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Campagne des immaculés

3 144 octets ajoutés, 15 août 2021 à 04:32
'''Bataille de Maringo'''<br>
Le '''35 Tercevent 265''', au matin, une patrouille de hussards partie sonder le col de passeroche rapporta l'arrivée imminente de troupes du royaume de Fersen. Posté à quelques kilomètres du col, au village de Maringo ou les maréchaux l'avaient regroupé, le corps se mit immédiatement en alerte.<br>
Vers neuf heures, l'avant-garde du corps des maréchaux s'élança en direction du col, accompagnée de la première division du maréchal Pencroff. A ce moment de la journée, nul ne sait combien d'ennemis sont en approche, aussi le maréchal Pencroff se tient-il prêt à rétrograder en cas de surnombre. Il est près de dix heures lorsque l'avant-garde et la première division arrivent à l'embouchure du col. Malheureusement, le maréchal s’aperçoit alors qu'il a été pris de vitesse parune unité de près de 1000 cavaliers de Fersen, qui défendent la route et les environs directs du col. Arrêtant ses troupes, le maréchal Pencroff prend un instant pour réfléchir à un moyen de les déloger en utilisant ses deux régiments de dragons,mais des bruits de tambours en provenance du défilé rocheux lui indiquent l'arrivée imminente de fantassins ennemis: il semble alors évident qu'il n'aura pas le temps de déployer ses unités et son artillerie pour tenir l'embouchure du col. Qu'à cela ne tienne, sa division n'est pas isolée comme l'avait été celle du maréchal Zorn lors de la bataille de Passeroche quelques jours plus tôt, aussi n'est-il pas capital de tenir coute-que-coute la sortie des montagnes. Le mar&chal Pencroff décide donc de se replier sur le village de Maringo dans lequel le maréchal Zorn organise déjà la défense de la zone, et ou des mesures ont déjà été prises pour les artilleurs. Avant de quitter les abords de Passeroche, le maréchal Pencroff ordonne tout de même à deux compagnies du régiment de maréchal-hussards de couvrir sa retraite et de compter les unités ennemies en route.<br> Rétrogradant donc vers Maringo, qu'il atteint vers onze heures, le maréchal Pencroff est informé par ses cavaliers que les troupes ennemies se sont lancées à sa poursuite, et qu'elles sont fortes d'environ une légion ennemi. On soupçonne alors que les restes de la légion Bonlieux se soient ralliés à une nouvelle légion, et que les deux colonnes aient fait bloc pour forcer le passage. D'après les premières observations, ce sont près de 8000 hommes qui seraient en marche en direction de maringo.<br> Vers midi, le maréchal Pencroff et le maréchal Zorn achevèrent de réorganiser les défenses du village en prenant en compte les deux divisions, l'avant-garde et l'arrière-garde. Réduit lui-même à près de 8000 combattants du fait des pertes subies dans les batailles précédentes, le corps allait donc affronter une force égale en nombre, mais il disposait pour lui de l'avantage du terrain. Les canons du corps avaient été mis en batterie derrière des redoutes de terre, un hopital de campagne avait été installé dans l'enceinte du village pour traiter au plus vite les blessés et des voies rapides de ravitaillement avaient été préparées de sorte à ce que toutes les unités soient réapprovisionnées le plus rapidement possible dans le feu. Chaque rue du village avait été barricadée, et les soldats attendaient de se battre de pied ferme.<br>Vers treize heures cependant, une nouvelle inquiétante arriva à l'état-major des maréchaux. Après que les 8000 hommes des legions de Fersen eurent achevé de se redéployer à la sortie du col, ces derniers furent rejoints par une formation compacte et massive d'environ 2 à 3000 miliciens armés d'arquebuses. Ce renfort, impromptu, laissait entendre que les forces du royaume de Fersen se portaient à près de 11 000 hommes, bien que l'on put douter de la qualité de cette milice.<br> Vers quatorze heures, les troupes du royaume de Fersen arrivèrent en vue du village de maringo.<br>
'''WIP'''<br>
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