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Garde Volontaire

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=== De division à corps d'armée ===
[[Fichier:Troupes_vers_Keldaer.jpg|vignette|Les troupes de la Garde en route pour Kel'Daer, an 187]]
 
Le passage en division marque une nouvelle ère pour la Garde. D'un point de vue militaire, ce développement représente la possibilité d'agir bien plus vastement. La flotte s'étendant sur tous les mondes colonisés par l'Empire, la Garde peut désormais poursuivre sa mission sur toutes les terres impériales. Ainsi, aux environs de l'an 179, la traque des mages noirs est accrue, et la prison de Terre-Morne voit affluer devant ses portes des centaines de nouveaux prisonniers qui seront pour certains ensuite mis à mort.<br>
A la même époque, des missions minières sont menées sur Novum, et de nombreuses ressources sont acheminées jusqu'à Fort Herobrine. De plus, de part l'agrandissement de la Garde, son budget se voit lui aussi être plus haut. Ainsi, autour de l'an 180, pour la première fois depuis sa création, les coffres de la Garde sont remplis. Ce budget est ainsi alloué dans la mise en place de nouveaux travaux, et dans le développement de l'armement militaire tel que l'artillerie. Il est par ailleurs décidé d'agrandir le commandement, en lui rajoutant deux annexes. L'une, dédiée à la réception, et l'autre dédiée à une salle de veille pour les officiers. Trois ans plus tard, en l'an 183, le chantier est achevé.<br>
Toujours en 183, de nouvelles unités voient leur apparition dans les troupes de la Garde. Chaque corps d'arme se voit pourvu d'une unité d'élite : grenadiers, hussards et ingénieurs. S'ajoute à cela le recrutement de mages, pour accentuer la traque des mages noirs, et mieux assurer la sécurité de Terre-Morne. Pour l'état-major, cette réforme est l'occasion de commencer à diversifier les troupes de la Garde, avec des missions spécifiques à chaque unité. Ainsi, trois ans plus tard, le 26 ¨Pampélune de l'an 186, les régiments de la brigade sont restructurés. L'infanterie est divisée en trois unités (fusiliers, chasseurs, et sapeurs), la cavalerie en deux (cuirassiers et chevau-légers) et l'artillerie en une (artilleurs). Des uniformes sont créés pour chacune de ces unités, à l'instar de l'ancien modèle, qui était le même pour tout le monde. Chaque unité dispose alors de son propre régiment, mise à part les unités d'élite, qui ne sont représentées qu'à l'échelle de compagnies.<br>
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[[Fichier:Troupes_vers_Keldaer.jpg|vignette|Les troupes de la Garde en route pour Kel'Daer, an 187]]
Le mois suivant, en Fifrélune, une rencontre entre le mage [[Shrui]], devenu chevalier d'Empire, et le Général [[Ghideon Zorn]] est organisée au commandement. Cet entrevu est l'occasion pour le jeune général de ressortir un vieux projet à lui. Engageant alors la parole de la brigade terrestre, il propose au mage l'aide de la Garde dans les combats opposants les [[Houanders]] et les démons, dans les lointaines plaines glacées de [[Kel'Daer]]. Ainsi, le 37 Fifrélune de l'an 186, les préparatifs pour la [[Campagne de Kel'Daer]] sont lancés. Pour cette campagne, un nouveau régiment de fusiliers est créé, le deuxième d'infanterie, placé sous les ordres du capitaine Montbrun. Pour l'épauler, des compagnies de sapeurs et cuirassiers sont désignées. Enfin, le Général Zorn nomme le colonel [[Jihair]] à la tête des opérations.
En l'an 187, l'ensemble des effectifs de campagne quittent la caserne en direction des terres du Nord, accompagnés de l'état-major de la Garde, du chevalier Stalroc, et de troupes de soutien pour appuyer la prise de positions dans Kel'Daer. Après des semaines de trajet, la première phase de la campagne est engagée : la Grande Offensive. La réussite est totale, et les troupes de campagne prennent leur position dans la ville glacée. Elles sont laissées sur place, et l'état-major retourne vers Fort Herobrine. Hors, au fils des mois, les opérations stagnes. Pire, les lignes démoniques n'ont pas reculées, et en l'espace d'un an, la moitié des effectifs engagés sur place a été décimée. L'état-major prend alors la décision de ne pas relever le 2e d'infanterie, pour éviter de démoraliser les troupes stationnées au Fort. A la place, des recrues sont continuellement affectées au 2e et envoyées sur le théâtre d'opérations, pour éviter la débâcle. Quant au capitaine Montbrun, il meurt au bout de la deuxième année de campagne, en menant ses hommes à la charge et est remplacé par le capitaine Caulaincourt.<br>
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