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Campagne des immaculés

5 195 octets ajoutés, 17 août 2021 à 05:50
Evidemment, il restait également en réserve les 1000 cuirassiers de la cavalerie lourde; mais les maréchaux avaient convenu de ne les utiliser qu'en dernier recours, au cas ou l'aile du maréchal Zorn ou du maréchal Pencroff serait enfoncée. Il était donc exclu de les employer pour appuyer une manœuvre hors du village, à plus forte raison sur les collines ou l'artillerie de Fersen était encore déployée. Car ce qui genait le plus le maréchal Pencroff, ce n'était pas tant la présence de soldats en surnombre, que ses propre hommes dépassaient de loin; mais la présence de canons en grande concentration sur la colline. Attaquer de front pareille batterie serait suicidaire, il fallait tenir depuis les murs du village.<br>
Vers seize heures, grâce à la défense acharnée du maréchal Zorn et des fusiliers-grenadiers, l'assaut du duc von Bonlieux semblait patiner. Mais malgré leur tenacité, les troupes des maréchaux ne purent que constater l'état de destruction avancé des murets de pierre qui, criblés de balles et de coups de pioche, ne demandaient plus qu'à céder. Le moral restait cependant au beau fixe, encouragé par la présence des maréchaux; et il semblait évident que les troupes de Fersen avaient jusqu'alors subies subi près du double des pertes du corps. La plaine qui bordait le village était couverte des corps des pionniers et des lansquenets du duc von Bonlieux, et leurs attaques se faisaient de plus en plus lentes; bien que l'on put craindre que la rupture prochaine du mur ne ranime leur rage. Du coté du maréchal Pencroff, la ligne droite ennemie et sa ligne se livraient une guerre d'attrition méthodique. Les soldats des deux camps, à couverts derrière les murs du village et derrière le talus qui le bordait, s'arquebusaient à tout va. Le maréchal lui-même, ayant saisi un mousquet sur un mort, tirait sur tous ceux qui passaient à sa portée, arguant qu'il offrirait un sabre d'honneur à tous ceux qui touchaient une tête. Les coups de feu claquaient de part et d'autre, emportant des malheureux dans les deux camps, bien que la légion Wurmseer eut à souffrir des plus nombreuses pertes. En effet, il faut noter que l'aile du maréchal Pencroff était composée de deux régiments de tirailleurs-grenadiers et d'un régiment de vélites-carabiniers; qui avaient tous la réputation de recruter parmi les meilleurs tireurs du corps. Outre ces fins-tireurs, le maréchal était aussi appuyé par 200 mousquetaires qui, ayant démonté, faisaient la démonstration de leurs talents d'adresse. <br>
Vers dix-sept heures, les combats s'éternisaient encore lorsque le mur d'enceinte du village qui abritait les troupes du maréchal Zorn céda enfin, dévoilant les lignes de ce dernier et les privant d'un couvert fort salutaire. Voyant que les défenses du village étaient amoindries, le duc von Bonlieux jeta toutes ses forces en avant, au contact des fusiliers-grenadiers. Près de 5000 hommes se ruèrent alors au corps à corps contre les 3000 hommes valides restant pour le défendre. Immédiatement, voyant l'entrée du village prise d'assaut, le maréchal Zorn fit donner les régiments d'Impérial-grenadiers, qui se joignirent à la bataille l'arme au bras. Une violente confrontation à la baïonnette, à l'épée et à la hache s'engagea alors, tandis que l'aile gauche de fersen et l'aile du maréchal Zorn s'écharpaient de front. La lutte, sur laquelle le maréchal Zorn et ses grenadiers avaient l'avantage, était toutefois extrêmement violente et mobilisa toutes les ressources de l'aile. Voyant le combat s'engager sur sa droite, le maréchal Pencroff ordonna aux cuirassiers de se porter en arrière des lignes du maréchal Zorn, prêts à charger au pas dans les rues du village pour dégager repousser l'ennemi. Sa propre aile, entièrement déployée face à la légion von Wurmseer, ne pouvait apporter d'autre secours, tiraillant elle-même à 3000 contre 5000; et il ne pouvait risquer de contournement avec ses seuls hussards, attendu que les flancs de l'ennemi étaient couverts par près de 1000 cavaliers lourds de Fersen.<br>
Sur toute la ligne, la lutte était totale mais le corps des maréchaux, plus aguerri et mieux formé, conservait indéniablement l'avantage. Mais le maréchal Pencroff et le maréchal Zorn comprirent rapidement que cet engagement total de deux légions entières n'était pas un risque inconsidéré, et que les troupes de Fersen avaient encore un atour dans leur manche. La confirmation de leurs craintes arriva vers dix-sept heures trente lorsque, arrivant par la route de Passeroche, une troisième légion fut annoncée.<br>
Il s'agissait alors de la légion Alvichi, forte de 5000 hommes, et qui avait progressé à cinq heures de marche derrière la légion Wurmseer. Le plan de l'armée de Fersen devint clair: la légion Wurmseer et les restes de la légion Bonlieux devaient fixer le corps des maréchaux et l'engager intégralement, le temps qu'une 3e légion ne vienne leur prêter assistance pour porter le coup de grâce. A présent, le panache de fumée de la légion alvichi était visible depuis tout le champ de bataille, et il semblait clair qu'il serait au contact du corps des maréchaux avant le crépuscule. Engagé sur toute la ligne et déjà dépassé par le nombre, le corps des maréchaux courrait le risque d'être flanqué ou pris à revers, et n'avait plus le luxe de se redéployer. Sa seule réserve était alors composée des 1000 hussards et des 1000 cuirassiers qui pouvaient encore quitter les arrières du maréchal Zorn; mais aucun appui d'infanterie n'était à espérer.<br>
Malgré cette terrible annonce d'un renfort ennemi, le moral des soldats du corps ne baissa pas, et l''WIP'''<br>L'avant-garde annonce de cette complication soudaine sembla même pousser les hommes dans leurs derniers retranchements. Du coté des forces de Fersen en revanche, les deux ducs comme leurs hommes poussèrent un profond soupir de soulagement, et la division se virent déjà vainqueurs, éprouvés mais victorieux. Sur le champ de cavalerie bataille, le maréchal Zorn continuait de se démener dans la garde volontaire rejoint le corps des maréchauxmêlée, qui panse entouré à présent de ses plaiesgrognards dont chacun continuait à se battre avec la force de dix hommes. Les légions du duc von bonlieux et du duc von Wurmseer débouchent des montagnes par Le maréchal Pencroff, de son coté, laissa le col commandement de passerocheson aile à la générale Marceline, qui a été dégagé entresa major-tempsgénérale, pour prendre le commandement de la cavalerie. Le terrain empêche <br>Priant pour que le corps des maréchaux dcentre tienne, il s'utiliser son artillerie. Les deux légions adverses chargent entoura de ses mousquetaires et de ses hussards, et ordonna aux cuirassiers de rester dans le village de Maringoen ultime réserve. De violents combats au corps à corps ont lieux tout autour du village. La division de cavalerieIl se prépara alors, rassembléebien que la manœuvre fut d'un effroyable danger, lance une charge totale à se jeter avec ses cavaliers sur le flanc droit des légionsde l'aile droite adverse. Les ulhans Il savait que cette aile était couverte par 1000 cavaliers lourds et par une artillerie bien positionnée ainsi que par de nombreux fantassins; mais il gageait qu'une percée sur cette aile, appuyée à propos par les dragons des légions cuirassiers ou par une avance soudaine de son infanterie, pourrait permettre de rompre la ligne de l'armée de Fersen avant que la 3e légion ennemie ne sont pas suffisants se porte en renfort et n'engage le combat. Les cavaliers se regroupèrent alors en trois lignes, qui devaient se séparer à la sortie du village pour arrêter se déployer en ordre relâché et tâcher ainsi d'éviter au mieux les deux régiments coups de cuirassiers l'artillerie. Une charge en désordre aurait sans doute moins d'impact lors du contact avec les cavaliers et les deux régiments de dragons lancés fantassins ennemis, mais le maréchal comptait sur eux. La cavalerie l'inégalable bravoure de ses soldats pour emporter la légion von bonlieux et décision ou périr couverts de la légion von Wurmseer sont anéantiesgloire. La cavalerie <br> Mais alors que, vers dix-huit heures, le maréchal Pencroff s'apprêtait à charger de front et le maréchal Zorn se démenait pour tenir l'entrée du village; une nouvelle leur arriva et changea diamétralement le rapport de la garde attaque les flancs force des fantassins des légionscombats. Le duc de Bonlieux est capturé alors quSur l'il mène un assaut darrière du village, dissimulés jusqu'infanterie. Sa légion est anéantie. Le duc alors par le relief accidenté de Wurmseer prend la fuiterégion, sa légion la division de cavalerie du général Darkalne se débandeprésenta dans la plaine. Le corps Arrivant par le sud-ouest, c'est à dire par l'arrière droite des maréchaux , le général et ses 2000 cuirassiers et dragons dévalaient la pente d'une colline au trot, sonnant au clairon l'appel aux armes.<br>Immédiatement, soulagé par ce soudain renfort et reconnaissant avec émotion les renforts étendards de la garde ont tenu volontaire, le village maréchal Pencroff fit envoyer un officier d'ordonnance pour instruire le général Darkalne de maringo.ses ordres:<br>Le "Vous aurez à coeur, mon général Darkalne, de porter vos cavaliers sur notre flanc gauche, à l'est; pour y faire face à la cavalerie de la légion qui a mené nous y incommode. Vous poursuivrez ensuite l'assaut sur toute leur aile, que je vous serais gré de briser. J'aurais l'honneur d'appuyer votre mouvement, mais puisque vous arrivez je vous laisse l'honneur de la charge de cavalerie salvatrice, est nommé colonel-général des dragons; avec mes salutations."<br>(présents: PencroffQuelques minutes plus tard, la division Darkalne se porta à l'arrière-gauche du village, qu'elle dépassa par l'Est. Elle fut rejointe par le maréchal, ghideonqui la laissa passer pour conduire ses hussards plein Est et contourner au large, Darkalne)<br>NDLR: légion dans l'espoir de bonlieux HS, lui est captuéprendre le centre ennemi par ses arrières.<br>
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