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Campagne des immaculés

5 244 octets ajoutés, 25 mai 2021 à 15:30
Le maréchal Pencroff, que les éclaireurs avaient renseigné sur la disposition des deux légions ennemies, avait ralenti sa marche pour laisser son ennemi se déployer. Il savait qu'une fois les deux légions disposées en ordre de bataille, il aurait le l'avantage de l'initiative par le mouvement de ses divisions Il pourrait alors lancer une attaque de front avec l'une de ses divisions, tandis que l'autre tenterait un contournement par le nord, en cherchant à rompre l'aile droite de l'ennemi pour la replier sur son centre et, si la chance le permettait, pousser le centre jusqu'à ce qu'il soit dos à la rivière.<br>
Vers six heures du matin, les 1e et 2e division du corps des maréchaux, appuyées par l'artillerie du corps, se présentèrent donc par l'ouest, face à la ligne de défense ennemie. Ces deux divisions n'étaient alors composées que des deux régiments d'impérial-grenadier, des deux régiments de fuiliersfusiliers-grenadiers et du régiment de vélites-carabiniers; soutenus par les deux régiments de cavalerie lourde du corps, pour un total de 5 000 fantassins et 1 000 cavaliers. La cavalerie organique des deux divisions, à savoir les régiments de dragons d'asayaka et de threa-thaesi, avait été soustraite à ses unités d'origine pour renforcer la division d'avant-garde, à qui avait été confié la tâche d'opérer le débordement par le nord avec les deux régiments de tirailleurs-grenadiers, les deux régiments de hussards du corps et le régiment de dragons de Filranmel; formant une colonne de 2 000 fantassins pour 2 500 cavaliers. L'avant-garde, qui devait n'entrer en jeu qu'une fois le combat engagé et l'ennemi fixé, se tenait alors en retrait sur le flanc gauche du corps des maréchaux. Le Maréchal Pencroff, qui tenait cette fois à accompagner l'effort qui se voulait décisif au nord, se joignit avec ses mousquetaires à la brigade de hussards, dont il confia le commandement au colonel Armand d'Hubert.<br>
Vers huit heures, les deux divisions d'infanterie du maréchal se lancèrent en avant, en direction des lignes défensives des légions de l'église, qui s'étaient mises à couvert derrière des redoutes de terre. Ayant eu l'occasion de constater avec amertume l'inferiorité l’infériorité de son infanterie, taillée pour le combat au corps à corps, contre celle du corps des maréchaux; l'église avait fait le choix de ne pas exposer tout de suite ses fantassins. Elle comptait également sur les 4 000 chevaliers et 2 000 bacheliers que comptaient ses rangs depuis le ralliement des 3 000 chevaliers rescapés de Thelore, et ces derniers étaient bien déterminés à combattre durant cette journée pour venger l'affront qui leur avait été fait lors de leur dernier combat. Le maréchal Pencroff s'attendait également à ce que les légions de l'église fassent usage de sa nombreuse et puissante cavalerie lourde, raison pour laquelle il avait laissé les régiments de maréchal-cuirassiers et de colonel-général-cavalerie en appui de son infanterie. Mais il savait également que ses fantassins allaient avoir un avantage de taille sur leurs adversaires si ces derniers n'accompagnaient pas leurs cavaliers par un appui d'infanterie suffisant, et il comptait sur l'égo des chevaliers, humiliés par leur fuite du champ de bataille précédent, pour motiver ces derniers à des mouvements inconsidérés. En cette matière, il semble qu'il avait vu particulièrement juste.<br>
Quand les divisions d'infanterie du maréchal, disposées en lignes par bataillons, arrivèrent au centre de la plaine, au milieu de ce qui semblait être des champs de blé fraichement labouré; la ligne de défense des légions sembla s'ouvrir, laissant en son centre une large brèche aux allures de couloir. Cinq-cents mètres séparaient encore les deux armées, mais le sol commença à trembler. Comme l'avait anticipé le maréchal, l'église s'était décidée à utiliser à son avantage ses troupes les plus puissantes et les plus fanatiques; et près de 6 000 cavaliers, dont 4 000 hommes en armure, vinrent former un véritable mur de centaures devant les 5 000 fantassins et 1 000 cavaliers du maréchal. A la vue de ces lignes de cavaliers, les fantassins ressérèrent leur étreinte autour de leur mousquets. Les lignes s'arrêtèrent brutalement, au centre des champs, complètement à découvert. Les fantassins du maréchal formaient alors deux lignes disposées l'une derrière l'autre: la première était formée des deux régiments d'impérial-grenadiers et du régiment de vélites-carabinier; et la seconde des deux régiments de fusiliers-grenadiers. Brutalement, ces deux linges se scindèrent en deux lignes chacune: un bataillon de chaque régiment s'avança, tandis que l'autre rétrograda, de manière à ce que deux lignes en dents-de-scie furet formées. Les chevaliers et les bacheliers de l'église ne comprirent pas ce mouvement, que la distance et leur point de vue ne permettait pas de bien figurer. Ils saisirent cependant que les fantassins du maréchal adoptaient là leur poste de combat et qu'ils ne comptaient pas se rapprocher d'avantage: l'heure était venu venue de charger.<br>
Il était alors neuf heures. Les chevaliers, l'épée au poing, se disposèrent sur deux lignes de deux ost chacune, chaque ost étant replié sur deux rangs de manière à ce que le front soit composé de 1 000 cavaliers. Derrière les chevaliers, les deux osts de bacheliers se disposèrent de manière à le suivre de près pour sabrer les fantassins ayant échappé aux quatre premiers rangs de l'attaque. Puis, quand tout fut en place, l'évêque louis le grand, un des plus fervents meneurs de l'église, vint se poster au devant des chevaliers. D'un geste de main, ce dernier lança les 6 000 cavaliers au pas, en avant, à l'assaut des lignes du corps des maréchaux.<br>
Cependant les fantassins du maréchal, voyant la cavalerie ennemie avancer vers eux, ne se démontèrent pas. Au contraire, comme si ils avaient attendus ce signal, ils se mirent en mouvement. Comme un seul homme, chaque bataillon, les uns autour de leur colonel et les autres autour d'un commandant, formèrent des carrés d'infanterie: formation fixe composée de quatre lignes de fantassins, par compagnies, se tournant le dos pour faire front sur tous les cotés. Cette formation, éprouvée par les campagnes de la garde volontaire, avait en effet spécialement été pensée pour prémunir les unités d'infanterie contre les assauts de forces montées. Les chevaliers de l'église, dont la plupart étaient nobles et ne portaient les armes que depuis la création des paladins immaculés, ne connaissaient que peu de choses aux arts militaires et ne comprirent pas ce mouvement: il allait leur en couter.<br>
Quand les chevaliers ne furent plus qu'à cent mètres des carrés d'infanterie des maréchaux, ils se lancèrent au galop de charge. Plusieurs salves de mousquets claquèrent en direction des chevaliers, ont dont une poignée s'écroula avant d'être piétinée par les autres cavaliers. Enfin, les chevaliers arrivèrent à hauteur des carrés, qu'ils submergèrent immédiatement, pénétrant dans les interstices qui s'ouvraient entre chaque carré, et s'enfonçant dans les lignes du corps des maréchaux.<br>
Malheureusement pour les chevaliers, leur mouvement avait justement été prévu et le piège se referma sur eux. Engagés entre les carrés qui étaient disposés en damier, les chevaliers se retrouvèrent rapidement empêtrés dans les lignes des fantassins, qui restaient immobiles. Pire, ces mêmes fantassins, brandissant leurs baïonnettes de manière à faire de chaque carré une sorte de hérisson, semblaient intouchables. Les chevaux se refusèrent en effet à s'approcher trop près de ces murs de lames, et les chevaliers, ralentis voir immobilisés par la masse, étaient des cibles faciles pour l'infanterie qui les arquebusaient sans discontinuer. Les coups de mousquets claquèrent de toutes les directions, chaque carré faisant feu de ses quatre faces sur les chevaliers ou sur leurs montures, qui ne pouvaient plus reculer. Ces derniers, qui ne disposaient pas d'armes à la portée suffisante pour atteindre les soldats dans les carrés, ne pouvaient rien faire pour se prémunir des feux mortels qui pleuvaient sur eux; et juchés sur leurs hautes montures, ils faisaient des cibles de choix, particulièrement immanquables. Certains chevaliers, par chance et par hardiesse, parvinrent à pénétrer les carrés en poussant leurs montures à bout. Mais arrivés au centre de la formation, ils se retrouvaient encerclés par les quatre murs de fantassins, qui les abattaient immédiatement. Le général Bondaulde, qui commandait habituellement la brigade d'imperial-grenadiers et qui tenait le premier rang des lignes des maréchaux, sabra à lui seul près de huit chevaliers, et éventra quatre chevaux.<br>
Témoins de ce carnage, les 2 000 bacheliers, qui se trouvaient derrière les chevaliers, se détournèrent pour tenter un contournement par le nord des lignes. Mais, alors qu'ils entreprenaient ce contournement pour tenter de faire céder les carrés, ils rencontrèrent les deux régiments de cavalerie de réserve des maréchaux, qui se ruèrent sur eux. Un violent combat de cavalerie se déclencha au nord des carrés d'infanterie, durant lequel les cuirassiers et les grenadiers-à-cheval se rendirent maitres des bacheliers, qui durent battre en retraite l'épée dans les reins. Voyant leurs ennemis prendre la fuite, le régiment de maréchal-cuirassiers se lança en effet à leur poursuite, tandis que le régiment de colonel-général-cavalerie se portait au devant des carrés, pour empêcher la retraite des chevaliers.<br>
Vers dix heures, constatant l'échec cuisant de leur mouvement de cavalerie et le risque de leur annihilation, les deux légions se décidèrent à quitter leurs redoutes pour appuyer leur charge par leurs unités d'infanterie. malheureusement, à l'instant ou ils quittèrent leurs abris, les deux régiments de tirailleurs-grenadiers, qui avaient contourné par le nord, apparurent sur leur flanc. Pire, les trois régiments de dragons du maréchal suivaient ce mouvement et menaçaient l'infanterie des légions, qui étaient déployées vers l'ouest et se trouvaient en plein mouvement. Les tirailleurs-grenadiers, déployés sur quatre lignes de bataillons, entamèrent une progression par roulement, tirant une salve et avançant tour à tour. Ce mouvement, effectué sur un flanc des lignes des légions, fixa la droite de leur ligne, alors que le flanc gauche qui se trouvait du coté du fleuve poursuivait son avancée. L'évêque Ulysse, comprenant qu'il fallait immédiatement cesser la marche en avant au risque d'être complètement flanqués; fut fit passer l'ordre de s'arrêter sur toute la ligne, et ordonna à toute l'infanterie de la légion de l'ouest, sur le flanc droit, de se déployer face aux tirailleurs du maréchal. Il ordonna ensuite à la légion de l'est de se replier sur les redoutes, avant que les 1 500 dragons du maréchal ne lui coupe coupent la voie. Ce mouvement inégal des deux légions, l'une se fixant vers le nord et l'autre rétrogradant vers l'est, créa une brèche entre leurs deux lignes.<br>
Vers onze heures, le maréchal Pencroff, qui venait de déboucher derrière les tirailleurs avec ses deux régiments de hussards, remarqua la brèche et fit mouvement vers elle, tout en ordonnant aux dragons de se placer au centre de la plaine, pour empêcher définitivement toute retraite des chevaliers et des bacheliers pris dans le piège des carrés d'infanterie. Puis, approchant de la brèche, il lança ses hussards au galop pour forcer le passage, et se positionner entre les deux légions. Il n'avait alors que 1 000 cavaliers avec lui, mais savait que l'ennemi, dont les lignes étaient au bord de la rupture, cèderait céderait si la communication entre ses deux légions venait à être rompue. En effet, quand ils virent les hussards du maréchal se ruer vers la brèche, les évêques des deux légions perdirent le contrôle de leurs lignes. Les anspessades rouges, des fantassins légers qui tenaient tant bien que mal le rôle de chainon entre les deux légions, furent violemment prises à partie par les hussards et partiellement massacrés. Une partie d'entre eux fut prise de panique et se débanda, entrainant avec elle toute la légion de l'ouest, qui subissait depuis plus d'une heure déjà le feu des tirailleurs-grenadiers. Toute la légion de l'ouest reflua donc en désordre vers l'arrière des lignes de l'église, à l'est, laissant la légion de l'est isolée au bord du fleuve de la veine noire. Cette dernière légion, constatant la retraite de son alliée, n'eut d'autre choix que de rétrograder, en bon ordre cette fois, tenue par l'évêque Ulysse. constatant ce mouvement, le Maréchal ordonna aux tirailleurs-grenadiers de venir se ranger dans la plaine, aux cotés des dragons, et d'y former le carré. Les chevaliers et les bacheliers des légions étaient définitivement perdus et privés du soutien de leurs troupes, et le maréchal se rapprocha à plusieurs reprises des fuyards avec ses hussards, pour les empêcher de se reformer. Cependant, considérant que l'infanterie des deux légions était encore bien trop nombreuse et que ses propres lignes étaient immobilisées, il ne put se résoudre à poursuivre, et laissa s'échapper les anspessades et spadassins qui en demandèrent pas leur reste.<br>
Vers midi, alors que le soleil arrivait à son zenith, il ne restait dans la plaine que le corps des maréchaux et les derniers chevaliers, condamnés à une perte inévitable au milieu des carrés d'infanterie. Les bacheliers, eux, avaient tous été massacrés par les régiments de cavalerie de réserve du corps, qui n'avait en retour essuyé que peu de pertes. Plusieurs chevaliers, leur monture tuée, réussirent à s'extraire à pieds des carrés d'infanterie et tentèrent de fuir, mais furent abattus par ls les dragons, qui riaient de voir ces paladins couverts de boue tenter de s'enfuir à toutes jambes. De plus, les ordres du maréchal étaient formels: les soldats de l'église de la veine-noire n'avaient pas accordé la moindre pitié aux habitants de Lupek, aucune pitié ne leur serait donc accordée en retour.<br>
Ralliant les dragons, le maréchal ordonna au régiment de vélites-hussards de suivre, à distance raisonnable, les deux légions en fuite pour connaitre leurs mouvements. Enfin, menant son cheval près des carrés, il assista à la chute des derniers paladins.<br>
Vers quatorze heures, la bataille était définitivement gagnée. Les champs de la plaine étaient couverts de cadavres, dont une large proportions de paladins immaculés. Le corps des maréchaux eut tout de même à souffrir de lourdes pertes, près de 500 tués et blessés; mais son tribut était bien moindre que celui des deux légions de l'église qui avaient perdu leurs 6 000 cavaliers , soit presque toute leur cavalerie, et près de 500 fantassins. Le combat s'étant largement déroulé au corps-à-corps, le maréchal avait pu économiser ses ressources d'artillerie: il avait en effet hésité à accompagner l'infanterie de batterie d'artilleries mais avait renoncé devant le risque de voir ses canons détruits par les chevaliers, et leurs équipages anéantis.<br>En somme, la victoire était consommée mais, immobilisé dans la plaine par l'affrontement qui s'y était déroulé durant toute la bataille, le maréchal n'avait pu poursuivre efficacement l'infanterie de l'église qui se repliait désormais à marche forcée et qui lui avait échappé. Privées de cavalerie, les troupes de la veine noire ne représentaient plus qu'un danger relatif, et elles semblaient tenter de regagner le fief de l'église. Le corps des maréchaux ne se lança donc pas à leur suite, mais passa la nuit sur le champ de bataille à se réorganiser et à traiter ses blessés, confiant aux hussards la charge de suivre les mouvements ennemis.<br>
'''WIPInterlude'''<br>poursuite Dans les jours qui suivirent la bataille des restes moissons, il n'y eut aucun mouvement offensif de la part des légions belligérants, qui profitèrent de ce temps mort pour panser leurs plaies et se réorganiser.<br>Du coté de l'église de la veine-noire, la perte de granit la cavalerie, et plus particulièrement de jade arrêtée par la rencontre cavalerie lourde majoritairement composée de jeunes nobles; avait eu des conséquences tragiques tant sur le moral des troupes que sur les capacités offensives de l'armée. Privée de ses éléments les plus fanatiques et les plus prestigieux, l'église se retrouvait également fort limitée dans les capacités de reconnaissance, et était donc particulièrement vulnérable. Elle n'eut d'autre choix que de faire replier les restes des légions de l'est et de l'ouest rassemblée vers le saint-siège pour en préparer la défense, tout en cherchant une solution d'urgence pour endiguer la progression du corps des maréchaux.<br>Cette solution se présenta, à leur grand regret, au travers du trésor de guerre accumulé par l'église au gré des éléments des légions pillages. En effet, ces richesses allaient leur permettre de se faire un allié: le royaume de granit et Fersen, qui se trouvait au nord de jadela région des bas plateaux. <br> Le corps arrête sa marche et Royaume de Fersen, pays directement voisin des territoires de l'église de la veine-noire, se déploie à temps pour essuyer trouvait en effet dans une contre-attaque massive fâcheuse posture économique depuis plusieurs années, du fait de cavaleriemauvaises récoltes et d'un commerce mal organisé. Les régiments La pression populaire avait longtemps fait planer sur le royaume la menace d'infanterie une insurrection, que la création de l'église de la veine noire avait heureusement résorbée en désignant aux habitants en colère un coupable tout désigné à leurs malheurs au travers de ses ennemis de l'église. De nombreux jeunes nobles du corps forment le carré et repoussent royaume de Fersen s'éteint alors engagés aux cotés des paladins immaculés, tandis que les cavaliers malgré pillages successifs de l'église avaient permis de lourdes pertescompenser les mauvaises récoltes du royaume grâce à un partenariat commercial salutaire. LLes relations entre l'artillerie à pieds église et à cheval le royaume étaient donc favorables, mais le roi de Fersen n'avait cependant jamais annoncé d'alliance avec ses voisins.<br> Après ses récentes défaites, l'église se tourna naturellement vers le royaume de Fersen, qui tenta de gagner du corps est mise en batterie et pillonnent les légions adversestemps, qui ne peuvent répondresouhaitant pas s'engager dans un conflit armé alors que la paix sociale du royaume était encore précaire. Ces dernières retrogradent Devant les hésitations de son voisin, l'église eut donc recourt à son trésor de guerre, et proposa au roi de Fersen une conséquente compensation en échange de son entrée en bon ordreguerre à ses cotés. Une somme faramineuse, à la hauteur du désespoir de l'église, le corps fut engagée et eut raison des maréchaux ne poursuit pas. Status-quo stratégiqueréticences du roi de Fersen: L'alliance fut signée, l'armée du royaume de Fersen allait prêter main forte à l'église de la veine noire.<br>Temps mort utilisé La nouvelle fut accueillie par de vives acclamations dans le camp de l'église, qui voyait de ce renfort de dernière minute l'occasion de vaincre les troupes du maréchal Pencroff, que l'on savait éreintées par les batailles et les marches. Malgré la cascade de défaites que l'ennemi pour demander église avait essuyée, le renfort moral remonta donc en flèche, et les émissaires du royaume de Fersenfurent accueillis en héros, quand ces derniers vinrent au saint siège annoncer l'arrivée imminente de leurs légions par les montagnes du nord.<br>Temps mort utilisé par le Du coté du corps des maréchaux pour demander , la situation était différente. N'ayant pu poursuivre les légions de l'est et de l'ouest qui avaient fui le front, il avait rassemblé ses divisions au bord du fleuve ou s'était déroulée la bataille des renforts moissons. Puis, une fois ses blessés traités ou évacués et ses effectifs réorganisés, ce qui avait pris plusieurs jours, il lança ses divisions en direction du saint-siège; mais sans s'y précipiter. Effectivement, ses avants étaient toujours éclairés par le régiment de vélites-hussards qui fournissait à l'état-major d'abondants renseignements sur les positions de l'ennemi et sur leur situation: le maréchal Pencroff apprit donc rapidement la garde volontaire formulation d'une alliance entre le royaume de Fersen et l'église de la veine-noire. L'heure n'était pas à la précipitation, et consolider le maréchal, bien que certain de la qualité supérieure de ses lignes logistiquestroupes, ne souhaitait pas s'engager à plus d'un contre deux dans une nouvelle campagne. Ses troupes restèrent donc hors de portée, et surtout de vue, du fief de l'église; et il se résolut à demander du renfort afin d'égaliser le rapport de force et de s'assurer une victoire moins coûteuse en vies.<br>(Présent: Pencroff)<br>(Ghideon rejoint Naturellement, la maréchal se tourna vers la '''Garde Volontaire''', qui avait été mise en alerte après le corps après avoir transmis massacre de Lupek et attendait l'ordre de se mettre en marche. Le maréchal Ghideon Zorn, qui était resté en capitale pour préparer ce nouveau contingent, avait en effet formé un corps d'armée provisoire dont il avait donné le commandement au général '''Wendy Marvel'''. Quand la demande de renfort du maréchal Pencroff parvint au maréchal Zorn, ce dernier ordonna donc au corps provisoire de se mettre en marche à ; et décida de rejoindre le maréchal pencroff sur la zone d'opérations. Arrivant de la capitale de Stendel et accompagné de son seul état-major, il devança le corps de la garde volontaire, il arrive vers et arriva au contact du corps des maréchaux le 53 Agrevent). Les deux maréchaux prirent alors chacun le commandement d'une division du corps, en attendant le renfort imminent de la garde volontaire.<br>
'''Bataille de Passeroche'''<br>
Le '''56 Agrevent 265''',
 
'''WIP'''<br>
Le '''56 Agrevent 265''', Le Royaume de Fersen arrive par le nord. la légion du duc Von bonlieux, en avant-garde, tente de passer par le col de passeroche mais est stoppée par la 2e division du corps aidée par des éléments de la réserve. La 1e division et l'avant-garde suivent en faisant volte-face aux troupes de la légion de l'aurore. La légion du duc de bonlieux tente un passage en force sur le col mais sont repoussées par les feux de mitraille de l'artillerie à cheval des maréchaux. Les deux régiments de grenadiers des maréchaux défendent les canons contre plusieurs assauts au bord du ravin. Le duc von bonlieux rétrograde. Ses troupes sont durement éprouvées, de même que celles de la 2e division des maréchaux.<br>
(Présent: Pencroff ou Ghideon)<br>
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