Armure vivante

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Une vivante armure fait parti des produits les plus spécialisé de l'alchimie organique et ayant dans les fait le plus d'impact sur son utilisateur. Uniquement utilisé par les membres d'élites de la Déferlante Noire l'armée de Myr, faisant de ces derniers des sur-homme en leur offrant de multiple avantage tel qu'une plus grande force, rapidité, réactivité, perception et endurance. Ces avantages viennent cependant en retour de lourdes nécessités, au point où certaine personne ne peuvent en supporter le choc psychologique et physique dû à la façon par laquelle ces armures sont créés et agissent. Ainsi que du à la nécessité de l'armure d'être en interface directe avec son porteur qui comme le ferait une prothèse se connecte au système nerveux mais à l'échelle de tous le corps.


Description

Les armures vivantes suivent généralement le même style en terme de forme que celle de l'armure complète des myrmidons de la Déferlante tout en se différenciant en différents aspects. En commençant tout d'abord visuellement en étant plus proche des Obsidiant et Prothèse d'obsidiant de par leur couche protectrice chitineuse au teint violacé et aux joints de chaire pourpre, ce qui en fait à plus proprement parler des armures plus proches de l'aspect d'Alba, et non pas par hasard étant donné qu'elle était en soit avant d'évoluer la forme à l'origine du concept.


La seconde différence est celle de l'allure, les armures vivantes étant légèrement plus grande que l'armure complète standard et plus épaisses, voir développé tel que plus particulièrement le dos qui dispose de plusieurs emplacements pour des réceptacles d'Élixir du jabot, ces derniers servant notamment de source d'énergie lors que des efforts importants sont nécessaires ainsi que de source de matière si l'individu est équipé d'une des armes méthaniques profitant de la possibilité d'interface direct. L'une des possibilités les plus notables étant d'une part celle d’altérer certaine voie neurale afin d'incorporer au corps de l'arme méthanique un œil de visé qui pourrait être relié physiquement au système nerveux optique du lien pour améliorer la visé que se soit à la hanche ou à l'épaule


Fonctionnellement parlant, une armure vivante est tout d'abord capable d'offrir de plus grande capacité physique grâce au fait que la totalité des parois intérieures sont en faites entièrement tapissées de fibre musculaire venant ainsi complémenter la musculature déjà développé de son lien. Ce notamment sur les faces extérieures des membres suivant l'armature même de l'armure. Du côté de la réactivité, l'ensemble de l'armure étant en contact direct avec son lien l'envoi d'action à suivre pour ces muscles se fait tel que l'information soit directement reçu grâce à la télépathie réduisant d'une certaine manière le temps pris par le signale en l'appréhendant.


Concernant les sens, l'armure améliore la perception de son utilisateur grâce à l'interface de son système nerveux optique avec celui des pairs d’œils qui ponctuent la tête de l'armure, leur couleur étant parallèle à celle du lien . Après une période d'adaptation à la vision différent ainsi que le fait de changer de vision à la sortie de l'armure, un lien est pleinement en mesure de faire usage des yeux de l'armure. Lui permettant ainsi d'augmenter son champ de vision et de pouvoir en augmenter la perception des détails, ces derniers incorporant des éléments retrouvable dans le monde animal afin de les rendre plus efficace. L'un des éléments étant notamment des membranes nictitante qui permettent la protection des yeux durant des phases de combats des possibles coups et fragments qui pourraient être dirigé vers la tête.


De part sa nature enveloppant entièrement son lien, l'armure vivante scelle pratique de l'environnement extérieure son utilisateur afin d'assurer sa survie. Cependant ceci n'est pas une chose absolue dans plusieurs sens, nottament dans le cas de la respiration qui reste assurer par la tête avec la bouche derrière la plaque de la face pouvant s'ouvrir pour une forte respiration. Et plus calmement en restant dans un style de l'armure complète des myrmidons, où les parties de la visières représentant des mandibules ne sont pas lié sur l'arrière et laissent l'air rentrer et sortir sur l'arrière de la visière en plus de la partie basse, les mandibules de la tête présentent des troues équivalents.


Fabrication

La création d'une armure suit comme tout autre élément de l'alchimie organique les même principes en terme de besoin matériel et de méthode, à la majeur exception que lors des derniers moments de développement de l'organisme dans sa cuve, son lien devra rentrer seulement habillé d'un vêtement fin dans la cuve où se trouve son armure pour la réalisation de deux étapes importantes ainsi qu'uniques par leur risque de mort respectif.


  • -La première étant de rentrer dans l'armure, s'ouvrant sur l'avant tel une fleur, et se laisser envelopper par celle-ci pour qu'elle se mette naturellement aux proportions de son lien et soit ainsi tel une seconde peau en répartissant son poids, ses articulations et ses fibres musculaires aux bons endroits. Cette étape nécessite donc une importante préparation à la sensation de claustrophobie car dans le cas d'un coup de stress l'armure pourrait tuer sur le coup son lien en réagissant de manière instinctif à l'alerte quel reçoit de ce dernier sans en comprendre le sens conduisant à celle-ci contractant ses parois en réponse défensif ce qui pourrait conduire à un écrasement du lien dans sa propre chair. Durant cette étape le lien doit réaliser des séries de mouvements en suspension dans la cuve afin que l'armure enregistre physiquement l'étendue des mouvements qui doivent être rester faisable et continue le développement de ses plaques de protection de manière à surplomber les zones de joints.


  • -La seconde étape se présente comme l'étape d'interface entre le corps du lien et sa coquille vivante. L'armure va donc chercher de manière naturel les nœuds du système nerveux et procéder avec le corps du lien à une connexion en perçant tout d'abord les vêtements de celui puis en se frayant à travers de sa chair un chemin jusqu'à ces points neurales. Tout comme l'étape la précédant, celle-ci est tout autant risqué de part le fait que si la personne se mets à faire des mouvements brusques ils se pourrait que les liaisons en court soit ballottées et se retrouvent à envoyer des chocs dans tout le système jusqu'à possiblement endommager les nœuds nerveux du lien. La personne doit ainsi se préparer en amont à la douleur qui sera ressenti durant l'opération et encaisser celle-ci.


Afin d'aider il est généralement administrer des doses d’anesthésique afin de réduire la perception des sensations de douleur et donc réduire par conséquence les réactions instinctives de recul fassent à la douleur, ceci peut aussi aider pour l'étape précédente en faisant en sorte que le lien soit plus reposer. Dans l'idée de préparation, Alba soumet les possibles futur liens à des préparations pour la procédure en les enveloppant de son corps pour les préparer à la sensation d'encaissement et de seconde peau, ainsi qu'en leur envoyant grâce à l'immédiate proximités des signaux équivalents à ceux que leur corps leur enverra lors de perçage de la chair. Les trous dans les vêtements causés par la seconde étape dans la cuve ont par ailleurs une utilité par le fait qu'ils servent par la suite d'indications sur où sont à placer les troues dans la tenu du lien afin d'éviter le soucis de vêtement percé à chaque utilisation.


A la fin de ceux deux dernières étapes, l'armure est considéré comme étant faite cependant pas pour autant pleinement "acquise" de part le fait qu'elle nécessite une période d'adaptation pour son lien afin que celui-ci se familiarise pleinement à cette seconde peau et aux particularités qu'elle apporte. Au cours de la vie de son lien elle sera aussi amener à affiner ses formes pour suivre le développement musculaire de son lien.