Modifications

De par ses fonctions au sein des forces armées, et afin de mener à bien les missions qui lui font confiées; le maréchal Pencroff dispose de son propre état-major qui ne le quitte que très rarement. Cet état-major fait également office d'état-major divisionnaire au sein du corps des maréchaux lorsque le maréchal est présent auprès de celui-ci.<br> 

- '''Général de division Marceline De Bercheny, major-général''', commandant en second de la division Bonaventure<br>Le commandant en second de la division Bonaventure major général est en réalité le commandant exécutif chef de l'unitéétat-major. Placé sous les ordres du maréchal, le Maréchal ayant une multitude dc'autres taches à effectuer tant dans est lui qui a la charge de faire la synthèse de tous les ordres du maréchal et de les armées qu'faire exécuter. Le major-général tient donc un rôle central au gouvernement. Ce dernier prend cependant le commandement direct sommet de l'unité lors arborescence militaire et doit être assez proche de son général en chef pour saisir rapidement ses intentions profondes et les traduire en ordres clairs pour le reste des campagnesforces. La Cette fonction de commandant en second est empreinte d'un fort prestige réservée aux tacticiens et logisticiens les plus aguerris, et de grandes responsabilités: C'est elle qui encadre ont la division confiance du maréchal. En temps de paix comme en temps de paix, vérifie la bonne tenue des troupesguerre, leur armement et leur entrainement; et qui assure leur disponibilité permanente. Cette mission implique d'avoir la confiance totale des maréchaux, et le respect des troupes: deux choses que ne s'obtiennent qu'au feu, au mérite.<br>Au combat, major-général suit le maréchal Pencroff met un point d'honneur à mener les assauts en personnepartout où il va, depuis la première ligne. Il incombe donc souvent à son lieutenant-général dl'assurer la suite exception des opérations depuis l'arrière et d'ajuster les manœuvres au besoincombats.<br>Le général De Bercheny est issue du 1er régiment de hussards de la garde et a été adoptée par le maréchal Pencroff à la mort de ses parents. Entrée sous les drapeaux, elle est admise à l'école militaire d'où elle sort major de sa promotion et rejoint la cavalerie. Blessée dans une embuscade alors qu'elle n'était encore que lieutenant, elle a quitté son unité pour servir auprès de son mentor. Promue capitaine, elle servira aux cotés du maréchal en qualité d'aide de camp jusqu'au grade de colonel, ou elle devient adjudant-commandant chef d'état-major. Elle a depuis fait la démonstration d'excellentes qualités militaires et d'un grand esprit stratégique et tactique, qui lui valurent d'être promue au grade de général de division et à la fonction de major-général. La générale De Bercheny est la plus ancienne membre de l'état-major du maréchal et ne l'a pas quitté depuis son adoption. Elle le suit dans tous ses déplacements, au point d'être surnommée "l'ombre du maréchal".<br>

- '''Général de brigade Evariste MartineauJean De loisy''', major-généralpremier aide de camp du maréchal<br>Le major-général est le chef d'état-major du Maréchal. Il est en charge Les aides de faire la synthèse de tous les ordres camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et de les faire exécuterstratégique différente, tant dans la division que dans toutes les autres armes pouvant dépendre qui sera souvent complémentaire à celle de son commandementleur commandant. Il est au sommet de l'arborescence opérationnelle Ce sont des forces du maréchal. En temps hommes de paix comme en temps de guerreconfiance, et ils sont souvent envoyés par le majormaréchal pour transmettre ses ordres de vive-général suit le maréchal partout où il va, à lvois et s'exception des combatsassurer de leur bonne exécution. Lors des assautsSur le terrain, le majoril est fréquent que les aides-général doit rester auprès du lieutenantde-généralcamp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin d'observer l'action avec du recul que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et s'assurer de son bon déroulementle plus efficacement possible.<br>Le général Martineau De Loisy est également issu du 1er régiment un des officiers les plus brillants de hussards son temps et de son arme: la cavalerie. Issu d'une noble famille aux traditions militaires, il a préféré s'engager dans la garde. Il y était soldat à volontaire plutôt que dans les rangs de l'époque ou le maréchal armée impériale, en était le chef quête de corps, campagnes et a suivi ce dernier comme ordonnance, avant de devenir un gloire dont la jeune armée de ses volontaire était plus proches aides prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Malgré son titre de camp avec le général De Bercheny. Brillant tacticiennoblesse, il débuta sa carrière aurait toutefois pu souffrir comme soldat et passa chaque grade à force de ses incartades bravoure et nombreux duelsde qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, si puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le maréchal ne commandement de l'avait pas couvert escadron des mousquetaires avec le grade de son nomcommandant. Le Plus tard, promu colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux, avant d'être nommé général Martineau suit le Maréchal Pencroff dans tous ses déplacements, si bien quet d'on le surnomme "être appelé à l'ombre état-major du maréchal"Pencroff sur sa demande.<br>

- '''Colonel Armand d'Hubert''', premier second aide de camp du maréchal<br>

- '''Colonel Gabriel Feraud''', second troisième aide de camp du maréchal<br>

Comme son camarade Armand d'Hubert, le colonel Feraud est issu du régiment de maréchal-hussards, après avoir fait ses armes dans l'armée impériale. Officier aussi téméraire et impétueux que son camarade, il est entré au service du maréchal et assiste ce dernier dans tous ses travaux. Comme le colonel D'Hubert, le colonel Feraud est un duelliste avide de combat.<br>

- '''Lieutenant-colonel Gabriel Pajol''', troisième quatrième aide de camp du maréchal<br>

- '''Lieutenant-colonel Tokugawa Yamato''', quatrième cinquième aide de camp du maréchal<br>

Le La colonel Diane Kavendix est une chirurgienne de renom, également archimage de son état. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateur, elle a gagné le surnom "d'ange des batailles".<br>Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, elle est également reconnue pour ses travaux de recherche dans les magies de soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaire, et est auteure d'une thèse sur les alternatives à l'amputation et la guérison des plaies infectées. Son éxperience des combats lui ont donné l'occasion d'observer de nombreux cas cliniques, ce qui lui confère une grande influence auprès de ses pairs médecins. Le maréchal Pencroff n'accepte d'être suivi que par elle et son adjoint.<br>

La capitaine Naaza Larray est tout simplement l'assistante et le la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang, dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La capitaine Larrey n'avait jamais servie dans les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix ont convaincu le ce dernier de la recruter.<br> - '''Commandant Piquart''', commandant de l'artillerie<br>Le commandant Piquart est le principal conseiller du maréchal Pencroff en matière d'artillerie, et il a souvent la charge d'en commander les manœuvres au combat sur demande du maréchal . Mathématicien hors-pairs, amoureux de la recruterbalistique, la précision de ses feux a poussé le maréchal Pencroff à fermer l'oeil sur ses légères tendances pyromanes. Il n'en est pas moins un officier de renom dans son arme. Ayant perdu une jambe au cours d'une bataille, on le surnomme "l'artilleur artillé".<br>