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Pencroff

65 octets ajoutés, 2 mars
Cet engagement est le premier depuis de longues années où le maréchal Pencroff reprend des fonctions de commandant en chef. C'est également la première fois depuis de longues années qu'il est engagé sans son très fameux et très cher '''Corps de Cavalerie'''.<br>
Après divers combats de moyenne intensité au début du conflit, la simple présence d'une armée de la Garde Volontaire suffit à faire capituler l'adversaire. Magnanime, le maréchal Pencroff accepte le départ des démons sans massacrer ces derniers, à la condition qu'ils n'acceptent de se tenir à une certaine distance de l'empire.<br>
 
En 335, le maréchal Pencroff réforme le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#1er_r.C3.A9giment_de_cuirassiers-lanciers_de_la_Garde|Régiment des Cuirassiers de la Garde]] et le équipe de '''lances''' pour former le '''Régiment de Cuirassiers-lanciers de la Garde'''. L'ambition du maréchal, dans son rôle de Colonel-Général de la Cavalerie, est de tirer profit de l'excellente tenue en charge des cuirassiers et des avantages cumulés de la cuirasse et de la lance lors des engagements de cavalerie contre une cavalerie adverse ou contre des lignes d'infanterie. Une fois le choc passé, les cuirassiers peuvent abandonner la lance et poursuivre le combat au sabre-latte.<br>
Le maréchal expérimente ces nouvelles méthodes lors des manoeuvres annuelles de 335.<br>
 
En 337, le maréchal Pencroff participe, avec la totalité de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]], à la [[Grande Guerre Continentale]].<br>
Au cours de cette campagne que d'aucuns décrivent comme un des plus rudes engagements de la [[Garde Volontaire]], le maréchal et la [[Maison Pencroff de Férincs]] jouent un rôle prépondérant dans les combats, mais paient également un lourd tribu. En effet, dans la tourmente et l'indescriptible chaos de la bataille finale, le fils aîné du maréchal, [[Emile-Bonaventure Pencroff]], tombe au combat en sauvant par une charge héroïque l'aile droite de l'armée.<br>
Le maréchal Pencroff, à propos du sacrifice de son propre fils sur l'autel de la protection de l'empire, commentera avec pudeur:<br>
"Il est des enjeux et des valeurs qui dépassent les mortels que nous sommes. Nombre de soldats ont versé leur sang pour protéger ceux qui vivent à l'ombre de notre bouclier. Le sacrifice de mon propre fils, comme celui de chaque soldat tombé à cette bataille, n'a pas été vain et leur héritage vivra tant que les tambours battront aux pieds de nos drapeaux. Je l'ai enterré avec ses hommes, il l'a bien mérité."<br>
==== Le nouveau monde ====
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Infanterie
| ennemi =
}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Gabriel Feraud
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel Feraud.png|200px]]
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| caractéristique = Colonel
| activité = Premier aide-de-camp
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Cavalerie
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}}
| yeux =
| caractéristique = Colonel
| activité = Second aide-de-campGrand écuyer
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Infanterie
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}}
 
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Maurice Gribauval
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel dHubert.png|200px]]
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| naissance =
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| caractéristique = Colonel
| activité = Troisième aide-de-camp
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Artillerie
| ennemi =
}}
Rapidement, sa carrière dans l'infanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, tant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'Auersdatte]], elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de la crête d'Eséparge. Ce dernier, reconnaissant et impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance-tenante et la fait inscrire à l'école de guerre où, dès la fin de la campagne, elle passe son brevet d'état-major.<br>
Promue lieutenant-colonel, elle intègre l'inspection générale de l'armée où elle est chargée des études relatives au développement de l'infanterie de la garde. Promue colonel, elle intègre finalement l'état-major du maréchal comme aide-de-camp, avant d'y être nommée générale de brigade.<br>
- '''Colonel Gabriel Feraud''', premier aide-de-camp du maréchal<br>
Brillant officier de cavalerie légère, le colonel Gabriel Feraud a eu l'honneur de commander l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avant d'intégrer l'état-major de ce dernier. Cavalier hors-pair et fiévreux duelliste, il se joue des combats et considère la guerre comme un jeu.<br>
 
- '''Lieutenant-Colonel Jean-roc Coignet''', second aide-de-camp du maréchal<br>
Le lieutenant-colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>
Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est succéssivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroique pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major.<br>
- '''LieutenantColonel Jean-Colonel Maurice Gribauvalroc Coignet''', troisième aidegrand écuyer du maréchal<br>Le Colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>Artilleur renommé issu Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de lgrenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'artillerie à cheval la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, et mathématicien le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il est promu Colonel. Toujours dans l'académie militaire état-Major du maréchal pendant les '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le début des sciences années 300, il refuse une promotion comme général de brigade pour rester auprès du Refuge de Panmaréchal, qui le nomme grand-écuyer.<br>
- '''Colonel Diane Kavendix''', chirurgien-major<br>
La commandante Naaza Larray est tout simplement l'assistante et la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La commandante Larray n'avait jamais servi dans les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix ont convaincu ce dernier de la recruter.<br>
- '''6 4 officiers d'ordonnance du maréchal'''<br>
Issus de diverses unités montées, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir le maréchal. Ce sont de véritables couteaux suisses, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers. Leur fidélité au maréchal est absolue.<br>
Parmi les 6 4 officiers d'ordonnance, on compte:<br>
- Commandant Riley Ninime<br>
- Capitaine Lev Leps<br>
- Capitaine Centenac<br>
- Capitaine Brunbrouk<br>
- Lieutenant Otonoshin Koito<br>
- Lieutenant Hajime Tsukushima<br>
Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]].<br>
"On meurt tous un jour. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante qu'Il faut un coup de mitraillesiècle pour faire une nation, mais une bataille peut suffire à la défaire."<br>
"Messieurs, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous allons avoir l'honneur de charger !"<br>
"Il suffit d'un coup de plume pour faire un duc, mais il faut vingt ans pour faire un général."<br>
 
"Les nations qui séparent les intellectuels des guerriers sont gouvernées par des lâches et défendues par des idiots."<br>
"Seuls les guerriers peuvent être pacifistes, les autres n'ont juste pas le choix."<br>
"A la guerre, il faut n'être jamais sur de rien, et toujours prêt à tout."<br>
 
"On ne s'engage pas dans l'armée pour faire dans la dentelle. Notre boulot c'est de détruire des choses et tuer des gens."<br>
"La diplomatie est l'affaire des politiciens. Compromis, concessions, langue de bois... Une fois qu'ils ont échoués, on vient mettre tout le monde d'accord."<br>
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