors que ses troupes restent en réserve, il peut s'en détacher et assurer le commandement direct de mouvements spontanés sur demande directe du maréchal Zorn ou sur l'appel d'un général de corps d'armée qui ne serait pas aussi libre de ses mouvements. Très mobile grâce au caractère monté de ses troupes, il peut également se projeter à tous les points du champ de bataille en quelques minutes, tant seul qu'accompagné de régiments entiers pour l'appuyer. Véritable electron libre suivi d'une avalanche de dragons, de cuirassiers et de hussards; le maréchal pencroff peut alors emporter la décision sur un front figé et changer le cours d'une bataille, ou sauver une situation tendue.<br>
=== Etat-major personnel ===
Servir dans l'état-major d'un maréchal d'empire est un honneur, une consécration pour un officier d'état-major. Ce privilège est réservé aux officiers les plus illustres et dignes, aptes au commandement et fins tacticiens.<br>
De fait, par leur position à proximité du maréchal, les officiers qui composent son état-major sont ses plus proches conseillers et collaborateur. Ils complètent la vision de leur chef, aident à la prise de décision et veillent à l'application des ordres.<br>
 
On trouve, dans ce cercle très restreint, trois types d'officiers:<br>
 
'''Le major-général''':<br>
C'est le chef de l'état-major. Placé sous les ordres du maréchal, c'est lui qui a la charge de faire la synthèse de tous ses ordres et de les faire exécuter. Le major-général tient donc un rôle central au sommet de l'arborescence militaire et doit être assez proche de son commandant pour saisir rapidement ses intentions profondes et les traduire en ordres clairs pour le reste des forces. Cette fonction est réservée aux tacticiens et logisticiens les plus aguerris, et qui ont la confiance du maréchal. En temps de paix comme en temps de guerre, le major-général suit le maréchal partout où il va, à l'exception des combats.<br>
Ce rang est communément attribué à un général de Division. Le maréchal Pencroff y préfère un officier de cavalerie.<br>
 
'''Les aides de camp et aides de camp généraux''':<br>
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-voix et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit exécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>
Ce rang est généralement dévolu à des généraux de brigades (aides-de-camp généraux) ou à des colonels. Dans tous les cas, il s'agit d'officiers aguerris ayant de nombreuses campagnes à leur actif.<br>
 
'''Les officiers d'ordonnance''':<br>
Les officiers d'ordonnance sont les véritables couteaux-suisses de l'état-major. Messagers, officiers de renseignement, secrétaires, intendants; ils ont la charge de noter et de véhiculer toutes les instructions émises par l'état-major du maréchal, via le maréchal lui-même ou son major-général.<br>
Ces fonctions sont généralement attribuées à de jeunes officiers s'étant illustrés par leur vigueur et leur hardiesse au combat. En somme, souvent des capitaines ou des lieutenants.<br>
Par ordre hiérarchique, voici la composition de cet état-major:<br>
| espèce = Humaine
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| entourage arme = Cavalerie
| ennemi =
}}
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| entourage arme = Cavalerie
| ennemi =
}}
| espèce = Vampire
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| entourage arme = Infanterie
| ennemi =
}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Armand D'hubertJean-roc Coignet
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel dHubertLt-Col Lepic.png|200px]]
| taille image =
| légende =
| yeux =
| caractéristique = Colonel
| activité = Premier aide-de-campGrand écuyer
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| entourage arme = Infanterie
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}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Gabriel Feraud
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel Feraud.png|200px]]
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| légende =
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| origine =
| décès =
| cheveux =
| yeux =
| caractéristique = Colonel
| activité = Second aide-de-camp
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| entourage =
| ennemi =
}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Lt-Col. Louis Lepic
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| image = [[Fichier:Lt-Col Lepic.png|200px]]
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| légende =
| naissance =
| origine =
| décès =
| cheveux =
| yeux =
| caractéristique = Lieutenant-Colonel
| activité = Troisième aide-de-camp
| sexe = Homme
| espèce = Demi-humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| entourage =
| ennemi =
}}
 
|}
- '''Général de division Marceline De Bercheny''', major-général<br>
Orpheline de guerre, pupille de la Garde, la générale Marceline de Bercheny est adoptée par le maréchal Pencroff (alors gé,éralgénéral) et s'engage très jeune dans les rangs. Sous-lieutenant à 18 ans, capitaine à 21, elle débute sa carrière au 1er régiment de hussards. Promue commandante à 25 ans, elle commande un escadron d'éclaireurs de la vieille garde peu après la création de l'unité. Après s'y être illustrée, elle entre dans l'état-major du maréchal Pencroff avec le grade de lieutenant-colonel et la fonction d'aide-de-camp. Colonelle à 30 ans, elle devient ensuite générale de brigade et obtient la fonction de chef d'état-major du maréchal Pencroff. Elle y restera après sa promotion de générale de division. La générale De Bercheny est la plus ancienne membre de l'état-major du maréchal et ne l'a pas quitté depuis son adoption. Elle le suit dans tous ses déplacements, au point d'être surnommée "l'ombre du maréchal". <br>De par son expérience, la générale Marceline aurait déjà pu obtenir sa quatrième étoile et le commandement d'un corps; mais elle s'y refuse obstinément de sorte à rester auprès de son mentor. malgré cela, véritable bras droit du maréchal et fondateur de la garde, elle est vue de tous comme une extension de son autorité, et rares sont les généraux à oser la contredire au risque de s'attirer les foudres du père de la garde.<br>Réputée pour son esprit vif et son sens de l'organisation, la générale Marceline est également reconnue pour sa profonde et pieuse dévotion envers sa mission. Elle-même orpheline, elle a un souci constant du sort des populations civiles et n'a pas le goût des massacres inutiles. Elle tempère souvent le maréchal qui, partisan de la justice absolue, cherche rarement à capturer ses ennemis en vie et poursuit souvent ses charges jusqu'à épuisement de sa monture. <br>
- '''Général de brigade Jean De Loisy''', premier aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Issu d'une noble famille aux traditions militaires, Jean de Loisy a préféré s'engager dans la garde volontaire plutôt que dans les rangs de l'armée impériale, en quête de campagnes et de gloire dont la jeune armée de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Malgré son titre de noblesse, il débuta sa carrière comme soldat et passa chaque grade à force de bravoure et de qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avec le grade de commandant. Plus tard, promu lieutenant-colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux avant d'être nommé colonel et d'être appelé à l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demande. Ses excellents états de service lui valent finalement la promotion au grade de général de brigade.<br>
En réalité, bien qu'il soit pourvu d'évidentes qualités militaires, le général De Loisy a jadis eu quelques déboires avec la justice militaire à cause de son indiscipline et de son amour des duels. Mais sa franchise, sa témérité et sa bravoure dans l'action ont à l'époque convaincu le maréchal Pencroff de le couvrir de son nom, effaçant ainsi les traces de ses frasques. Cette largesse du maréchal eut pour effet de susciter chez le jeune cavalier une réelle reconnaissance et une sincère fidélité.<br>
- '''Général de brigade Irina Ruminesku''', seconde aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Née dans un fief rebelle de New-Stendel, la générale Irina n'était pas destinée à rejoindre la Garde Volontaire.  - '''Colonel Armand Issue d'Hubert'''une illustre famille de l’aristocratie vampirique, elle se querella avec ses parents et refusa un mariage arrangé, premier aide-avant de-camp du maréchals'échapper sans le sou.<br>Le colonel dRecueillie à demi morte par une patrouille de la Garde Volontaire peu de temps après la création de l'Hubert est issu du régiment unité, elle fut conduite à fort Herobrine où elle resta en convalescence. Une fois remise sur pieds, elle fut la première vampire à rejoindre les rangs de la garde, avec le grade de maréchal-hussardssoldat. Auparavant<br>Rapidement, il avait fait ses armes sa carrière dans l'armée impérialeinfanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, plus précisément dans les chevau-légerstant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Il y rencontra Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'ailleurs Gabriel FeraudAuersdatte]], qui allait devenir son rival et avec lequel il eut elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de nombreux duel, avant que les deux hommes ne se sauvent mutuellement la vie lors crête d'une batailleEséparge. Ils furent depuis inséparablesCe dernier, reconnaissant et sont entrés au service du maréchal.<br> impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance- tenante et la fait inscrire à l'''Colonel Gabriel Feraud'''école de guerre où, second aide-dès la fin dela campagne, elle passe son brevet d'état-camp du maréchalmajor.<br>Comme son camarade Armand dPromue lieutenant-colonel, elle intègre l'Hubert, le colonel Feraud est issu du régiment inspection générale de maréchal-hussards, après avoir fait ses armes dans l'armée impériale. Officier aussi téméraire et impétueux que son camarade, il où elle est entré chargée des études relatives au service du maréchal et assiste ce dernier dans tous ses travauxdéveloppement de l'infanterie de la garde. Comme le Promue colonel D, elle intègre finalement l'Hubertétat-major du maréchal comme aide-de-camp, le colonel Feraud est un duelliste avide avant d'y être nommée générale de combatbrigade.<br>
- '''Colonel Louis LepicJean-roc Coignet''', troisième aidegrand écuyer du maréchal<br>Le Colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>Le Colonel Lepic est issu Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des grenadiers rares braves à survivre à cheval toute la campagne sans être relevé, et est successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la garde consulairelégion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il a servi en tant que est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine avant de devenir par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'escadroninfanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Couvert Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de gloirela [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il a intégré est promu Colonel. Toujours dans l'état-major Major du Maréchal avec maréchal pendant les '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le grade début des années 300, il refuse une promotion comme général de Lieutenantbrigade pour rester auprès du maréchal, qui le nomme grand-colonelécuyer.<br>
- '''Colonel Diane Kavendix''', chirurgien-major<br>
La colonel Diane Kavendix est une chirurgienne de renom, également archimage de son état. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateur, elle a gagné le surnom "d'ange des batailles".<br>
Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, elle est également reconnue pour ses travaux de recherche dans les magies de soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaire, et est auteure d'une thèse sur les alternatives à l'amputation et la guérison des plaies infectées. Son éxperience des combats lui ont a donné l'occasion d'observer de nombreux cas cliniques, ce qui lui confère une grande influence auprès de ses pairs médecins. Le maréchal Pencroff n'accepte d'être suivi que par elle et son adjoint.<br> - '''Capitaine Naaza Larray''', chirurgien-aide-major<br>La capitaine Naaza Larray est tout simplement l'assistante et la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La capitaine Larrey n'avait jamais servie dans les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix ont convaincu le ce dernier de la recruter.<br> - '''6 officiers d'ordonnance du maréchal'''<br>Issus de diverses unités montées, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir le maréchal. Ce sont de véritables couteaux suisses, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers.<br>Parmi les 5 officiers d'ordonnance, on compte:<br>- Commandant Jean-roch Coignet<br>- Capitaine adjudant-major Shiro Onoda<br>- Lieutenant Jean-louis de La Franchise<br>- Lieutenant Margot Lajoix<br>- Lieutenant Elise Tulard<br>- Lieutenant Hajime Tsukushima<br> Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par la compagnie de mousquetaires du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]]adjointe.<br>
=== La Garde Volontaire ===La maréchal Pencroff est le fondateur de la garde volontaire. Chef de corps à l- '''époque ou lCommandant Naaza Larray'unité n'était encore qu'un régiment, il resta à sa tête jusquchirurgien-aide-major<br>La commandante Naaza Larray est tout simplement l'à ce que assistante et la garde ne devienne une brigadedisciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, période à laquelle il fut nommé chevalier précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et appelé en capitale. Il conservamage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un temps encore, le commandement nominatif médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La commandante Larray n'avait jamais servi dans les armes avant de rejoindre l'arme; le commandant executif étant alors assuré par le Colonel Ghideon Zorn état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la Lieutenant-recommandation de son père et du colonel Wendy MarvelKavendix ont convaincu ce dernier de la recruter.<br>
Après sa nomination au gouvernement impérial, le Maréchal Pencroff passa le commandement de la [[Garde Volontaire]] au Général [[Ghideon Zorn]], qui devait lui-même être nommé Maréchal quelques années plus tard.'''4 officiers d'ordonnance du maréchal'''<br>Il conserve toutefois Issus de fortes attaches avec son arme d'origine diverses unités montées, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et retourne fréquemment servir le maréchal. Ce sont de véritables couteaux suisses, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers. Leur fidélité au [[Fort Herobrine]] ou se trouvent ses quartiers et sa résidence principalemaréchal est absolue.<br>La [[Garde Volontaire]] est également restée sa force de prédilection, à laquelle il recourt pour la plupart de ses missions et qu'il préfère souvent aux [[Forces armées impériales]]. Ses liens profonds avec Parmi les troupes de la garde et sa longue expérience à sa tête présentent de nombreux avantages dans la conduites 4 officiers d'opérations parfois complexes et se déroulant aux confins des territoires impériaux. L'emploi de cette unité autonome permet également de conserver une certaine opacité sur les missions accompliesordonnance, là ou l'utilisation de l'armée impériales appellerait à plus de transparence.on compte:<br>- Commandant Riley Ninime<br>- Capitaine Lev Leps<br>- Capitaine Centenac<br>- Capitaine Brunbrouk<br>
En 260Pour assurer son escorte, après plusieurs années en capitale, le maréchal Pencroff reprend pour la première fois une fonction à l'état-major de la Garde Volontaire. Nommé inspecteur général de l'armée, il participe activement à la montée en puissance de l'armée afin de préparer cette dernière à faire face aux nouvelles menaces qui planent sur la population impériale. Sa principale fonction consiste alors à passer les troupes en revue, afin de veiller à leur qualité. Il entame également la rédaction d'un livre, "De la garde", qui devait devenir l'encyclopédie de la garde volontaire, de son fonctionnement et de ses doctrines.<br> En 265, toujours présent au Grand Quartier Général de la Garde, il du maréchal est nommé "Colonel-général des hussards de la garde" accompagné par son camarade et actuel commandant de la garde volontaire Ghideon Zorn. Ce titre, en partie honorifique, lcompagnie d'investit également de la mission de moderniser les tactiques de reconnaissance employées dans la garde et notamment l'usage de la cavalerie légère.<br> En 275, il est nommé colonel-général de la cavalerie de la garde et commandant élite du corps [[Régiment de cavalerie. Ces deux fonctions le placent au commandement administratif de toutes les troupes montées de la garde et au commandement opérationnel de toute la cavalerie de réservePencroff Cavalerie]].<br>
= Faits d'Armes Notoires =
[[Première Campagne des Titanides]]<br>
 
[[Seconde Campagne des Titanides]]<br>
 
[[Guerre de succession d'Atalante]]<br>
 
[[Guerre de la Seconde Coalition]]<br>
 
[[Guerre de la Troisième Coalition]]<br>
 
[[Guerre de la Quatrième Coalition]]<br>
 
[[Guerre des rancunes]]<br>
 
[[Opération Vendémiaire]]<br>
 
[[Guerre de restauration de Belvy]]<br>
= Distinctions et Décorations =
- Commandant (Citoyen), commandant de la [[Garde Volontaire]] (passé)<br>
- Capitaine (villageois), commandant du 22e détachement de cavalerie (passé)<br>
- Lieutenant (villageois), commandant en second du 21e 22e détachement de cavalerie (passé)<br>
- Sergent (villageois), sous-officier volontaire dans une cohorte impériale (passé)<br>
- Soldat (villageoisPaysan), engagé volontaire dans une cohorte impériale (passé)<br> '''Rang social'''<br>- 54 Tronvard 192: Gouverneur<br>- 21 Pampélune 181: Chevalier<br>
= Citations =
"On meurt tous un jour. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante qu'Il faut un coup de mitraillesiècle pour faire une nation, mais une bataille peut suffire à la défaire."<br>
"Messieurs, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous allons avoir l'honneur de charger !"<br>
"La justice n'est qu'un mot vide de sens si elle ne sépare pas efficacement les proies des prédateurs."<br>
"Il suffit d'un coup de plume pour faire un politicienduc, mais il faut vingt ans pour faire un général."<br> "Les nations qui séparent les intellectuels des guerriers sont gouvernées par des lâches et défendues par des idiots."<br>
"Seuls les guerriers peuvent être pacifistes, les autres n'ont juste pas le choix."<br>
"A la guerre, il faut n'être jamais sur de rien, et toujours prêt à tout."<br>
 
"On ne s'engage pas dans l'armée pour faire dans la dentelle. Notre boulot c'est de détruire des choses et tuer des gens."<br>
"La diplomatie est l'affaire des politiciens. Compromis, concessions, langue de bois... Une fois qu'ils ont échoués, on vient mettre tout le monde d'accord."<br>
"Il ne Pour gagner une bataille il faut pas avoir peur de savoir se salir les mainsbattre, ça se lavepour gagner une guerre il faut savoir marcher."<br>
= Armoiries =
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|400px|sans_cadre|centré|Armoiries de la famille Maison Pencroffde Férincs]]<br>
'''Les armoiries du maréchal Pencroff sont composés des éléments suivants''':<br>
- L'écu de la famille Pencroff de Férincs, aux couleurs de l'empire, de la [[Garde Volontaire]]et portant la tête de chat de Férincs et les étoiles de maréchal.<br>
- La couronne symbolisant le titre de gouverneur<br>
- Les deux bâtons de maréchal symbolisant le grade militaire<br>
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