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Campagne Verte

1 220 octets ajoutés, 26 août 2024 à 20:42
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A 8h, les orques positionnent leurs forces en bas de la vallée. L'état-major orque est confiant. Il se sait en supériorité numérique, et sous-estime les effectifs de la Garde qu'il pense très diminués suite à la percée de celle-ci depuis la traversée de la Veilleuse. Une partie des forces orques estimée à dix mille s'avance jusqu'à une ferme abandonnée, position centrale de la vallée. Dans le même temps, Ghideon fait regrouper les tirailleurs de l'ensemble des régiments, appuyés par le 1er et 2e de grenadiers-tirailleurs. Cette brigade à l'équivalent de trois régiments est confiée au Général Lecourbe, qui est chargé de prendre position à deux kilomètres dans la vallée pour tirailler l'ennemi. A cette distance, les orques seront sujet aux tirs de mousquets mais aussi de canons. De l'autre côté, plusieurs bombardes orques sont déployées et commencent à ouvrir le feu sur les tirailleurs. Bien qu'affectés par les tirs, ceux-ci s'en accommodent pourtant notamment en raison de leur déploiement espacé qui limite les dégâts de l'artillerie. A l'inverse, les troupes orques en marche arrivent à 9h30 à portée des premiers gardes. Les tirs partent et couchent les têtes de file orques ce qui n'arrête pour autant pas l'avancée de la masse verte. Comme cela s'était vu pour la première fois à Graisier, quelques unités orques équipées d'arquebuses ripostent elles aussi en ouvrant le feu. A 9h40, l'ensemble des batteries d'artillerie de la Garde, à distance de feu, reçoit l'ordre d'émonder les colonnes vertes. A 10h, après avoir reculé en tiraillant les ennemis, les troupes de Lecourbe reçoivent l'ordre de se replier derrière les positions de la Garde. Lecourbe retourne au commandement de sa brigade. Les orques forment eux peu après une colonne de plusieurs milliers de peaux vertes, qu'ils projettent sur la brigade Desaix, la pensant isolée. Les peaux vertes arrivent au contact de la brigade et se déploient de manière à l'attaquer de face et par les flancs dans le but de submerger la brigade. Toute la spécificité d'une région comme cette vallée est l'étendue de faux plats, de reliefs intriqués et cachés. Si, de loin, la brigade Desaix semble isolée, ses flancs sont en réalité renforcé à droite par les compagnies de grenadiers de ses deux régiments de ligne et un bataillon de chevau-légers, et à droite par le 1er de dragons. Mais plus que cela, le centre de ce dispositif est tenu par les deux plus célèbres régiments d'infanterie de la Garde : le 1er et 2e de ligne. Ses fusiliers forment un mur ayant résisté à des horreurs bien pire que les orques s'y engageant. A 11h, l'assault orque est stoppé net sur ses trois points de contact, l'iniative passe à la Garde, dont les brigades Ney et Lecourbe se mettent en marche pour soutenir la brigade Desaix, profitant de la fixation des forces ennemies. Les unités de choc des brigades sont formées en colonnes et percutent les orques dans la mêlée engagée. Les troupes de ligne avancent elles sur chacun des flancs gauche et droit pour ouvrir un feu de soutien. La situation bascule rapidement; les colonnes orques, d'abord arrêtées, sont massacrées et forcées à la retraite, bientôt poursuivis par les escadrons du 1er de hussards.<br>
Observant l'échec de l'assault, l'état-major orque envoie une seconde vague de troupes, appuyées par de la cavalerie orque pour couvrir les survivants en retraite. En parallèle, au centre, la cavalerie "colonel-général" de la division Degole bat la charge, suivis des hussards-vélites de la division. Profitant de l'attention portée sur les événements au Nord du champ de bataille (flanc gauche de la Garde), la cavalerie perce la maigre ligne orque et engage l'artillerie de bombarbes. Ce mouvement met en évidence la faiblesse du commandement orque. Peu expérimenté, il manque de réactivité, de chaîne de commandement et de flexibilité. Ainsi, l'artillerie avancée et peu protégée se retrouve facilement à la mercie de la cavalerie de la Garde. L'état-major orque est dépassé. Il fait replier son assault, et sa ligne, tout en tentant d'envoyer de la cavalerie repousser celle de la Garde. La cavalerie de la Garde recule en ordre après avoir réalisé son rôle, évitant le contact. Ghideon a mené ses premières manoeuvres et gagné l'iniative générale sur le champ de bataille. Il veut à présent forcer l'ennemi à une attaque complète.<br>
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Au milieu de la vallée se dresse une vieille ferme, abandonnée, à environ quatre kilomètres de la position des troupes de la Garde.
1er temps (écrit): Flanc gauche dégarni : attaque orque. Premiers combats d'avant-garde (tirailleurs) + tirs d'artillerie. Orcques déploient de l'artillerie dans la vallée. Attaque sur le flanc gauche : repoussée + contre attaque décisive. Envoie de renforts orques. En parallèle, attaque de cav + grenadiers sur l'artillerie : réussie. Trou dans le dispositif d'attaque orque, repli pour orga. <br>2e temps (en cours d'écriture) : Pendant le repli orque, avancée d'une partie des troupes de chaque division : mime d'assaut sur les troupes orques en repli. Les orques lancent une deuxième attaque, cueillie en première ligne par les tirailleurs, qui les poussent à avancer. Le dispositif avancé recule jusqu'à reprendre position sur les hauteurs. Les troupes orques se retrouvent sous le feu d'artillerie, et déjà bien engagée. Elles tentent un assaut n'ayant plus tellement le choix : repoussé.
3e temps : au repli du deuxième assaut orque, le Général Zorn regarde l'heure puis lance une attaque généralisée : les trois divisions avancent. L'état-major orque engage alors une grande partie de ses forces : vingt-cinq-mille peaux-vertes. A hauteur de la ferme, et à 3 kilomètres de l'ennemi; Zorn fait placer le 1er bataillon du 7e de ligne dans la ferme, et demande à son commandant de la barricader et d'y tenir jusqu'au bout. Le reste des forces de la Garde se replie en bas des hauteurs de l'Ouest. Cette fois ci, les orques ne commettent pas la même erreur et tiennent position à 600 mètres de la ferme. Un groupe d'orques est lancé pour la prendre et est repoussé. Au loin, des navires commencent à être aperçus. Le Général Zorn ordonne alors aux troupes d'avancer et à l'artillerie de se déployer en avant pour faire feu sur les positions orques. Les orques, alors sous le feu, redoublent d'effort pour faire céder la position de la ferme, à présent encerclée, dont le bataillon qui la tient fait feu à 360°, accumulant les cadavres ennemis autour de sa position.
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