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=== Révélation de la conspiration ===
En 318, la disparition du jeune Koyak Rhaami crée un vif émoi au sein de la communauté des tritons. Le journaliste Alcide Jolivet, qui s'était déjà renseigné sur plusieurs autres cas de disparitions inexpliquées, se penche alors sur l'affaire avec l'aide du chevalier Jehan de Sehur, chargé de l'enquête.<br>Pour la première fois, par un concours de circonstance mais également par le travail acharné et opiniatre des deux hommes; la piste de l'enlèvement s'étaie de preuves, bien qu'elles fussent encore circonstancielles. En effet, la thèse de l'enlèvement avait évidemment déjà été abordée et sérieusement étudiée sur d'autres cas précédents; mais la minutie et l'organisation rodée du réseau de Malpasset n'avait jamais laissé la moindre preuve pour étayer ces hypothèses.<br>Cette fois cependant, une série de petites fautes commises par les hommes du comte offrirent un début de piste, qui allait rapidement conduire le journaliste et le chevalier au port de Weyland, où mouillait justement la "Rose du Nord".<br> En Tronvard 322, les deux hommes se présentent donc à la capitainerie du port, et demandent à consulter le registre du commerce et des navires marchands. Après avoir essuyé un premier refus, le chevalier Jehan fait immédiatement connaitre sa qualité et son rang; et ordonne à l'intendant du port de lui remettre tous les documents séance-tenante. Ce dernier, tenant à la vie sans doute, obtempère alors et livre aux compagnons les registres demandés.<br>(récit cuite - la rose du nord - inventaire de cargaison et voyages suspects - piste de la découvertel'armateur...)<br>
Lorsqu'il apprend le détail des évènements et découvre, avec effroi, l'envergure de l'affaire; le maréchal [[Pencroff]] entre dans une profonde colère. De tous les crimes du monde, le fait qu'un noble - seigneur au sein de l'empire - ait pu user de son pouvoir et son son influence pour enlever et déporter des citoyens impériaux, et ce durant des années, provoque chez le gouverneur une réaction épidermique mêlant indignation, dégoût, et rage.<br>
Sans attendre, il dessaisit immédiatement les [[Chevaliers]] en charge de l'enquête, et reprend le dossier en personne. Fermement décidé à rendre justice de la manière la plus absolue et définitive possible; il réunit autour de lui non moins que cinq régiments de dragons, et prend la route du comté de Malpasset.<br>
