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Campagne Verte

457 octets ajoutés, 22 février 2022 à 19:56
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Le 9 Pampélune 269, l'Infernal dispose de 22 500 troupiers sur les 27 000 d'origine, en comptant 1 500 volontaires du Royaume de Belvy envoyés avant la manœuvre des braves pour combler les trous de certains régiments. S'il est en nette infériorité numérique, Zorn n'en est pour autant pas inquiété. Le matin du 9, regardant sa montre à gousset, il dira simplement "Nous sommes dans les temps.". Le corps est disposé sur plusieurs clairières, plus ou moins plates, situées sur différentes hauteurs. La division Degole est placée au centre, la division Lannes sur le flanc gauche et la division Rollet sur le droit. Plus en arrière et en hauteur, la réserve est prête à être déployée si nécessaire. Une particularité de la disposition des troupes est que la division Lannes n'a déployée sur le flanc gauche que la brigade Desaix. Les deux autres brigades Ney et Lecourbe sont tenues plus en arrière, prêtes à marcher.<br>
A 8h, les orques positionnent leurs forces en bas de la vallée. L'état-major orque est confiant. Il se sait en supériorité numérique, et sous-estime les effectifs de la Garde qu'il pense très diminués suite à la percée de celle-ci depuis la traversée de la Veilleuse. Une partie des forces orques estimée à dix mille s'avance jusqu'à une ferme abandonnée, position centrale de la vallée. Dans le même temps, Ghideon fait regrouper les tirailleurs de l'ensemble des régiments, appuyés par le 1er et 2e de grenadiers-tirailleurs. Cette brigade à l'équivalent de trois régiments est confiée au Général Lecourbe, qui est chargé de prendre position à deux kilomètres dans la vallée pour tirailler l'ennemi. A cette distance, les orques seront sujet aux tirs de mousquets mais aussi de canons. De l'autre côté, plusieurs bombardes orques sont déployées et commencent à ouvrir le feu sur les tirailleurs. Bien qu'affectés par les tirs, ceux-ci s'en accommodent pourtant notamment en raison de leur déploiement espacé qui limite les dégâts de l'artillerie. A l'inverse, les troupes orques en marche arrivent à 9h30 à portée des premiers gardes. Les tirs partent et couchent les têtes de file orques ce qui n'arrête pour autant pas l'avancée de la masse verte. Comme cela s'était vu pour la première fois à Graisier, quelques unités orques équipées d'arquebuses ripostent elles aussi en ouvrant le feu. A 9h40, l'ensemble des batteries d'artillerie de la Garde, à distance de feu, reçoit l'ordre d'émonder les colonnes vertes. A 10h, après avoir reculé en tiraillant les ennemis, les troupes de Lecourbe reçoivent l'ordre de se replier derrière les positions de la Garde. Lecourbe retourne au commandement de sa brigade. Les orques forment eux peu après une colonne de plusieurs de peaux vertes, qu'ils projettent sur la brigade Desaix, la pensant isolée. Les peaux vertes arrivent au contact de la brigade et se déploient de manière à l'attaquer de face et par les flancs.<br>
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