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Campagne Verte

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"Le Maréchal Zorn est arrivé à toute allure, si bien que son cheval, exténué, s'est écroulé de fatigue. S'approchant du Général Lannes, il s'est alors exclamé : "Damnit ! J'ai bien cru que j'allais arrivé trop tard et que tu aurais déjà dévoré toutes ces bêtes. Me voilà rassuré, commençons notre besogne.""
Ghideon réunit l'état-major et distribue ses ordres. La division Lannes doit rester devant Rampare. Les combats se poursuivront le lendemain, en présence des deux autres divisions. La 2e et 3e division arrivent respectivement à 22h et 23h30. Elles sont disposées chacune sur un flanc de la ville. Les orques n'ont ainsi plus qu'une voix de retraite, surveillée et prête à être le lieu d'une charge de cavalerie si le besoin venait à se faire. Seule l'artillerie de la division Lannes continue de tirer jusqu'à 1h. Elle couvre ainsi l'arrivée et le positionnement des deux autres divisions. Au matindu 16 Nérévard, à 6h, quand le Soleil éclaire le champ de bataille, le commandement orque est réveillé par le feu& de six batteries d'artillerie et découvre son quasi-encerclement. Sa surprise est bientôt suivie de sa panique après qu'une premier déluge de boulets et obus balaye les ruines. Certains bâtiments, déjà fragilisés, s'écroulent et emportent avec eux des groupes entiers d'orques. A 6h30, la ville est enveloppée d'un nuage de poussière. Chaque division fait alors s'avancer trois colonnes. A l'Est de la ville, le Général Lannes mène le 1er et 2e de ligne, suivis des grenadiers et carabiniers du 4e, du 7e et du 1er léger. Au Sud, le Général Rollet précède les trois régiments d'infanterie étrangère, animés par la ferme volonté de reprendre leur capitale d'origine. Enfin, au Nord-Est, le Maréchal Zorn prend la tête des 1er et 2e impérial-grenadiers et du 2e de fusiliers-grenadiers, suivi du général Bondaulde et après avoir distribué ses dernières instructions.<br>
A 7h15, les colonnes avancent. Les tirs d'artillerie et la poussière ayant entourée les ruines rendent leur avancée indécelable. A 7h30, les neuf colonnes se jettent sur la ville, tandis qu'à son arrière, au Nord-Ouest, la brigade Nansouty et le "colonel-général" attendent. Dans les ruines, les orques n'ont pas le temps de réagir. Ils sont culbutés de tous côtés. Les fuyards s'entremêlent, échappent à une colonne pour tomber sur l'autre. Une centaine de monteurs orques réussissent à atteindre leurs montures et tentent une charge sur le 2e d'infanterie. Ils sont percutés à la perpendiculaire par le 2e bataillon du 1er hussard avant d'atteindre leur objectif. A 8h15, les forces orques se regroupent au Nord-Ouest de la ville, et se divisent en deux groupes. L'un sort des ruines par l'Ouest, l'autre par le Nord. Au Nord, les fuyards sont chargés par Nansouty, rétrogradent à nouveau dans Rampare et y sont cueillis à la baïonnette. Environ sept mille peaux-vertes parviennent à s'échapper. Dans la ville, les combats se finissent définitivement à 9h. Quatre mille orques sont morts pendant la bataille. Deux mille blessés sont trouvés, et exécutés. <br>
=== Bataille des Morts ===
'''{en cours Le 19 Nérévard, la brigade Srajo de rédaction}'''Le Corps poursuit les survivants la deuxième division arrive à 12h aux portes du Grand Cimetière, à la suite de la prise masse de Ramparepeaux-vertes en fuite. La poursuite lCe lieu, couvert d'amène au Grand Cimetièrearmoiries et ossements, lieu est le champ de la bataille ayant mené à l'ultime défaite du royaume de Belvy contre les orques, et à la chute de Rampare et des bourgs alentourssa capitale. La deuxième division pénètre brigade entre dans le cimetière. Srajo veut attaquer dès que possible les orques présents pour les forcer à l'arrêt. A 12h30, le contact avec l'arrière orque est commencé. La brigade renforce sa position et déploie ses pièces pour tenir les orques à distance. A 13h, toute la masse orque fait demi tour pour attaquer la brigade en nette infériorité numérique. Au même instant, à un kilomètre et demie, les deux autres brigades Wakouma et Bondaulde entrent à leur tour dans le contournecimetière. Pendant trente minutes, Srajo et ses hommes repoussent les assauts des peaux-vertes. Le 1er bataillon du 2e de fusiliers-grenadiers accueille à la baïonnette une charge orque et la repousse. Les légions hussards-vélites sont lancés à plusieurs reprises sur les flancs orques tenant pour éviter des débordements et l'encerclement de la brigade. A 13h30, Wakouma et Bondaulde déploient leurs brigades respectivement sur le flanc droit et gauche. A 13h45, les 1er et 2e de fusiliers-grenadiers, les 1er et 2e de tirailleurs-grenadiers et le Cimetière 2e "impérial-grenadiers" forment une longue ligne et font feu. Derrière, l'artillerie regroupe quatorze bouche à feu et est disposée en deux batteries de cinq canons et deux obusiers chacune. A 14h15, des monteurs orques se rassemblent en direction de l'aile gauche. Le général de division Degole fait mettre le 2e de tirailleurs-grenadiers et le 2e impérial-grenadiers en carrés bataillonnaires. Ghideon et son état-major arrivent peu après. A 14h40, les monteurs chargent les carrés et s'engouffrent entre. Ils sont poussées au repli décimés. Les peu d'entre eux qui parviennent à percer et cueillies rentrer dans les carrés sont abattus à l'intérieur. A 15h15, les forces orques reculent. Ghideon décide de ne pas les poursuivre. Il pense que les orques attendront la nuit pour partir dans l'obscurité, plutôt que d'être poursuivis à nouveau. C'est ce qu'il se passe. Pour autant, ils ignorent alors que la première et la troisième division sont arrivées vers 18h, et qu'elles encerclent la sortiedu cimetière. A 22h30, les peaux-vertes tentent de sortir. Elles sont accueillies par une gerbe de feu. Alors qu'elles tentent de rebrousser chemin, le Maréchal Zorn surgit sur un léger promontoire, sabre en main et s'écrit : "Pour l'Empire ! Tuez les tous !". Il charge alors suivi des deux régiments d'Impérial-Grenadiers. Dans la mêlée, environ deux milles orques parviennent à s'échapper. Les autres sont massacrés.
=== Bataille des Colonnes ===
'''{en cours de rédaction}'''Les survivants de Le 19 Nérévard au soir, le corps établit plusieurs bivouacs après la Bataille bataille des Morts conduise le Corps vers . Le 20 Nérévard au matin, des hussards sont projetés pour essayer de trouver la position supposée du reste trace des fuyards de la Hordeveille. Estimée Vers 13h, le groupe orque est repéré plus au même nombre que celle des Crocs Nord, le corps se met alors en marche. A la façon d'Acieravancer des orques, il ne lui Ghideon remarque que ceux-ci semblent se laisser poursuivre. Il en déduit que le corps est supposé que sept à huit mille guerriers restantsconduit vers une nouvelle force orque. OrPour autant, en vue des batailles gagnées depuis le début de Nérévard et donc des effectifs ennemis décimés, ce sont vingtil estime celle-cinq ci à dix mille orques qui dévalentpeaux-vertes environ, confiantesau plus.<br> Après plusieurs jours de poursuite, le 26 Nérévard, le corps atteint à midi le bas d'un ensemble de grandes collines. Les divisions sont arrêtées à quelques kilomètres pour pouvoir au besoin faire tirer l'artillerie sur les collines pentes. La deuxième division (division Degole) est disposée au centre, la première (division Lannes) sur l'aile droite et la troisième (Division Rollet) sur lesquelles sont arrivées l'aile gauche. La réserve comme à son habitude est arrêtée derrière le centre. A 13h, de lourds tambours se font entendre par les divisions troupes de la Garde. Peu de temps après, une nuée verte est aperçue à l'horizon et avance. Plus de six mille orques dévalent les pentes des collines, en une épaisse masse. L'artillerie est mise disposée en trois grandes batteries . A 13h30, une cinquantaine de pièces se tiennent prêtes à faire feu. Derrière, sur le sommet des hauteurs, une nouvelle nuée fait son apparition. C'est plus qu'une quinzaine de milliers d'orques qui s'avancent alors au loin, à la surprise de l'état-major. Sur l'aile gauche, des monteurs orques sont repérés tentant d'approcher la deuxième batterie. Le 2e de chevau-légers, équipé de lances et le 1er de dragons sont envoyés en leur direction. A 13h45, la première nuée orque n'est plus qu'à un kilomètre du dispositif de la Garde, et tire au bouletsemble s'amasser pour attaquer le centre. Ghideon veut profiter de son espacement avec le reste des guerriers pour la faire débander, puis se redéployer pour faire face ensuite à la deuxième attaque. Sous les ordres du maréchal, le colonel Pernetti prépare à faire charger la première batterie située au centre à la mitraille, après qu'elle ait tiré de premiers boulets ronds. Le choc est inévitable, l'état-major le sait. Malgré le travail de l'artillerie, la troupe ennemie est trop dense pour être brisée. Ghideon fait alors mettre en colonnes les six régiments d'infanterie de la division Degole. Sur chaque flanc de la division, les brigades Esperey et Ney se préparent à avancer et faire feu sur les cotés ennemis. A 13h50, les chevau-légers du 2e chargent de plein fouet les monteurs orques, lances en main. Ceux-ci sont immobilisés. Derrière, le 1er de dragon se scinde en bataillons. Le premier rejoint la mêlée, et permet le recul des chevau-légers, leur travail de choc étant fait. LLes deux autres s'avancée écartent vers la gauche et la droite, et chargent de flanc le groupe orque . Après plusieurs minutes de combat, les monteurs sont débandés. A cinq-cents mètres du centre, le premier groupe orque essuie lui les tirs de la première batterie d'artillerie et est stoppée nettroué de toutes parts. A 14h, il n'est plus qu'à soixante-quinze mètres de la batterie, et des colonnes. Plusieurs orques semblent alors s'avancer. Un aide de camp du maréchal Zorn relate la scène :<br> "La majorité cinquantaine d'orques qui s'avança semblait différente des troupes sont mises autres guerriers. Pour seul habit une sorte de tunique, ils portaient des colliers et bracelets d'os. Certains tenaient en main des bâtons. Ils commencèrent à agiter leurs bras, et brailler dans un de ces dialectes incompréhensibles. Nous comprirent plus tard qu'il s'agissait de shamans, de puissants sorciers orques. Qu'importe, leur comportement agaça rapidement le Maréchal, qui fît un signe de tête au colonel Pernetti. Les vingt bouches à feu de la batterie ouvrirent le feu à la mitraille. Des shamans et de l'avant orque, il ne resta rien."<br> A la suite des premiers tirs à la mitraille, les colonnesd'infanterie, menées par Ghideon se mettent en marche. Mise en choc par la perte ridicule de leurs shamans, les plus sages et puissants de leurs tribus, et chargentles tirs d'artillerie, appuyées la nuée orque est culbutée en douze points (chaque régiment ayant formé une colonne par bataillon). Ses guerriers débandent sur le moment. Après s'être éloignés, une partie d'entre eux tente de se regrouper. Les régiments d'infanterie des charges brigades Esperey et Ney ouvrent le feu et achèvent de flanc détruire leur volonté de se battre. Derrière, la cavalerieseconde nuée orque s'arrête et fait demi-tour. Le choc contraint au recul commandement orque ne veut pas jeter à nouveau tous ses guerriers, et comprend que les attaques de masse ne fonctionnent pas. Il fait retraiter en pseudo-ordre ses troupes. Il veut tenter de gagner le Sud, poursuivi par le corps l'Infernal, là où toutes les orquesautres hordes se sont déjà amassées. Le reste La cavalerie légère élimine une partie des fuyards de la Horde parvient à se replier première nuée. A 16h, la bataille est terminée. L'état-major accorde au corps un peu de manière plus ou moins organiséerepos jusqu'au lendemain matin
=== Combats du bois des Caures ===
 [[Fichier:Ghideon_boisdescaures.jpg|300px|thumb|right|Le Général Zorn au bois des Caures.]]  Le 27 Nérévard à 6h, l'Infernal reprend sa route à la suite de la Horde orque. Le 30 Nérévard, celle-ci s'engouffre dans le bois des Caures, énorme forêt étendue sur des dizaines de kilomètres. Arrivé à son orée, la troisième division forme une avant-garde et fait rentrer son infanterie. Le reste de la division (cavalerie et artillerie) et les divisions Lannes et Degole contourne la forêt par le Sud et le Nord. <br> A 10h30, le 32 Nérévard, l'{avant-garde entre en cours de rédaction}contact avec l'arrière garde orque. Elle est alors composée du 2e d'infanterie étrangère, du 1er bataillon du 2e d'infanterie réserviste et de deux-cents dragons de Filranmel démontés. L'Escarmouches entre larrière-garde ennemie est elle estimée à trois mille guerriers, et cinq cents lanceurs de javelots. L'avant-garde , disposée pour du Corps tiraillement, ouvre le feu et force le déploiement de l'arrièregarde orque. A 11h, cinq cents orques se jettent sur l'aile gauche de l'avant-garde . Celle-ci recule pour continuer à tirer, avant de les repousser à la Horde des Gueules de Dragonbaïonnette. Les combats continuent jusqu'à 13h. Le 1er et 3e d'infanterie étrangère, le 1er d'infanterie réserviste et le 2e bataillon du 2e d'infanterie réserviste arrivent alors, menés par le Maréchal Zorn. Celui-ci ayant fait distribuer ses instructions avant d'entrer dans les bois.  
=== Bataille des Cendres ===
Dans le bois des Caures, Ghideon fait déployer le 1er et 3e d'infanterie étrangère, respectivement sur l'aile gauche et droite. Les troupes réservistes tolwhigiennes sont gardées à l'{en cours de rédaction}arrière du centre. Le soudain surnombre des gardes fait reculer l'arrière garde orque. La poursuite est engagée toute la journée. Le lendemain, le 33 Nérévard au matin, l''L'avant-arrière garde, appuyée orque sort de la forêt et est rattrapée par les deux premières brigades forces de la troisième division, Garde. Le Maréchal Zorn fait mettre en colonne le 1er d'infanterie étrangère et le 1er de réservistes et perce à leur tête le groupe orque. La ligne de feu du centre et de l'aile droite achève le travail et met en débandade l'arrière-garde orque et contraint ennemie à 9h. A 9h15, la Horde, dont la dénomination est retenue comme "la Horde à des Gueules de Dragon", fait déployer des troupes sept mille peaux-vertes pour faire faceà l'avancée de la Garde, et couvrir la retraite du reste de ses effectifs. La première A 10h, la cavalerie et deuxième l'artillerie de la division débouche Rollet rejoignent son infanterie. Les pièces à pieds de chaque côté l'artillerie sont déployées. A 10h30, les divisions Lannes et Degole débouchent de part et d'autre de la forêt, menacent et avancent sur les flancs orques et fait . Le corps progresse alors sur les orques qui lui font face. A 12h, la Horde est contrainte à s'arrêter engager au complet dans la bataille. <br> Le champ de bataille se situe sur une large plaine, délimitée à l'Est par le bois des Caures, au Sud par une vieille route et se déployer la Horde au Nord par le village de Nore. A 12h30, les orques sont dans sa totalitéune situation difficile. Après Leurs troupes ont du avancer sous le feu de l'artillerie, et leur déploiement tardif leur a couté plusieurs heures centaines de combatcombattants. Pour autant, les combats s'éternisent. Les trois divisions de la Garde se sont cette fois déployées sous les yeux orques, et aucun renfort n'est à attendre pour surprendre l'ennemi sur un flanc. De 13h30 à 15h le village de Nore est le Maréchal Zorn ne parvient pas lieu de répétés combats à faire flancher la bataille l'arme blanche, sans qu'un camp puisse s'en rendre maître. Cette fois-ci, l'état-major orque limite les charges suicidaires, si bien que sa faveurformation tient tête à celle de la Garde. A 16h, voyant que la situation n'évolue toujours pas, le Général Zorn remarque que le vent a tourné et qu'il souffle à présent vers l'Ouest. Il fait reculer le ordonne un recul organisé du centre dans le bois des Caures, et un semblant de repli dans la forêt et envoie recul des messagers vers la flancs gauche et droit en extérieur de la droite pour donner ses instructionsforêt. Aux yeux de l'ennemi, le mouvement paraît être celui d'un repli. Le gros du dispositif orque Exaltés par ce qu'elles appellent déjà une victoire, les troupes orques s'engouffre engouffrent en cohue majorité dans les bois à la poursuite de la forêtdivision Rollet. Plus tardA 17h15, Zorn fait s'arrêter ses troupes, la division et fait allumer une ligne demande à ce que des feux soient allumés partout devant. En moins de feu devant ellesquinze minutes, l'incendie devient incontrôlable. Le vent pousse le feu un mur de flammes sur les orquesla Horde, affolée. A l'extérieur de la forêtdu bois, les orques restants sont isolés divisions Lannes et Degole avancent à nouveau et massacrésécrasent les unités ennemies qui n'étaient pas entrées dans le bois. Les survivants du feu L'artillerie est déployée en lisière de la forêt sont attendus sous une pluie de balles et . La mitrailleaccueille les survivants des flammes. La Horde A 19h, la bataille est entièrement massacréegagnée.
== Manœuvre des Braves ==
Avancée audacieuse du A la suite de la bataille des Cendres, le Maréchal Zorn fait mettre l'Infernal se met en bivouacs, et envoie plusieurs groupes d'éclaireurs au Sud. Entre le Corps et les éclaireurs, des petits relais sont installés, pour parvenir à faire face à fournir les cavaliers en chevaux frais, et accélérer l'arrivée des informations. Ainsi, l'Infernal reste en bivouac du 34 Nérévard au 47. Durant ce temps, les éclaireurs envoyés ont rapportés l'installation d'orques dans plusieurs ruines, mais n'ont remarqué aucun grand mouvement de troupes. Pour Zorn, le Sud est bel et bien le lieu de rassemblement de la Grande Horde dans la vallée . Il veut faire manoeuvrer le plus rapidement le Corps pour enlever le plus d'orques possibles avant que ne ceux-ci ne rassemblent en une grande masse. Le 48 Nérévard, les trois divisions de l'Infernal se mettent en marche pour le Sud et traversent les grandes falaises. Passée cette étape, les vingt-cinq mille gardes de l'Infernal se retrouvent au Sud du milieu d'un territoire de Belvysous possession d'un ennemi d'un deux à trois fois plus nombreux.
=== Combats d'Obre ===
Les combats d'Obre sont à l'origine de la mise à l'honneur par le Général Zorn du 1er de dragons et du 2e de chevau-légers après la campagne Verte. Le 48 Nérévard, le corps a pour instruction de filer vers l'Est. Pour autant, le bourg d'Obre, à l'Ouest, a été pointé comme abritant une force d'environ trois mille peaux vertes. Pour que l'action soit rapide, Zorn fait réunir les officiers des deux régiments de cavalerie, leur donne ses directives par papier, et leur annonce "Prenez vos cavaliers, six pièces d'artillerie à cheval et pacifiez moi ces ruines." La brigade provisoire arrive aux abords du bourg le 48 au soir, et se met en bivouacs derrière un repli de terrain, au Nord-Est. Le lendemain matin, l'artillerie est déployée à 7h en une unique batterie plus à l'Est et pilonne Obre. Les dragons du 1er démontent, et s'approchent des abords du bourg à 7h30. A 7h45, l'assaut est donné, ils attaquent au mousqueton de premières rues. Les orques, d'abord repoussés sous le feu, chargent. Sous le couvert de l'artillerie, le 1er effectue un mouvement de recul sans cesser le feu, digne de tirailleurs et parvient jusqu'au repli de terrain où étaient attachés leurs chevaux. Quand les peaux vertes arrivent au sommet du repli, ils sont chargés par six cents dragons à cheval. La surprise est totale. Après plusieurs minutes de mêlées, ils sont à nouveau chargés sur chaque flanc par les chevau-légers lanciers et débandent. Les survivants sont poursuivis et sabrés jusqu'à 11h, puis la brigade plie bagage. Elle rejoint sa division au soir.
 
 
=== Combats de Graisier ===
Le 52 à 13h, la division Degole arrive en vue du bourg de Graisier. La présence orque sur place ayant été estimée faible une semaine plus tôt par les éclaireurs, la division avait reçu pour ordre de prendre le bourg. Le Général Degole fait placer son artillerie en une unique batterie de quatorze bouches à feu à l'Ouest, sur une surélévation du terrain. A 14h, les première et troisième brigades sont lancées à l'assaut du bourg. Mais, à mi chemin, à la surprise de l'état-major divisionnaire, des détonations surviennent : la brigade Srajo essuie des tirs de boulets en provenance du Sud-Est. Le Général Srajo réagit rapidement, et la 4e et 5e compagnie de hussards vélites s'élancent en direction des tirs. Degole fait envoyer à leur suite un bataillon de cavalerie colonel-général. Aux abords de Graisier, les brigades poursuivent leur marche. A 14h30, avant qu'elles puissent atteindre le bourg, ce sont les troupes orques qui en sortent. S'attendant à une charge ennemie, Srajo et Wakouma mettent en place une première ligne de feu. Longue vue en main, l'aide de camp de Wakouma lui signale alors que les guerriers orques n'ont pas de haches en main, mais ce qui semble être des arquebuses. C'est la première fois dans la campagne qu'une arme à feu est vue dans les mains d'une peau verte, ce qui déstabilise quelque peu les deux généraux. Informé cinq minutes plus tard, Degole fait mettre en marche la brigade Bondaulde pour rejoindre le front. En parallèle, les hussards vélites atteignent l'artillerie ennemie, défendue par une centaine de monteurs orques. Rejoins par le bataillon de cavalerie colonel-général, les cavaliers chargent. En supériorité numérique, les gardes encerclent rapidement les monteurs et les défont. Peu de temps après, l'artillerie orque est tue. A 14h45, de premiers échanges de tirs ont lieu entre les première et troisième brigade et la masse verte. Si les tirs orques sont imprécis, le conflit n'a jusque là connu aucune intensité de feu comparable. Presque poussés par la masse orque qui ne cesse de gonfler, la ligne de feu des deux brigades tient. Elle est rejointe trente minutes plus tard par la brigade Bondaulde sur son flanc droit. Le 2e de tirailleurs-grenadiers ouvre alors le feu sur le côté ennemi. A gauche, les 1ère, 2e et 3e compagnies de hussards-vélites, épaulées par les 4e et 5e de colonel-général chargent. Compressés, les orques se replient dans Graisier. Il est 16h40. Le Général Degole décide d'attendre avant d'attaquer le bourg. Il continue son bombardement dessus. A 18h, la brigade Ney arrive sur le champ de bataille. En effet, plus tôt, entendant au loin les tirs d'artillerie, le Général Lannes n'y avait pas reconnu que le bruit de canons de la Garde. Il avait alors pris l'initiative de faire marcher ses troupes au canon. Ney fait déployer ses six bouches à feu en une deuxième batterie. A 19h45, alors que la brigade Desaix arrive sur le champ de bataille et déploie son artillerie, 4 colonnes d'infanterie, de mille cinq cents à plus de deux mille gardes chacune, attaquent simultanément les ruines du bourg. Débordées, et éprouvées par l'artillerie et les précédents combats, les peaux vertes sont débandées puis massacrées. A 20h30, Graisier est totalement entre les mains de la Garde. Le Général Zorn, informé de l'équipement improbable des troupes orques arrive sur place au soir, vers 21h30. Il inspecte l'artillerie ennemie, puis ses arquebuses. Consterné, il constate l'équipement n'est pas bâtard mais semble avoir été produit en série.
 
 
=== Passage de la Veilleuse ===
Le 56 Nérévard, l'ensemble de l'Infernal arrive en bordure de la Veilleuse, fleuve de quarante mètres de large le séparant du reste des forces orques. Le seul pont traversant le fleuve saboté, la Garde n'a pour seule option que de faire travailler ses pontonniers. En face, plusieurs milliers de peaux vertes narguent le corps, prêtes à ouvrir le feu sur le moindre ouvrir. Déployées en deux grande batteries à 13h, l'artillerie du corps a vite raison de l'enthousiasme ennemi. Sous le couvert des tirs de boulets, des bouches à feu sont déployées au bord du fleuve et chargées à la mitraille. Rapidement, arrosées, les troupes orques reculent. Du 56 au 58, les pontonniers bâtissent deux ponts de bateaux sur la rive. Ceux-ci doivent permettre la traversée du corps dans son intégralité. Le 59 au matin, toujours sous le couvert de l'artillerie, ils sont déployés sur l'eau. A 12h, le Général Zorn prend la tête de la brigade Desaix qui traverse la Veilleuse. Elle se dispose de manière à tenir la position le temps que le reste du corps traverse. Le premier de dragon se tient sur l'aile droite de la ligne, prêt à intervenir. De premiers canons sont déployés et chargés à la mitraille. A 13h, un premier assaut orque est lancé. De premiers échangent de tirs ont lieu à 13h20. Les tirailleurs des 1er et 2e de ligne sont réunis en un bataillon, et se disposent de manière à ouvrir le feu sur le flanc droit adverse. Après plusieurs volées de tirs, la mitraille a raison de l'assaut. A 15h, une nouvelle attaque orque se jette sur les troupes de la Garde. La division Glavalis vient alors de finir de traverser le pont. Les brigades Ney et Lecourbe viennent s'adjoindre à la brigade Desaix. Une vingtaine de bouches à feu sont alignées et ouvrent le feu en batterie. A 15h30, division dans son ensemble avance sous le couvert des boulets. Quatre régiment de lignes sont au front, tandis que le 7e de ligne reste en réserve. Le Général Zorn, en première ligne, analyse la situation. Quelques cinq mille orques s'avancent. Plus loin, un masse deux à trois fois plusieurs nombreuse s'organise. A ses côtés, à la longue vue, le Général Lannes lui fait remarquer des pièces d'artillerie sont mises en batterie du côté de l'ennemi. Plutôt que de faire allonger encore plus sa ligne, Zorn fait demander la traversée immédiate de la brigade Nansouty, du colonel-général, du 1er de dragons de Filranmel et de l'artillerie à cheval restante. A l'avant, le flanc gauche est engagé avec les troupes orques. Les tirailleurs et le 1er d'infanterie légère, menés par Lecourbe, tiennent tête aux peaux vertes. Après des échanges de tirs, Leourbe fait faire charger le 2e bataillon du 2e de chevau-légers, lances en main, sur le flanc ennemi. Au centre, le feu est ouvert à 16h. Le Général Zorn fait avancer ses lignes tout en réunissant sous sa main quatre compagnies de grenadiers. A leur tête, il ordonne la charge. Le centre ennemi, contacté, plie. Ce recul amène à la débande du flanc droit orque, déjà en mal face aux lanciers de la garde. La cavalerie de Lecourbe poursuit les fuyards, tandis que l'infanterie se referme sur les unités ennemies encore debout. A 17h, les combats sont terminés. La division Glavalis est alors à deux kilomètres des ponts. Derrière elle, plus de deux mille cavaliers attendent, bientôt rejoints par le 1er de dragons. Une deuxième batterie d'artillerie est formée sur le flanc gauche avec dix bouches à feu. Enfin, la Division Rollet commence à arriver de l'autre côté de la rive. Celle de Degole, plus expérimentée, couvre l'arrière du corps avec la Vieille Garde.<br>
 
A 17h30, l'artillerie orque ouvre le feu. Zorn ordonne à ce que la division Glavalis avance, et à ce que les troupes de Degole se positionnent sur son flanc droit. La masse orque elle, organisée en deux lignes maladroites, avance aussi, en supériorité numérique. Le Général Zorn fait parvenir un ordre au Général Nansouty :<br>
 
"Réunissez les cavaliers que vous avez sous la main, percutez les rangs ennemis, faites taire leurs canons et revenez à moi. Vive l'Empire."<br>
 
A 18h, les deux camps ne sont plus qu'à cinq cent mètres l'un de l'autre. Nansouty, suivi de deux mille cinq cents cavaliers, disposés en deux lignes, s'avance au devant des lignes. La charge est donnée. La première ligne de cavaliers écrase les rangs orques, puis peine à traverser la deuxième. La deuxième ligne, composée de cuirassiers, arrive à sa suite et ouvre le chemin au sabre. Derrière les lignes ennemies, les cavaliers reforment leur rang tandis que les dragons de Filranmel continuent leur avancée pour prendre l'artillerie orque. Le centre orque lui, est désorganisé et à moitié anéanti. Sur le flanc droit, les premiers fantassins de Rollet arrivent et font pression sur les rangs orques. Du flanc gauche au droit orque, le moral baisse : le gauche est prise avec les renforts de Rollet, le centre a été presque détruit, le droit subit les tirs de vingt bouches à feu, tandis qu'à l'arrière, l'artillerie orque ne supporte plus l'avancée de ses fantassins. A l'arrière, les cavaliers de Nansouty s'avancent à nouveau, cette fois vers la gauche orque. De l'autre côté, le 1er de cavalerie étrangère se prépare aussi à la charge. A 18h50, le flanc gauche orque est percuté par l'arrière et l'avant par la cavalerie. Il débande, et entraine avec lui le centre. Le flanc droit lui, tient un peu plus. Les trente bouches à feu de l'artillerie se concentrent alors dessus. Des groupes entiers sont fauchés pendant que, de part et d'autre, l'infanterie se referme sur la formation orque. Celle-ci débande. Il est 19h30, la voie est ouverte pour les troupes de la Garde.<br>
 
A l'arrière, la division Degole et la Vieille Garde ont fini de traverser les ponts, qui sont ensuite retirés. Le Général Zorn annonce alors à ses officiers la manœuvre qu'ils devront exécuter le lendemain matin.
 
=== La percée des Valeureux ===
'''{en cours de rédaction}'''
Au matin du 60 Nérévard, la Campagne Verte approche de son dernier acte. La suite est événements est claire pour le Général Zorn, aussi confiant qu'à l'habitude. Pour autant, au lendemain de la traversée de la Veilleuse, il connait sa situation : l'ennemi est partout. Des masses de 5000 à 10 0000 peaux vertes encerclent l'Infernal de part et d'autre. La manœuvre que veut effectuer Zorn est simple : il ne veut qu'à aucun moment le corps ne s'arrête avant d'avoir atteint la vallée au Sud de Belvy, lieu où il suppose le rassemblement orque. Les divisions doivent manœuvrer, affronter en supériorité l'ennemi en plusieurs points pour lui ôter le plus de troupes possibles, puis continuer à avancer. S'arrêter serait mourir en laissant le temps aux différentes troupes orques de tomber sur le corps en plusieurs points.<br>
 
 
 
 
Avancée en "pieuvre" jusqu'à la vallée rouge (regroupement quand il le faut, projection sur des morceaux de forces ennemies, re regroupement ,etc...)
 
=== Bataille de la Vallée Rouge ===
'''{en cours de rédaction}'''
Bataille finale. Utilisation de la Vieille Garde. Arrivée de la flotte + Pencroff + troupes restantes des maréchaux + fusiliers marins + quelques conscrits
 
= Conséquences =
'''{en cours de rédaction}'''
Les sales nains de la Maur'Ya, après avoir lâchement abandonné leur allié le Royaume de Belvy aux mains orques, tentent de lui prendre ses anciennes terres. La Garde force l'entrée de leurs mines et les massacre jusqu'au dernier.
Lettre aux troupes du Général Zorn après la trahison de la Maur'Ya :<br>
 
"C'est enfin vos lauriers qu'ils veulent arracher de votre front. Ils veulent que nous évacuions Belvy à l'aspect de leur armée ! Les insensés ! Qu'ils sachent donc qu'il serait mille fois plus facile de détruire la grande capitale que de flétrir l'honneur des enfants de l'Empire ! Soldats, il n'est aucun d'entre vous qui veuille retourner en Stendel par un autre chemin que celui de l'honneur. Nous ne devons rentrer que sous des arcs de triomphe !"
= Description =
'''2e Division : Division ???Degole<br>
''Composée de la Division Zorn et de la brigade d'Esperey.<br>''
- Régiment de la Vieille Garde à cheval<br>
==== Troupes débarquées à la Vallée Rouge ====
 
'''Division de renfort : Division Pencroff<br>
''Composée de fusiliers marins de la Garde et de cavalerie issue du Corps des Maréchaux.<br>''
 
* 1ère brigade :
- 1er de fusiliers marins<br>
- Régiment de Maréchal-hussards<br>
 
* 2e brigade :
- 2e de fusiliers marins<br>
- Régiment de Threa-thaesi Dragons<br>
- Régiment de Maréchal-cuirassiers<br>
=== Union des Clans ===
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