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Astrid Beaumanoir

14 octets ajoutés, 8 février
C’est ici qu’un jour d'hiver, elle fit un pari avec quelques-uns de ses comparses, cherchant à voir qui oserait se rapprocher le plus des fortifications du Royaume de [[Glindelhall]] sans se faire tuer. le capitaine '''Jean Maguyard''' racontera plus tard qu’Astrid s’était tellement approché du mur que quand un carreau fut tiré depuis les remparts qu’elle ne fit que regarder l'arbalétrier droit dans les yeux pendant prêt d'un quart d'heure, avant de lentement faire demi tour et de retourner à la marche lente vers les bois. Personne n’osa encore l'appeler Blanquette, s’étant ainsi vu attribuée entre les aspirants le surnom de '''Banshee'''.
=== Stage - 4e Officier ===
Les cours de changement d’arme terminés, les aspirants furent envoyés dans différents régiments pour commencer leur stages d'entraînement, permettant ainsi de développer une expertise pratique en suivant l’exemple d’officier vétérans et compétant. A sa plus grande surprise, Astrid fut assigné au '''9e Dragons''', un régiment de cavalerie encore stationnée en Cerdène sur Oldmont comme force de surveillance. Bien que le voyage fut sans véritable complications, elle ne pouvait s'empêcher d’avoir un pressentiment qu’elle ne reverrait pas les terres impériales pour encore un long moment. Arrivant prêt d’un mois plus tard, sous la tutelle de la capitaine '''Apolline Gravoche''' de la '''4e compagnie''', elle mit en pratique son nouveau savoir académique. Sur le terrain, le 9e avait été stationné proche d’'''Ercoze''', une ville portuaire au large de la mer des Conflits. Pendant les 3 premiers mois, Astrid passait son temps à prendre en filature la capitaine et ses sous-officiers pendant qu’ils s’occupait d’organiser le ravitaillement des vivres pour la troupe ainsi, pris la relève pour le briefing des nouvelles recrues venant remplir les rangs de la compagnie, ainsi qu’assura en partie la communication avec les sergents et le reste de la troupe devenue plus morose de part la longue période sur le terrain sans pouvoir retourner au pays. Son jeune âge lui permit de rapidement mériter le respect de la jeune troupe, tandis que les vétérans, bien que certains faisaient les difficiles, comprirent rapidement qu’elle avait mérité sa place parmis les rang de sous-officiers, et rigolèrent ensemble autours du feu de camps les soirs en comptant leurs histoires de bravoure de la guerre de la 2e coalition.
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