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Les "Dragonnades" désignent l'utilisation de [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|dragons (militaires)]] pour des missions relevant de la sûreté interieure, du maintien de l'ordre ou de la contre-insurrection.<br>
Apparues en 322 durant l'[[Affaire de Malpasset]], les dragonnades ont rapidement démontré leur efficacité et sont devenues un recours prisé du maréchal [[Pencroff]], lui-même à l'origine de cette tactique.<br>
= Principe =
Les dragonnades consistent en la projection rapide d'une force plus ou moins conséquente de cavaliers (le plus souvent des [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|dragons (militaires)]]) en un point donné pour y faire cesser des troubles ou activités criminelles.<br>
La présence soudaine et marquée d'une force militaire nombreuse et dotée de droits élargis permet, souvent, de dissuader toute escalade et de procéder aux contrôles nécessaires.<br>
== Unités employées ==
Dans la majorité des cas, ces missions sont dévolues aux régiments de [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|dragons]].<br>
Cavaliers polyvalents et aptes au service à cheval comme à pieds, les dragons sont également coutumiers des opérations détachées et en autonomie.<br>
En outre, le maréchal [[Pencroff]] confie souvent les missions de cet ordre à ses propres régiments, le [[Régiment de Pencroff-Cavalerie]] et le [[Régiment de Férincs-Cavalerie]], par commidité. Ces deux régiments étant composés de dragons, cette branche est donc plus fréquemment représentée.<br>
Il arrive également que ces missions soit confiées à des [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|hussards]], et plus rarement à des [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|chevau-légers]] de la [[Garde Volntaire]], avec l'approbation du Premier Consul [[Ghideon Zorn]].<br>
= Historique des dragonnades =
- 322 : [[Affaire de Malpasset]]<br>
Apparues en 322 durant l'[[Affaire de Malpasset]], les dragonnades ont rapidement démontré leur efficacité et sont devenues un recours prisé du maréchal [[Pencroff]], lui-même à l'origine de cette tactique.<br>
= Principe =
Les dragonnades consistent en la projection rapide d'une force plus ou moins conséquente de cavaliers (le plus souvent des [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|dragons (militaires)]]) en un point donné pour y faire cesser des troubles ou activités criminelles.<br>
La présence soudaine et marquée d'une force militaire nombreuse et dotée de droits élargis permet, souvent, de dissuader toute escalade et de procéder aux contrôles nécessaires.<br>
== Unités employées ==
Dans la majorité des cas, ces missions sont dévolues aux régiments de [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|dragons]].<br>
Cavaliers polyvalents et aptes au service à cheval comme à pieds, les dragons sont également coutumiers des opérations détachées et en autonomie.<br>
En outre, le maréchal [[Pencroff]] confie souvent les missions de cet ordre à ses propres régiments, le [[Régiment de Pencroff-Cavalerie]] et le [[Régiment de Férincs-Cavalerie]], par commidité. Ces deux régiments étant composés de dragons, cette branche est donc plus fréquemment représentée.<br>
Il arrive également que ces missions soit confiées à des [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|hussards]], et plus rarement à des [[Terminologie_de_la_Garde_Volontaire#Cavalerie|chevau-légers]] de la [[Garde Volntaire]], avec l'approbation du Premier Consul [[Ghideon Zorn]].<br>
= Historique des dragonnades =
- 322 : [[Affaire de Malpasset]]<br>