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Ecole Militaire de la Garde

4 671 octets ajoutés, 3 février 2023 à 20:20
La formation d'officier dure entre six mois pour les adjudants et jusqu'à deux ans pour les recrues vélites. Quelque soit leur voie d'accès et leur cursus au sein de l'école, tous les aspirants font partie de la même '''Promotion''' qui est baptisée et numérotée à l'année où elle débute. Entre l'an 171 et l'an 306, il y a donc eu non moins de 135 Promotions. Chaque promotion de l'école militaire supérieure porte le nom d'un officier illustre ou d'une bataille.<br>
 
Pour conclure leur formation, tous les aspirants, exception faite des anciens adjudants, doivent effectuer une période aguerrissement en compagnie de combat. Ils prennent alors rang de "quatrième officier" au sein d'une compagnie d'infanterie, une compagnie de cavalerie ou une batterie d'artillerie de la garde consulaire. Ce rang ne leur confère aucun commandement, aussi doivent-ils simplement observer le capitaine, le lieutenant et le sous-lieutenant de la compagnie dans leurs tâches en temps de paix et, idéalement, en temps de guerre. Dans le cas des aspirants reçus sur recrutement interne, ce stage ne dure que six mois et se conclue, si réussi, par la cérémonie de promotion.<br>
Dans le cas des aspirants reçus sur recrutement externe, ce stage peut durer jusqu'à un an, ou plus tôt si l'aspirant a pu participer à une campagne et y observer l'action de ses officiers. Dans les deux cas, les responsabilités de l'aspirant sont décidées par son capitaine, et vont en s'accroissant.<br>
Le commandement d'une section n'est toutefois possible qu'après la validation de la lieutenance, lors de la cérémonie de promotion.<br>
En outre, chaque promotion d'aspirants de l'école militaire supérieure est jumelée à la promotion de l'école de guerre de l'année en cours, les deux formations ayant lieu à l'école militaire de Fort Herobrine.<br>
Attendu que ces derniers partagent les locaux de l'école militaire supérieure avec les aspirants, il est d'usage que les capitaines prennent la direction de manœuvres d'entrainement visant à la formation de leurs jeunes camarades.<br>
En outre, la tradition veut que durant leur formation, les capitaines se voient confier le parrainage d'un ou plusieurs aspirants, dont ils seront les référents et mentors.<br>
 
=== Traditions de l'école militaire supérieure ===
Véritable institution de la garde volontaire et vecteur de ses valeurs, l'école militaire supérieure a pour mission de forger le caractère des officiers de la garde. L'esprit de corps, de camaraderie, le culte de la mission et le devoir de mémoire sont autant de valeurs chères à la Grande Armée que l'école inculque à ses étudiants, ces derniers n'étant pas non plus en reste par leur créativité quand il s'agit de mettre en place des rituels permettant de resserrer leurs liens et de fêter leur appartenance à ces armes glorieuses.<br>
 
De fait, les parcours d'aspirant et de capitaine breveté sont tapissés de cérémonies et d'usages divers, tant officiels qu'officieux.<br>
En voici quelques exemples:<br>
 
- Les cadets:<br>
En souvenir des premières recrues de la Garde Volontaire, les aspirants issus du recrutement externe sont appelés "Cadets" durant toute leur formation. Plus jeunes recrues au sein de l'école, ils doivent -de manière très informelle- faire leurs preuves et combattre à main nue contre un vétéran dans des combats souvent alcoolisés organisés à la fin de leur soirée d'accueil au sein de l'école. L'issue de ce combat compte peu, d'autant plus que les cadets ne gagnent que rarement, mais le fait de se battre contre un adversaire plus aguerri et plus fort en dépit des chances de succès est une qualité recherchée et valorisée au sein de la garde. Leurs blessures à l'issue de ce combat sont souvent vues comme des gages d'honneur.<br>
 
- Fusiller le sac:<br>
Pour marquer la fin de leurs années "de troupe", les aspirants issus de recrutement interne, adjudants ou non, ont pour coutume de "fusiller leur sac" au crépuscule du jour de leur promotion au grade de sous-lieutenant. Cette tradition découle du fait que le sac de campagne fait partie des premiers éléments perçus par chaque garde après son arrivée, et que ce dernier n'est plus nécessaire une fois devenu officier; les bagages des officiers étant pris en charge et transportés pour eux.<br>
 
- L'adoubement:<br>
Si les différents cursus de formation des officiers font achever leurs formations respectives à au moins trois moments différents, toutes les cérémonies partagent le même déroulement: Après avoir complété leur formation et, si nécessaire, leur stage en unité de combat; les aspirants sont réunis dans la cour de l'école militaire supérieure avant l'aube. Ils y retrouvent le Premier Consul Ghideon Zorn devant qui ils posent le genou et qui, de sa propre épée de lieutenant, les adoube. Puis, une fois relevés, ils reçoivent leurs nouvelles épaulettes, leur sabre d'officier et leur très précieuse lettre de lieutenance.<br>
 
- La lettre de lieutenance:<br>
C'est la plus vieille tradition des officiers de la garde. Au commencement de l'arme, lorsque ce cette dernière n'était encore qu'un régiment, les grades d'officiers étaient encore considérés comme des charges qui n'étaient accessibles que sur lettre patente du chef de corps. Le lettre de lieutenance donnait alors accès au rang d'officier et à tous ses avantages. Elle donnait également accès au commandement d'une compagnie, bien que l'échelon de commandement des actuels lieutenant soit la section. Aujourd'hui, la lettre de lieutenance est devenue le document officiel annonçant l'inscription du garde sur la liste des cadres.<br>
= Formations de spécialités =
===Ecole de l'Infanterie======Ecole de Cavalerie===
[[Fichier:Ecole de calalerie insigne.png|250px|vignette|droite|Insigne de l'école de cavalerie de Tolwhig]]
L''''école de cavalerie''' se situe à Tolwhig, sur Stendel, et est organisée autour du 3e bataillon de l'école militaire de la garde.<br>
Cette compagnie est chargée de la formation et de l'entretien des montures de la garde. En effet, les chevaux sont des animaux craintifs par nature et il convient de les dresser convenablement avant de les intégrer en régiment. Chaque corps d'armée possède sa propre section de remonte, mais l'école de cavalerie est, de loin, le meilleur centre de dressage pour les futures destriers.<br>
===Ecole d'Artillerie======Ecole du Génie===
Parmi les établissements qu'elle regroupe sous la tutelle de l'Ecole Militaire de la Garde, la garde volontaire compte également sa propre école d'ingénieur, nommée '''Ecole du Génie Polytechnique'''.<br>
===Ecole de Magie===
Depuis l'an 300, la garde volontaire s'est dotée d'une '''Ecole Militaire de Magie Polytechnique''' dont les infrastructures ont été installées au sein des anciennes arènes du '''Refuge de Pan'''.<br>
L'école a pour principale prérogative de former les mages offensifs et défensifs de la garde, suivant différents cursus.<br>
Les élèves de l'école sont recrutés parmi les gardes volontaires disciples-mages et mages (sous-officiers) et donne accès aux rangs de maître-mages (officier).<br>
===MarineEcole de Médecine === === Ecole Navale ===
= Sources =
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