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'''{en cours de rédaction}'''<br>La première Le 15 Nérévard, la division Lannes arrive à devant Rampare et fait face , l'ancienne capitale du royaume de Belvy. Devant les troupes se trouve alors une cité réduite à une partie de néant. Les éclaireurs repèrent rapidement la Horde des Gueules de Dragonprésence d'orques, en grand nombre. Elle tient Une première estimation est faite à huit mille, mais l'ennemi dans les ruines avant létat-major divisionnaire en suppose le double. A 15h, L'arrivée artillerie est disposée en deux batteries et ouvre le feu, mais la taille imposante de la troisième puis la deuxième divisionville réduit son utilité et ses dégâts. Le Corps1er léger ainsi que huit cents voltigeurs tirés des régiments de ligne sont réunis et envoyés tirailler les abords des ruines, réunile Général Lecourbe à leur tête. Quelques tirs font mouche, force le chemin dans mais les ruines orques se cantonnent à leur position conscients des erreurs commises à Saulin et massacre les orques présentsNarnin. Un quart des forces orques parvient A 16h30, le Général Zorn arrive sur le théâtre avec son état-major et le régiment de Vieille Garde à se repliercheval.Un aide de camp du Maréchal rapporte :

"Le 15 NérévardMaréchal Zorn est arrivé à toute allure, si bien que son cheval, exténué, s'est écroulé de fatigue. S'approchant du Général Lannes, il s'est alors exclamé : "Damnit ! J'ai bien cru que j'allais arrivé trop tard et que tu aurais déjà dévoré toutes ces bêtes. Me voilà rassuré, la commençons notre besogne."" Ghideon réunit l'état-major et distribue ses ordres. La division Lannes arrive doit rester devant Rampare. Les combats se poursuivront le lendemain, len présence des deux autres divisions. La 2e et 3e division arrivent respectivement à 22h et 23h30. Elles sont disposées chacune sur un flanc de la ville. Les orques n'ont ainsi plus qu'ancienne capitale du royaume une voix de Belvy. Devant les troupes se trouve alors retraite, surveillée et prête à être le lieu d'une cité réduite charge de cavalerie si le besoin venait à néantse faire. Les éclaireurs repèrent rapidement Seule l'artillerie de la présence ddivision Lannes continue de tirer jusqu'orques, en grand nombreà 1h. Une première estimation est faite à huit mille, mais Elle couvre ainsi l'état-major en suppose arrivée et le doublepositionnement des deux autres divisions. LAu matin, à 6h, quand le Soleil éclaire le champ de bataille, le commandement orque est réveillé par le feu& de six batteries d'artillerie et découvre son quasi-encerclement. Sa surprise est disposée en deux batteries bientôt suivie de sa panique après qu'une premier déluge de boulets et obus balaye les ruines. Certains bâtiments, déjà fragilisés, s'écroulent et ouvre le feuemportent avec eux des groupes entiers d'orques. A 6h30, mais la taille imposante ville est enveloppée d'un nuage de poussière. Chaque division fait alors s'avancer trois colonnes. A l'Est de la ville réduit son utilité , le Général Lannes mène le 1er et ses dégâts. Le 1er léger ainsi que huit cents voltigeurs tirés des régiments 2e de ligne sont réunis , suivis des grenadiers et envoyés tirailler les abords des ruinescarabiniers du 4e, le Général Lecourbe à leur têtedu 7e et du 1er léger.Au Nord-Est, la divisi