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Compagnie de Varnel

7 994 octets ajoutés, 4 janvier
Le 1er Iffélia de l’an 321, la prise du fort Estelle fut annoncée publiquement<ref>[https://www.minefield.fr/forum/topic/65060-rp-histoires-et-r%C3%A9cits-de-la-compagnie-de-varnel/ Minefield.fr - Histoires et Récits de la Compagnie de Varnel]</ref>. La réception de l’annonce fut mitigée, faisant peu de résonance au-delà des villages frontaliers. Néanmoins, la nouvelle fut entendue par quelques nobles de la région, notamment par le maire de la ville d’'''Altengraf''', sieur '''Valentin Roodhaus''', qui voyait sa popularité faiblire dut aux maux économiques de la région et qui cherchait à donner la faute aux populations elfes ayant migrés de l’Est. La compagnie est engagée comme milice locale pour quelques mois, dans une mission qui sera nommée le '''Brazero d’Altengraf''', au courant de laquelle près de 500 habitants seront arrêtés, jugés, et pour la plupart exécutés pour diverses accusations de sabotages, corruption, et de pratique de magie noire. Roodhaus s’engage à soutenir la compagnie, offrant fonds, hommes et loyauté à la cause, se convertissant au Pyrisme dans un baptême public, accompagné des survivants de la ville.
Les nouvelles de la conversion d’Altengraf parcourent les quatres coins de la région, arrivant même aux oreilles du [[Ghideon Zorn|1er Consul]] de la [[Garde Volontaire]], qui envoya un contingent de gendarmes sur place. Les gardes, réalisant que trop tardivement que les villes frontalières à l’Empire ne faisait pas partie de leur juridiction, retournèrent légèrement penauds, mais avec une missive destinée au commandement de l’armée, soutenant leurs activités dans l’Empire et clarifiant le rôle de la compagnie en dehors des terres impériales. Cette démonstration de bonne foi et de soutien mutuel d’activités au nom de l'expansion et la souveraineté impériale ne fit que croître la réputation et la légitimité de la compagnie, qui vit nombreux nouveaux membres rejoindre ses rangs. Cette notoriété valut l'arrivée du soutien du vicomte de '''Malenque''', '''Gauthier de Mauxbaton''', qui engagea sa propre milice locale à joindre les effectifs varnelites en 323 et finança l’achat de montures et quelques pièces d'artillerie. En contrepartie, la croissance devenue exponentielle de la compagnie et la proximité du Héraut comme allié permit au vicomte de Malenque d'accroître sa propre sphère d’influence, si bien que qu’en Fifrelune de l’an 325 il sera nommé Comte du '''Val de Malenque''', détenant sous sa tutelle les villages de Altengraf, Hamelau, Horemboche, Malenque, Roncecourt et Valcourt.
En Pampelune de l’an 330, François fut invité à discuter avec le gouverneur [[Pencroff]], qui le nomma chevalier impérial (un titre qu'il ne pensait jamais obtenir) et le commandita officiellement pour assurer la sécurité des routes sur New-Stendel<ref>[https://www.minefield.fr/forum/topic/65085-varnel-courriers-et-missives/ Minefield.fr - [Varnel<nowiki>]</nowiki> Courriers et missives]</ref>. Financé et équipé de matériel impérial, les varnelites entreprirent un assainissement méthodique des routes impériales rejoignant les nations frontalières au territoire sous l’emprise de l’Empire. La férocité et l’efficacité de la compagnie se font entendre, laissant croître la renommée des varnelites et de la foi pyristes. En 331, la première chapelle pyriste sur le territoire impérial est ouverte à [[Férincs]]avec la bénédiction du Maréchal Pencroff et du 1er Consul Zorn, instaurant ainsi le premier lieu pour le culte en terre sainte.
Pendant les années qui suivent, les effectifs de la compagnie de ne font que grandir, atteignant 2500 7000 combattants dispersés dans la régiondu Val de Malenque en 333, remplaçant toute gendarmerie locale et instaurant lentement une nouvelle législation ecclésiastiqueecclesiastique. Financés par le comte du Val, l’inquisition se voit équipée de matériel neuf, ainsi qu’une grosse vingtaine de pièces d'artillerie (appelée la “'''chorale divine'''” par les varnelites). Muni de ce nouvel équipement, que François fait utiliser dans la destruction de diverses caches de brigands ainsi que de nombreuses structures religieuses que l’inquisition classifiait comme païen ou hérétique. Il fit mettre des postes de gardes sur les routes menant vers l’Est en 332au début de l'an 334, et plus particulièrement sur les routes reliant le Val au Néo-Dominion. Pendant près d’un an, dans le but de favoriser les commerçants impériaux vis-à-vis des artisans de l’alliance. Les commerçants de l’alliance furent arrêtés, inspectés, leur marchandise réquisitionnéerequisitionnée, et maltraités avant d’être renvoyés vers leurs terres d’origine. Cette violence gratuite atteint son apogée en Nérévard 334, lorsqu’un cortège diplomatique de l’alliance destiné à rétablir des liens avec le comte du val est intercepté par une mission varnelite. A l'encontre des directives stipulé dans le contract dressé avec le maréchal, les diplomates furent incarcérés, questionnés, torturés, et exécutés au bûcher pour “défiance à la paroles des Empereurs et haute hérésie” sur la place centrale de Malenque sous le regard du Héraut et son entourage. ===Campagne du Val de Malenque=== Le matin suivant le bûcher, François met en route un plan dont il avait dessiné les détails depuis plusieurs années. Annonçant à la prière du matin que l’heure de la purge était arrivée, il reforma la structure globale de l’inquisition, prenant la charge de la moitié des forces inquisitoriales (+- 4500 hommes) et laissant les plus jeunes convertis en arrière pour le stricte minimum d’ordre dans la région du val sous la tutelle de l'évêque '''Van Guelis'''. Il ordonna ses forces vers le fort Estelle, amenant avec lui la moitié de la chorale infernale et une grande partie des chevaux disponibles. Il ordonne aussi une mobilisation générale de tout habitant apte à se battre, qu’il envoie vers Malenque pour suivre des entraînements militaires sous la tutelle de Van Gelis et ses officiers. Fin Nérévard de l’an 334, les forces de Varnel réquisitionnent une trentaine de navires marchands et traversent la mer '''Adariatique''' sous couvert de la nuit, débarquant le 59 Nérévard autour de 4 heure du matin sur la côte ouest d’[[Adari]] sous couvert d’une nuit nuageuse. Accostant à quelques kilomètres des ruines maudites et prenant refuge dans les bois entourant la cité perdue, l'artillerie est déplacée en lisière de la forêt, prenant pour cible le '''Solum Adris''', garnison de la '''9e cohorte d’infanterie'''. François ordonne un raid sur le camp d’archéologues au sud du territoire, envoyant sa cavalerie lourde dans la pénombre. L’équipe de chercheurs de l’'''Institut Taspeur''' est prise par sursaut et se voit massacrée, laissant aucun survivant. Le camp est détruit, et pas plus d’une heure plus tard, les cavaliers remontèrent vers le nord-est des terres d’Adari, leur destination étant la route reliant le solum Adris aux terres de Lyndaë, François espérant pouvoir couper la fuite de la cohorte dominienne une fois les combats commencés.  ==== Bataille du Solum Adris==== A l’aube du 60 Nérévard, François ordonne le siège du fort, bombardant la structure depuis les bois, réveillant de force les soldats sur place. La 9e d’infanterie était en sous-effectifs de 3 centuries, et les renforts n'étaient pas prévus pour plusieurs semaines. Le bombardement continua pendant près de 3 heures, laissant le temps aux forces d'infanterie de Varnel de s’approcher sans contre-attaque majeure, les arbalétriers dominiens ne prenant pas le risque de se montrer sur les créneaux. Autour de 10h30, l’entrée du fort est forcée à coup de bélier, et les templiers pyriste se lance dans la mêlée contre les hallebardiers dominiens. Les forces pyristes sont repoussées, et les hallebardiers, sous couvert d’une nuée de carreaux, réussissent à former leurs lignes à l’entrée du fort. La chorale divine est remise en marche, ciblant les lignes néo-dominienne. La Première Lance [[Astoria Akunthil]] ordonne le départ immédiat d’une vingtaine de cavaliers légers en ordonnance vers les terres de Lyndaë, demandant un soutien militaire immédiat. Vers 12h30, pendant que les forces de la 9e se renforcent à l’abris de l'artillerie dans les confins du solum, les messagers sont interceptés par la cavalerie varnelite. Des 20, 1 seul réussit à échapper l’embuscade, continuant sa route vers le fort Croisillon à Lyndaë. Vers 15h, la chorale divine s’arrête, réalisant la futilité du bombardement continu, et avec le retour de cavalerie varnelite annonçant l'échappée d’un cavalier néo-dominien, François ordonne le replis temporaire de ses forces, préparant une reprise du siège du fort pendant la nuit. Le messager faisant bonne route, François estima que des renforts arriveraient endéans les 3 jours, et voulait assurer que les forces de l’alliance ne puissent solidifier leur position sur le moyen terme. L’objectif était donc de neutraliser le fort. ''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille de la Baie des Martyrs====''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille du Fort Estelle====''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille de Valcourt====''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille de Malenque====''en cours de rédaction, coming soon™''
=Organisation et Structure=
La mission primaire du héraut est la pérennité et la propagation de la parole divine sur les terres impériales et ses alentours. En campagne, le héraut coordonne le théâtre des opérations, ordonnant les formations, les routes à prendre, les stratégies à suivre, ainsi que d’assurer la réussite de la tâche à laquelle la compagnie est affectée.
 
====Exarch====
L’exarch est un officier supérieur secondant les fonctions militaires du Héraut, avec pour unique mission de soutenir ce dernier dans la coordination des opérations militaires ou de prendre le relais dans le cas où le Héraut n’est pas présent sur les lieux. Il fait partie du conseil militaire prenant les décisions critiques à l'expansion des activités de la compagnie. Les exarchs sont sélectionnés par le Héraut. ====EvêqueEvèque====L'évêque est un officier avec deux fonctions. Dans sa fonction militaire, il coordonne les déplacements tactiques des évêchés, ainsi que coordonne avec le Héraut quant aux stratégies globales de la compagnie et des interventions de l’inquisition. Cependant, sa fonction primaire est un rôle religieux. L’évêque fait partie du conseil religieux en contact direct avec l’Héraut, prenant les décisions critiques à l'expansion de la foi pyriste. Il se voit attribué une terre de juridiction où il administre les différents lieux de cultes (fixes ou mobiles). Il est continuellement en contact avec les lectors et vicaires qui assurent la gestion des différentes chapelles et stèles. Tout comme les exarchs, les évêques sont sélectionnés par le Héraut. 
====Primus====
Le primus est le premier rang d’officier supérieur de l'inquisition. Il est le point de relais entre les ordres du haut clergé et les dévoués.
 
Le primus est la tête d’une délégation et coordonne les troupes de façon plus administrative, se chargeant d’établir un ordre d’opérations et la logistique pour le bon déroulement des objectifs sur le terrain.
 
====Vicaire====
Le vicaire est, avant tout, un officier de combat, ayant étudié l’art de la guerre et de la purification au travers de multiples expéditions missionnaires ainsi qu’ayant rempli diverses missions d’escortes ou de purification d’hérésie.
Le vicaire coordonne les troupes sur le terrain, assurant le suivi des ordres du Héraut, ainsi que tient compte des résultats des missions dans de nombreux rapports. Enfin, le Le vicaire supervise aussi les exécutions, assurant que la forme est suivie dans le détail. Enfin, le vicaire est le point de contact civil pour toute offre de travail, recueillant les annonces ou les contrats de la compagnie pour les présenter au Héraut via son Primus.
Enfin, le vicaire est le point de contact civil pour toute offre de travail, recueillant les annonces ou les contrats de la compagnie pour les présenter au Héraut.
====Lector====
Le lector, aussi connu sous le nom de “scribe”, est le principal référent religieux de chaque pelotonmission. Sur le terrain, les lectors ont pour mission tâche de bénir les acolytes et de parjurer les ennemis avant, pendant, et après chaque intervention. Bien que leur rôle paraîtrait plus cérémonial, leurs activités et présence renforcent le moral et les croyances au sein du groupe et chez les clients.
Le lector sert aussi de prêcheur de foi auprès des populations civiles. Il organise les baptêmes, les bûchers, les exécutions, les nominations, les promotions et les sacrements.
 
====Disciple====
Le disciple est un soldat éduqué dans les principes religieux du pyrisme. Il accompagne les acolytes sur le champ de bataille, montrant le bon exemple, et soutenant le lector dans ses prières et ses serments. Un disciple à pour tâche de maintenir l’ordre pour 5 acolytes.
 
====Acolyte====
L’acolyte est le rang le plus bas que puisse avoir un croyant dans la structure militaire de la compagnie de Varnel. Les acolytes ne sont généralement pas des novices aux combats, ayant tenu des activités de mercenariat, gendarmerie ou militaire dans le passé. Ils sont sélectionnés par un Vicaire, et suivent un indoctrination poussée dans les préceptes de la foi pyriste, ainsi qu’un réapprentissage du combat à l’arme de combat rapproché (pic, kriegsmesser, masses…).
==Echelons des groupes et Effectifs==
'''Schutter'''<br>
Le schutter (pr: Sghuteur, “tireur”) est un arbaletrier. Il est équipé d’une arbalète lourde, d’un pavois, et d’une lame courte de secours. Son armure est généralement légère, remplaçant souvent la cuirasse par une brigandine ou une demi-cotte de maille.
'''Tempelheer'''<br>
'''Wachthond'''<br>
Le wachthond ( pr: Waghthönd, “chien de garde”) est un cavalier léger qui sert d’unité de reconnaissance. Muni d’un arc comme arme principale, il n’a pas pour vocation de charger un ennemi. Le Traditionnellement, le prix de leur monture fait faisait des wachthonden l’unité la plus précieuse de la compagnie, mais cette valeur fut revue suite au financement de la compagnie par différents sponsors. Le rôle est aussi donné aux membres plus faibles physiquement de la compagnie, leur permettant de toujours servir “la parole divine” sans pour autant devoir se blesser ou mourir sans raison.
'''Bloedhond'''<br>
Le bloedhond (pr: Blouthönd, “Limier”) est un cavalier lourd servant de force de choc et d’intervention rapide. Muni de lance ou d’épée lourde et équipé d’une armure de plaque complète, les bloedhonden sèment la terreur sur le champ de bataille, chargeant droit dans les formations ennemies motivés par leur courage et leur loyauté irrévocable à la foi pyriste. Le bloedhond est différent du tempelheer dans le sens sur le champs de bataille, le tempelheer est mit pour soumettre l’adversaire et de suivre les procédures d’inquisition après les faits, tandis que le bloedhond intervient pour servir de juge et exécuteur pendant l’action même. Dans les rangs, on dit qu’un bloedhond qui ne ressort pas d’un combat drapé du rouge de ses victimes n’a pas accompli son devoir.
=Bibliographie et Références=
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