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Campagne des immaculés

4 282 octets ajoutés, 14 août 2021 à 01:54
Du coté de l'église de la veine noire, il fallut attendre la tombée de la nuit pour que la nouvelle du massacre remonte à l'archevéché. Une profonde consternation ébranla les évêques, qui venaient de perdre dans ce combat près d'un sixième de leurs forces. Il semblait alors évident que les impériaux avaient compris leur implication dans le massacre de Lupek, et qu'une armée était en marche vers la région des bas-plateaux: l'heure n'était donc plus au repli mais à la contre-attaque. L'archevêque ordonna alors aux légions de granit et de jade de se porter à la rencontre de l'armée adverse, qui devait probablement croiser aux environs du mont-sans-joie.<br>
Bilan de la bataille: '''Victoire tactique et stratégique des impériaux''', destruction de la légion d'opale. Progression du corps des maréchaux vers la région des bas plateaux, en direction de l'est. Envoie de la légion de granit et de jade par l'église de la veine noire pour endiguer la progression impériale. L'évêque Otto, commandant de la légion d'opale, est retrouvé blessé et succombe le lendemain de la bataille.<br>
'''Siège de la sainte-cité'''<br>
Le '''22 Tercevent 265''', après avoir patienté plusieurs jours aux abords de haltebois et s'être finalement mise en marche le 20, la générale Wendy arriva aux abords de la sainte-cité, capitale de la région des bas-plateaux et fief de l'église de la veine noire. L'arrivée de ses troupes, repérée depuis les remparts de la ville, sema un vent de terreur au sein de la population, de même qu'une profonde consternation. En effet: pour combattre le corps d'armée de la garde, l'archevêque Horace avait fait mobiliser tous les hommes en âge de se battre au sein de la légion du châtiment; hors l'arrivée des troupes de la garde ne pouvait que signifier la perte de cette légion. Ainsi, de nombreuses familles comprirent qu'elles avaient perdu leurs maris, leurs pères ou leurs fils; et sombrèrent dans un désarroi total, qui ne tarda pas à se changer en rage. Avant même que le corps de la garde n'arrive, les rues de la sainte-cité devinrent le théatre d'émeutes, que durent contenir tant bien que mal les anspessades de l'archevêque. Pendant que la foule, faite de femmes et de vieillards, descendait dans les rues, l'archevêque s'enferma dans le château de la seigneurie, devenu son poste de commandement. Il en fit barricade les entrées et toutes les fenêtres, et s'enferma avec les quelques 2000 spadassins de l'archevêque. En comptant les spadassins et les anspessades, la garnison de la sainte-cité ne comptait plus que 4000 hommes en armes, aguerris certes, mais accaparés par la gestion de la foule en colère.<br>
Un autre problème de taille se présenta à l'archevêque. Avant la bataille de Haltebois, il avait estimé les renforts de la garde volontaire à près de 10 000 hommes, soit autant que le corps des maréchaux. hors, alors que le corps de la garde s'avançait vers la capitale; il apprit rapidement de ses sentinelles postées sur les murailles que les forces adverses comptaient en réalité près du double de soldats, soit près de 20 000 hommes. De plus, la garde semblait équipée d'WIP'une nombreuse artillerie, arme qui manquait presque entièrement aux forces de l'église. Les murailles de la capitale étaient bien équipées de canons de près de 24 livres, mais ces derniers étaient inclus dans les murailles et il était impossible d'en faire dégarnir une portion inutilisée pour concentrer les pièces sur un seul pan, manœuvre que les épais créneaux de pierre aurait de toutes manières interdit.<br>La légions Le '''23 Tercevent 265''', le corps de la terre-mère garde volontaire s'enferme dans était déployé en ordre de siège autour de la ville, et commençait à creuser des tranchées et des redoutes pour abriter ses soldats et mettre en batterie ses pièces de canons. Les travaux de la sainte-citégarde furent scrutés avec inquiétude par les sentinelles de l'église, qui tentèrent quelques salves de canon depuis les murailles. Le corps Mais, hors de portée de ces lourdes pièces et habilement protégés par le relief, les troupes de la garde se dispose n'en état subirent aucune pertes.<br>La première conséquence du siège fut que la capitale fut privée de siègeravitaillement. Toute Si des réserves avaient bien été amassées et si la population locale avait été décimée par l'artillerie du corps est mise en batterie exode et procède à des tirs les pertes de harcèlement sur les murs la bataille de Haltebois, il s'avéra rapidement que la citéville ne pourrait tout de même pas tenir un siège de plus de deux semaines. La 1e et 2e division Pire encore: la ville tenait son eau potable d'une rivière satellite de marche la veine-noire qui passait sous ses murs pour la traverser; mais les sentinelles rapportèrent avec effroi que des unités de la garde volontaire restent au siège avec semblaient s'afférer en amont du cours d'eau pour y construire un barrage, avant de détourner le lit de la rivière. Encore une partie fois, la panique s'empara des habitants, sans que les soldats de la réservegarnison ne purent mes contrôler. L<br> Le ''avant-garde '30 Tercevent 265''', la générale Wendy acheva son plan d'attaque, qui devait plus tard lui permettre de prendre la garde volontaire et ville. Pour diverses raisons, ce plan n'allait pas nécessiter l'intervention de la division réserve de cavalerie partent à de la rencontre garde, notamment du fait de l'étroitesse des rues et de la nécessité d'escalader des gravats pour entrer dans l'enceinte fortifiée. Elle décida donc, sachant le corps des maréchauxtrès entamé et isolé, qui a quitté d'envoyer le col général [[Darkalne]] et ses 2000 cavaliers accompagnés de passeroche son avant-garde, renforcer les unités des maréchaux. Ces derniers, après l'avoir fait sauter, et s'est regroupé à être rejoints au village de Maringo pour , semblaient y attendre les armées un prochain mouvement du royaume de Fersen, dont le premier assaut avait été repoussé mais que l'on savait encore disposer de nombreuses troupes.<br>(présents: WendyLe général Darkalne, prenant alors la tête de cette division mixte, sulji. Darkalne est présent au début mais part pour maringo)se mit en marche vers Maringo.<br>NDLR: Toutes les légions Pendant ls 9 jours qui suivirent le départ du général Darkalne, il ne se passa plus rein de l'église significatif autour de la veine noire sont regroupée dans sainte-cité, assiégée, autour de laquelle la ville assiégéegénérale Wendy s'afférait à resserrer son étreinte.<br>
Bilan de la manœuvre: '''status-quo tactique et stratégique des impériaux''', début du siège de la sainte-cité.<br>
'''Bataille de Maringo'''<br>
Le '''36 Tercevent 265''', <br>
 
'''WIP'''<br>
Le '''36 Tercevent 265''', L'avant-garde et la division de cavalerie de la garde volontaire rejoint le corps des maréchaux, qui panse ses plaies. Les légions du duc von bonlieux et du duc von Wurmseer débouchent des montagnes par le col de passeroche, qui a été dégagé entre-temps. Le terrain empêche le corps des maréchaux d'utiliser son artillerie. Les deux légions adverses chargent le village de Maringo. De violents combats au corps à corps ont lieux tout autour du village. La division de cavalerie, rassemblée, lance une charge totale sur le flanc droit des légions. Les ulhans et les dragons des légions ne sont pas suffisants pour arrêter les deux régiments de cuirassiers et les deux régiments de dragons lancés sur eux. La cavalerie de la légion von bonlieux et de la légion von Wurmseer sont anéanties. Les cavaleries de la gardent attaquent les flancs des fantassins des légions. Le duc de Bonlieux est capturé alors qu'il mène un assaut d'infanterie. Sa légion est anéantie. Le duc de Wurmseer prend la fuite, sa légion se débande. Le corps des maréchaux et les renforts de la garde ont tenu le village de maringo.<br>
Le général Darkalne, qui a mené la charge de cavalerie salvatrice, est nommé colonel-général des dragons.<br>
(présents: Pencroff, ghideon, Darkalne)<br>
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