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Campagne des immaculés

4 546 octets ajoutés, 10 avril 2021 à 02:36
Le corps des maréchaux fait sauter les restes du passage pour rendre le col définitivement infranchissable, puis se dirige vers la sainte-cité pour se rassembler avec la garde volontaire.<br>
(présents: Pencroff et ghideon).<br>
 
'''Bataille du col de Koning'''<br>
Le maréchal Pencroff est retrouvé sous une pile de cadavres. il est soigné à l'ambulance et remonte en selle le lendemain. Les soldats du 1er impérial-grenadiers offrent un bonnet-à-poil au Maréchal Zorn.<br>
(Présents: Pencroff et Ghideon)<br>
 
'''Bataille de Haussecol'''<br>
Un émissaire du roi de Fersen est envoyé à leur rencontre, mais il est abattu par une sentinelle.<br>
(Présents: Wendy, suljii, Darkalne)<br>
 
'''Siège de Fersenhal'''<br>
Le 1er Nérévard 265, Le corps des maréchaux et le corps de la garde arrivent en vue de Fersenhal, capitale du royaume de Fersen.Les restes de la légion Wurmseer tentent de les retarder par des séries d'escarmouches, mais s'épuisent en vain. Le duc Von Wurmseer s'enferme dans la ville, avec les derniers de ses soldats et les soldats d'élite de la maison militaire du roi. Le corps des maréchaux combine son parc d'artillerie à celui du corps de la garde en deux "grandes batteries" de vingt canons chacune, qui entament le pilonnage des fortifications de la capitale. Un camp de siège est installé , de même que plusieurs postes entourant la ville, de sorte à ce que nul ne puisse en réchapper. Les corps sans vie des soldats de Fersen, tombés dans les combats précédant le siège, sont jetés en amont de la rivière, de sorte à rendre l'eau impropre à la consommation. Régulièrement, par bravade, des cavaliers de la garde et des maréchaux approchent les remparts pour narguer la garnison, et repartent sous la mousquetade. Le siège dure et la garde doit faire venir des boulets de canon et de la poudre depuis Stendel. Les maréchaux posent un ultimatum: le roi doit rendre les armes sans attendre et sans conditions, et livrer tous les ecclésiastiques de la veine-noire encore présents à ses cotés. Ce dernier refuse.<br> 
'''Bataille des cent-buchers'''<br>
Le 13 Fifrelune 266,après de longues semaines de siège, la situation n'a pas évolué. Seul changement: la population de Fersenhal est affamée et près de dix pour cent des civils ont déjà péri des conséquences de l'obstination de leur roi, de plus en plus impopulaire. Las d'attendre, les maréchaux préparent la dernière bataille de la campagne. Les grenadiers du 1er et 2e impérial-grenadier, du 1er et 2e fusilier-grenadier, du 1er et 2e tirailleur-grenadier et les compagnies de grenadiers des 3e, 5e, 6e et 8e régiments d'infanterie de ligne de la garde sont regroupés dans une colonne d'assaut. Les carabiniers du 2e léger et les grenadiers du 1er, 2e, 3e et 4e régiments étrangers d'infanterie sont regroupés en une seconde colonne d'assaut. Les deux colonnes sont précédées par des sapeurs, et suivies par les dragons d'asayaka, les dragons de filranmel, les dragons de threa-thaesi ainsi que les 2e, 3e et 4e régiments de dragons de la garde. Au lever du jour, les sapeurs font sauter deux portions des murailles de la ville, permettant aux deux colonnes de pénétrer dans l'enceinte. De violents combats de rues s'engagent au corps à corps et à l'arquebuse, tandis que les grenadiers s'enfoncent vers le château du roi. La compagnie de grenadiers du 3e régiment étranger capture la porte de la ville, et l'ouvre aux assaillants. Les combats déclenchent une série d'incendies, qui se propagent dans la ville, forçant un moment les troupes de la garde et des maréchaux à ralentir leur progression. Mais un vent favorable évacue les fumées des rues, permettant la reprise du mouvement. La place royale, située devant le château, est atteinte vers 17 heures. Une batterie d'artillerie à pieds, tractée par des hommes du train d'artillerie de la garde, est mise en place. Les canons tirent à mitraille au travers des grandes vitres du château, et font sauter sa porte. Pendant ce temps, les dragons sillonnent les rues pour réduire au silence les dernières poches de résistance.<br>Dans un élan d'héroisme, le roi de Fersen, Francesco Ier, sort de son chateau à la tête de ses gentilshommes en armes, afin de mener son baroud d'honneur. Comme le veut la tradition en pareil moment, et puisque l'ennemi se comporta avec honneur, les canons se turent et le combat s'engagea à l'arme blanche. Le roi eut alors la poitrine percée d'un coup de sabre briquet par un sergent du 8e de ligne, et mourut avec dignité. Ses gentilhommes périrent ou furent mis hors combat avec la même valeur, les officiers de la garde leurs rendirent les hommages.<br>Lorsque la nuit tomba, la victoire était acquise pour les troupes des maréchaux. Ces derniers, qui avaient pris part aux combats accompagnés des généraux Wendy, Suljii et Darkalne; virent sur la place royale pour faire signer la reddition du royaume de Fersen au duc de Bonlieux, doyen des nobles et également le plus gradé encore en vie. Ce dernier se vit confier la destinée du royaume.<br>L'armistice fut déclaré. Le royaume de Fersen fut placé sous la tutelle du consulat de la garde volontaire. Les maréchaux ordonnèrent le regroupement de leurs forces en vue de missions de pacifications. le sergent qui tua le roi en combat singulier fut nommé sous-lieutenant par lettre de lieutenance signée du maréchal Zorn.<br>
== Issue du conflit ==
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