Marine Impériale

Marine Impériale
Dénomination	Marine Stendelienne
Description	Ensemble des forces navales de l'empire.
Monde	Tous
Souverain(s)	Gouvernement impérial
Alignement	Impérial
Langues	Stendelien

Présentation

La marine Impériale, appelée plus souvent par le terme de "marine", est le corps naval de l'Empire de Stendel. Les navires, ou unités, mènent diverses missions, comme le transport, la patrouille et l'exploration.

Crée en 226, l'amiral James Wariow prit la tête de la nouvelle marine Impériale avec pour mission de fournir, déployer et entretenir des navires pour le compte Impérial. Ayant acquis une solide expérience dans le domaine depuis ses fonctions au seins de la Garde Volontaire où il fut le général du cors d'armée de la marine. C'est avec le financement Impérial que l'Arsenal de Middenheim entreprit la construction de nombreux navires destinés à la force navale de l'Empire.

Organisation

Hiérarchie

Rangs liés à la Marine

Les Empereurs sont les maîtres absolus des forces armées impériales et, par extension, de la Marine Impériale. Ils ont tous les pouvoirs sur leurs unités et peuvent décider de les saisir à tout instant et de leur confier toutes les missions qui leur conviennent. La fidélité des troupes impériales envers les Empereurs de minefield est absolue.

Les Gouverneurs, sous le contrôle des Empereurs, veillent au fonctionnement de la Marine Impériale et disposent sur elle d'une vaste autorité. Ils peuvent la saisir et en prendre le commandement dans différents contextes, lui confier différentes missions ou commander directement des flottes entières. Émissaires de l'autorité impériale, les gouverneurs sont également chargés de la protection des populations et de la défense des territoires, et sont donc très présents auprès des unités militaires de l'empire, sur terre comme sur mer.

Les Nobles et les Chevaliers, en tant que hauts dignitaires de l'empire et seigneurs de fiefs du domaine impérial, peuvent occuper dans la Marine Impériale des fonctions de commandement sur des vaisseaux de toutes tailles; et même gagner le grade et le rang d'amiraux.
Les fonctions de Capitaine, quelque soit la taille du vaisseau, leurs sont donc réservées.

Rangs et grades

Amiral
Vice-amiral
Contre-amiral

Capitaine de Vaisseau
Capitaine de frégate
Capitaine de corvette

Premier-Lieutenant
Second-Lieutenant
Enseigne

Premier-Maître
Second-Maître
Quartier-Maître

Matelot de 1ère classe
Matelot de 2e classe
Mousse

Composition

Types de navires

Cuirassés

Les cuirassés est la dénomination des prototypes de navire exploitant la technologie de propulsion à vapeur.

Vaisseaux de ligne

Les navires de ligne, ou vaisseau de ligne, ou tout simplement vaisseau, sont de lourdes unités de guerre de deux à trois ponts.

Vaisseaux rasés

Les vaisseaux rasés sont des navires de ligne dont le pont supérieur à été saboté, ou "rasé", dans le but d’obtenir un navire plus rapide et maniable.

Frégates

Les frégates sont des navires emblématiques et polyvalents à trois mâts et généralement un pont-batterie.

Corvettes

Les corvettes sont des navire à deux ou trois mâts plutôt destinés aux missions autonomes.

N.B : Bien souvent, par facilité de compréhension, l'on classe les corvettes à trois mâts comme frégates et celles ayant deux mâts, des bricks.

Brick

Les bricks sont des deux-mâts réputés pour être les navires parmi les plus rapides qui soient. Très utilisés comme intercepteurs et navires d’intervention rapide.

Goélette

Les goélettes, également appelées "schooners", sont les petites unités qui servent généralement au transport.

Sloop

Petits navires à un seul mât aux missions variées mais surtout utilisés dans les patrouilles.

Générations

Première génération

La première génération, ou les prototypes, sont les touts premiers navires sortis des cales sèches de l'Arsenal de Middenheim autour des années 120. Exclusivement composée de navire de type sloop et schooner, elle contribua largement à l'expansion commerciale de l'Amiral James Wariow. De nos jours, cette génération est totalement obsolète. Ni la marine Impériale, ni la Garde Volontaire n'utilisent ces navires. Et même si ils sont peu performant au regard des générations suivantes, ils conservent néanmoins des avantages certains : Ceux d'être peu cher, fiable et très facile à fabriquer et à entretenir. C'est pourquoi elle est très prisée des acquéreurs les moins fortunés ou les moins avisés. Étonnamment, il existe encore de nombreuse de ces embarcations, malgré le fait qu'elles ne soient plus fabriqués. Et qui doivent leurs longévités aux mains habilles de leur propriétaire qui les ont customisés. Notamment les marginaux et flibustiers sans-le-sou qui misent sur des navires qui ne nécessitent pas d'arsenal ou de gros moyens pour être entretenus ou modifiés. La plus célèbre de ces embarcations étant un modèle de sloop qui avait été modifié pour porter deux lourdes caronades de 32 livres par un trio de pirate. Capturés et pendus, leur navire fût démantelé et fini ses jours comme réserve de charbon pour l'atelier d'étuvage de l'arsenal.

Seconde génération

La seconde génération, ou génération 2, voit apparaître les premiers trois-mâts suite aux accords entre l'arsenal et la Garde Volontaire en l'an 134. Cette génération de navire voit également arriver les premiers navires destinés au combat, notamment des bricks. Cette génération n'a pas vu arriver une grande avancée sur le plan technique. Mais le progrès vis à vis de la génération 1 vient surtout des 15 années d'expérience. Ce qui a permis de construire de plus gros navire, plus vite et mieux pensés.

De nos jours, bien qu'il subsiste quelques rares reliques au sein de la flotte de la Garde Volontaire, cette génération de navire est considérée comme obsolète. Et ne sont maintenu en vie que par les caprices des plus vieux capitaines qui souhaitent les garder, par nostalgie ou par habitude. Et par la République de Freiwald qui achètent ces modèles pour les réarmer avec leur propre technologie. Car, comme pour la première génération, ces embarcations ont l'avantage d'être bon marché et facile d'entretien. Mais également la génération de coque la plus légère qui soit. Même si également la plus fragile. Elle connait donc toujours un certain succès auprès des marchands débutant dans la profession. Le plus gros navire de cette génération à été une frégate portant quelques 44 canons longs. Commandée à l'époque par le commandant Bonaventure Pencroff. Perdue au large de Tort'Oggar en 171 suite à une bataille qui l'opposa aux corsaires opérant dans les environs.

Troisième génération

La troisième génération, ou "grande génération", ou encore la "Renaissance navale", est un véritable tournant dans l'histoire de la flotte car voit non seulement arriver les premiers navires de ligne, mais également un bond technologique avec l'arrivée de nouvelles techniques de construction et d'optimisation dans les années 160. Cette génération est celle ayant sorti le plus de navire à ce jour. Et pour beaucoup, des améliorations venant de plan des deux générations précédentes. Elle marque également l'avancée spectaculaire de l'équipement et la notoriété de l'Arsenal de Middenheim. Les coques avaient été repensée de 0 et étaient à la fois plus hydrodynamique et résistante. Et le poids, bien que supérieur au regard de la seconde génération, était largement compensé par des performances nautiques bien supérieure. Quant aux gréements, ils étaient désormais pourvu de corde de chanvre qui remplaça le coir. En étant à la fois plus légère, solide et moins encombrante. Ces avancée ont néanmoins dans un premier temps été ralentis par le matériel de l'arsenal qui n'était alors plus adapté à des construction désormais plus complexe. La renaissance navale marqua alors également la grande reconstruction de l'arsenal. Pourvue de toute nouvelle cale sèche maintenant capable de contenir de grande frégates, ainsi que l'arrivé de matériel de construction moderne. Dont les étuves permettant de fabriquer des pièces de bois courbées et améliorant ainsi la solidité des coques. Et sont à ce jour toujours en activité et inchangé.

De nos jours, une bonne partie de ces navires sont encore en service. Surtout dans la Garde Volontaire. La Marine Impériale compte également quelques navires de troisième génération. Mais sont bien plus rare et ne connait aucun navire des générations inférieures. C'est également vers cette génération de navire que s'orientent les acquéreurs un peu mieux informés, car on retrouve un excellent compromis qualité/prix. Cette génération voit également arrivé un succès qui aujourd'hui encore reste le meilleur compromis de navire de combat : Les 74. Et mis à part des mises à jour apportées par les générations qui suivent, les caractéristiques restent dans la forme inchangées.

Quatrième génération

La quatrième génération, ou "Génération Rouge", marque le passage de l'Arsenal de Middenheim comme fournisseur officiel de la jeune Marine Impériale dont James Wariow pris la tête à son passage au rang de Chevalier de l'Empire en 226. Rouge étant la couleur de la coque des navires qui portent les fanions Impériaux. Cette génération voit arrivée les premiers vaisseaux de ligne à trois-ponts vraiment opérationnels. Les moyens débloqués par l'Amiral et le financement Impérial ayant bien évidement contribué à une amélioration générale des navires. Mais également à l'arrêt de la fabrication de navire pour propriétaires privés. L'amiral préférant concentrer ses moyens aux navires militaires de la marine Impériale. L'achat de ce type de navire pour un particulier requière par conséquent quelques contacts bien placés, qui peut faire en sorte que l'un d'entre eux soit démilitarisé et revendu. Même si beaucoup de navire de cette génération sont des améliorations partant de la base de la troisième, voire de la seconde génération, les avancée sur les gréements et les coques les ont rendu globalement plus légers, solides, rapides et facile à manœuvré.