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Pencroff

2 959 octets ajoutés, 16 février
De par son expérience, la générale Marceline aurait déjà pu obtenir sa quatrième étoile et le commandement d'un corps; mais elle s'y refuse obstinément de sorte à rester auprès de son mentor. malgré cela, véritable bras droit du maréchal et fondateur de la garde, elle est vue de tous comme une extension de son autorité, et rares sont les généraux à oser la contredire au risque de s'attirer les foudres du père de la garde.<br>
Réputée pour son esprit vif et son sens de l'organisation, la générale Marceline est également reconnue pour sa profonde et pieuse dévotion envers sa mission. Elle-même orpheline, elle a un souci constant du sort des populations civiles et n'a pas le goût des massacres inutiles. Elle tempère souvent le maréchal qui, partisan de la justice absolue, cherche rarement à capturer ses ennemis en vie et poursuit souvent ses charges jusqu'à épuisement de sa monture.<br>
Au sein de l'état-major du Maréchal, la générale Marceline occupe la fonction de "major-générale", également appelée "cheffe d'état-major". Sa principale fonction est de traduire les instructions du maréchal en ordres en bonne et dûe forme et de les faire parvenir à qui de droit. Garante des mots et des volontés du maréchal, sa parole a la même valeur que celle de son commandant. Elle dirige également les ordonnances et a préséance sur les aides de camp.<br>
Elle porte également une chevalière aux armes de la famille Pencroff, qui dans bien des cas est un véritable blanc-seing.<br>
Elle se démarque par ses cheveux blancs malgré son jeune âge et l'impressionnante cicatrice qui lui lézarde le visage.<br>
- '''Général de brigade Jean De Loisy''', premier aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Issu d'une noble famille aux traditions militaires, Jean de Loisy a préféré s'engager dans la garde volontaire plutôt que dans les rangs de l'armée impérialeson régiment familial, en quête de campagnes et de gloire dont la jeune armée de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Malgré son titre de noblesse, il débuta sa carrière comme soldat et passa chaque grade à force de bravoure et de qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avec le grade de commandant. Plus tard, promu lieutenant-colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux avant d'être nommé colonel et d'être appelé à l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demande. Ses excellents états de service lui valent finalement la promotion au grade de général de brigade.<br>En réalité, bien qu'il soit pourvu d'évidentes qualités militaires, le général De Loisy a jadis eu quelques déboires avec la justice militaire à cause de son indiscipline et de son amour des duels. Mais sa franchise, sa témérité et sa bravoure dans l'action ont à l'époque convaincu le maréchal Pencroff de le couvrir de son nom, effaçant ainsi les traces de ses frasques. Cette largesse du maréchal eut pour effet de susciter chez le jeune cavalier une réelle reconnaissance et une sincère fidélité.<br>Au sein de l'état-major du Maréchal, le générale de loisy occupe la fonction d'aide de camp, c'est à dire de conseiller. Plus singulièrement, il s'est spécialisé dans l'emploi de l'arme de la cavalerie et seconde le maréchal dans ses fonctions de colonel-général de l'arme. Il étudie avec soin les tactiques et stratégies adverses, connait les manuels d'emploi des armées comme sa poche et est même souvent personnellement missionné pour diriger les commissions d'achats de chevaux au profit de la Garde. Il sert également de lien étroit entre le maréchal et l'académie de la Chevalerie.<br>Il se démarque par son flegme, son sens aiguisé de l'humour et sa capacité à enchaîner les duels et les conquêtes.<br>
- '''Général de brigade Irina Ruminesku''', seconde aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Rapidement, sa carrière dans l'infanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, tant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'Auersdatte]], elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de la crête d'Eséparge. Ce dernier, reconnaissant et impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance-tenante et la fait inscrire à l'école de guerre où, dès la fin de la campagne, elle passe son brevet d'état-major.<br>
Promue lieutenant-colonel, elle intègre l'inspection générale de l'armée où elle est chargée des études relatives au développement de l'infanterie de la garde. Promue colonel, elle intègre finalement l'état-major du maréchal comme aide-de-camp, avant d'y être nommée générale de brigade.<br>
Au sein de l'état-major du Maréchal, la générale occupe la fonction d'aide de camp, c'est à dire de conseillère. Plus singulièrement, elle s'est spécialisée dans les missions plus "politiques" qui ponctuent parfois les activités militaires du maréchal et de son entourage. Agissant parfois en véritable diplomate, elle connait les cours de la plupart des nations bordant le territoire impérial mais également la presque totalité de la haute noblesse d'empire. Bien que ses missions la conduisent souvent à démêler des intrigues dans les palais; il arrive que le maréchal la détache à la tête de troupes lorsqu'il s'agit de soutenir une armée amie dans une entreprise où la Garde trouve son intérêt.<br>
Elle se démarque alors par sa froideur et l’exécution brutale de ses missions.<br>
- '''Colonel Jean-roc Coignet''', grand écuyer du maréchal<br>
Le Colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>
Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il est promu Colonel. Toujours dans l'état-Major du maréchal pendant les '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le début des années 300, il refuse une promotion comme général de brigade pour rester auprès du maréchal, qui le nomme grand-écuyer.<br>
Au sein de l'état-major du Maréchal, le colonel occupe la fonction de Grand écuyer. C'est lui qui est en charge d'organiser les déplacements du maréchal et la sécurité de ce dernier lorsqu'il n'est pas au Château des Empereurs, à son domaine de Férincs ou au commandement de Fort Herobrine. Présent en permanence aux cotés du Maréchal, le grand-écuyer commande souvent le "piquet d'honneur", détachement de la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] chargé de l'escorte.<br>
- '''Colonel Diane Kavendix''', chirurgien-major<br>
La colonel Diane Kavendix est une chirurgienne de renom, également archimage de son état. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateur, elle a gagné le surnom "d'ange des batailles".<br>
Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, elle est également reconnue pour ses travaux de recherche dans les magies de soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaire, et est auteure d'une thèse sur les alternatives à l'amputation et la guérison des plaies infectées. Son éxperience expérience des combats campagnes lui a donné l'occasion d'observer de nombreux cas cliniques, ce qui lui confère une grande influence auprès de ses pairs médecins. Le maréchal Pencroff n'accepte d'être suivi que par elle et son adjointe.<br>
- '''Commandant Naaza Larray''', chirurgien-aide-major<br>
La commandante Naaza Larray est tout simplement l'assistante et la disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La commandante Larray n'avait jamais servi dans les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix l'ont convaincu ce dernier de la recruter.<br>
- '''4 officiers d'ordonnance du maréchal'''<br>
Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]].<br>
Lors des déplacements du Maréchal, ce dernier est accompagné d'un "piquet d'honneur" généralement composé du 1er peloton de la compagnie "Mestre de Camp" du régiment.<br>
= Faits d'Armes Notoires =
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