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Aégis

5 520 octets ajoutés, 27 novembre 2020 à 21:23
Formation
| description = Cité état humaine s'appuyant sur une économie de luxe et une puissante armée
| monde = Stendel
| existence = fondations pré-Stendelienne <br /> Ville actuelle : an 60 du [[Calendrier Erachien]]
| langues = Stendelien
| alignement = Impérial
=== Formation ===
[[Fichier:Aegis Routard 2011.jpg|thumbnail|upright=1|droite|Une carte des archives impériales semblant situer Aégis en l'an 23, auteur inconnu <ref>Carte du routard, version d'octobre 2011, demande de projet https://www.minefield.fr/forum/topic/48321-accept%C3%A9-la-ville-da%C3%A9gis/</ref>]]
Le premier document cartographique concernant Aégis date du 12 Cidélia de l'an 23 et situe le berceau de la peuplade qui sera amenée à fonder la ville. Bien qu'aucune archive ne démontre la présence de bâtiments à cet emplacement en des temps si reculés, la carte ne laisse que peu de place à l'interprétation.
 
Les premières constructions, dont il reste aujourd'hui encore des traces, remontent à l'an 50. De cette époque subsiste ainsi aujourd'hui plusieurs maisons centenaires du quartier originel où vivent aujourd'hui les hauts dignitaires de la ville.
 
Il faudra cependant attendre pas moins de 10 ans pour que, le 4 Tercevent de l'an 62, que les archives impériales enregistrent Aégis dans les cadastres. Le dossier concernant la ville est étonnement étoffé (plusieurs pages, ce qui plutôt rare pour l'époque) et semble être passé de main en main. Tout d'abord géré par le gouverneure [[Toffifi]], des irrégularités le font ensuite basculer dans l'administration du gouverneur en charge des routes de Stendel [[KillerMapper]] avant de finalement remonter au sommet de la chaîne hiérarchique. Le document est ainsi frappé du sceau de l'impératrice [[Louvinette]], les raisons ayant amenés à cette curiosité administrative restent peu connues et de multiples interprétations ont été proposées, les historiens n'arrivant pas à obtenir un consensus.
 
Il est communément admis que la ville connaît son premier pic démographique dans les années 70, cette croissance bénéficiera de la période dynamique de [[Portail:La Reconstruction|la Reconstruction]] poussant rapidement Aégis dans les carrefours principaux de la région.
== Géographie ==
==== Souverains ====
==== Diplomatie ====
Aégis se présente depuis sa montée en puissance comme le premier rempart de l'Empire sur sa frontière Ouest. La ville a pendant longtemps été suzeraine de Glindel mais les deux entités s'éloignèrent suite à la révolte des paysans du 9 Mimélune de l'an 77.
=== Economie ===
==== Monnaie ====
=== Démographie ===
=== Forces Armées ===
La force de l’armée Aégi réside dans la discipline de fer imposée à ses unités. Les militaires sont recrutés dès le plus jeune âge et leur formation mise tant sur leur endurcissement physique que mental et intellectuel. Cependant, contrairement à de nombreux systèmes militaires similaires, l'initiative n'est pas proscrite si elle est utilisée de manière raisonnée et que la réussite est au rendez-vous. Cela a pour objectif de rendre les troupes moins vulnérables et désorientées lors de la potentielle perte des généraux et officiers qui chargent avec le reste des troupes.
Un culte de la nation est observé tant chez les militaires que les civils, qui s'engagent généralement spontanément lorsque l'intégrité de la ville est menacée comme ce fut le cas lors du [[conflit de l'Arhydar]]. Toujours dans cette optique, une grande importance est accordée aux couleurs de la ville, que toutes les unités arborent fièrement. Les portes-étendards jouissent ainsi d’un statut élevé au sein de la société Aégi.
[[Fichier:Aegis_armee.png|thumbnail|upright=1.5|droite|Relation entre les sphères politiques et militaires]]
 
==== Armée terrestre ====
Tout en bas de la hiérarchie militaire, on retrouve ainsi les hoplites. Avec leur pavois pouvant protéger la quasi-totalité de leur corps, ce sont des unités particulièrement adaptée aux formations militaires “en tortue”. Plutôt lentes, elles avancent vers l’ennemi avec cette formation jusqu’à être à portée de javelot. Une fois la volée envoyée, les hoplites passent alors à une attaque au corps à corps. Leur technique de combat repose sur des parades au pavois suivies de violentes ripostes avec ce dernier ou à l’épée. Les ennemis se retrouvent bien souvent face à de véritables murs capables de sonner les plus solides éléments d’un revers de bouclier.
 
Les charges Aégi sont toujours précédées d’un pilonnage des troupes adverses par l’artillerie lourde. Bien que celle-ci soit peu mobile et n’engendre pas toujours beaucoup de victimes, le moral des troupes adverses est fortement impacté par le déluge de feu qui s’abat sur elles. De plus, c’est alors un paysage lunaire qui s’offre aux hoplites, facilitant leur charge.
 
Les troupes de choc forment l'élite de l’infanterie Aégi. Ce sont des combattants hors pairs particulièrements mobiles, venant soutenir les hoplites là où la bataille est la plus intense. Plus d’une fois l’issue d’une bataille a été dictée par l’intervention de ces troupes d'élite.
 
Enfin, les commandants sont des stratèges militaires coordonnant les différentes cohortes. Ils communiquent entre eux et avec les différents fronts via pigeons voyageurs.
 
==== Armée de l'air ====
Les unités aériennes aégi relèvent plus du prototypage que du réel poumon de l’armée. L’élément le plus notable de l’armada est sans aucun doute le dirieable l’[[Oeil d'Aégis]], bâtiment stratégique d'observation militaire capable d'évoluer au dessus des champs de bataille et d'effectuer des patrouilles de surveillance, sa principale fonction. L'Oeil est généralement ancré au sommet de l'Egide, où il s'apprivoisonne en carburant, vivres et munitions.
== Culture ==
== Références ==
== Références & Bibliographie ==
[[Catégorie: Projet]]
[[Catégorie: Projet de Stendel]]

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