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Pencroff

347 octets supprimés, 8 juillet 2022 à 22:08
=== Etat-major personnel ===
De par ses fonctions au sein des forces armées, et afin de mener à bien les missions qui lui font confiées; , le maréchal Pencroff dispose de son propre état-major qui ne le quitte que très rarement.<br>
Le personnel de cet état-major a été est sélectionné nominativement par le maréchal au sein des diverses unités qu'il fréquent le plus, notamment de la garde volontaire et le corps des maréchaux. Il ne s'agit que d'hommes et de femmes de confiance, qui doivent être suffisamment braves pour suivre leur chef dans toutes les campagnes et suffisamment intègres pour ne jamais démériter de sa confiance.<br>Servir dans l'état-major d'un maréchal d'empire est un honneur, une consécration pour un officier d'état-major. Ce privilège est réservé aux officiers les plus illustres et dignes, aptes au commandement et fins tacticiens.<br>De fait, par leur position à proximité du maréchal, les officiers qui composent son état-major sont ses plus proches conseillers et collaborateur. Ils complètent la vision de leur chef, aident à la prise de décision et veillent à l'application des ordres.<br> On trouve, dans ce cercle très restreint, trois types d'officiers:<br> '''Le major-général''':<br>C'est le chef de l'état-major. Placé sous les ordres du maréchal, c'est lui qui a la charge de faire la synthèse de tous ses ordres et de les faire exécuter. Le major-général tient donc un rôle central au sommet de l'arborescence militaire et doit être assez proche de son commandant pour saisir rapidement ses intentions profondes et les traduire en ordres clairs pour le reste des forces. Cette fonction est réservée aux tacticiens et logisticiens les plus aguerris, et qui ont la confiance du maréchal. En temps de paix comme en temps de guerre, le major-général suit le maréchal partout où il va, à l'exception des combats.<br>Ce rang est communément attribué à un général de Division. Le maréchal Pencroff y préfère un officier de cavalerie.<br> '''Les aides de camp et aides de camp généraux''':<br>Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-voix et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit exécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>Ce rang est généralement dévolu à des généraux de brigades (aides-de-camp généraux) ou à des colonels. Dans tous les cas, il s'agit d'officiers aguerris ayant de nombreuses campagnes à leur actif.<br> '''Les officiers d'ordonnance''':<br>Les officiers d'ordonnance sont les véritables couteaux-suisses de l'état-major. Messagers, officiers de renseignement, secrétaires, intendants; ils ont la charge de noter et de véhiculer toutes les instructions émises par l'état-major du maréchal, via le maréchal lui-même ou son major-général.<br>Ces fonctions sont généralement attribuées à de jeunes officiers s'étant illustrés par leur vigueur et leur hardiesse au combat. En somme, souvent des capitaines ou des lieutenants.<br>
Par ordre hiérarchique, voici la composition de cet état-major:<br>
- '''Général de division Marceline De Bercheny''', major-général<br>
Le major général est le chef de l'état-major. Placé sous les ordres du maréchal, c'est lui qui a la charge de faire la synthèse de tous les ordres du maréchal et de les faire exécuter. Le major-général tient donc un rôle central au sommet de l'arborescence militaire et doit être assez proche de son général en chef pour saisir rapidement ses intentions profondes et les traduire en ordres clairs pour le reste des forces. Cette fonction est réservée aux tacticiens et logisticiens les plus aguerris, et qui ont la confiance du maréchal. En temps de paix comme en temps de guerre, le major-général suit le maréchal partout où il va, à l'exception des combats.<br>
Le général De Bercheny est issue du 1er régiment de hussards de la garde et a été adoptée par le maréchal Pencroff à la mort de ses parents. Entrée sous les drapeaux, elle est admise à l'école militaire d'où elle sort major de sa promotion et rejoint la cavalerie. Blessée dans une embuscade alors qu'elle n'était encore que lieutenant, elle a quitté son unité pour servir auprès de son mentor. Promue capitaine, elle servira aux cotés du maréchal en qualité d'aide de camp jusqu'au grade de colonel, ou elle devient adjudant-commandant chef d'état-major. Elle a depuis fait la démonstration d'excellentes qualités militaires et d'un grand esprit stratégique et tactique, qui lui valurent d'être promue au grade de général de division et à la fonction de major-général. La générale De Bercheny est la plus ancienne membre de l'état-major du maréchal et ne l'a pas quitté depuis son adoption. Elle le suit dans tous ses déplacements, au point d'être surnommée "l'ombre du maréchal". <br>
- '''Général de brigade Jean De loisy''', premier aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>
Le général De Loisy est un des officiers les plus brillants de son temps et de son arme: la cavalerie. Issu d'une noble famille aux traditions militaires, il a préféré s'engager dans la garde volontaire plutôt que dans les rangs de l'armée impériale, en quête de campagnes et de gloire dont la jeune armée de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Malgré son titre de noblesse, il débuta sa carrière comme soldat et passa chaque grade à force de bravoure et de qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de l'escadron des mousquetaires avec le grade de commandant. Plus tard, promu colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux, avant d'être nommé général et d'être appelé à l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demande.<br>
- '''Colonel Armand d'Hubert''', premier aide-de-camp du maréchal<br>
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>
Le colonel d'Hubert est issu du régiment de maréchal-hussards. Auparavant, il avait fait ses armes dans l'armée impériale, plus précisément dans les chevau-légers. Il y rencontra d'ailleurs Gabriel Feraud, qui allait devenir son rival et avec lequel il eut de nombreux duel, avant que les deux hommes ne se sauvent mutuellement la vie lors d'une bataille. Ils furent depuis inséparables, et sont entrés au service du maréchal.<br>
- '''Colonel Gabriel Feraud''', second aide-de-camp du maréchal<br>
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>
Comme son camarade Armand d'Hubert, le colonel Feraud est issu du régiment de maréchal-hussards, après avoir fait ses armes dans l'armée impériale. Officier aussi téméraire et impétueux que son camarade, il est entré au service du maréchal et assiste ce dernier dans tous ses travaux. Comme le colonel D'Hubert, le colonel Feraud est un duelliste avide de combat.<br>
- '''Colonel Louis Lepic''', troisième aide-de-camp du maréchal<br>
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.<br>
Le Colonel Lepic est issu des grenadiers à cheval de la garde consulaire, où il a servi en tant que capitaine avant de devenir commandant d'escadron. Couvert de gloire, il a intégré l'état-major du Maréchal avec le grade de Lieutenant-colonel.<br>
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