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Campagne d'Auersdatte

3 190 octets ajoutés, 3 septembre 2021 à 04:38
== Invasion ==
'''Bataille de la colline 420'''<br>
Le 55 Tronvard, alors que les troupes du royaume d'Auersdatte étaient rejointes par les troupes de la fédération des Kosacs sur les hauteurs de la '''colline 420''', les forces du maréchal Pencroff se déployèrent au pied du relief en ordre de siège. Comprenant rapidement que ni l'un ni l'autre des deux camp n'allait prendre l'initiative de l'offensive dans un premier temps, les forces d'Auersdatte voulant profiter de leur avantage positionnel et les forces du maréchal ne voulant pas attaquer en désordre sur un terrain défavorable; les deux armées commencèrent à s'enterrer. Au pied de la colline, les sapeurs du corps des maréchaux et du 3e corps de la garde établirent en quelques jours un large réseau de tranchées sur deux lignes de profondeur s'étalant sur toute la face sud de la colline. Sur le relief, les forces d'Auersdatte et de la fédération firent de même, et répartirent leurs troupes dans un réseau de tranchées et de redoutes semblable. Les deux camps disposèrent leur artillerie de sorte à en tirer le plus grand profit, et leur infanterie de manière à subir le moins de pertes. Les forces d'Auersdatte et Kosacs démontèrent leurs cavaliers pour les faire servir à pied, tandis que le maréchal Pencroff employa la nombreuse cavalerie du corps des maréchaux et de la garde pour effectuer des norias de ravitaillement vers '''Port-Arthur''' et des raids de reconnaissance au nord, à l'est et à l'ouest de la colline.<br>
En somme, une véritable guerre de position s'enclencha. Loin d'être un problème pour le maréchal Pencroff, ce mouvement fort prévisible de l'ennemi contraint en effet ce dernier à rassembler ses forces en un point ou les renforts allaient converger. Le maréchal comptait alors attendre que l'ennemi ne soit rassemblé en un seul point pour exploiter pleinement ses divisions de manière autonomes, et attaquer la position ennemie en plusieurs points pour les rompre sur place. De plus, tirant rpofit de sa nombreuse cavalerie, le maréchal Pencroff espérait pouvoir harceler, voir couper la ligne de logistique ennemie pour affamer ses soldats et les isoler sur leur colline.<br>
 
Du 56 Tronvard au 43 Nérévard, les deux armées se firent face sans autres combats d'envergure. Seules quelques escarmouches de cavalerie eurent lieu entre la cavalerie du maréchal et les convois de ravitaillement d'Auersdatte, qui perturbèrent grandement l'approvisionnement des assiégés. Si dans le camp du corps des maréchaux et de la garde volontaire les vivres étaient abondants, les malheureux soldats du royaume et de la fédération commencèrent à souffrir grandement du manque de nourriture et de matériel pour l'hiver.<br>
Il est en effet important de noter que le siège se déroulait en pleine saison des neiges dans cette contrée du nord du monde, ce qui rendait le climat local particulièrement froid et difficile. Un manteau de neige avait recouvert toute la colline et les vallées environnantes, et des tempêtes de neige vinrent plusieurs fois semer le désordre dans les rangs des assiégés, particulièrement exposes aux caprices de la nature , sur leur position à flanc de colline.<br>
 
 
'''Bataille de la crête d'Eséparge'''<br>
 
== Conséquences ==
'''Victoire tactique et stratégique des forces loyalistes stendeliennes.<br>
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