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Campagne Verte

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=== Bataille des Morts ===
Le 19 Nérévard, la brigade Srajo de la deuxième division arrive à 12h aux portes du Grand Cimetière, à la suite de la masse orque de peaux-vertes en fuite. Ce lieu, couvert d'armoiries et ossements, est le champ de bataille ayant mené à l'ultime défaite du royaume de Belvy contre les orques, et à la chute de sa capitale. La brigade entre dans le cimetière. Srajo veut attaquer dès que possible les orques présents pour les forcer à l'arrêt. A 12h30, le contact avec l'arrière orque est commencé. La brigade renforce sa position et déploie ses pièces pour tenir les orques à distance. A 13h, toute la masse orque fait demi tour pour attaquer la brigade en nette infériorité numérique. Au même instant, à un kilomètre et demie, les brigades Wakouma et Bondaulde entrent à leur tour dans le cimetière. Pendant trente minutes, Srajo et ses hommes repoussent les assauts des peaux-vertes. Le 1er bataillon du 2e de fusiliers-grenadiers accueille à la baïonnette une charge orque et la repousse. Les hussards-vélites sont lancés à plusieurs reprises sur les flancs orques pour éviter des débordements et l'encerclement de la brigade. A 13h30, Wakouma et Bondaulde déploient leurs brigades respectivement sur le flanc droit et gauche. A 13h45, les 1er et 2e de fusiliers-grenadiers, les 1er et 2e de tirailleurs-grenadiers et le 2e "impérial-grenadiers" forment une longue ligne et font feu. Derrière, l'artillerie regroupe quatorze bouche à feu et est disposée en deux batteries de cinq canons et deux obusiers chacune. A 14h15, des monteurs orques se rassemblent en direction de l'aile gauche. Le général de division Degole fait mettre le 2e de tirailleurs-grenadiers et le 2e impérial-grenadiers en carrés bataillonnaires. Ghideon et son état-major arrivent peu après. A 14h40, les monteurs chargent les carrés et s'engouffrent entre. Ils sont décimés. Les peu d'entre eux qui parviennent à percer et rentrer dans les carrés sont abattus à l'intérieur. A 15h15, les forces orques reculent. Ghideon décide de ne pas les poursuivre. Il pense que les orques attendront la nuit pour partir dans l'obscurité, plutôt que d'être poursuivis à nouveau. C'est ce qu'il se passe. Pour autant, ils ignorent alors que la première et la troisième division sont arrivées vers 18h, et qu'elles encerclent la sortie du cimetière. A 22h30, les peaux-vertes tentent de sortir. Elles sont accueillies par une gerbe de feu. Alors qu'elles tentent de rebrousser chemin, le Maréchal Zorn surgit sur un léger promontoire, sabre en main et s'écrit : "Pour l'Empire ! Tuez les tous !". Il charge alors suivi des deux régiments d'Impérial-Grenadiers. Dans la mêlée, environ deux milles orques parviennent à s'échapper. Les autres sont massacrés.
=== Bataille des Colonnes ===
'''{en cours de rédaction}'''
Le 19 Nérévard au soir, le corps établit plusieurs bivouacs après la bataille des Morts. Le 20 Nérévard au matin, des hussards sont projetés pour essayer de trouver la trace des fuyards de la veille. Vers 13h, le groupe orque est repéré plus au Nord, le corps se met alors en marche. A la façon d'avancer des orques, Ghideon remarque que ceux-ci semblent se laisser poursuivre. Il en déduit que le corps est conduit vers une nouvelle force orque. Pour autant, en vue des batailles gagnées depuis le début de Nérévard et donc des effectifs ennemis décimés, il estime celle-ci à dix mille peaux-vertes environ, au plus.<br>
 
Après plusieurs jours de poursuite, le 26 Nérévard, le corps atteint à midi le bas d'un ensemble de grandes collines. Les divisions sont arrêtées à quelques kilomètres pour pouvoir au besoin faire tirer l'artillerie sur les pentes. A 13h, de lourds tambours se font entendre par les troupes de la Garde. Peu de temps après, une nuée verte est aperçue à l'horizon et avance. Plus de six mille orques dévalent les pentes des collines, en une épaisse masse. L'artillerie est disposée en trois grandes batteries. Une cinquantaine de pièces font feu simultanément.
 
Les survivants de la Bataille des Morts conduise le Corps vers la position supposée du reste de la Horde. Estimée au même nombre que celle des Crocs d'Acier, il ne lui est supposé que sept à huit mille guerriers restants. Or, ce sont vingt-cinq mille orques qui dévalent, confiantes, les collines sur lesquelles sont arrivées les divisions de la Garde. L'artillerie est mise en trois grandes batteries et tire au boulet, puis à la mitraille. L'avancée orque est stoppée net. La majorité des troupes sont mises en colonnes, et chargent, appuyées par des charges de flanc de la cavalerie. Le choc contraint au recul les orques. Le reste de la Horde parvient à se replier de manière plus ou moins organisée.
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