Incendie des archives d'Östingpik : Différence entre versions

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Les '''archives d'Östingpik''' étaient un édifice similaire à un monastère, dédié à la conservation de documents divers. Les archivistes dévouaient leur vie à la conservation de ces ressources, dont ils prenaient grand soin. Le service qu'ils proposaient était gratuit, ls archivistes ayant fait voeu de protéger la mémoire collective et ne souhaitant pas monnayer leurs services afin de le rendre accessible à tous. Les frais des archives étaient payés par des dons.
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Les '''archives d'Östingpik''' étaient un édifice similaire à un monastère, dédié à la conservation de documents divers. Les archivistes dévouaient leur vie à la conservation de ces ressources, dont ils prenaient grand soin. Le service qu'ils proposaient était gratuit, ls archivistes ayant fait voeu de protéger la mémoire collective et ne souhaitant pas monnayer leurs services afin de les rendre accessibles à tous. Les frais des archives étaient payés par des dons.
  
 
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Version actuelle datée du 26 novembre 2020 à 17:18

Incendie des archives d'Östingpik
Description Incendie d'origine accidentelle ayant ravagé les archives impériales d'Östingpik.
Lieux Stendel
Date 25 Cidélia de l'an 184 du Calendrier Erachien
Issue Perte des archives et de nombreux ouvrages

Les archives

Les archives d'Östingpik étaient un édifice similaire à un monastère, dédié à la conservation de documents divers. Les archivistes dévouaient leur vie à la conservation de ces ressources, dont ils prenaient grand soin. Le service qu'ils proposaient était gratuit, ls archivistes ayant fait voeu de protéger la mémoire collective et ne souhaitant pas monnayer leurs services afin de les rendre accessibles à tous. Les frais des archives étaient payés par des dons.

Le sinistre

Dans l'après-midi du 25 Cidélia 184, alors que les archivistes procédaient à une revue de leurs registres, un jeune disciple fit tomber une lampe à huile sur le sol d'une des principales allées. Le liquide enflammé se répandit rapidement, embrasant une première bibliothèque de bois rare. Craignant d'être sévèrement réprimandé, le disciple ne donna pas l'alerte immédiatement et tenta de circonscrire les flammes par ses propres moyens, sans résultats. Lorsqu'il signala le départ de feu il était trop tard: attisé par l'air sec et rongeant le bois et le papier; le brasier devint vite incontrôlable.

Le bâtiment fut évacué in-extremis, si bien qu'aucune perte ne fut à déplorer; mais il fut impossible d'entraver le sinistre qui se prolongea pendant plus de douze heures. La pluie, au matin du lendemain, eut finalement raison des braises; mais le bâtiment et ses trésors étaient perdus.

Conséquences

De très nombreuses archives, publiques et privées, furent détruites par les flammes. Quelques documents purent être sauvés par des archivistes héroiques qui retournèrent plusieurs fois dans l'édifice malgré le danger, mais la presque totalité des ressources furent réduites en cendres.

Une enquête fut ordonnée par le gouvernement impérial, mais l'origine accidentelle ne fit rapidement plus de doute: le jeune disciple de constitua prisonnier et fut condamné à répertorier à la main les déclarations de pertes des nombreuses personnes dont les biens avaient été détruits. Le pauvre homme perdit la raison, et vit depuis reclus.

Les archivistes, d'abord dévastés par la tragédie, se remirent rapidement au travail et s'affairent à présent à rebâtir de nouvelles archives dans de meilleures conditions de sécurité.

Articles connexes

- Incendie de la bibliothèque de Noalshak