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Campagne des immaculés

11 394 octets ajoutés, 20 août 2022 à 00:40
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[[Fichier:Campagne immacules 1.png|400px|vignette|Incendie du saint-siège provoqué par les troupes de la Garde à la fin de la campagne contre l'église de la veine noire]]
[[Fichier:Campagne immacules 2.png|400px|vignette|Saccage du royaume de Fersen par les troupes de la Garde à la fin de la campagne]]
== Le contexte ==
Dans le courant de la décennie 250 du calendrier érachien naquit un culte particulièrement belliqueux nommé '''église de la veine noire''', dans la région des bas-plateaux. Cette région, située à plusieurs jours de cheval à l'est de Stendel, était connue pour être un point de passage commercial de premier ordre: la région était en effet fort montagneuse et la route qui suivait le fleuve de la veine-noire était une artère marchande fort prisée des caravanes. Malheureusement, l'église qui avait pris le nom de la rivière entreprit de bannir de la région tous ceux qui n'était ni de l'espèce humaine, ni de celle des elfes. De fait, certains commerçants non-humains eurent de plus en plus de mal à traverser la région, et se retrouvaient parfois pris à partie par la branche armée de l'église: les '''paladins immaculés'''. <br>
Quant à la cavalerie du corps, les 1500 dragons ayant été réquisitionnés pour combattre à pieds, il ne restait plus que 1000 cavaliers lourds des régiments de maréchal-cuirassier et colonel-général-cavalerie ainsi que les 1000 hussards du corps. La cavalerie loure fut stationnée sur l'arrière du dispositif, prête à se porter à l'aide des fusiliers-grenadiers sur le point chaud ou à assister les tirailleurs-grenadiers en cas de mouvement sur l'aile droite ennemie. Les hussards, eux, furent réunis sur l'arrière du village, prêts à tenter une sortie à la première occasion.<br>
Pour ce combat, qui s'annonçait musclé, le maréchal Zorn décida de commander en personne les unités de fusiliers-grenadiers qui allaient vraisemblablement recevoir le premier coup d'estoc du duc von Bonlieux. Le maréchal Pencroff, de son coté, décida de se tenir près des tirailleurs-grenadiers et de ses hussards, attendant une fenêtre pour envoyer sa cavalerie ou pour renforcer ses fantassins.<br>
Enfin, l'artillerie du corps fut retirée des extérieurs directs du village et disposée dans les rues, chargée à mitraille, notamment sur les lignes des fusiliers-grenadiers. Quelques batteries furent disposées près des tirailleurs-grenadiers pour appuyer leur défense, et une batterie d'artillerie à cheval fut gardée en réserve pour tenter, si une opportunité s'ouvrait, de détruire les canons de Fersen.<br>
Vers quinze heures, alors que le bombardement ennemi battait son plein, le duc von bonlieux passa à l'assaut sur le village. Marchant en tête de sa colonne aux cotés de sa cohorte de pionniers, il se rua sur les murets qui encadraient la bourgade et derrière lesquels se tenaient les soldats des 1er et 2e régiments de fusiliers-grenadiers. Immédiatement après que les troupes ennemies eurent quitté le relief qui les abritaient, les colonnes furent accueillies par une mousquetade nourrie. Par salve, dans un premier temps, les soldats du corps fauchèrent les premiers rangs adverses, qui n'en reculèrent pas pour autant. Menées par le duc, les pionniers, qui étaient tous de solides combattants aguerris et formés au travail de sape en première ligne, chargèrent avec rage. En quelques minutes, malgré les pertes effroyables que subissait leur cohorte, ils se rapprochèrent des murets de pierre. Poussés par les 5 à 6000 hommes qui les suivaient en colonne, ils s'écoulaient comme un torrent vers les défenseurs du village, qui répondirent par le feu-à-volonté. Le champ de bataille se noya rapidement dans un brouillard blanc que vomissait les mousquets, alors que les premiers coups de pioche dans les murs se faisaient entendre. Au milieu de ses hommes, le maréchal Zorn ramassa un mousquet sur le corps sans vie d'un fusilier, et se joignit à la ligne. Plusieurs fois, sa garde rapprochée tenta de le faire revenir en arrière, sans succès. Derrière les combats, rangés fébrilement en bataillons, les soldats d'élite des régiments d'Impérial-grenadiers attendaient d'entrer dans la fournaise.<br>
De son coté, le maréchal Pencroff ne resta pas oisif. Quand le duc von Bonlieux débuta son attaque sur le village, il sut que l'aile gauche ennemie était au contact du maréchal Zorn et de ses régiments. Sachant cette aile ennemie fixée, il savait qu'il lui suffisait de pousser sur l'aile droite pour la faire fléchir, puis rompre. Malheureusement, il ne disposait pour cela que de 3000 fantassins et 1000 hussards à opposer aux 4000 fantassins et 1000 cavaliers du duc von Wurmseer. Si il savait que les soldats d'élite du corps des maréchaux pourraient facilement vaincre à 1 contre 2 et qu'il pouvait théoriquement affronter la légion Wurmseer sans problèmes, il ne pouvait cependant pas raisonnablement dégarnir sa propre aile pour mener un assaut total, sans réserve suffisantes. Il se résolut donc à faire mouvement vers l'WIPaile droite ennemie pour faire feu sur ses lignes sans tenter le contact dans un premier temps, de sorte à prendre l'initiative sur elle et endiguer un éventuel bond en avant de sa part. Cela l'obligeait, en revanche, à utiliser ses trois régiments d'infanterie, mais allait sans doute soulager le maréchal Zorn.<br>LEvidemment, il restait également en réserve les 1000 cuirassiers de la cavalerie lourde; mais les maréchaux avaient convenu de ne les utiliser qu'avant-garde et en dernier recours, au cas ou l'aile du maréchal Zorn ou du maréchal Pencroff serait enfoncée. Il était donc exclu de les employer pour appuyer une manœuvre hors du village, à plus forte raison sur les collines ou l'artillerie de Fersen était encore déployée. Car ce qui genait le plus le maréchal Pencroff, ce n'était pas tant la division présence de soldats en surnombre, que ses propre hommes dépassaient de cavalerie loin; mais la présence de canons en grande concentration sur la garde volontaire rejoint le corps des maréchauxcolline. Attaquer de front pareille batterie serait suicidaire, qui panse ses plaiesil fallait tenir depuis les murs du village. Les légions <br> Vers seize heures, grâce à la défense acharnée du duc von bonlieux maréchal Zorn et des fusiliers-grenadiers, l'assaut du duc von Wurmseer débouchent Bonlieux semblait patiner. Mais malgré leur tenacité, les troupes des maréchaux ne purent que constater l'état de destruction avancé des montagnes murets de pierre qui, criblés de balles et de coups de pioche, ne demandaient plus qu'à céder. Le moral restait cependant au beau fixe, encouragé par la présence des maréchaux; et il semblait évident que les troupes de Fersen avaient jusqu'alors subi près du double des pertes du corps. La plaine qui bordait le col village était couverte des corps des pionniers et des lansquenets du duc von Bonlieux, et leurs attaques se faisaient de passerocheplus en plus lentes; bien que l'on put craindre que la rupture prochaine du mur ne ranime leur rage. Du coté du maréchal Pencroff, la ligne droite ennemie et sa ligne se livraient une guerre d'attrition méthodique. Les soldats des deux camps, à couverts derrière les murs du village et derrière le talus qui a été dégagé entre-tempsle bordait, s'arquebusaient à tout va. Le terrain empêche le corps des maréchaux maréchal lui-même, ayant saisi un mousquet sur un mort, tirait sur tous ceux qui passaient à sa portée, arguant qu'il offrirait un sabre d'utiliser son artilleriehonneur à tous ceux qui touchaient une tête. Les coups de feu claquaient de part et d'autre, emportant des malheureux dans les deux camps, bien que la légion Wurmseer eut à souffrir des plus nombreuses pertes. En effet, il faut noter que l'aile du maréchal Pencroff était composée de deux légions adverses chargent régiments de tirailleurs-grenadiers et d'un régiment de vélites-carabiniers; qui avaient tous la réputation de recruter parmi les meilleurs tireurs du corps. Outre ces fins-tireurs, le maréchal était aussi appuyé par 200 mousquetaires qui, ayant démonté, faisaient la démonstration de leurs talents d'adresse.<br> Vers dix-sept heures, les combats s'éternisaient encore lorsque le mur d'enceinte du village qui abritait les troupes du maréchal Zorn céda enfin, dévoilant les lignes de Maringoce dernier et les privant d'un couvert fort salutaire. Voyant que les défenses du village étaient amoindries, le duc von Bonlieux jeta toutes ses forces en avant, au contact des fusiliers-grenadiers. De violents combats Près de 5000 hommes se ruèrent alors au corps à corps ont lieux tout autour contre les 3000 hommes valides restant pour le défendre. Immédiatement, voyant l'entrée du villageprise d'assaut, le maréchal Zorn fit donner les régiments d'Impérial-grenadiers, qui se joignirent à la bataille l'arme au bras. Une violente confrontation à la baïonnette, à l'épée et à la hache s'engagea alors, tandis que l'aile gauche de fersen et l'aile du maréchal Zorn s'écharpaient de front. La division de cavalerielutte, rassembléesur laquelle le maréchal Zorn et ses grenadiers avaient l'avantage, lance une charge totale était toutefois extrêmement violente et mobilisa toutes les ressources de l'aile. Voyant le combat s'engager sur sa droite, le flanc droit maréchal Pencroff ordonna aux cuirassiers de se porter en arrière des légionslignes du maréchal Zorn, prêts à charger au pas dans les rues du village pour dégager repousser l'ennemi. Les ulhans Sa propre aile, entièrement déployée face à la légion von Wurmseer, ne pouvait apporter d'autre secours, tiraillant elle-même à 3000 contre 5000; et il ne pouvait risquer de contournement avec ses seuls hussards, attendu que les dragons flancs de l'ennemi étaient couverts par près de 1000 cavaliers lourds de Fersen.<br> Sur toute la ligne, la lutte était totale mais le corps des maréchaux, plus aguerri et mieux formé, conservait indéniablement l'avantage. Mais le maréchal Pencroff et le maréchal Zorn comprirent rapidement que cet engagement total de deux légions ne sont entières n'était pas suffisants pour arrêter les deux régiments de cuirassiers un risque inconsidéré, et que les deux régiments troupes de dragons lancés sur euxFersen avaient encore un atour dans leur manche. La cavalerie confirmation de leurs craintes arriva vers dix-sept heures trente lorsque, arrivant par la route de Passeroche, une troisième légion fut annoncée.<br>Il s'agissait alors de la légion von bonlieux Alvichi, forte de 5000 hommes, et qui avait progressé à cinq heures de marche derrière la légion von Wurmseer sont anéanties. La cavalerie Le plan de l'armée de Fersen devint clair: la garde attaque légion Wurmseer et les flancs restes de la légion Bonlieux devaient fixer le corps des fantassins des légionsmaréchaux et l'engager intégralement, le temps qu'une 3e légion ne vienne leur prêter assistance pour porter le coup de grâce. Le duc A présent, le panache de fumée de la légion alvichi était visible depuis tout le champ de Bonlieux est capturé alors bataille, et il semblait clair qu'il mène un assaut serait au contact du corps des maréchaux avant le crépuscule. Engagé sur toute la ligne et déjà dépassé par le nombre, le corps des maréchaux courrait le risque d'être flanqué ou pris à revers, et n'avait plus le luxe de se redéployer. Sa seule réserve était alors composée des 1000 hussards et des 1000 cuirassiers qui pouvaient encore quitter les arrières du maréchal Zorn; mais aucun appui d'infanterien'était à espérer. Sa légion est anéantie<br> Malgré cette terrible annonce d'un renfort ennemi, le moral des soldats du corps ne baissa pas, et l'annonce de cette complication soudaine sembla même pousser les hommes dans leurs derniers retranchements. Du coté des forces de Fersen en revanche, les deux ducs comme leurs hommes poussèrent un profond soupir de soulagement, et se virent déjà vainqueurs, éprouvés mais victorieux. Sur le champ de bataille, le maréchal Zorn continuait de se démener dans la mêlée, entouré à présent de ses grognards dont chacun continuait à se battre avec la force de dix hommes. Le duc maréchal Pencroff, de son coté, laissa le commandement de Wurmseer prend son aile à la fuitegénérale Marceline, sa légion major-générale, pour prendre le commandement de la cavalerie.<br>Priant pour que le centre tienne, il s'entoura de ses mousquetaires et de ses hussards, et ordonna aux cuirassiers de rester dans le village en ultime réserve. Il se prépara alors, bien que la manœuvre fut d'un effroyable danger, à se débandejeter avec ses cavaliers sur le flanc de l'aile droite adverse. Le corps des maréchaux Il savait que cette aile était couverte par 1000 cavaliers lourds et par une artillerie bien positionnée ainsi que par de nombreux fantassins; mais il gageait qu'une percée sur cette aile, appuyée à propos par les renforts cuirassiers ou par une avance soudaine de son infanterie, pourrait permettre de rompre la ligne de l'armée de Fersen avant que la garde ont tenu 3e légion ennemie ne se porte en renfort et n'engage le combat. Les cavaliers se regroupèrent alors en trois lignes, qui devaient se séparer à la sortie du village pour se déployer en ordre relâché et tâcher ainsi d'éviter au mieux les coups de l'artillerie. Une charge en désordre aurait sans doute moins d'impact lors du contact avec les cavaliers et les fantassins ennemis, mais le maréchal comptait sur l'inégalable bravoure de ses soldats pour emporter la décision ou périr couverts de maringogloire.<br>Le général DarkalneMais alors que, vers dix-huit heures, le maréchal Pencroff s'apprêtait à charger de front et le maréchal Zorn se démenait pour tenir l'entrée du village; une nouvelle leur arriva et changea diamétralement le rapport de force des combats. Sur l'arrière du village, dissimulés jusqu'alors par le relief accidenté de la région, qui a mené la charge division de cavalerie salvatricedu général Darkalne se présenta dans la plaine. Arrivant par le sud-ouest, c'est nommé colonel-à dire par l'arrière droite des maréchaux, le général des et ses 2000 cuirassiers et dragonsdévalaient la pente d'une colline au trot, sonnant au clairon l'appel aux armes.<br>(présents: PencroffImmédiatement, ghideonsoulagé par ce soudain renfort et reconnaissant avec émotion les étendards de la garde volontaire, le maréchal Pencroff fit envoyer un officier d'ordonnance pour instruire le général Darkalne)de ses ordres:<br>NDLR: "Vous aurez à coeur, mon général, de porter vos cavaliers sur notre flanc gauche, à l'est; pour y faire face à la cavalerie de la légion qui nous y incommode. Vous poursuivrez ensuite l'assaut sur toute leur aile, que je vous serais gré de bonlieux HSbriser. J'aurais l'honneur d'appuyer votre mouvement, mais puisque vous arrivez je vous laisse l'honneur de la charge; avec mes salutations."<br> Quelques minutes plus tard, la division Darkalne se porta à l'arrière-gauche du village, lui est captuéqu'elle dépassa par l'Est. Elle fut rejointe par le maréchal, qui la laissa passer pour conduire ses hussards plein Est et contourner au large, dans l'espoir de prendre le centre ennemi par ses arrières.<br>
- Cohorte de jagers du vicomte Von Nassau<br>
- Cavalcade des dragons du comte Von Lieberman<br>
 
[[Catégorie:Garde Volontaire]]
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