Incendie de la bibliothèque de Noalshak : Différence entre versions

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L'enquête, qui se poursuivit durant plusieurs semaines après le sinistre, ne parvint finalement pas à découvrir son origine.
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La '''Bibliothèque de Noalshak''' abritait en son sein de très nombreuses archives publiques et privées, conservées gratuitement.<br>
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De nombreuses administrations publiques, impériales ou locales, ainsi que de nombreux particuliers avaient profité de cette offre pour faire conserver leurs documents, qui furent tous perdus.<br>
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Il est, encore aujourd'hui, difficile d'estimer le nombre de documents qui ont été perdus; les registres ayant eux aussi été détruits.
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- [[Incendie des archives d'Östingpik]]

Version du 26 novembre 2020 à 16:48

Incendie de la bibliothèque de Noalshak
Description Incendie d'origine inconnue ayant ravagé la bibliothèque de Noalshak.
Lieux Stendel
Date 9 Pampélune de l'an 232 du Calendrier Erachien
Issue Perte des archives et de nombreux ouvrages

L'incendie

Au matin du 9 pampélune 232, un violent incendie se déclara au sein de la Bibliothèque de Noalshak, haut lieux de la mémoire collective où étaient conservées de nombreuses archives, publiques et privées.

L'alerte, donnée tardivement par des voisins qui furent tirés du sommeil par le fracas des virtres, entraina une importante opération de conscription des flammes, qui dura tout le reste de la nuit et du matin.
Malheureusement, tous les efforts furent vains et il ne resta rapidement plus rien du bâtiment, qui avait succombé corps et biens.
Par chance, aucune victime ne fut à déplorer, le drame s'étant joué de nuit, alors que le bâtiment était inoccupé.

Une instruction fut alors ordonnée par le gouvernement impérial pour découvrir les causes de la tragédie. L'enquête, qui se poursuivit durant plusieurs semaines après le sinistre, ne parvint finalement pas à découvrir son origine.

Conséquences

La Bibliothèque de Noalshak abritait en son sein de très nombreuses archives publiques et privées, conservées gratuitement.
De nombreuses administrations publiques, impériales ou locales, ainsi que de nombreux particuliers avaient profité de cette offre pour faire conserver leurs documents, qui furent tous perdus.

Il est, encore aujourd'hui, difficile d'estimer le nombre de documents qui ont été perdus; les registres ayant eux aussi été détruits.

Articles connexes

- Incendie des archives d'Östingpik