Dragonnade : Différence entre versions

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Version du 3 mai 2024 à 03:41

Les "Dragonnades" désignent l'utilisation de dragons (militaires) pour des missions relevant de la sûreté interieure, du maintien de l'ordre ou de la contre-insurrection.

Apparues en 322 durant l'Opération Vendémiaire, les dragonnades ont rapidement démontré leur efficacité et sont devenues un recours prisé du maréchal Pencroff, lui-même à l'origine de cette tactique.

Principe

Les dragonnades consistent en la projection rapide d'une force plus ou moins conséquente de cavaliers (le plus souvent des dragons (militaires)) en un point donné pour y faire cesser des troubles ou activités criminelles.
La présence soudaine et marquée d'une force militaire nombreuse et dotée de droits élargis permet, souvent, de dissuader toute escalade et de procéder aux contrôles nécessaires.

Unités employées

Dans la majorité des cas, ces missions sont dévolues aux régiments de dragons.
Cavaliers polyvalents et aptes au service à cheval comme à pieds, les dragons sont également coutumiers des opérations détachées et en autonomie.
En outre, le maréchal Pencroff confie souvent les missions de cet ordre à ses propres régiments, le Régiment de Pencroff Cavalerie et le Régiment de Férincs Cavalerie, par commidité. Ces deux régiments étant composés de dragons, cette branche est donc plus fréquemment représentée.

Il arrive également que ces missions soit confiées à des hussards, et plus rarement à des chevau-légers de la Garde Volontaire, avec l'approbation du Premier Consul Ghideon Zorn.

Historique des dragonnades

- 322 : Affaire de Malpasset (Opération Vendémiaire)