Férincs : Différence entre versions

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On y trouve une église vouée au culte des empereurs, une mairie, des structures portuaires et des habitations. Outre le bourg, le domaine abrite également un petit château seigneurial nommé "commanderie", et une forteresse vouée à abriter des troupes défensives.<br>
 
On y trouve une église vouée au culte des empereurs, une mairie, des structures portuaires et des habitations. Outre le bourg, le domaine abrite également un petit château seigneurial nommé "commanderie", et une forteresse vouée à abriter des troupes défensives.<br>
  
== Société et Institutions ==
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Le marquisat de Férincs est placé sous l'autorité du Maréchal Pencroff, marquis de Férincs, suivant un régime seigneurial.<br>
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L'autorité du marquis s'étend tant sur le bourg que sur le domaine, et le place au centre des décisions sur le territoire.<br>
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Pour l'aider dans cette tâche, le marquis s'appuie sur une administration préfectorale mise à disposition par le consulat de la [[Garde Volontaire]] suivant un régime spécial.<br>
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Sous l'autorité du marquis, le bourg de Férincs dispose également de son propre '''Bourgmestre''' qui est élu par la population parmi les habitants. Le bourgmestre est en charge de l'administration journalière du bourg, des affaires courantes, et de la gestion du domaine en absence du marquis.<br>
  
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=== Population et démographie ===
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La population de Férincs, nommée "Férinxiens" et "férinxiennes", est principalement composée de '''chimères''', c'est-à-dire de demi-humains partageant des traits avec certains espèces du règne animal. La plupart des habitants sont issus de la branche des "Félinxiens", c'est à dire des "hommes-chats". Avec le temps, de nouveaux habitants sont venus se greffer à la population originelle du fief, parmi lesquels une égale part d'humains et de chimères d'autres branches. Lors du recensement de l'an 277, la population comptait ainsi 74% de félinxiens, 14% de chimères d'autres branches et 12% d'humains.<br>
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Parmi les habitants de Férincs, 87% sont de nationalité Stendelienne, tandis que 13% sont issus de nations étrangères principalement situées au nord de Stendel.<br>
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On compte également 56% de femmes pour 44% d'hommes, ce qui peut s'expliquer par le massacre d'une partie des hommes lors de l'invasion de 273.<br>
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== Culture ==
 
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Version du 18 septembre 2021 à 17:07

Férincs
Illustration.
Dénomination Le marquisat de Férincs
Description Férincs est un marquisat situé à la frontière Nord de l'empire.
Monde Stendel
Existence 4 Nérévard de l'an 105 du Calendrier Erachien
Fondateur(s) SuperCat81
Souverain(s) Pencroff
Alignement Impérial
Langues Stendelien
Gentilé Férinxien


Le marquisat de Férincs est un territoire d’allégeance impériale situé non loin de la frontière Nord de Stendel. Fondé en l'an 105 de notre ère, le village tire ses racines d'une ancienne cité nommée "Féronincs" servant de refuge à la civilisation pré-impériale des "Félinxiens".

Histoire

Férincs est une "ville nouvelle" recrée le 4 Nérévard de l'an de grâce 105 sur les ruines de la ville antique de Féronics, du nom du dieu éponyme (enfin la ville est l’éponyme du dieu). Historiquement, Féronincs était le berceau des Félinxiens, un peuple d'hommes-chats qui s'était dispersé avant l'ère impériale suite à un conflit, et qui n'a cessé d'être en "voie d'extinction" que depuis la fondation de Férincs. C'est donc en l'an 105, avec l'aide de guerriers de Dolgarund, qu'une nouvelle colonie s'installa sur les ruines de l'ancienne cité.

De cette colonie naquit un village, Férincs, qui fut rapidement doté d'un port de pêche. Des fouilles archéologiques furent organisées sur place pour retrouver les vestiges de la lointaine aïeule du village, et l'annonce de la recréation d'un peuple d'hommes-chats fit converger vers le village de nombreux nomades de tous poils désireux de retrouver leurs semblables, ainsi que de nombreux aventuriers de toutes races qui vinrent se mêler à la population locale.

Idéalement située au confluent d'un fleuve menant aux mers du nord de Stendel, l'activité fluviale et maritime offrit rapidement à la ville toute la prospérité dont elle avait besoin et une abondance de vivres qui y rendait la vie fort agréable pour quiconque aime le poisson. La direction de la ville fut confiée à un consul (sorte de roi élu par le peuple parmi les anciens conseilleurs) aidé par un chaman (adjoint direct du consul, également élu) et par des conseillers.

Enfin, de l'an 105 à notre ère, en l'an de grâce 274, il ne se passa plus grande chose et la vie sur place sembla suivre son cours paisible.

Fin 274 cependant, le village fut brutalement secoué par une invasion barbare aussi sanglante que soudaine, au cours de laquelle une partie de la population fut massacrée; l'autre partie tombant sous le joug ennemi. Les envahisseurs, des colons nordiques du royaume d'Auersdatte, avaient alors pour ambition d'utiliser le port de Férincs comme base avancée pour leur prise du contrôle maritime au nord de l'empire. On apprit, plus tard, qu'ils ambitionnaient d'enlever la population locale pour la vendre à d'obscurs réseaux esclavagistes; la race des hommes-chats étant prisée des trafiquants les plus odieux.
Fort heureusement, une intervention rapide du Corps des Maréchaux, commandé par le maréchal d'empire Bonaventure Pencroff, anéantit en quelques jours tous les plans barbares; reprenant la petite cité portuaire et massacrant les forces ennemies. Le territoire de Férincs fut sauvé, et les affronts qu'il avait subi devaient, plus tard, être vengés pendant l'opération de représaille que fut la Campagne d'Auersdatte.

Après cet épisode sanglant, le maréchal Pencroff décida de prendre en main la bourgade meurtrie pour la défendre. Il lança une procédure de reprise auprès des autorités impériales concernées pour faire de ce modeste territoire un marquisat, c'est-à-dire un fief sous autorité nobilaire.
En 278, le gouvernement impérial validé cette requête et le marquisat de Férincs fut fondé et placé sous la gouvernance du maréchal Pencroff.

Géographie et urbanisme

Le territoire de Férincs s'étend sur une vaste plaine tempérée située au Nord de Stendel. Il est bordé au nord par Cénéria, à l'ouest par le Miko-institute, à l'est par le lac de ligny et au sud par une terre sans drapeau.
Le territoire est composé d'un bourg, qui donne son nom au marquisat, et d'un domaine seigneurial qui englobe les habitations.
Situé au bord d'un lac, le bourg est équipé d'un petit port pouvant accueillir des bâtiments d'un tonnage allant jusqu'à la goélette. C'est autour de ce petit port que se trouve le centre-ville, la zone habitée décroissant en cercles excentriques depuis le port.
On y trouve une église vouée au culte des empereurs, une mairie, des structures portuaires et des habitations. Outre le bourg, le domaine abrite également un petit château seigneurial nommé "commanderie", et une forteresse vouée à abriter des troupes défensives.

Société et Institutions

Gouvernement

Le marquisat de Férincs est placé sous l'autorité du Maréchal Pencroff, marquis de Férincs, suivant un régime seigneurial.
L'autorité du marquis s'étend tant sur le bourg que sur le domaine, et le place au centre des décisions sur le territoire.
Pour l'aider dans cette tâche, le marquis s'appuie sur une administration préfectorale mise à disposition par le consulat de la Garde Volontaire suivant un régime spécial.
Sous l'autorité du marquis, le bourg de Férincs dispose également de son propre Bourgmestre qui est élu par la population parmi les habitants. Le bourgmestre est en charge de l'administration journalière du bourg, des affaires courantes, et de la gestion du domaine en absence du marquis.

Population et démographie

La population de Férincs, nommée "Férinxiens" et "férinxiennes", est principalement composée de chimères, c'est-à-dire de demi-humains partageant des traits avec certains espèces du règne animal. La plupart des habitants sont issus de la branche des "Félinxiens", c'est à dire des "hommes-chats". Avec le temps, de nouveaux habitants sont venus se greffer à la population originelle du fief, parmi lesquels une égale part d'humains et de chimères d'autres branches. Lors du recensement de l'an 277, la population comptait ainsi 74% de félinxiens, 14% de chimères d'autres branches et 12% d'humains.
Parmi les habitants de Férincs, 87% sont de nationalité Stendelienne, tandis que 13% sont issus de nations étrangères principalement situées au nord de Stendel.
On compte également 56% de femmes pour 44% d'hommes, ce qui peut s'expliquer par le massacre d'une partie des hommes lors de l'invasion de 273.

Economie

Défense

Culture

Trivia

Références