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Campagne Verte

2 octets ajoutés, 1 mars 2021 à 17:32
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Depuis 242, le bataillon d'exploration concentre ses explorations sur la possible provenance des orques de la bataille Verte, poussant chaque expédition plus loin encore des frontières impériales au prix souvent de lourdes pertes. Au début de Radévard 258, le bataillon parvient sur la région de Belvy par l'Ouest et commence la cartographie de ces terres encore inconnues. Il traverse rapidement de premières ruines de villages et fermes, puis de bourgs. Son commandant, l'officier Daucy, se rend vite compte qu'une puissante force est à l'origine de ces ravages. Le bataillon continue sa route vers l'Est et fait état de la désolation de la région. A la mi Radévard, il est témoin de mouvements orques aux abords de l'Inébranlable, et assiste de loin à un assaut sur le passage de Beltour, position fortifiée humaine et seul accès aux restes du Royaume de Belvy. Daucy sait alors que la mission du bataillon a enfin été remplie : la menace verte a été trouvée. Il sait cependant aussi qu'il lui faut à présent gagner le Nord et en informer l'état-major. Après consultation de l'état-major du bataillon, il est décidé de piquer vers le Nord, et tenter la traversée des montagnes, chemin dangereux mais le plus court. Daucy ignore à ce moment que ses troupes ont été repérées.<br>
Après trois jours de marche, des éclaireurs alertent quant à l'avancée de deux colonnes orques dans leur direction. Le bataillon manœuvre à la hâte pour se diriger vers l'EstOuest, d'où il est arrivé, mais d'autres troupes y sont repérées. Daucy se rend rapidement compte qu'il a été repéré depuis un moment, et qu'il se fait encercler. Il décide de mettre le bataillon en ordre de bataille mobile : les compagnies se tiennent prêtes au contact mais continuent d'avancer. La percée est la seule option restante en vue du rapport du rapport de force disproportionné. Les positions sont étendues sur un kilomètre et les compagnies déployées pour du tiraillement le 61 Radévard à l'approche des colonnes ennemies. Daucy veut dans un premier temps forcer les colonnes à se mettre en ligne, puis resserrer ses rangs pour traverser rapidement. Le temps presse d'autant plus qu'autres colonnes sont en marche, à l'Est, à l'Ouest et au Sud.<br>
Le 62 Radévard à 14h, le bataillon entre en contact avec une première colonne d'environ deux mille orques qui plutôt que de se déployer en ligne se divise en trois colonnes plus courtes et continue son avancée sous le feu. Daucy est forcé de faire reculer en ordre ses hommes. A la tombée de la nuit les combats sont cessés. Si le contact au corps à corps a été évité, une autre colonne a rejoint la première pour faire face au bataillon. Jusqu'au 1er Tronvard, les gardes tiennent farouchement leur ennemi à distance et manœuvrent avec fluidité sous les instructions de leurs officiers. Les quelques assauts lancés sont repoussés par la cavalerie. Mais au soir, le bataillon est définitivement encerclé par un total de six colonnes. Au matin du 2 Tronvard, quand le Soleil se lève, il éclaire un ridicule point noir de bicornes au milieu d'une étendue verte : le bataillon est en carré, sa cavalerie restante en son centre. Daucy s'adresse au lieutenant Aisier, à la tête de la compagnie de hussards depuis la mort de son capitaine :<br>
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