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Pencroff

31 065 octets ajoutés, 2 mars
{{Infobox Personnage
| nom = Bonaventure Pencroffde Férincs
| nom alias = Maréchal Pencroff<br> Le Maréchal Hussard<br> Le diable bleu
| image =
[[Fichier:Pencroff 19B.png|250px300px|sans_cadre]]
| taille image =
| légende =
| naissance = 49 Démévent de l'an 46 du [[Calendrier Erachien]]
| caractéristique = [[Fichier:Marechal.png|25px|sans_cadre]] Maréchal d'Empire
| activité = Gouverneur Militaire<br>Colonel-Général Marquis de la Cavalerie[[Férincs]]
| sexe = Homme
| espèce = Humain
[[Garde Volontaire]]<br>
[[Forces armées impériales]]<br>
[[Maison Pencroff de Férincs]]<br>
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|140px|sans_cadre]]
}}
Le '''Maréchal Bonadventure Bonaventure Pencroffde Férincs''' est un des [[Gouverneurs]] de l'empire Stendenlien. <br>Il est également le patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], une famille de la haute noblesse d'épée stendelienne.<br>Originaire d'une contrée étrangère à l'empire,il s'engagea très jeune et a gravi gravit les échelons des [[Forces armées impériales]], à partir du grade de soldat. Survivant Vétéran de la [[Guerre Civile Stendelienne]] et survivant de bataille de Nyan-Cat , il fut promu officier malgré son rang de roturier et fondateur de créa la[[Garde Volontaire]]au lendemain du cessez-le-feu.<br>Fort de ses succès militaires à la tête de la Garde, il rejoindra; , plus tard, les rangs de la prestigieuse chevalerie Chevalerie de Stendel.Militaire aguerri, d'un caractère studieux et investi dans son rôle de défenseur, il obtiendra le rang de '''Chevalier''' et le grade de Général avec les honneurs.<br>Protecteur loyal des populations impériales; , il retournera sans délai à ses fonctions à la tête de la Garde, où de nouveaux faits d'armes tant dans la garde qu'auprès de la chevalerie lui valurent,plus tard, finalement d'être nommé Gouverneur de l'Empire de [[Empire stendelienStendel]]par l'Empereur en personne.<br>Sa rigueur morale, sa compétence militaire, sa lucidité, son refus de l'intrigue et sa franchise en firent rapidement un modèle pour les générations de soldat rejoignant les armes dans l'ombre de ce patriarche, qui ne se ménagea pas pour améliorer leur condition.<br>
Parmi Siégeant au gouvernement, le maréchal Pencroff s'est rapidement emparé des sujets militaires, s'attelant à réformer les [[GouverneursForces armées impériales]].<br>Ayant laissé le commandement de la Garde à son camarade et ami le maréchal [[Ghideon Zorn]], il fait partie fondera la [[Guilde des Explorateurs]] et la [[Brigade des partisans chasseurs de démons]] pour renforcer la protection de la population civile.<br>Il deviendra également '''Justice absolueMarquis''' du fief de [[Férincs]] qu'il venait de sauver d'une invasion barbare, et s'attela à ses nouvelles fonctions de seigneur avec le dévouement qui le caractérise. C'est attelé à renforcer et améliorer les Férincs, d'ailleurs, que naîtra le [[Forces armées impérialesRégiment de Pencroff Cavalerie]], son propre régiment dont il prendra la charge vénale de Colonel-major. Il a également fondé <br> Le maréchal Pencroff considère la [[Guilde des Explorateurs]]protection du peuple impérial comme une mission sacrée dont il s'acquitte avec déférence. D'un caractère simple et modeste, afin il n'accorde d'importance qu'à la sûreté de permettre à des aventuriers payés par l'empire et se tient souvent en marge des mondanités et des fastes de vivre de missions d'assistance aux populations comme la chasse aux monstres ou les missions de recherchecour, leur préférant la rusticité franche du monde militaire. Plus tard<br>Dédaignant tout intérêt personnel, il fondera également n'entretenant qu'une modeste fortune et ne puisant sa gloire que dans la [[Brigade tourmente des chasseurs combats; il a pour réputation de ne jamais se parjurer ou démériter de démons]] sa parole, n'hésitant jamais à mettre sa vie en jeu pour faire face aux nouvelles menaces qui pesaient sur se maintenir à la population civilehauteur de son serment.<br>
= Biographie =
[[Fichier:GrandeArmee2.png|400px|vignette|Troupes de la Garde Volontaire, l'arme fondée par le maréchal Pencroff]]
Le Maréchal Pencroff est ce que l'on pourrait appeler un "soldat-né". Engagé sous les drapeaux dès la fin de l'enfance, il aura été de toutes les guerres dans le camp Stendelien depuis la grande '''guerre civile''', combattant sur tous les théâtres et gravissant tous les grades de l'armée impériale à force de passes d'armes.<br>
Ces longues années de combat, qui l'auront mené à croiser le fer des steppes glacées jusqu'aux déserts les plus ardents contre tous les ennemis de l'empire, auront fait de lui un stratège et un tacticien aguerri, rompu à tous les exercices de la guerre, et particulièrement adroit dans son art.<br>
Son passage dans la '''chevalerie impériale''' achèvera d'ancrer en lui sa vocation de protéger et servir les populations civiles stendelienne contre les dangers de toutes natures, et lui aura appris un dernier principe: celui de ne jamais sous-estimer un ennemi, et de toujours aborder une menace avec la même cironspection, qu'il s'agisse d'un nid de gobelins ou d'une armée rebelle. Le doute n'a jamais de place, pas plus que la demi-mesure ou les compromis. Tout ce qui est entrepris doit être terminé, "une menace n'est abolie que quand son inexistence ne fait plus de doute".<br>
Malgré son rang, le maréchal Pencroff se démarque souvent par son rejet des mondanités et du luxe. Habitué à mener une vie de soldat, véritable "homme des casernes", il se satisfait sans mal d'un mode de vie rustique. Il n'entretient aucune fortune personnelle, ne porte jamais rien de plus que son uniforme et n'a de possessions que son manoir, acquis sur le tard et où il ne loge que rarement. Il ne parait à la cour que lors des conseils d'état ou à d'autres occasions officielles, et suit systématiquement ses troupes dans toutes leurs campagnes. La vie de la cour ne l'émeut pas, pas plus que les intrigues politiques. Il perçoit le rôle de gouverneur comme une mission dont il s'acquitte avec soin.<br> L'arme de prédilection du maréchal Pencroff est la '''cavalerie''', dont il a l'honneur d'être le colonel-général. Issu de la cavalerie légère, il participera activement au développement des techniques de reconnaissance et de guerilla. Excellent cavalier, le maréchal est particulièrement à l'aise dans la conduite des troupes au feu; mais il a parfois le défaut d'être trop téméraire et se considère volontiers comme moins bon stratège que son camarade et ami le maréchal [[Ghideon Zorn]].<br>
L'arme de prédilection du maréchal Pencroff est la '''cavalerie''', dont il a l'honneur d'être le colonel-général. Issu de la cavalerie légère, il participera activement au développement des techniques de reconnaissance et de guerilla; allant même jusqu'à publier une thèse intitulée "De la petite guerre, tactique et stratégie des houzards". Excellent cavalier, le maréchal est particulièrement à l'aise dans la conduite des troupes au feu; mais il a parfois le défaut d'être trop téméraire et se considère volontiers comme moins bon stratège que son camarade et ami le maréchal [[Ghideon Zorn]].<br>
En temps de paix, le maréchal s'affaire à réformer les [[Forces armées impériales]], afin de les adapter aux nouvelles formes de conflit.<br>
Il se retire également le plus clair de son temps dans son fief de [[Férincs]] dont il est '''Marquis'''.<br>
 
Patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], le maréchal Pencroff est le père, entre autres enfants, du Chevalier d'empire et Commandant de Hussards de la Garde Volontaire [[Emile-Bonaventure Pencroff]] et du Chevalier et Capitaine [[Antoine-Bonaventure Pencroff]], servant dans le [[Régiment de Férincs Cavalerie]].<br>
 
====Jeunesse====
Le maréchal Bonaventure Pencroff naquit le 34 Démévent de l'an 29 sur l'ile autonome de Còrsega, dans une famille de pêcheurs modestes.<br>
Aîné d'une grande fratrie, il grandit sur le pont du cotre de sa famille, sorte de petit voilier destiné à la pêche en haute mer. Il y fit son baptême de la mer, naviguant avec son père et ses oncles.<br>
Durant l'hiver de l'an 43, la situation économique de sa famille se détériore, et le jeune Bonaventure, alors âgé de 14 ans, doit s'engager dans la marine marchande afin de soutenir financièrement ses proches.<br>
Il entre alors avec le grade de Mousse sur le clipper "Muiron", un navire de commerce destiné au transport rapide de ressources vers le continent.<br>
 
Habile marin, le jeune mousse est rapidement nommé gabier du fait de son agilité. Il passe alors le plus clair de son temps dans le gréement du navire pour y entretenir voiles et cordages, ce dont il s’acquitte efficacement. Nommé matelot dès sa première traversée,<br>
il devient rapidement la mascotte de l'équipage, si bien que le capitaine décide de prendre en main son éducation. Pendant les deux ans que durèrent sa carrière marine, il apprend à lire; ainsi que les rudiments des mathématiques et de la navigation.<br>
Fort de cette instruction, il devient quartier-maître à seulement 16 ans.<br>
 
Le 22 Démévent de l'an 46, au cours d'une énième traversée océanique, le navire "Muiron" est brutalement emporté dans un ouragan. Balayé par des vents terribles et des vagues de plus de dix mètres, le vaisseau subit de graves avaries et se trouve impuissant face aux éléments déchaînés.<br>
Le jeune marin manque alors d'être tué lorsque le mât sur lequel in se tenait se brise, mais il se sauve in-extremis avec un de ses camarades. Complètement démâté, le "Muiron" subit la tempête pendant plusieurs jours encore, avant de finalement s'échouer sur un banc de sable au soir du 31 démévent.<br>
Il fallut de nombreux efforts à l'équipage pour remettre le navire à flots, mais le temps redevint clément et l'incident passa, non sans avoir fait quelques victimes. Le capitaine, mentor du jeune Pencroff, succombe d'épuisement après avoir tenu la barre sans sommeil durant près de huit jours.<br>
Dérouté, épuisé, l'équipage se met en quête d'un port pour y réparer les avaries du vaisseau.<br>
Le 34 Démévent de l'an 46, il accoste finalement au port de Stendel. Le jeune Bonaventure fête ce jour là ses 17 ans, sur cette terre nouvelle qu'il ne quittera presque plus. Il démissionne le lendemain matin.<br>
 
Sans emploi et avec pour toute fortune sa dernière solde, il ne reste cependant pas oisif très longtemps. Terre de richesses et d'opportunités, l'empire de Stendel se trouve être un véritable eden pour le marin, qui trouve rapidement un nouvel emploi dans une scierie de la banlieue sud de la capitale.<br>
Deux années durant, il pratique le métier de bûcheron dans les luxuriantes forêts de chênes, pour un salaire bien supérieur à son ancienne solde. Il s'installe donc dans la banlieue, et s’attelle rapidement à reprendre les envois d'argent à sa famille, restée à Còrsega.<br>
Sachant lire et écrire, il achète également de nombreux ouvrages pour parfaire sa rédaction; et entame les démarches pour obtenir le rang social de villageois.<br>
===Jeunesse===Né en l'an de grâce 46 de notre ère dans une modeste famille de marins résident dans une contrée lointaine de l'empire, Bonaventure Pencroff a passé sa jeunesseMais au bord de la mer et semblait voué à devenir pêcheur.<br>Adolescent, il s'est engagé comme matelot à bord d'un navire marchand, ou il participa à plusieurs traversées sur les mers qui bordaient sa contrée natale.<br>Son destin changea radicalement quand, pris dans une tempête, son bâtiment dût faire escale en capitale de Stendel pour y réparer des avaries. Profitant des quelques jours de permission qu'il avait devant lui, le jeune Pencroff découvrit cette terre pleine de promesses qu'est celle commencement de l'Empire Stendelien. <br>Au moment ou son navire devait reprendre la meran 48, le jeune Pencroff résigna son contrat et se lança donc dans cette nouvelle aventure.<br>Au cours des premiers mois de sa vie Stendelienne, il devint bûcheron et fut employé dans différentes exploitations autour de la capitale. Il s'installa dans la banlieue sud reprise de Stendel où il se lança dans la construction d'une modeste chaumière. En dehors de ses heures de travail, il prit guerre entre l'habitude de se rendre en capitale pour y assister aux moult activités qui animaient la vie stendelienne empire de Stendel et l'époque, et visiter les diverses tavernes dans lesquelles la population se ruait à toutes heures. Au fil du temps, semaines après semaines, il se constitua de modestes économies et commença à songer à se mettre à son compte en temps que bûcheron. Villageois, il envisageait également de candidater au rang de citoyen.<br>La guerre civile allait malheureusement contrecarrer infâme Nivem contrecarre ses plans.
<br>
====La Guerre Civile====Lorsque la guerre civile éclata les hostilités reprennent entre l'Empire de Stendel et le Nivem, le jeune Pencroff prit tout Bonaventure est âgé de suite le parti 19 ans. Apprenant par un crieur public que la rébellion a décidé de sa patrie d'adoption. Quand marcher contre l'appel aux armes fut diffusé dans la populationempire, il quitta décide de quitter sa chaumière, abandonna son métier vie paisible et de bûcheron et se présenta s'enrôler sous les drapeauxarmes de sa nouvelle patrie. Après quelques semaines de formation<br>Il se porte donc volontaire pour rejoindre l'armée impériale, il fut et est incorporé dans l'infanterie avec le grade de soldat dans les [[Forces armées impériales]].<br>Rapidement, sachant lire et écrire à la différence de nombre des autres engagés, il est nommé sergent au sein de son régiment. Son expérience de marin joue alors en sa faveur, la discipline et le sens de l'organisation n'ayant plus rien de nouveau pour lui.<br>Jeune, dans vif et résolu; il est affecté à la garnison du fort nyande Marie-Nyan catau début du mois de Lérolia, position dont on sait déjà qu'elle est un objectif privilégié des rebelles.<br>De La vie dans la garnison rappelle au jeune sergent son ancienne carrière de marin. Les rondes fonctionnent par quarts, la hiérarchie est semblable à celle de son niveau dancien navire et il s’accommode vite de ses nouvelles fonctions.<br>Accompagnant les officiers, aidant à l'instruction acceptabledes hommes et assurant diverses tâches administratives; il s'éprend également de littérature militaire technique, et grâce s'intéresse à la tactique et à son expérience de marinla stratégie.<br>passionné par cet univers qu'il découvre, il fut nommé sergentambitionne de gravir les échelons de l'armée, et on prépare secrètement à passer le chargea concours pour devenir officier.<br> Le 42 lérolia de diverses tâches au sein l'an 48, l'armée du Nivem se présente aux abords de la forteresse. Quand les armées du Nivem vinrent Forte d'un net avantage numérique, elle ne s'attarde pas à assiéger la forteresseplace et prend d'assaut les murailles. Les défenseurs, dépassés, il organisaluttent alors pour leur survie.<br>Le sergent Pencroff, avec ses compagnons d'armesen poste sur les murs, la défense active des muraillesrepousse plusieurs fois les offensives rebelles. Le jour chaos se généralise vite, de même que la bataillepanique, alors qui se répand à une vitesse terrible dans la garnison de jeunes soldats que le vétérans ne parviennent plus à assurer.<br>Finalement, dans la tourmente, les hordes défenses de soldats Nivemis la place cèdent et l'ennemi pénètre dans l'enceinte. Une nouvelle lutte acharnée se jetèrent aux pieds du fortlivre alors en contrebas des murs, pour tenter de repousser l'adversaire en surnombre.<br>Dans la mêlée, combattant en première ligne, il combattit plusieurs des vagues le sergent Pencroff est atteint d'assaut avant dun violent coup qui l'être grièvement blessé. Lorsque les combats cessèrentassomme, on le retrouva inanimé sous commotionnant fortement et laissant sur son visage une pile de terrible estafilade. Il est alors laissé pour mort dans la cour, au milieu des cadavres et on l.<br>L'évacua vers ennemi, finalement, se rend maître de la capitale avec forteresse, mais ses réjouissances sont de courtes durées, et les rebelles doivent rapidement quitter les rares survivantslieux. Les blessés impériaux, finalement secourus, sont évacués.<br> Le sergent Pencroff reste inanimé deux jours durant, avant de reprendre connaissance. Sa commotion est guérie grâce aux soins des mages impériaux, mais le jeune militaire conservera toute sa vie une cicatrice en travers de l’œil droit.<br>Il passa reste plusieurs jours alité, en proie à récupérer de ses blessures, et notamment d'un traumatisme crânien. Loin la frustration d'avoir laissé le fort être refroidi pris par lles hordes rebelles, qu'expérience terrible des combats et la mort il jure de ses compagnons et npoursuivre jusqu'ayant pas de famille chez en enfer, promesse qui rentrer; il décida alors deviendra rapidement une de se vouer corps ses raisons d'être.<br>Dans cette optique, et âmes à la protection désirant toujours évoluer au sein de l'empire qui armée impériale, il se remet à préparer le concours pour obtenir une lieutenance et présente sa candidature.<br> En l'avait adopté. Alors que la an 49, de par ses états de service, ses qualités militaires et sa blessure de guerre battait son plein, il suivit une formation le jeune pencroff est finalement autorisé à passer le concours d'officier .<br>Roturier, paysan de rang social, il en capitale; le recrutement des cadres ayant été élargi pour combler les trous laissés par les batailles sort tout de même premier du classement sur plus de cent candidats, et est admis à l'école militaire dans les effectifsla spécialité de cavalerie, la plus prestigieuse.<br>Une fois En parallèle de sa formation accompliequ'il poursuit sans grandes difficultés, il fut nommé Lieutenantrédige également une demande officielle pour l'obtention du rang social de villageois, au moment ou les combats devaient cesserla caste directement supérieure à la sienne. La menace étant toujours présente<br>Le 2 Iffélia de l'an 50, il obtient ce rang, et les régions désertes au sud de la capitale représentant une faille dans le système défensif impérial, on lui proposa un posteest enregistré comme villageois.
<br>
====Le 22e de Cavalerie====En Agrevent de l'an 50, la scolarité du jeune Pencroff au sein de l'école militaire s'achève. Il obtient sa lieutenance et sort 4e d'une promotion de cent élèves.<br>Sa nouvelle affectation devait La guerre civile se poursuivant, l'armée impériale ne laisse pas aux jeunes officiers le conduire temps de se reposer, et les affecte directement en unité de combat.<br> Mais alors que nombre d'entre eux son affectés dans ce quides régiments réguliers et que les majors de la promotions sont acceptés au sein de régiments prestigieux, plus tard, deviendrait le fief jeune lieutenant Pencroff est écarté par des nobles jaloux de la [[Garde Volontaire]]: Herobrine Valleyvoir un jeune homme de sa classe sociale mieux classé que leurs enfants. Il commandait alors <br>Au lieu de rejoindre un régiment de cuirassiers ou de chevau-légers, il est soudainement affecté à une troupe unité de reconnaissance de second-plan: le 22e détachement de cavalerie en qualité de .<br>L'unité, fraîchement crée, compte alors un capitaine, deux lieutenants, deux sergents et avait une centaine de cavaliers issus de différents corps-francs. Tous ont été chargé par écartés des armes principales pour leur indiscipline, leur condition sociale ou suite à différentes cabales avec des nobles.<br>La troupe, à l'état-major impérial allure d'unité punitive, n'est alors pas au bout de ses peines: elle est envoyée dans la vallée d'établir une base avancée Herobrine, aux confis des frontières sud de l'empire, dans ce un désert inhospitalierisolé réputé pour être le repère de rebelles et de bandits de grand chemin. Il était accompagné <br> Le lieutenant Pencroff quitte alors la capitale pour une mission de sécurisation de deux autres officiersces terres lointaines, les lieutenants [[Liths]] et [[Isaac Asimov]]à laquelle l'état-major ne daigna pas donner de date de fin.<br>Mais contre toute attente, bien qu'il avait rencontré lors en fut décontenancé aux premiers instants, le jeune officier ne sembla pas s'inquiéter le moins du monde de sa nouvelle affectation. Au contraire.<br>Voyant cette mission comme une aventure, il décide de conjurer le mauvais sort en allant au bout de son instructionengagement et en démontrant sa valeur par le fer. Notons quDès lors, chaque fois que le capitaine l'envoie aux avants-gardes, le lieutenant Pencroff fouille ciel et terre en quête d'ennemis à combattre.<br> En cidélia de l'époquean 52, deux ans après le désert choisi pour abriter cet avant-poste début de la mission, le 22e détachement de cavalerie n'était entouré est toujours pas revenu en capitale.<br>Arrivé dans le désert d'aucun territoire et n'était donc couvert par aucune route. Il fallait s'y rendre herobrine, il sillonne inlassablement les [[Terres du sud]] à pieds la recherche de rebelles, de brigands ou de monstres à cheval occire; et les convois il y a alors fort à faire.<br>De nombreux combats de matériaux rencontres et de ravitaillement se faisaient de jour. Alorsnombreuses escarmouches ponctuent les patrouilles, à bras det le détachement s'hommes et aguerrit à force un rythme effrénée. friand de sueur et de sangcombat, le lieutenant Pencroff est devenu un cavalier des plus habile, on construisit la première version de Fort Herobrine, qui n'était alors même qu'un petit ensemble bretteur hors-pair.<br>Mais la situation de baraquements entourés la troupe change le 18 Cidélia lorsqu'au cours d'une muraille escarmouche avec des trafiquants d'esclaves, le capitaine Dhumas, commandant le détachement, est tué par un contrebandier.<br> Officier le plus expérimenté, le lieutenant Pencroff prend alors le commandement de bois l'unité, et envoie à l'état-major la nouvelle de grèsla mort de son chef. Les jours passèrent<br>Alors que la mission s'éternise, puis les semainestous espèrent que cette perte conduirait le commandement à rappeler la troupe, puis les moismais il n'en fut rien. La modeste garnison ne guerre contre le Nivem étant toujours d'actualité, il était hors de question de laisser le sud Stendelien sans surveillance.<br>contre toute attente, le lieutenant Pencroff fut pas relevée et resta à son postedonc promu capitaine, guettant l'arrivée avec la charge d'ennemis assurer le commandement du 22e détachement. Des renforts furent envoyés pour combler les dernières pertes, dont un jeune lieutenant qui devaient ne jamais venirdevait reprendre la fonction de 3e officier du groupe. Au bout <br> Le 10 iffélia de quelques moisl'an 52, la nouvelle arriva aux oreilles des soldats du le 22e détachement de cavalerieest donc commandé par le capitaine Pencroff, épaulé par le lieutenant [[Liths]] et le lieutenant [[Isaac Asimov]].<br>Sa mission, elle, restait inchangée: La guerre civile était terminéepatrouiller encore et toujours dans le sud, et croiser le fer contre tous ceux qui, par la force ou par la ruse, tentaient d’emprunter ces contrées isolées pour nuire à la sûreté impériale.<br>Sans trève, sans repos, sans relève, le 22e détachement allait poursuivre ce seul but pendant quatre années encore, combattant souvent et devant fréquemment regarnir ses rangs pour remplacer les soldats du 22e avaient gagné sans combattrepertes.<br>SFinalement, en Nérévard de l'ensuivit alors an 55, une longue période nouvelle feuille de route parvint au capitaine Pencroff.<br>La menace sur le sud devenant pressante, il était à craindre que les forces du Nivem ne cherchent à faire la jonction entre leurs territoires de paix pendant laquelle l'utilité est et leurs bastions de l'ouest. L'ennemi avançait ses pions et jouait, dans ces dernières années, ses dernières forces.<br>Le sud de Stendel étant dépourvu de toute défense solide, on chargea alors le 22e détachement de cavalerie d'en assurer la garnison sauvegarde, élargissant pour cela ses moyens et ses prérogatives.<br>Le capitaine Pencroff fut donc promu au grade de Fort Herobrine perdit grandement de sa substance commandant, et durant laquelle on doubla les troupes allouées à la protection effectifs du détachement pour en faire un escadron. Des ordres furent diminuées également donnés pour ne conserver qu'un service minimumavant-poste permanent soit établi dans le désert d'herobrine séance-tenante.<br> Le 1er pampélune de l'an 56, le commandant Pencroff ordonna la construction d'un avant poste sur la plus haute dune du désert d'herobrine, dont il prit le nom.<br>Le [[Fort Herobrine]] venait de naître.
<br>
====Le Fort Herobrine====[[Fichier:Random14.png|400px|vignette|Cavaliers du Fort Herobrine après une charge contre des mercenaires rebelles]]Rapidement, en mimélune de l'an 56, la construction du premier avant-poste de "Fort herobrine" est achevée. Le fort n'est alors qu'un petit ensemble de bâtiments utilitaires entourés d'une haute palissade de bois. Les arbres utilisés pour sa construction sont coupés et importés depuis la forêt qui borde le désert par le nord, dans l'actuel royaume de [[Simurgh]]. Le reste des matériaux, essentiellement du grès, est récolté dans le désert lui-même et grossièrement travaillé de sorte à donner une base solide aux bâtiments.<br>Le Fort Herobrine est alors le premier casernement fixe du 22e de cavalerie et ses effectifs, anciens comme nouveaux, se voient dotés de quartiers de vie. En outre, des écuries sont construites pour les chevaux, et un poste de commandement permanent est mis en place.<br>Le 22e détachement de cavalerie étant devenu un escadron, il est alors composé de deux compagnies de cavaliers. La première compagnie est confiée au commandement du capitaine [[Lith]], et la seconde est confiée au capitaine [[Isaac Asimov]]. En outre, le commandant Pencroff se voit doter de son premier aide-de-camp, le jeune lieutenant [[Sissi Giroux]], fraîchement promu depuis le grade de sergent qu'il occupait au sein du détachement.<br> Le 63 Radévard de l'an 62, l'empire de [[Stendel]] signe un traité de paix avec l'infâme alliance du Nivem. Ce dernier, bien que victorieux sur le champ de bataille, est exsangue et ne peut plus mener sa lutte pour l'indépendance. Les rebelles conservent les terres ayant fait sécession, mais ne sont pas en mesure de sécuriser quelque autre territoire et doivent cesser le combat contre l'empire. Officiellement, la guerre laisse alors place à un cessez-le-feu, mais les troupes du 22e escadron de cavalerie restent mobilisées et continuent de veiller sur les [[Terres du sud]].<br>La nouvelle de la défaite lors de la [[Bataille de Ouate-et-Relou]] atteint cependant profondément le commandant Pencroff, qui considérera longtemps ce traité de paix comme un affront fait aux innombrables soldats impériaux tués au combat.<br> Le 62 Tercevent de l'an 88, avides de sang mais ne pouvant s'attaquer à l'Empire depuis la signature du traité de paix de 62, les cohortes de l'infâme Nivem attaquent les troupes d'Elu'myr lors de la [[Bataille de VertDaim]]. Cantonné dans les terres du sud, le 22e escadron le participe pas aux combats, l'empire n'étant pas directement mêlé au conflit. Le commandant Pencroff et ses hommes ne peuvent alors qu'assister impuissants à la défaite de la pauvre nation d'Elu'myr sous la barbarie rebelle, qui poussera dans ce combat son véritable chant du cygne.<br>En effet, affaiblie par le traité de paix et des années de guerre, l'alliance du Nivem ne sera plus, dès lors, en mesure de combattre.<br>Dans la décennie qui suivit son ultime victoire, la rébellion s'éteindra dans le tumulte de luttes intestines, pour donner naissance à plusieurs états partiellement indépendants à la trajectoire incertaine.<br> Au premier jour de l'an 100, la rébellion éteinte et la paix sécurisée sur Stendel, une missive est envoyée au commandant Pencroff.<br>Après tant d'années de bons et loyaux services, le 22e escadron de cavalerie a perdu sa raison d'être et est réformé. Conformément à l'usage en temps de paix, l'unité est "réduite à sa compagnie maistre-de-camp", c'est à dire réduite à une seule compagnie dormante chargée d'assurer la veille de l'unité. La moitié des effectifs sont alors libérés de leurs obligations militaires ou mutés en capitale, et le commandant Pencroff ne conserve auprès de lui que les capitaines Lith, Isaac Asimov et le lieutenant Sissi.<br>En récompense de ses années de service, l'unité monte d'un rang dans la préséance hiérarchique des unités militaires, et gagne le droit de porter un nom propre et un titre de spécialité. Le commandant Pencroff décide alors de nommer l'unité "1er escadron de hussards".<br>L'unité passe alors les deux décénnies suivantes en garnison à Fort Herobrine, investie de la mission de réprimer le banditisme et la contrebande.<br> le 6 Démévent de l'an 119, la nation de [[Simurgh]] est fondée au nord de Fort Herobrine. Pour la première fois, des routes sont tracées en direction des [[Terres du sud]] et la garnison de Fort Herobrine dispose de la possibilité de se ravitailler sans avoir à se rendre en banlieue sud de Stendel.<br>Une entente cordiale démarre alors avec le chevalier [[Stalroc]], fondateur de cette jeune nation et ancien citoyen de Nevah.<br>Cette rupture de l'isolation du Fort permet un regain de son activité, et de nouveaux volontaires se présentent à ses portes. En quelques années, la seconde compagnie de l'escadron est recrée, et le 1er escadron de hussards quitte le sommeil.<br> Au commencement de la décennie 130, une troisième compagnie est finalement crée et confiée au capitaine Sissi giroux. Le 1er escadron de hussards devient alors officiellement le 1er régiment de hussards. Bien que le commandant Pencroff ne dispose théoriquement pas du grade requis pour le commandent de cet échelon d'unité, une exception est toutefois faite pour qu'il en conserve la direction, eu égards à ses années de service et à son rôle dans le maintien de l'unité à un haut niveau opérationnel.<br>Mais alors que le 1er régiment de hussards se forme, le commandant commence à poser les bases d'une nouvelle ère pour son unité: la [[Garde Volontaire]] était sur le point de voir le jour.<br> ====La Garde Volontaire====[[Fichier:Drapeau garde volontaireRandom2.png|200px400px|vignette|étendard Colonnes infernales de la Garde Volontairecapturant une nouvelle ville à l'ennemi]]Plusieurs années après Au début de la fondation de Fort Herobrinedécennie 130, la composition du 22e de cavalerie commença à montrer des signes de faiblesse. Dans un élan de modernisation, l'unité fut dissoute et on chargea le Capitaine Pencroff de reformer une nouvelle unité plus polyvalente et qui devait être en mesure d'effectuer de nouvelles missions plus variées et impliquant diverses composantes en plus de la cavalerie. La Garde Volontaire naquit ainsi, réunissant pour la première fois sous une même bannière des cavaliers, des fantassins et des artilleurs. Le régiment, fraichement créé, entreprit alors la rénovation de sa forteresse et de ses différentes infrastructures. Petit à petit, les rangs s'étoffèrent de nouveaux officiers et le capitaine Pencroff fut promu commandant<br>
De nouvelles menaces vinrent alors planer sur l'empire, comme la magie noire ou la banditisme qui sévissait plus que jamais depuis la fin de la guerre et le rappel des troupes. Les soldats de Fort Herobrine, en plus de leur mission de défense et de contrôle de la zone Sud de Stendel, se virent alors dans l'obligation de patrouiller toujours plus loins de leurs murailles, sur les routes et les sentiers, pour assurer la protection des populations civiles innocentes. On recruta plus de soldats, qui s'engageaient dans cette jeune arme pour grossir les rangs des premiers défenseurs de leurs familles. Le régiment vit, en quelques mois, ses effectifs doubler; et le nombre de ses missions alla croissant.<br>
Le commandant Pencroff, qui se retrouvait alors aux commandes de cette formidable force; put s'appuyer sur le soutien solide de ses nouveaux adjoints qui allaient devenir, plus tard, l'état-major de la garde Volontaire: [[Ghideon Zorn]], [[Thalkion]], [[Wariow]] ou encore [[Wendy Marvel]].<br>
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====Dans la Chevalerie====Après plus d'un an de candidatureLe 21 Pampélune 181, le Colonel Pencroff fut chevalierisé par l'Empereur Dokmixer en compagnie de [[Shrui]], son camarade de promotion. En parallèle de ce nouveau rang, il prit le grade et l'appellation de Général de la Garde Volontaire, dont il conservait encore le commandement représentatif mais où, déjà, il n'occupait plus que des fonctions de contrôleur Général; ses devoirs de chevalier devant le tenir souvent éloigné de sa garnison.<br>
Il passa alors plusieurs mois à parcourir les routes et les chemins de Stendel, allant de ville en ville pour y passer en revue les troupes et y réprimer le banditisme; tout en se tenant à disposition des populations civiles lorsque celles-ci avaient besoin d'assistance.
Malgré ses longues patrouilles en solitaire et le temps qu'il devait passer en garnison à la chevalerie de Stendel, le général Pencroff continua de visiter le Fort Herobrine aussi souvent que possible, pour y rencontrer ses troupes. Le commandement effectif était alors assumé par le Colonel [[Ghideon Zorn]] et les officiers [[Thalkion]] et [[Wariow]]. La Garde Volontaire poursuivait ses missions dans les [[Terres du sud]] et tendait à étendre son influence petit à petit vers de nouveaux territoires: les [[Terres sans drapeau]], qui regroupent toutes les zones neutres de l'empire qui ne sont revendiquées par aucune communauté ou aucun peuple.<br>
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====Gouverneur de l'Empire====[[Fichier:TableauPenc12.png|500px400px|vignette|droite|Le Maréchal maréchal Pencroff à lors de la bataille du sillon-des-anges, [[Campagne de Tolwhig]] en 251.210]]Après Le 54 Tronvard 192,après ses nombreuses années de service sous les drapeaux de l'empire, en qualité de Garde Volontaire puis de Chevalier; le général Pencroff fut nommé Gouverneur par le gouvernement impérial et adopta le grade et l'appellation de '''Maréchal d'empire'''. Gouverneur militaire, il entretient un lien étroit avec les [[Forces armées impériales]], autour desquelles il concentre son activité. il n'est pas rare par exemple de le voir commander directement des troupes sur les théâtres d'opération, ou de le voir passer en revue diverses unités. Il dispose de son propre état-major et de sa propre '''Division''' qui forme sa garde rapprochée; et conserve de solides attaches après de la chevalerie et de la [[Garde Volontaire]], ses armes d'origine.<br>
En parallèle de ses activités auprès des armées impériales, il est également le fondateur de la [[Guilde des Explorateurs]] qui permet aux aventuriers de tous rangs et de tous niveaux de se rassembler dans un cadre officiel pour participer à diverses missions d'intérêt général.<br>
Outre cette mission, il officie également à l'autorité impériale de l'état-civil qui traite les candidatures des villageois et des citoyens.<br>
En Iffelia de l'an 253, suite à la nomination de son ancien subalterne, le général [[Ghideon Zorn]], au rang de '''Gouverneur'''; le maréchal Pencroff et son nouvel homologue formèrent [[Corps des Maréchaux]], un corps d'armée régulier regroupant leurs deux divisions.<br>
En Mériola de l'an 255, face aux difficultés rencontrées par les forces impériales et par la [[guilde des Explorateurs]] dans la lutte contre les démons au cours de la [[Première guerre démoniaque]]; le Maréchal Pencroff prit l'initiative de former une unité spécialisée dans la lutte contre les forces obscures: la [[Brigade des chasseurs de démons]]. Cette brigade, dont le commandement fut confié à d'éminents membres de la [[La Chevalerie]] et à des citoyens parmi les plus renommés; fut casernée en banlieue sud de Stendel, dans une forteresse fraichement bâtie pour l'occasion: le Fort Argos.<br>
En l'an 260, suite à la réorganisation de la [[Garde Volontaire]] en prévision de son passage progressif vers l'échelon de groupe d'armées, le Maréchal Pencroff est nommé inspecteur général de la garde et est missionné pour passer en revue les différentes unités pour contrôler leur opérabilité. Soucieux du détail et partisan de l'excellence opérationnelle, il entreprend également une vaste campagne de manœuvres visant à aguerrir les régiments de la garde aux
En l'an 275, lors de la '''Grande réforme''' de la garde volontaire qui voit l'armée adopter un nouvel ordre de bataille élargi; le maréchal Pencroff est nommé '''Colonel-général de la cavalerie''' de toute la garde, et prend le commandement du '''Corps de cavalerie''' qui regroupe tous les régiments de cuirassiers et une partie des régiments de dragons. Le titre de colonel-général de la cavalerie et la fonction de général commandant du corps de cavalerie de réserve le mettent en responsabilité de l'entrainement, de l'armement, de la gestion et du commandement de presque toute l'arme montée; ce qui lui permet d'entreprendre de grands travaux d'organisation et de modernisation au profit de la garde.<br>
= Rapport === Marquis de Férincs ====[[Fichier:Consul5.png|400px|vignette|Le Premier consul Ghideon Zorn et le maréchal Pencroff passant les troupes en revue]]En l'an de grâce 278, suite aux "évènements de 274", le Gouverneur Pencroff est nommé '''Marquis de [[Férincs]]''' par lettre patente. Outre ses fonctions au gouvernement impérial et dans la Garde Volontaire, il accepte donc la gestion de ce fief à titre seigneurial.<br>Il est à cette occasion élevé de son rang nobiliaire de Chevalier à celui de Marquis et adopte la particule "de férincs" qu'il ajoute à son patronyme, devenant "Le maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs" et fondant la [[Maison Pencroff de Férincs]].<br>Dès sa nomination, il fait construire dans son nouveau fief un manoir qu'il nomme "La commanderie" et qui sera achevé en 279. Dès la fin des travaux, il en fait sa résidence principale et y prend ses quartiers avec une partie de son état-major.<br>Il nomme également la générale [[Wendy Marvel]] comme seconde dans la gestion du fief.<br> En 280, il crée le [[Régiment des Mousquetaires de la Garde]] à partir de son propre escadron de mousquetaires. Il prend le commandement personnel de l'unité, accompagné de la générale Wendy Marvel pour seconde.<br> En 281, le maréchal Pencroff participe à la [[Campagne de Sillevanie]] commandée par le maréchal [[Ghideon Zorn]].<br> En 296, le [[Régiment des Mousquetaires de la Garde]] prends le nom de [[Régiment de Pencroff Cavalerie]]. Une seule compagnie de mousquetaires est maintenue pour servir de compagnie d'état-major, et les autres sont versées dans les effectifs de cavalerie de la '''vieille garde'''. Quatre compagnies de dragons d'élite sont crées.<br> En 300, le maréchal participe activement à la mise en place de la "Grande réforme de l'an 300", et fait partie du haut conseil stratégique chargé de rédiger et de publier le "livre blanc" de l'armée pour le 4e siècle.<br>Il fait partie des partisans de la nouvelle doctrine du Premier Consul Zorn dite de "l'offensive préventive" et prépare la garde à ses futures engagements et projections hors des frontières du monde connu.<br>En radévard de cette même année, suite à des activités suspectes, il prend le commandement temporaire de la "division expéditionnaire" et se rend sur les terres de Mirovitch pour une mission d'observation. Forte de 4 régiments d'infanterie de ligne: les 32, 33, 34 et 35e de ligne, la division cantonne aux Forces Armées abords du bagne en renfort du régiment de dragons qui s'y trouvait déjà.<br> En Démévent de l'an 304, le maréchal met en place l'opération '''Perses''' sur les territoires de New-Stendel. Supervisant ce déploiement d'une division entière depuis le bagne de Mirovitch, le maréchal accroit ainsi les capacités de réponse de la garde dans cette région de même que ses canaux de renseignements. Il crée également pour l'occasion le 9e régiment de dragons, et en confie le commandement au Colonel Du Guesclin. Personnellement investi par cette opération, il se rend fréquemment sur place pour passer les forces en revue et recevoir les rapports du général Kleber.<br>En Iffélia de l'an 305, la mission se poursuit sans encombre après avoir achevé sa phase préparatoire. Désormais déployées, les forces de la division établissent des rapports journaliers relatant leurs observations sur un large rayon autour de leurs bases.<br> En Cidélia de l'an 306, le maréchal Pencroff prend le commandement de l''''armée du Nord''' composée des 1er, 3e et 4e corps d'armée, de la division de jeune garde et d'une division temporaire de cavalerie pour prendre part à la [[Guerre de succession d'Atalante]] dans le camp de la princesse Anne d'Atalante. La Garde Volontaire aide alors la princesse, écartée du pouvoir par la faction de son frère cadet, à reprendre son trône.<br> En Iffélia de l'an 307, après des décennies de recherches, la gendarmerie de la Garde retrouve la trace du démon '''Moloch''', dont l'invocation avait été à l'origine de la [[Prohibition de la magie noire]]. Le maréchal Pencroff prend alors personnellement le commandement d'une '''Demi-brigade de conjuration''' composée de chasseurs de démons et de gendarmes de la moyenne garde ainsi que de voltigeurs de la jeune garde.<br> En 309, la Garde Volontaire apprend que plusieurs nations du continent d'Oldmont s'allient en vue d'une prochaine guerre; probablement dirigée contre le consulat de la Garde. Le maréchal Pencroff assiste alors le 1er Consul Zorn dans l'élaboration de plus visant à prendre l'ennemi de court et de porter le conflit sur son propre territoire avant qu'il ne puisse poser le pied sur la terre sainte de Stendel.<br>A cette occasion, le maréchal Pencroff, qui a récemment réformé les Demi-brigades d'exploration, suggère d'utiliser ces dernières en forces de reconnaissance et de guérilla et de les projeter sans attendre le déclenchement des conflits. Ces unités devront alors utiliser le peu de temps restant avant l'initiative ennemie pour reconnaitre son territoire, ses positions, et en faire des cartographies et des états des lieux précis.<br>Cette stratégie de déploiement de forces de renseignements nombreuses en amont du conflit porte ses fruits et permet à l'état-major de la garde d'obtenir rapidement des informations sur les bases adverses, les concentrations de ses troupes et ses lignes logistiques; alors même que les coalisés se pensent encore avantagés par la surprise.<br> ==== Les guerres de coalitions ====[[Fichier:102.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff, marquis de Férincs, profitant des jardins de son chateau durant l'été 321.]]Aux premiers jours de l'an de grâce 310, la [[Guerre de la Seconde Coalition]] éclate finalement.<br>Grâce à ses renseignements et sa préparation, la garde parvient alors à prendre l'ennemi de vitesse, et utilise ses demi-brigades d'exploration précédemment déployées comme forces de guérilla pour conduire une série d'attaques sur les bases logistiques ennemies et ralentir son élan. Les coalisés ayant perdu leur momentum, la garde volontaire débarque alors sur le continent d'Oldmont toute entière. Le maréchal Pencroff, colonel-général de la cavalerie, prend alors le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]] et se projette aux devants de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]]. Les rapides mouvements des corps forcent l'ennemi au repli pour éviter son débordement complet. Si cette première retraite générale lui permet un temps de distancer les corps d'infanterie, le corps du maréchal Pencroff parvient toutefois à un coup de force grâce à un habile mouvement de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e Division de Cavalerie]] et de ses quatre régiments de dragons.<br>Dépassant l'ennemi, il gravite alors sur ses arrières et le harcèle avec les deux régiments de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#3e_Division_de_cavalerie|1ère brigade de hussards]].<br> Les mouvements incessants de la cavalerie du maréchal Pencroff joueront un rôle décisif tout au long de la '''Campagne du Nord''' aux côtés de la '''1ère Armée''' dirigée par le 1er consul et maréchal [[Ghideon Zorn]].<br> En 314, le maréchal Pencroff participe à la [[Guerre de la Troisième Coalition]], au cours de laquelle il conserve le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]]. <br>Il suit de près, dans cette campagne, le corps de la Garde Consulaire commandé par le consul Zorn en personne.<br>Le maréchal et son corps d'armée s'illustrent alors dans plusieurs affrontements homériques comme la '''Bataille d'heisenburg''', la '''Bataille de Closwitz''' et la '''Bataille de sainte-helme'''.<br> De cette dernière bataille, le philosophe Arnst Leigbeit écrira comme témoignage:<br>"Alors que les lignes de milliers de soldats se faisaient face, immobiles, dans la tourment de la mousquetade; un torrent d'hommes à cheval sembla jaillir comme la lave d'un volcan, écrasant et calcinant sur sa route la malheureuse résistance qui lui était faite. Quel spectacle terrible, quelle fantastique vision, et quel horrible souvenir que cette charge de cavaliers qui, en masse compacte, percuta la ligne coalisée comme un météore eut percuté une planète. Un millier d'hommes périrent en quelques minutes sous les sabots et les sabres, mais si horrible fut-ce; que c'était beau."<br>  Après plusieurs mois de vifs et meurtriers combats, l'empire de Hohen et l'empire de Kislev sont vaincus avec perte et fracas. La Garde Volontaire, ne souhaitant pas faire peser sur leur population le prix de l'imbécilité de leurs seigneurs, commet l'erreur de se montrer clémente.<br>Cette largesse, qui fait le bonheur des conspirateurs coalisés, fait en réalité partie d'un plan du Consul Zorn pour inciter la coalition à se reformer trop vite et sans préparation, que lui porter plus tard un coup de grâce plus sûr et rapide.<br> En 316, les empires de Hohen, de Kislev et d'Oster s'allient une dernière fois malgré les concessions que la garde avait eu la mansuétude de prendre à leur égard. Levant plusieurs gigantesques armées grâce à la mobilisation obligatoire de leur population, la coalition des trois empires tente de prendre la garde de vitesse lors de la [[Guerre de la Quatrième Coalition]], et parvient à reprendre une partie des territoires précédemment "neutralisés" par le consul Zorn.<br>Mais ces succès contre les milices locales sont de courte durée: le 1er consul Zorn, qui attendait cette dernière alliance de leur part, met à exécution le dernier volet de son plan pour dissoudre et anéantir les empires coalisés.<br> Le maréchal Pencroff se voit alors confier le commandement de '''L'armée des montagnes''', forte des 3e et 6e corps d'armée ainsi que de sa fidèle [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e Division de Cavalerie]], la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#1e_Division_de_cavalerie|1e Division de Cavalerie]] ayant été adjointe à la '''Garde Consulaire''' en réserve générale de l'armée.<br> Franchissant, à la fin de l'hiver, une région de haute-montagne réputée infranchissable; le maréchal Pencroff et ses troupes parviennent à prendre la coalition à revers dans ce qui deviendra la "Campagne des pics".<br>Quelques victoires plus tard, la Garde Volontaire sort une nouvelle fois victorieuse, et les empires coalisés sont cette fois soumis par la force.<br> En l'an de grâce 320, la garde volontaire s'engage dans la [[Guerre des rancunes]], considérée comme la '''Guerre de la Cinquième Coalition''' malgré le fait que les belligérants ne soient plus que des versions diminuées de leurs entités précédentes.<br> En 321, le marquisat de [[Férincs]], dont le maréchal Pencroff est seigneur, voit ses frontières considérablement étendues. Le fief du maréchal comprend maintenant non moins de trois bourgs; et un nouveau château est construit pour accueillir la maison Pencroff De Férincs. En Tronvard de l'an 322, suite à "l'affaire de Malpasset" le maréchal Pencroff ordonne et commande l'[[Opération Vendémiaire]]; une vaste opération de traque et de répression visant à abolir les agissements odieux du Comte de Malpasset sur le fief éponyme.<br>Le maréchal mobilisa pour cette opération le [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] et la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#2e_Division_de_cavalerie|2e division de cavalerie]] avec ses quatre régiments de dragons; alignant ainsi quelques 4000 cavaliers en armes.<br>
=== Etat-major personnel ===En Fifrelune 325, le maréchal transforme le '''Régiment de la Maréchaussée de Férincs''' en un régiment de cavalerie à part entière, qui prend alors le nom de [[Fichier:Blason du maréchal PencroffRégiment de Férincs Cavalerie]].png|vignette|droite|Blason Il annonce, dès la réforme de l'état-major du maréchal Pencroff]]De par ses fonctions au sein des forces arméesunité, et afin sa volonté de transformer la régiment en une unité de mener campagne à bien les missions qui lui font confiéespart entière; et de confier le maréchal Pencroff dispose commandement de l'unité à son propre étatfils [[Antoine-major qui ne le quitte Bonaventure Pencroff]] dès lors que très rarementcelui-ci serait prêt.<br>
Le personnel de cet état-major a été sélectionné nominativement par En 326, le maréchal au sein des diverses unités qu'il fréquent le plus, notamment participe à la garde volontaire et le corps des maréchaux. Il ne s'agit que d'hommes et [[Guerre de restauration de femmes Belvy]] aux commandes du Corps de confiance, qui doivent être suffisamment braves pour suivre leur chef dans toutes les campagnes et suffisamment intègres pour ne jamais démériter Cavalerie de sa confiancela [[Garde Volontaire]].<br>
Par ordre hiérarchiqueEn 331, le maréchal Pencroff prend le commandement d'une armée de deux corps, les 2e et 6e corps, placés sous la dénomination de "Force Gascogne". Il conduit alors les troupes au royaume de Gargantua, où une caste de démons tente de s'emparer du trône.<br>Cet engagement est le premier depuis de longues années où le maréchal Pencroff reprend des fonctions de commandant en chef. C'est également la première fois depuis de longues années qu'il est engagé sans son très fameux et très cher '''Corps de Cavalerie'''.<br>Après divers combats de moyenne intensité au début du conflit, voici la composition simple présence d'une armée de la Garde Volontaire suffit à faire capituler l'adversaire. Magnanime, le maréchal Pencroff accepte le départ des démons sans massacrer ces derniers, à la condition qu'ils n'acceptent de se tenir à une certaine distance de cet état-major:l'empire.<br>
En 335, le maréchal Pencroff réforme le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#1er_r.C3.A9giment_de_cuirassiers- lanciers_de_la_Garde|Régiment des Cuirassiers de la Garde]] et le équipe de '''lances''Général de division Marceline De Bercheny' pour former le ''', majorRégiment de Cuirassiers-général<br>Le major général est le chef lanciers de lla Garde'''état-major. Placé sous les ordres L'ambition du maréchal, c'est lui qui a la charge dans son rôle de Colonel-Général de faire la synthèse de tous les ordres du maréchal et Cavalerie, est de les faire exécuter. Le major-général tient donc un rôle central au sommet tirer profit de l'arborescence militaire et doit être assez proche de son général excellente tenue en chef pour saisir rapidement ses intentions profondes et les traduire en ordres clairs pour le reste charge des forces. Cette fonction est réservée aux tacticiens et logisticiens les plus aguerris, cuirassiers et qui ont la confiance du maréchal. En temps de paix comme en temps de guerre, le major-général suit le maréchal partout où il va, à l'exception des combats.<br>Le général De Bercheny est issue du 1er régiment de hussards avantages cumulés de la garde cuirasse et a été adoptée par le maréchal Pencroff à de la mort de ses parents. Entrée sous les drapeaux, elle est admise à l'école militaire d'où elle sort major lance lors des engagements de sa promotion et rejoint la cavalerie. Blessée dans contre une embuscade alors qu'elle n'était encore que lieutenant, elle a quitté son unité pour servir auprès de son mentor. Promue capitaine, elle servira aux cotés du maréchal en qualité d'aide de camp jusqu'au grade de colonel, cavalerie adverse ou elle devient adjudant-commandant chef contre des lignes d'état-majorinfanterie. Elle a depuis fait Une fois le choc passé, les cuirassiers peuvent abandonner la démonstration d'excellentes qualités militaires lance et d'un grand esprit stratégique et tactique, qui lui valurent d'être promue poursuivre le combat au grade de général de division et à la fonction de majorsabre-générallatte. La générale De Bercheny est la plus ancienne membre <br>Le maréchal expérimente ces nouvelles méthodes lors des manoeuvres annuelles de l'état-major du maréchal et ne l'a pas quitté depuis son adoption. Elle le suit dans tous ses déplacements, au point d'être surnommée "l'ombre du maréchal"335. <br>
- '''Général En 337, le maréchal Pencroff participe, avec la totalité de brigade Jean De loisy'''la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]], premier aide de camp du maréchalà la [[Grande Guerre Continentale]].<br>Les aides Au cours de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont cette campagne que d'aucuns décrivent comme un des hommes plus rudes engagements de confiancela [[Garde Volontaire]], et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres et la [[Maison Pencroff de vive-vois Férincs]] jouent un rôle prépondérant dans les combats, mais paient également un lourd tribu. En effet, dans la tourmente et sl'assurer indescriptible chaos de leur bonne exécution. Sur la bataille finale, le terrainfils aîné du maréchal, il est fréquent que les aides[[Emile-Bonaventure Pencroff]], tombe au combat en sauvant par une charge héroïque l'aile droite de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct dl'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possiblearmée.<br>Le général De Loisy est un des officiers les plus brillants maréchal Pencroff, à propos du sacrifice de son temps et propre fils sur l'autel de son arme: la cavalerie. Issu dprotection de l'une noble famille aux traditions militairesempire, il a préféré s'engager dans la garde volontaire plutôt commentera avec pudeur:<br>"Il est des enjeux et des valeurs qui dépassent les mortels que dans les rangs nous sommes. Nombre de soldats ont versé leur sang pour protéger ceux qui vivent à l'armée impériale, en quête de campagnes et de gloire dont la jeune armée ombre de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnellesnotre bouclier. Malgré son titre Le sacrifice de noblessemon propre fils, il débuta sa carrière comme celui de chaque soldat et passa chaque grade tombé à force de bravoure cette bataille, n'a pas été vain et leur héritage vivra tant que les tambours battront aux pieds de qualités militairesnos drapeaux. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de Je l'escadron des mousquetaires ai enterré avec le grade de commandant. Plus tard, promu colonelses hommes, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux, avant d'être nommé général et d'être appelé à l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demandea bien mérité."<br>
- '''Colonel Armand d'Hubert''', second aide de camp du maréchal<br>Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>==== Le colonel d'Hubert est issu du régiment de maréchal-hussards. Auparavant, il avait fait ses armes dans l'armée impériale, plus précisément dans les chevau-légers. Il y rencontra d'ailleurs Gabriel Feraud, qui allait devenir son rival et avec lequel il eut de nombreux duel, avant que les deux hommes ne se sauvent mutuellement la vie lors d'une bataille. Ils furent depuis inséparables, et sont entrés au service du maréchal.<br> - '''Colonel Gabriel Feraud''', troisième aide de camp du maréchal<br>Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>Comme son camarade Armand d'Hubert, le colonel Feraud est issu du régiment de maréchal-hussards, après avoir fait ses armes dans l'armée impériale. Officier aussi téméraire et impétueux que son camarade, il est entré au service du maréchal et assiste ce dernier dans tous ses travaux. Comme le colonel D'Hubert, le colonel Feraud est un duelliste avide de combat.<br>nouveau monde ====
- '''Lieutenant-colonel Gabriel Pajol''', quatrième aide de camp du maréchal<br>= Rapport aux Forces Armées ==== Fonctions militaires ===Les aides de camp du Le maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle Pencroff occupe plusieurs fonctions militaires au sein de leur commandant. Ce sont des hommes l'empire de confiance, [[Stendel]] et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécutionla [[Garde Volontaire]]. Sur le terrain<br>Gouverneur Impérial, il est fréquent que assure avec le gouverneur [[ghideon Zorn]] les aides-fonctions de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct dde l'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possibleétat-major des armées.<br>Le lieutenant-colonel Pajol Il est issu de d'ailleurs à l'escadron origine de la réforme des mousquetaires, ou il a servi en tant que capitaine avant armes impériales et de devenir commandant la création de l'unité. Couvert la [[Brigade des chasseurs de gloire, il a intégré l'état-major du Maréchal avec le grade de lieutenant-coloneldémons]].<br>
- Au sein de la [[garde Volontaire]], le maréchal Pencroff occupe principalement la fonction d'inspecteur général de l'armée et préside à ce titre l'Lieutenantinspection générale de la garde; sous le contrôle direct du Premier Consul et en étroite collaboration avec la major-colonel Tokugawa Yamatogénérale de l''', cinquième aide de camp du maréchalarmée [[Wendy Marvel]].<br>Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire Ses principales missions à celle de leur commandant. Ce ce poste sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive:<br>-vois Contrôler et smesurer l'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné opérabilité des troupes par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement des revues fréquentes au sein des régiments et des échelons tactiques et le plus efficacement possiblestratégiques.<br>Le lieutenant-colonel Yamato est issu Tirer des enseignements des expériences opérationnelles de la légion de l'aurore, ou il était Rikugun-Shōsa, garde et a combattu traduire ces retours d’expériences en réformes destinées à Birak-heim contre conserver la garde volontairedans un état de constante évolution. Malgré la défaite <br>- Rechercher et développer de son arméenouvelles doctrines, il a été remarqué par ses grandes qualités de stratège nouveaux cadres d'emploi et sa bravoure personnelle, de nouvelles tactiques et a intégré les dragons dstratégies pour améliorer l'Asayaka après opérabilité de la campagne éponymegarde et accentuer sa montée en puissance. Devenu lieutenant<br>-colonelRédiger, il est entré dans ajuster et veiller à l'état-major du maréchalapplication uniforme des réformes au sein des unités.<br>
- '''Lieutenant-colonel Mathilde de Chamborant''Outre les fonctions d'inspecteur général, aide le maréchal Pencroff occupe également la fonction de camp du colonel-général De Bercheny<br>Les aides de camp des généraux sont à la fois leurs conseillers et leurs représentants sur le terraincavalerie. Ils aident les généraux dans leurs fonctionsA ce titre, et veillent à lil préside le comité d'application armes de la cavalerie composé des colonels de tous les régiments de cavalerie de leurs ordres dans un contexte opérationnella garde.<br>Le lieutenant-colonel Mathilde Sous sa présidence, le comité de Chamborant est issue du régiment la cavalerie décide des hussards-vélites. Elle spromotions et de l'est illustrée avancement en sauvant la vie du général De Bercheny lors dson sein, des réformes éventuelles à effectuer au sein de l'arme; et rédige également un rapport situationnel à l'une campagne attention du corps des maréchaux, Premier Consul Zorn visant à tenir ce qui lui valut d'abord d'être nommée commandant dernier au sein courant de son régiment. Elle sert désormais dans l'état-major, comme aide exact des troupes de camp du général De Berchenymanière mensuelle.<br>
- '''Colonel Diane Kavendix'''Enfin, chirurgien-major<br>La colonel Diane Kavendix est le maréchal Pencroff assure également une chirurgienne fonction de renom, également archimage commandement opérationnelle à la tête du Corps de son étatcavalerie. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateurAux commandes de ce corps de réserve, elle a gagné le surnom "maréchal appuie l'action des corps d'ange des batailles"armée en campagne et assure les missions de reconnaissance au profit de la grande armée.<br>Outre ses fonctions médicales Ce commandement, moins encombrant stratégiquement que celui d'un corps de manœuvre, place le maréchal Pencroff dans le corps des maréchauxune position tactique idéale: En bataille, elle est également reconnue pour alors que ses travaux troupes restent en réserve, il peut s'en détacher et assurer le commandement direct de mouvements spontanés sur demande directe du maréchal Zorn ou sur l'appel d'un général de recherche dans les magies corps d'armée qui ne serait pas aussi libre de soinses mouvements. Elle donne Très mobile grâce au caractère monté de ses troupes, il peut également des cours se projeter à l'école tous les points du champ de médecine militairebataille en quelques minutes, et est auteure dtant seul qu'une thèse sur les alternatives à accompagné de régiments entiers pour l'amputation et la guérison des plaies infectéesappuyer. Son éxperience des combats lui ont donné l'occasion Véritable electron libre suivi d'observer une avalanche de nombreux cas cliniquesdragons, ce qui lui confère une grande influence auprès de ses pairs médecins. Le cuirassiers et de hussards; le maréchal Pencroff n'accepte pencroff peut alors emporter la décision sur un front figé et changer le cours d'être suivi que par elle et son adjointune bataille, ou sauver une situation tendue.<br>
- '''Capitaine Naaza Larray''', chirurgien-aide=== Etat-major<br>personnel ===La capitaine Naaza Larray est tout simplement l'assistante De par ses fonctions au sein des forces armées et la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larrayafin de mener à bien les missions qui lui font confiées, précédent chirurgien aide-major du le maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès Pencroff dispose de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La capitaine Larrey n'avait jamais servie dans les armes avant de rejoindre l'propre état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix ont convaincu qui ne le ce dernier de la recruterquitte que très rarement.<br>
Le personnel de cet état- major est sélectionné nominativement par le maréchal au sein de la garde volontaire. Il ne s'agit que d''Commandant Piquart'''hommes et de femmes de confiance, commandant qui doivent être suffisamment braves pour suivre leur chef dans toutes les campagnes et suffisamment intègres pour ne jamais démériter de l'artilleriesa confiance.<br>Le commandant Piquart est le principal conseiller du Servir dans l'état-major d'un maréchal Pencroff en matière d'artillerieempire est un honneur, et il a souvent la charge une consécration pour un officier d'en commander état-major. Ce privilège est réservé aux officiers les manœuvres plus illustres et dignes, aptes au combat sur demande commandement et fins tacticiens.<br>De fait, par leur position à proximité du maréchal, les officiers qui composent son état-major sont ses plus proches conseillers et collaborateur. Mathématicien hors-pairs, amoureux Ils complètent la vision de la balistiqueleur chef, aident à la précision prise de ses feux a poussé le maréchal Pencroff décision et veillent à fermer l'oeil sur ses légères tendances pyromanes. Il n'en est pas moins un officier de renom dans son arme. Ayant perdu une jambe au cours d'une bataille, on le surnomme "l'artilleur artillé"application des ordres.<br>
- 11 officiers d'ordonnance du maréchal<br>Issus de diverses unités montéesPar ordre hiérarchique, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir le maréchal. Ce sont voici la composition de véritables couteaux suisses, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers.<br>Parmi les 11 officiers d'ordonnance, on compte 1 commandant, 2 capitaines et 8 lieutenants.cet état-major:<br>
Pour assurer son escorte, l'état{| cellpadding="6" class="toccolours" style="border-collapse:collapse;margin:0 auto;text-align:center;width:100%;" border="1"|- bgcolor=#dddddd| width="16%"| {{Infobox Personnage | nom = [[Fichier:Grade de général de division.png|25px|sans_cadre]] Marceline De Bercheny | nom alias = | image = [[Fichier:Gal marceline.png|200px]] | taille image = | légende = | naissance = | origine = | décès = | cheveux = | yeux = | caractéristique = Générale de Division | activité = major du maréchal est accompagné par un escadron -générale | sexe = Femme | espèce = Humaine | affiliation = [[Garde Volontaire]] | arme = Cavalerie | ennemi = }}| width="16%"| {{Infobox Personnage | nom = [[Fichier:Grade de deux compagnies général de mousquetaires brigade.png|25px|sans_cadre]] Jean de la gardeLoisy | nom alias = | image = [[Fichier:Gal Loisy. En temps png|200px]] | taille image = | légende = | naissance = | origine = | décès = | cheveux = | yeux = | caractéristique = Général de paix, une compagnie reste en permanence auprès du maréchal et assure sa garde et son escorte, tandis que l'autre compagnie est adjointe comme compagnie Brigade | activité = Premier aide-de réserve des unités -camp général | sexe = Homme | espèce = Humain | affiliation = [[Garde Volontaire]] | arme = Cavalerie | ennemi = }}| width="16%"| {{Infobox Personnage | nom = [[Fichier:Grade de garde d'élitegénéral de brigade. En temps png|25px|sans_cadre]] Irina Ruminescu | nom alias = | image = [[Fichier:Gal irina.png|200px]] | taille image = | légende = | naissance = | origine = | décès = | cheveux = | yeux = | caractéristique = Générale de guerre, les deux compagnies restent groupées et accompagnent l'étatBrigade | activité = Seconde aide-major en campagnede-camp général | sexe = Femme | espèce = Vampire | affiliation = [[Garde Volontaire]] | arme = Infanterie | ennemi = }}| width="16%"| {{Infobox Personnage | nom = Col. Jean-roc Coignet | nom alias = | image = [[Fichier:Lt-Col Lepic.<br>png|200px]] | taille image = | légende = | naissance = | origine = | décès = | cheveux = | yeux = | caractéristique = Colonel | activité = Grand écuyer | sexe = Homme | espèce = Humain | affiliation = [[Garde Volontaire]] | arme = Infanterie | ennemi = }}|}
=== La Garde Volontaire ===
La maréchal Pencroff est le fondateur de la garde volontaire. Chef de corps à l'époque ou l'unité n'était encore qu'un régiment, il resta à sa tête jusqu'à ce que la garde ne devienne une brigade, période à laquelle il fut nommé chevalier et appelé en capitale. Il conserva, un temps encore, le commandement nominatif de l'arme; le commandant executif étant alors assuré par le Colonel Ghideon Zorn et la Lieutenant-colonel Wendy Marvel.<br>
Après - '''Général de division Marceline De Bercheny''', major-général<br>Orpheline de guerre, pupille de la Garde, la générale Marceline de Bercheny est adoptée par le maréchal Pencroff (alors général) et s'engage très jeune dans les rangs. Sous-lieutenant à 18 ans, capitaine à 21, elle débute sa nomination carrière au gouvernement impérial1er régiment de hussards. Promue commandante à 25 ans, le Maréchal elle commande un escadron d'éclaireurs de la vieille garde peu après la création de l'unité. Après s'y être illustrée, elle entre dans l'état-major du maréchal Pencroff passa avec le commandement grade de lieutenant-colonel et la [[Garde Volontaire]] au Général [[Ghideon Zorn]]fonction d'aide-de-camp. Colonelle à 30 ans, qui devait luielle devient ensuite générale de brigade et obtient la fonction de chef d'état-major du maréchal Pencroff. Elle y restera après sa promotion de générale de division. La générale De Bercheny est la plus ancienne membre de l'état-même major du maréchal et ne l'a pas quitté depuis son adoption. Elle le suit dans tous ses déplacements, au point d'être nommé Maréchal quelques années plus tardsurnommée "l'ombre du maréchal".<br>Il conserve toutefois de fortes attaches avec De par son arme expérience, la générale Marceline aurait déjà pu obtenir sa quatrième étoile et le commandement d'origine un corps; mais elle s'y refuse obstinément de sorte à rester auprès de son mentor. malgré cela, véritable bras droit du maréchal et retourne fréquemment au [[Fort Herobrine]] ou se trouvent ses quartiers et sa résidence principale.<br>La [[Garde Volontaire]] fondateur de la garde, elle est également restée sa force vue de tous comme une extension de prédilectionson autorité, et rares sont les généraux à laquelle il recourt pour oser la plupart contredire au risque de ses missions et qus'il préfère souvent aux [[Forces armées impériales]]. Ses liens profonds avec attirer les troupes foudres du père de la garde .<br>Réputée pour son esprit vif et son sens de l'organisation, la générale Marceline est également reconnue pour sa longue expérience à profonde et pieuse dévotion envers sa tête présentent de nombreux avantages dans la conduites dmission. Elle-même orpheline, elle a un souci constant du sort des populations civiles et n'opérations parfois complexes et se déroulant aux confins a pas le goût des territoires impériauxmassacres inutiles. L'emploi Elle tempère souvent le maréchal qui, partisan de cette unité autonome permet également de conserver une certaine opacité sur les missions accompliesla justice absolue, là ou l'utilisation de lcherche rarement à capturer ses ennemis en vie et poursuit souvent ses charges jusqu'armée impériales appellerait à plus épuisement de transparencesa monture.<br>
En 260- '''Général de brigade Jean De Loisy''', après plusieurs années en capitale, le premier aide-de-camp général du maréchal Pencroff reprend pour <br>Issu d'une noble famille aux traditions militaires, Jean de Loisy a préféré s'engager dans la première fois une fonction à garde volontaire plutôt que dans les rangs de l'état-major armée impériale, en quête de campagnes et de gloire dont la Garde Volontairejeune armée de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Nommé inspecteur général Malgré son titre de l'arméenoblesse, il participe activement débuta sa carrière comme soldat et passa chaque grade à la montée en puissance force de bravoure et de qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de l'armée afin escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avec le grade de préparer cette dernière commandant. Plus tard, promu lieutenant-colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux avant d'être nommé colonel et d'être appelé à faire face aux nouvelles menaces qui planent l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demande. Ses excellents états de service lui valent finalement la population impérialepromotion au grade de général de brigade. Sa principale fonction consiste alors à passer les troupes en revue<br>En réalité, afin de veiller à leur qualité. Il entame également la rédaction bien qu'il soit pourvu d'un livreévidentes qualités militaires, "le général De Loisy a jadis eu quelques déboires avec la garde"justice militaire à cause de son indiscipline et de son amour des duels. Mais sa franchise, qui devait devenir sa témérité et sa bravoure dans l'action ont à l'encyclopédie époque convaincu le maréchal Pencroff de la garde volontaire, le couvrir de son fonctionnement et nom, effaçant ainsi les traces de ses doctrinesfrasques. Cette largesse du maréchal eut pour effet de susciter chez le jeune cavalier une réelle reconnaissance et une sincère fidélité.<br>
En 265, toujours présent au Grand Quartier - '''Général de la Gardebrigade Irina Ruminesku''', il est nommé "Colonelseconde aide-de-camp général des hussards du maréchal Pencroff<br>Née dans un fief rebelle de New-Stendel, la générale Irina n'était pas destinée à rejoindre la garde" Garde Volontaire. Issue d'une illustre famille de l’aristocratie vampirique, elle se querella avec ses parents et refusa un mariage arrangé, avant de s'échapper sans le sou.<br>Recueillie à demi morte par son camarade et actuel commandant une patrouille de la Garde Volontaire peu de temps après la création de l'unité, elle fut conduite à fort Herobrine où elle resta en convalescence. Une fois remise sur pieds, elle fut la première vampire à rejoindre les rangs de la garde volontaire Ghideon Zorn, avec le grade de soldat.<br>Rapidement, sa carrière dans l'infanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, tant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'Auersdatte]], elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de la crête d'Eséparge. Ce titredernier, en partie honorifiquereconnaissant et impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance-tenante et la fait inscrire à l'investit également école de guerre où, dès la fin de la mission campagne, elle passe son brevet d'état-major.<br>Promue lieutenant-colonel, elle intègre l'inspection générale de moderniser les tactiques l'armée où elle est chargée des études relatives au développement de l'infanterie de reconnaissance employées dans la garde et notamment . Promue colonel, elle intègre finalement l'usage état-major du maréchal comme aide-de la cavalerie légère-camp, avant d'y être nommée générale de brigade.<br>
En 275- '''Colonel Jean-roc Coignet''', grand écuyer du maréchal<br>Le Colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>Solide gaillard, honnête et discipliné, il est fut rapidement nommé colonel-général caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la cavalerie campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la garde campagne sans être relevé, et commandant est successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du corps régiment, il est décoré de cavaleriela légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Ces deux fonctions Suivant le placent régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au commandement administratif rang d'officier et retourne dans la compagnie de toutes grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les troupes montées grenadiers de la garde et Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au commandement opérationnel cours de la [[Campagne de toute Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la cavalerie [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il est promu Colonel. Toujours dans l'état-Major du maréchal pendant les '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le début des années 300, il refuse une promotion comme général de réservebrigade pour rester auprès du maréchal, qui le nomme grand-écuyer.<br>
=== - '''Colonel Diane Kavendix''', chirurgien-major<br>La Chevalerie ===Ancien Chevaliercolonel Diane Kavendix est une chirurgienne de renom, également archimage de son état. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateur, elle a gagné le Maréchal Pencroff conserve un lien étroit avec cette unité surnom "d'élite qu'il a appris à bien connaitreange des batailles". Il propose souvent lui même diverses missions aux chevaliers<br>Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, et passe régulièrement la garnison elle est également reconnue pour ses travaux de recherche dans les magies de la soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaire, et est auteure d'une thèse sur les alternatives à l'chevalerie'amputation et la guérison des plaies infectées. Son éxperience des combats lui a donné l'occasion d' observer de Stendel en revue. Lorsque cela est possiblenombreux cas cliniques, il participe ce qui lui même aux opérations accompagné des [[Chevaliers]] [[thalkion]] et [[Wariow]] confère une grande influence auprès de ses pairs médecins. Le maréchal Pencroff n'accepte d'être suivi que par elle et du Maréchal [[Ghideon Zorn]]son adjointe.<br>
Durant la [[Première guerre démoniaque]], et alors qu- 'il fallait organiser les ''Commandant Naaza Larray'Forces Mixtes Stendeliennes''' pour résister à , chirurgien-aide-major<br>La commandante Naaza Larray est tout simplement l'invasion des démonsassistante et la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, il sprécédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est naturellement tourné vers souvent soulignée par sa supérieure. La commandante Larray n'avait jamais servi dans les combattants armes avant de la prestigieuse Chevalerie pour occuper les fonctions drejoindre l'encadrement des troupes au combat. Guerriers valeureux état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et respectés, les chevaliers étaient en effet les candidats idéals pour cette lourde tâche, la recommandation de son père et s'en sont toujours acquittés avec gloiredu colonel Kavendix ont convaincu ce dernier de la recruter.<br>
=== Le Corps des Maréchaux ===En 253, suite à la nomination de Ghideon Zorn au rang de Gouverneur et au grade de maréchal - '''4 officiers d'empire, Le ordonnance du maréchal Pencroff et le maréchal Zorn décidèrent de former ensemble une nouvelle unité d'élite: le [[Corps des Maréchaux]]. Ce corps d'armée, formé '<br>Issus de deux divisionsdiverses unités montées, recruta alors parmi les soldats les plus aguerris disposés à ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir l'empire. Les meilleures candidatures furent retenues, et le corps devint rapidement une arme de renommaréchal. Le corps, constitué et organisé Ce sont de manière à être le plus autonome et le plus rapide possiblevéritables couteaux suisses, reçut alors pour mission de servir d'avant-garde en cas de conflitaussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers. Sa principale mission Leur fidélité au maréchal est donc se se rassembler en premier et de se jeter sur absolue.<br>Parmi les troupes ennemies pour donner aux autres corps le temps 4 officiers d se rassembler et de se mettre en marche. La pugnacité'ordonnance, la bravoure et le haut sens du devoir de ses soldats doivent alors permettre à l'unité de tenir seule jusqu'à l'arrivée de renforts.on compte:<br>- Commandant Riley Ninime<br>- Capitaine Lev Leps<br>- Capitaine Centenac<br>- Capitaine Brunbrouk<br>
=== La Brigade des Chasseurs de Démons ===La [[Brigade des chasseurs de démons]] est une unité militaire formée en Pour assurer son escorte, l'an 255 afin de répondre à la menace démoniaque, apparue au cours de état-major du maréchal est accompagné par la compagnie d'élite du [[Première guerre démoniaqueRégiment de Pencroff Cavalerie]]. Commandée par des chevaliers et par d'illustres citoyens, cette brigade est basée au '''Fort Argos''', en banlieue sud de Stendel.<br>
= Faits d'Armes Notoires =
 
[[Bataille de nyan-cat]]<br>
[[Guerre Civile Stendelienne]]<br>
[[Campagne de Kel'Daer]]<br>
 
[[Bataille de Mousse-tache]]<br>
[[Campagne de Tolwhig]]<br>
 
[[Bataille du bois des corps]]<br>
 
[[Bataille des moissons]]<br>
[[Campagne des frontières]]<br>
[[Campagne des immaculés]]<br>
 
[[Campagne d'Auersdatte]]<br>
 
[[Campagne de Sillevanie]]<br>
 
[[Première Campagne des Titanides]]<br>
 
[[Seconde Campagne des Titanides]]<br>
 
[[Guerre de succession d'Atalante]]<br>
 
[[Guerre de la Seconde Coalition]]<br>
 
[[Guerre de la Troisième Coalition]]<br>
 
[[Guerre de la Quatrième Coalition]]<br>
 
[[Guerre des rancunes]]<br>
 
[[Opération Vendémiaire]]<br>
 
[[Guerre de restauration de Belvy]]<br>
= Distinctions et Décorations =
[[Fichier:Pencroff 1.png|250px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff en 253]]
- Gouverneur<br>
- Maréchal d'empire<br>
- Marquis de [[Férincs]]<br>
- Chevalier d'empire (révolu)<br>
- Croix de guerre "Guerre Civile" avec agrafe "Nyan-cat" <br>
- Commandant (Citoyen), commandant de la [[Garde Volontaire]] (passé)<br>
- Capitaine (villageois), commandant du 22e détachement de cavalerie (passé)<br>
- Lieutenant (villageois), commandant en second du 21e 22e détachement de cavalerie (passé)<br>
- Sergent (villageois), sous-officier volontaire dans une cohorte impériale (passé)<br>
- Soldat (villageoisPaysan), engagé volontaire dans une cohorte impériale (passé)<br> '''Rang social'''<br>- 54 Tronvard 192: Gouverneur<br>- 21 Pampélune 181: Chevalier<br>
= Citations =
"On a vraiment la paix que lorsque l'on a plus d'ennemis."<br>
"LIl n'empire est comme le lever du y a pas de bon général qui n'ait été bon caporal un jour: immuable, absolu; il recouvre chaque parcelle d'ombre de sa lumière."<br>
"Le Maréchal Zorn est On meurt tous un corps jour. Certains de gloire, d'armée à lui seul. Donnez lui mille hommes, il en défera dix-mille.autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Il n'y a pas de bon général qui n'ait été bon caporal faut un joursiècle pour faire une nation, mais une bataille peut suffire à la défaire."<br>
"Vous voyez ces colonnes ? C'est le général Jihair. Repliez les cartesMessieurs, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous nallons avoir l'en avons plus besoin.honneur de charger !"<br>
"On meurt tous La justice n'est qu'un jourmot vide de sens si elle ne sépare pas efficacement les proies des prédateurs. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante quIl suffit d'un coup de mitrailleplume pour faire un duc, mais il faut vingt ans pour faire un général."<br>
"On ne fait pas la guerre par haine de ce qui Seuls les guerriers peuvent être pacifistes, les autres n'est ont juste pas impérial mais par amour de ce qui l'estle choix."<br>
"La cavalerie ne reconnait quA la guerre, il faut n'un seul ordre: celui d'attaquer tout être jamais sur de rien, et n'importe quoi qui soit toujours prêt à sa portéetout."<br>
"La guerre remet les hommes à leur juste placediplomatie est l'affaire des politiciens. Fussiez-vous simple soldat ou grand généralCompromis, votre cadavre aura la même odeurconcessions, langue de bois... Une fois qu'ils ont échoués, on vient mettre tout le monde d'accord."<br>
"MessieursPour gagner une bataille il faut savoir se battre, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous allons avoir l'honneur de charger !pour gagner une guerre il faut savoir marcher."<br>
= Armoiries =
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|400px|sans_cadre|centré|Armoiries de la famille Maison Pencroffde Férincs]]<br>
'''Les armoiries du maréchal Pencroff sont composés des éléments suivants''':<br>
- L'écu de la famille Pencroffde Férincs, aux couleurs de l'empire, de la [[Garde Volontaire]]et portant la tête de chat de Férincs et les étoiles de maréchal.<br>
- La couronne symbolisant le titre de gouverneur<br>
- Les deux bâtons de maréchal symbolisant le grade militaire<br>
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