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Guerre de restauration de Belvy

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=== Genèse ===
Dans les années qui suivirent la [[Campagne Verte]] de 258 et la [[Campagne de la Maur'Ya]] de 259 menées par la [[Garde Volontaire]], le royaume de Belvy se trouva libéré des gobelins et des nains et put récupérer ses terres; auparavant envahies.<br>
Cependant après le départ de la Garde il s'avéra rapidement que, pour le royaume, la reconquête de ces territoires allait s'avérer plus difficile que prévu. En effet, si les Gobelins et les Nains avaient effectivement et méthodiquement été chassés, il n'en restait pas moins que nombre des localités qui tapissaient autrefois ces régions avaient été anéanties, dépeuplées, et que les cultures à l'abandon étaient toutes redevenues friches. En somme, il n'allait pas suffire de simplement réintégrer ces régions; mais il allait être nécéssaire de durablement les rebâtir, les repeupler et de les redévelopperdévelopper.<br>
Durant toute la période de l'an 260 à l'an 300, le royaume de démena donc pour mener ces grands travaux de reprise de ses territoires, tant et si bien qu'il y consacra la majeure partie de ses recettes fiscales; délaissant d'autres secteurs comme, au premier chef, la défense.<br>
La reconstruction des villages et la remise en culture des champs passa en effet avant la remise sur pieds de l'armée et la restauration des places fortes bordant jadis le territoire; et le service des armes fut, pendant cette période, assuré par une milice royale formée par conscription et l'établissement d'un service militaire obligatoire pour tout sujet mâle de dix-huit à vingt ans.<br>
En 305, après plus de trente années dédiées à reconquérir progressivement ses terres, le royaume de Belvy s'est réapproprié non moins des trois quarts de ses anciennes possessions. Il ne reste, dès lors, qu'à réaffecter le dernier quart, qui se trouve aux frontières des royaumes de la maison des Apesbourgs. Cependant, durant les nombreuses années d'absence du royaume de Belvy, de nombreux colons issus des royaumes voisins semblent s'être installés dans cette région isolée et considérée comme une zone de non-droit; rapidement devenue une plateforme commerciale prisée pour son absence de taxes.<br>Bien que le territoire ne revienne de droit au Royaume de Belvy, le roi Godefroy hésite à déloger par la force les nouveaux résidents, et décide de leur proposer d'accéder à la nationalité Belvoise à titre gracieux; faisant d'eux ses sujets.<br>Mais ces derniers, plus intéressés par l'absence de reglementation sur le territoire, refusent cette offre et se revendiquent comme indépendants; en dépit de l'appartenance claire du territoire au royaume de Belvy.<br>Ne souhaitant pas se lancer dans un conflit, le gouvernement de Belvy opte pour un status-quo temporaire, et se tourne vers l'archiduché des Apesbourgs pour obtenir de ce dernier le retrait de ses ressortissants.<br>Mais le duché des Apesbourgs, dont le commerce profite grandement de la situation, temporise et fait durer les discussions.<br> En 307, après une vie dédiée au service de son peuple, le Roi Godefroy IV de Belvymeurt de vieillesse et de fatigue. Des funérailles nationales sont organisées en hommage à celui que le peuple Belvois aimait à surnommer "Godefroy le bon" tandis que son fils, Hugues 1er, accède au trône. Ce dernier décide alors de poursuivre la politique de son père, et relance l'archiduché des Apesbourgs sur la question du retrait de leurs ressortissants du territoire Belvois, dans les environs d'Obre et de Grasier.<br>Cette fois, l'archiduc Oskar V d’Apesbourg dit “Le sérénissime” reçoit le roi de Belvy Hugues 1er au cours de l''''entrevue d'Orbe''',au cours de laquelle il explique les avantages tirés par l'archiduché du commerce non-régulé dans la région.<br>Le roi Hugues 1er exprime sa volonté inébranlable de reconquérir les terres historiques de son royaume, ce qui laisse les deux hommes dans une impasse. Bien qu'en tord, l'archiduché est effectivement en position de force, car il dispose d'une force armée non moins que quatre fois supérieure et bien mieux entrainée que celle du royaume de Belvy, toujours délaissée et réduite à la conscription de milice.<br>Contrait à la concession, le roi de Belvy accepte un de laisser à l'archiduché des Apesbourgs l'usufruit du territoire Ouest, à condition que ce dernier ne soit définitivement reconnu comme faisant partie du domaine de Belvy et soit régi par la noblesse Belvoise.<br>L'archiduc accepte, faisant de la région d'Orbe et Grasier un territoire Belvois sous influence Apesbourgeoise.<br> En 308, la région concernée est transformée par le roi en Duché: le '''Duché de Perendim''', et ce duché est scindé en deux domaines sous bannière Belvoise: Le marquisat d'Orbe et le marquisat de Grasier.<br>Le roi de Belvy nomme alors un duc, deux marquis et quatre barons pour contrôler la zone au nom du royaume et veiller à ce que, malgré l'influence des Apesbourgs, la région conserve ses couleurs belvoises.<br> Entre 308 et 320 cependant, une véritable campagne d'ingérence est menée par les royaumes Apesbourgs pour saboter l'autorité de Belvy sur le duché
=== Casus Belli ===
contributeur
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