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Campagne des immaculés

2 885 octets ajoutés, 3 juin 2021 à 22:21
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Vers 10 heures du matin, quand les troupes de l'église de la veine-noire investirent la plaine qui débouchait sur la colline ou étaient situées les troupes du maréchal; elles trouvèrent donc face à elles une véritable citadelle de terre et d'hommes, bardée de canons. Des pics avaient été plantés au pied de la colline, et deux lignes de fusiliers-grenadiers et d'imperial-grenadiers attendaient de pied ferme sur les pentes, couverts par non moins que 4 régiments de cavalerie. L'évêque Basilus, qui commandait la légion, ordonna alors à toutes ses troupes de faire halte, ne sachant comment prendre la colline. Il craignait également qu'un assaut mal préparé ne se termine en déroute générale, attendu que les restes des légions et l'est et de l'ouest, qui formaient le gros de ses effectifs, avaient déjà été fort malmenés durant les premières batailles et que le moral était loin d'être au beau fixe, malgré l'annonce de l'arrivée de l'armée de fersen qui avait un temps redonné espoir aux troupes.<br>
Vers midi, la situation n'avait guère évoluéeévolué, mais les soldats commençaient à s'impatienter. La pression augmenta sur l'évêque Basilus lorsque, dans les rangs, une rumeur se mit à circuler à propos de son manque de courage. Les troupes semblaient en effet ne pas comprendre les hésitations de leur chef, et les plus fanatiques voyaient dans ce temps perdu une insulte à leurs préceptes d'anéantissement total de leurs ennemis. Craignant d'être accusé de lâcheté devant l'archevêque, Basilus se résolut à faire mouvement, mais avec prudence. Voulant d'abord jauger les capacités défensives des troupes du maréchal Pencroff, il n'envoya dans un premier temps quelques 2 000 hommes, dont la plupart étaient des "volontaires", en fait des paysans et citadins enrôlés de force. Ces 2000 hommes se déployèrent donc en de larges lignes, laissant près de deux à trois mètres d'écart entre chaque homme de manière à se prémunir au mieux des dommages de l'artillerie. Puis, une fois déployés, ces premières lignes d'assaut se ruèrent vers la colline, l'épée au poing.<br>
Parler de massacre pour décrire ce qu'il se passa ensuite serait une litote. Quand les troupes d'assaut arrivèrent dans le champ de tir des canons, les 26 bouches-à-feu du maréchal Pencroff firent tomber sur elles un véritable déluge de boulets. Des gerbes de terres se levaient entre les soldats de la veine-noire, dont certains étaient emportés par des projectiles comme des épis de blé emportés par une faux. Face à eux, la colline vomissaient des volutes de fumée blanche comme si elle était entrée en éruption; et les canons tonnaient sans discontinuer, battant dans l'air une sinistre mesure. Malgré ce chaos, de nombreux hommes échappèrent pourtant aux boulets et parvinrent à atteindre le pied de la montagne, mais ils y découvrirent un nouveau cauchemar: les artilleurs du maréchal chargèrent les premiers rangs de canons à mitraille.<br>
Dans un bruit de tonnerre, les canons vomirent sur les assaillants de véritables nuages d'éclats de métal, formant devant la pièce une large zone conique dans laquelle rien ne pouvait survivre. Chaque coup de canon était accompagné d'une gerbe d'étincelles et de flammes, qui donnaient au pied de la colline l'allure d'un brasier. Des 2000 hommes que l'évêque Basilus avait envoyé, tous périrent dans la plaine en moins d'une heure.<br>
Vers 13 heures, constatant l'échec de son attaque, l’évêque Basilus ordonna à ses troupes de se replier hors de portée de l'artillerie, et de se déployer face à la division du maréchal Pencroff. Une fois ses troupes déployées, il ordonna à ses unités de tenir leur rang, afin de forcer la division du maréchal à rester également déployée en ordre de bataille. En effet, les impériaux étaient alors sous la menace d'être débordés si ils tentaient de quitter leur position, ils ne pouvaient donc pas se retirer pour aller prêter assistance à la division Zorn si cette dernière se trouvait en difficulté. Une sorte de siège s'organisa donc, des deux cotés des lignes de front. Il n'y eut cependant plus de mouvements offensifs durant plusieurs jours.<br>
Le 9 Tercevent, une nouvelle arriva dans les deux camps et vint changer la donne. Le corps de la garde volontaire, commandé par la générale '''Wendy Marvel''', avait été repéré dans la région des bas plateaux et se dirigeait à marche forcée vers la division Pencroff pour la dégager. Craignant d'être pris en tenaille entre la division Zorn et les divisions de la garde volontaire, l'évêque Basilus ordonna un repli général de sa ligne qui fut exécuté le 10 Tercevent. Sa légion, qui ne possédait qu'un ost de cavalerie lourde impropre à la reconnaissance, était en effet vulnérable à une attaque générale impromptue. Il se replia donc en direction de la sainte-cité, siège de l'église de la veine noire.<br>
Apprenant l'arrivée de la garde volontaire, le maréchal Pencroff anticipa le mouvement de l'évêque, et fit préparer le départ de sa division. Quand la légion de l'évêque Basilus se retira, et ne présenta plus de menace pour sa division, le maréchal fit immédiatement dégarnir la position et ordonna la marche forcée vers la 1ère division du corps des maréchaux, toujours postée près du col de passeroche. Il envoya également un messager trouver la générale Wendy, à qui il ordonna de prendre la direction du saint-siège, qu'il savait affaibli.<br>
Bilan de la bataille: '''WIPVictoire tactique et impériaux, status-quo stratégique'''<br>la légion , Repli de l'est et la légion du châtiment mais immobilisation de l'ouest, rassemblées en une seule force, tentent d'attaquer la 1ere division et la réserve Pencroff pendant que près de 10 jours. Arrivée de la 2e division et l'avant-garde sont aux prises avec volontaire sur le royaume de Fersenthéâtre d'opération. (Présent: Pencroff)<br>
'''Bataille de Haltebois'''<br>
Le '''11 Tercevent 265''', un messager du maréchal Pencroff vint informer la générale Wendy Marvel que le siège sur sa division était levé et que la légion du châtiment, dirigée par l'évêque Basilus, était en repli vers le saint-siège. Il ordonna alors à la générale de se lancer dans la poursuite des troupes de l'église et d'assiéger leur fief, tandis que sa propre division et lui-même se rendaient à Passeroche pour effectuer la jonction avec la 1ère division des maréchaux.<br>
Sur cet ordre, la générale Wendy Marvel ordonna à son corps d'armée composé de deux divisions renforcées et d'une avant et arrière garde, de prendre la direction du saint-siège.<br>
 
Le 12 Tercevent, la légion du châtiment de l'évêque Basilus entra dans la sainte-cité.<br>
 
 
'''WIP'''<br>
Le '''12 14 Tercevent 265''', Le corps provisoire "Marvel" de la garde volontaire arrive face aux légions de l'est et de l'ouest, restées sur les arrières des légions de granit et de jade. Perturbées par la défaite des deux légions précédemment nommées, les légions de l'est et de l'ouest se sont déployées pour faire face au corps des maréchaux, et offrent le flanc au corps de la garde volontaire. Celui-ci jette son avant-garde sur ses devants pour attaquer de flanc les deux légions qui se laissent surprendre. Les deux légions rétrogradent en désordre vers le fief de l'église de la veine-noire, mais restent relativement intact. Le corps de la garde poursuit. <br>
(Présents: Ghideon, wendy, suljii, darkalne)<br>
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