Arme méthanique

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Les armes méthaniques sont une famille d'arme à feu endémique à Myr issu de l'alchimie organique et uniquement utilisées au sein de son armée la Déferlante Noire. Faisant usage de gaz pour propulsé leur projectile conique avec grande vitesse et précision.


Histoire et développement

Après deux siècles d'existence sans menace importante mise à part les quelques rares incursions de clan violent issu de la fragmentation des clans unis des peaux vertes, le Royaume de Myr a décida de lancer en l'an 157 une étude pour voir la possibilité d'équiper certaines parties de sa troupe avec la technologie des armes ayant connu durant les derniers décennies un croissante utilisation. Pour se faire furent lancer dans les entrailles du quartier alchimique de Bel-O-Kube plusieurs recherches dans le but de trouver une arme qui pourrait fournir, sinon plus, les avantages de la puissance de feu et de la portée que les mousquets donnaient à leur utilisateur. Des idées sur la façon de traiter le problème furent amenées et portèrent après quelques mois aux points précis que le programme aurait à atteindre


La région de Myr disposant d'un large éventail de matériaux mais dans des quantités relativement, la politique de gestion est de grandement limiter les usages uniques de celles-ci, vision éliminant par conséquence l'utilisation de poudre et matière réactif n'étant juste destiné à être perdu sans méthode d'en renouveler facilement les stocks. Avec cette limitation, une forme particulière fut trouvé pour remplacer la source généralement utilisé pour l'explosion. En parcourant les registres alchimiques, les composés susceptibles de provoquer une explosion furent notés et recherchés et parmi ceux là celui appelé méthane ou plus communément le gaz des marais capta l'attention des savants. Généralement trouvé en quantité dans des marais produit par la décomposition des matières organiques, et semblant aussi être celui des mines bien connu pour son rôle dans des accidents. Ce fut le savoir que toutes créatures produisent ce gaz en quantité, particulièrement chez les familles bovines, fut la chose qui décida les savants à porter leur attention sur cette élément par son aspect organique.


Etant destiné à produire une arme de distance, des officiers de la Section formique qui avait déjà, ou pourrait développer le degrés télépathique nécessaire à l'alchimie organique, furent contactés pour participer au programme de recherche de l'arme à feu méthanique. Ce afin que les personnes travaillant sur le projet aient un meilleur retour d'information des gens habitué aux armes de portée et possédant des connaissances balistiques, et qui finiraient très probablement par ceux qui feraient des résultats de cette recherche l'utilisation la plus importante. Les mois suivant furent passés à essayer de créer avec l'alchimie organique une sorte de proto-intestin qui, une fois nourri en utilisant de élixir du jabot, serait en mesure de produire le composé souhaité de manière continue.


Ce fut aux coups de petites détonations, volontaires et involontaires que la quantité de gaz nécessaire pour fournir à une force suffisante à un projectile fut estimée avec le premier prototype du fusil. Tout en étant d'une conception grossière, avec ses éléments organiques débordant et ses surfaces d’échappements, il montra que la décision de cette voie était la bonne. Les résultats balistiques montrant pour une quantité égale de matière un plus grand potentiel pour cette source d'énergie, en portée et en puissance de feu. Mais cela signifiait également que le baril devait être légèrement plus épais pour ne pas exploser sous la pression si l'on voulait le remplir de plus de gaz que ce qui se faisait pour les actuels mousquet, les dimensionnions de cette élément se rapprochant dès lors plus des proportions d'un arquebusier.


À partir de là deux armes, le fusil en l'an 164 et le canon en l'an 169, furent créées et équipèrent certains membre de la Déferlante Noire , mais pas au point de remplacer les anciens arcs ou les variante les plus récente d'arbalète. Les raisons étant que ces éléments ont besoin que leur opérateur ait suffisamment d'expérience pour pouvoir faire grandir quelque chose de très complexe à partir de l'alchimie organique. Au fil du temps, ce problème diminua grâce aux opérateurs précédents qui firent le choix de donner le reste de leur essence vitale pour alimenter la partie à laquelle ils étaient connectés, tel que dans le cas obsidiant comme il en devint une certaine tradition en suivant l'exemple d'Arthur en complétant de sa dernière étape le rituel fragmenté utilisés pour développer l'alchimie organique.


De nombreuses modification et ajout furent par la suite apportées au parties non organiques. Comme pour le baril des armes qui commencèrent à être rayées pour améliorer leur précision, une technique qui bien que connue ne se retrouve pas sur des mousquets car là où la poudre est utilisé celle-ci s'accumule dans les gravures réduisant progressivement l'efficacité de l'arme en rendant le chargement plus compliqué au point de rendre un nettoyage complet nécessaire. Technique qui avec l’utilisation d'un gaz dans le cas des armes à feu méthanier n'est pas confronté à ce problème.

Description

Globalement les armes méthaniques se présentent par une organisation commune. Avec en premier la partie organique où le proto-intestin est protégé à l'intérieur d'une boite, communément appelé la boîte à tripe. Permettant si besoin de remplacer le proto-intestin sans avoir à désassembler l'ensemble du système auquel elle s'accroche. Enfilé dans un manchon en tissu épais et rigide, l'extrémité de l'intestin sortant du boitier se fixe à la chambre de détonation. Le bouchon fermant le boitier est rempli du mélange de l'élixir de Myr. Lorsque le boitier est fermée hermétiquement, le proto-intestin est alors en contact avec le mélange et commencera à le décomposer sous commande de l'opérateur en accumulant à l'intérieur des gaz, qui lors d'une utilisation seront autorisés par l'opérateur à passer dans la chambre à gaz de détonation.


PDu côté du mécanisme, il se présente généralement par une grande simplicité où tirer sur la gâchette causera une tige en métal d'impacter une surface de la chambre d'explosion, ce qui créera une étincelle dans celle-ci. Ce qui sera ainsi le déclencheur de la propulsion du cône dans le baril grâce au gaz réagissant avec l'étincelle. La munition étant jusqu'à ce moment gardée en position grâce à sa jupe dans son emplacement sera ainsi propulsé à grande vitesse et précision, augmentées par la longueur du baril et ses rayures.


Munition

Myr -Balle conique à jupe .png

Primairement issu la ligné des arcs, arbalètes et balistes avec leur flèche, les munitions utilisées par les armes méthaniques sont toutes standardisées sur un même modèle en pointe d'un forme conique se profilant sur l'arrière sur une longueur équivalente au cône, et s'affinant légèrement sur la fin. Leur échelle peut cela dit varier en fonction de l'arme observée.


Sur la moitié de son profil se trouve une rainure faisant le tour complet de sa circonférence. Cette rainure sert d'emplacement à une jupe ayant pour rôle de maintenir en position la munition dans le baril. Lors que le cône est propulsé par la détonation du gaz cette jupe va se déformer avec une grande facilité à sa base et épouser pleinement le profil de la balle, ne gênant donc pas la balle dans son trajet jusqu'à sa cible.


Variantes

Voici une liste des éléments produits à partir de cette technologie.

Prototype

Myr - Fusil méthanique - Prototype .png

L'idée de Myr d'avoir son propre type d'arme à feu commença tout naturellement avec un prototype. Étant un prototype la priorité était de vérifier la pertinence du choix, de définir le carburant le plus efficace pour atteindre l'objectif ainsi que la quantité de gaz suffisante. Ce qui est pourquoi en tant qu'exemple du concept il fut fabriqué avec un corps de bois abruptement taillé et le proto-intestin laissé à se développer sans forme précise autour du canon et de la chambre à explosion du fusil.


Durant cette étape de développement plusieurs version de prototype furent faites du au fait que certains des tests initiales se conclurent par des explosions incontrôlées provoquant la destruction partiel et souvent totale des premiers prototypes. Chaque prototype suivant permettant par ailleurs de réduire les quantités nécessaire de matière organique à créer, par l'affinage des quantités nécessaires de gaz à produire. Des prototypes organiques destiné à établir la meilleur composition de l'élixir de Myr furent aussi réalisé, tel que tout particulier dans le cas d'une composition prometteuse avec un prototype présentant des surfaces d'échange thermique à cause de la composition produisant chez le proto-intestin une extrêmement forte réaction exothermique. Prototype cependant abandonné car elle en était devenu trop lourde à porter du au poids sur toutes la longueur du baril.


Lorsque les concentrations furent clairement établit ainsi que les besoins en terme de quantité de gaz et la nature de l'élixir de Myr, des prototypes plus particulier furent fait avec la totalité de leur pièce en bois et sans élément organique afin de tester et développer l'organisation interne du fusil afin de le rendre ergonomique et pratique. Ainsi que tester son fonctionnement mécanique pour le rendre aussi simple et efficace que possible.



Fusil à verrou

Myr - Fusil méthanique à un coup.png

Première génération

Après l'analyse des conclusion des prototypes le premier modèle destiné à l'utilisation fut conçu et confié aux mains expertes de la Section formique.


Appelé fusil à verrou par le besoin de fermer la chambre de la balle par un clapet se verrouillant par une tige. Fonctionnant tel qu'il faille après avoir fait feu réinsérer une balle dans sa chambre, puis après fermeture du clapet et de sa tige de verrou commander le remplissage de la chambre à gaz pour pouvoir à nouveau faire feu. Fonctionnement rendant ainsi l'arme uniquement capable de tirer qu'un seul coup à la fois et nécessitant un certain temps pour tirer le coup suivant.

Dans l'ensemble, le fusil méthanier offre à son opérateur une plus grande portée et une plus grande puissance de feu, mais afin de résister à la plus grande pression, toutes les parties sous son effet sont légèrement plus épaisse, ce qui en fait une arme à feu un peu plus lourde que ses homologues.


Structurellement dans cette exemple d'arme méthanique, on retrouve la boîte à tripes à l'horizontalement clipsée par des plaquettes de métal au dessous du corps du fusil après la gâchette. Ce positionnement nécessite lorsqu'il n'y a plus d'élixir de Myr dans le bouchon et qu'il doit être remplacé par un plein que la boite à tripes soit déclipsée afin de procéder au remplacement à la verticale pour ainsi éviter le risque que les tripes ne se détachent et tombent par gravité.


Seconde Génération

Ce modèle de fusil vu une demi décennie après son introduction des améliorations afin de réduire le temps entre tir. Avec l'instauration d'un petit clapet anti-retour à la sortie de la chambre à explosion permettant à l'opérateur de pouvoir remplir celle-ci sans avoir à placer une munition dans son emplacement pour fermer la chambre de détonation. Le second changement touche d'ailleurs cette emplacement de la munition, modifiant celui-ci avec un espace équivalente à la taille de la jupe afin de bloquer le cône à la fois en avant et en arrière, ne nécessitant donc plus d'avoir besoin de la pression du gaz pour bloquer la balle de reculer.


Un autre changement fut aussi apporté sur cette seconde génération du second fusil par une réduction de la circonférence des balles coniques, ce qui eu pour effet en plus de la réduction de matière nécessaire à une augmentation des capacités de l'arme.


Fusil à répétition

Conçut pour répondre aux soucis d'offrir la possibilité d'une plus grande capacité de tir. Le modèle dit de fusil à répétition issu du fusil à coup se différencie par le fait qu'il est capable d'offrir à son opérateur une capacité de feu plus importante en lui réduisant le temps de recharge de la chambre à gaz ainsi que la nécessiter de recharger dès le premier coup. Cette plus grande capacité passe par une multitude de changement effectué sur l'ensemble de l'arme.


La première amélioration passe tout simplement par la présence du chambre à gaz supplémentaire en parallèle de la première. La mise à feu indépendante des chambres se faisant avec un changement du mécanisme de tir de manière à ce qu'à la poussé de la gâchette le mécanisme alterne d'une tige de détonation à l'autre.


La seconde amélioration, celle d'éliminer le besoin de recharger directement après son premier coup passe par la création d'une sorte de boitier pré-remplissable de munition se clipsant et déclipsant au corps du fusil. Cette ajout ayant aussi nécessité comme le dernier la conception d'un système mécanique pour assurer que les munitions soient inséré de manière sûr dans l'emplacement de tir, ce qui est passé par le changement des changements au niveau du baril.


{A venir}


Canon

Myr - Canon méthanique .png

Le canon étant développé sur le modèle du fusil méthanique de seconde génération sous une forme d’artillerie lourde, l'ensemble des éléments se retrouve ici dans des proportions de trois à cinq fois supérieur tel qu'avec la longueur du canon et la chambre de détonation.


Faisant usage de munitions presque trois fois plus grandes que celles d'un fusil, propulsant celles-ci avec une grande puissance de feu à des distances importantes grâce à une plus grande chambre de détonation. Mais à l'instar du fusil à coup, la boîte à tripes plus grande est directement située derrière la chambre de détonation et se présente différemment que celle d'un fusil. Là où son bouchon servait directement de contenant à l'élixir de Myr, la boîte à tripes a dans le cas du canon un contenant propre pour la mixture. Celui-ci présent sur la face supérieure de la boîte à tripes afin qu'elle puisse être remplacer sans besoin d'autre manipulation.


A l'instar aussi du fusil, de part son poids il est pour un canon méthanier plus demandant de le manipuler. Pour garantir le maintien de tous les degrés de rotation, il existe différents systèmes en fonction de la surface sur laquelle le canon est érigé. Sur un point défensif fixe, des moyens classiques sont utilisés, en faisant usage de large engrenages reliés à des roues de manipulations.


Le second cas est celui de la plateforme dédié montée sur un obsidiant, et est plus unique sur plusieurs points. Pour la rotation horizontale, il n'y a pas de système, si cela est nécessaire le conducteur devra faire tourner l'obsidiant elle-même. Il y a deux raisons à ceci, la première étant que l'ensemble représente déjà un poids conséquent qui si un système de rotation devait être rajouté risquerait de représenter une charge trop importante pour l'obsidiant. La seconde raison étant que si le canon n'est pas aligné sur la longueur de la fourmi, elle lui sera beaucoup plus difficile de supporter le recul du canon au point où si elle est déjà incliné par le terrain elle pourrait perde accroche au sol. Pour le mouvement vertical, il se fait avec deux éléments équivalent à des tendons réalisés avec l'Alchimie Organique, tirant et poussant sur deux arbres de chaque bout du canon par rapport à son axe central.


De part sa taille, son utilisation nécessite un binôme pour pouvoir être manipuler et utiliser efficacement, avec une personne de chaque côté du canon.

Sur un point fixe mécanique, l'opérateur de droite a pour rôle la visée du le canon et la mise à feu. Pour aider dans cette tâche, le côté du canon est équipé d'un cadrant sur lequel sont marqués des gradients, indiquant avec une pièce fixe l'angle sous lequel le canon est actuellement réglé. L'opérateur de gauche a quant à lui pour rôle de remplir la chambre à gaz pour délivrer la puissance nécessaire et de recharger le canon. Il s'occupe aussi de remplacer la cartouche d'élixir de Myr.


Sur une obsidiant. Les rôles de l'équipage sont globalement les même que pour un point fixe, à l'exception faite que l'opérateur de droite gérant la visée du canon commande aussi le déplacement de l'obsidiant, que se soit en tant que son lien ou en donnant des ordres si celle-ci est issu d'un rituel complété. La raison étant que celle-ci étant la plateforme de tir et le système de disposant pas de rotation horizontale, il dépend donc de l'orientation de celle-ci pour cette rotation.


Que la canon soit mis fixe sur une position défensive, ou en mouvement sur une obsidiant, le duo d'opérateur sont toujours équipé quelque soit l'emplacement du canon d'une paire de cache oreille épaisse relié par un cadre en bois faite pour réduire l'impact du son assourdissant d'un tir de canon méthanique.


Trivia

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Articles connexes

Concernant directement Myr

Concernant indirectement Myr