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Compagnie de Varnel

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Les nouvelles de la conversion d’Altengraf parcourent les quatres coins de la région, arrivant même aux oreilles du [[Ghideon Zorn|1er Consul]] de la [[Garde Volontaire]], qui envoya un contingent de gendarmes sur place. Les gardes, réalisant que trop tardivement que les villes frontalières à l’Empire ne faisait pas partie de leur juridiction, retournèrent légèrement penauds, mais avec une missive destinée au commandement de l’armée, soutenant leurs activités dans l’Empire et clarifiant le rôle de la compagnie en dehors des terres impériales. Cette démonstration de bonne foi et de soutien mutuel d’activités au nom de l'expansion et la souveraineté impériale ne fit que croître la réputation et la légitimité de la compagnie, qui vit nombreux nouveaux membres rejoindre ses rangs. Cette notoriété valut l'arrivée du soutien du vicomte de '''Malenque''', '''Gauthier de Mauxbaton''', qui engagea sa propre milice locale à joindre les effectifs varnelites en 323 et finança l’achat de montures et quelques pièces d'artillerie. En contrepartie, la croissance devenue exponentielle de la compagnie et la proximité du Héraut comme allié permit au vicomte de Malenque d'accroître sa propre sphère d’influence, si bien que qu’en Fifrelune de l’an 325 il sera nommé Comte du '''Val de Malenque''', détenant sous sa tutelle les villages de Altengraf, Hamelau, Horemboche, Malenque, Roncecourt et Valcourt.
En Pampelune de l’an 330, François fut invité à discuter avec le gouverneur [[Pencroff]], qui le nomma chevalier impérial (un titre qu'il ne pensait jamais obtenir) et le commandita officiellement pour assurer la sécurité des routes sur New-Stendel<ref>[https://www.minefield.fr/forum/topic/65085-varnel-courriers-et-missives/ Minefield.fr - [Varnel<nowiki>]</nowiki> Courriers et missives]</ref>. Financé et équipé de matériel impérial, les varnelites entreprirent un assainissement méthodique des routes impériales rejoignant les nations frontalières au territoire sous l’emprise de l’Empire. La férocité et l’efficacité de la compagnie se font entendre, laissant croître la renommée des varnelites et de la foi pyristes. En 331, la première chapelle pyriste sur le territoire impérial est ouverte à [[Férincs]]avec la bénédiction du Maréchal Pencroff et du 1er Consul Zorn, instaurant ainsi le premier lieu pour le culte en terre sainte.
Pendant les années qui suivent, les effectifs de la compagnie ne font que grandir, atteignant 2500 7000 combattants dispersés dans la région du Val de Malenque en 333, remplaçant toute gendarmerie locale et instaurant lentement une nouvelle législation ecclesiastique. Financés par le comte du Val, l’inquisition se voit équipée qu’une grosse vingtaine de pièces d'artillerie (appelée la “'''chorale divine'''” par les varnelites), que François fait utiliser dans la destruction de diverses caches de brigands ainsi que de nombreuses structures religieuses que l’inquisition classifiait comme païen ou hérétique. Il fit mettre des postes de gardes sur les routes menant vers l’Est en 335au début de l'an 334, et plus particulièrement sur les routes reliant le Val au Néo-Dominion, dans le but de favoriser les commerçants impériaux vis-à-vis des artisans de l’alliance. Les commerçants de l’alliance furent arrêtés, inspectés, leur marchandise requisitionnée, et maltraités avant d’être renvoyés vers leurs terres d’origine. Cette violence gratuite atteint son apogée en Nérévard 334, lorsqu’un cortège diplomatique de l’alliance destiné à rétablir des liens avec le comte du val est intercepté par une mission varnelite. A l'encontre des directives stipulé dans le contract dressé avec le maréchal, les diplomates furent incarcérés, questionnés, torturés, et exécutés au bûcher pour “défiance à la paroles des Empereurs et haute hérésie” sur la place centrale de Malenque sous le regard du Héraut et son entourage. ===Campagne du Val de Malenque=== Le matin suivant le bûcher, François met en route un plan dont il avait dessiné les détails depuis plusieurs années. Annonçant à la prière du matin que l’heure de la purge était arrivée, il reforma la structure globale de l’inquisition, prenant la charge de la moitié des forces inquisitoriales (+- 4500 hommes) et laissant les plus jeunes convertis en arrière pour le stricte minimum d’ordre dans la région du val sous la tutelle de l'évêque '''Van Guelis'''. Il ordonna ses forces vers le fort Estelle, amenant avec lui la moitié de la chorale infernale et une grande partie des chevaux disponibles. Il ordonne aussi une mobilisation générale de tout habitant apte à se battre, qu’il envoie vers Malenque pour suivre des entraînements militaires sous la tutelle de Van Gelis et ses officiers. Fin Nérévard de l’an 334, les forces de Varnel réquisitionnent une trentaine de navires marchands et traversent la mer '''Adariatique''' sous couvert de la nuit, débarquant le 59 Nérévard autour de 4 heure du matin sur la côte ouest d’[[Adari]] sous couvert d’une nuit nuageuse. Accostant à quelques kilomètres des ruines maudites et prenant refuge dans les bois entourant la cité perdue, l'artillerie est déplacée en lisière de la forêt, prenant pour cible le '''Solum Adris''', garnison de la '''9e cohorte d’infanterie'''. François ordonne un raid sur le camp d’archéologues au sud du territoire, envoyant sa cavalerie lourde dans la pénombre. L’équipe de chercheurs de l’'''Institut Taspeur''' est prise par sursaut et se voit massacrée, laissant aucun survivant. Le camp est détruit, et pas plus d’une heure plus tard, les cavaliers remontèrent vers le nord-est des terres d’Adari, leur destination étant la route reliant le solum Adris aux terres de Lyndaë, François espérant pouvoir couper la fuite de la cohorte dominienne une fois les combats commencés.  ==== Bataille du Solum Adris==== A l’aube du 60 Nérévard, François ordonne le siège du fort, bombardant la structure depuis les bois, réveillant de force les soldats sur place. La 9e d’infanterie était en sous-effectifs de 3 centuries, et les renforts n'étaient pas prévus pour plusieurs semaines. Le bombardement continua pendant près de 3 heures, laissant le temps aux forces d'infanterie de Varnel de s’approcher sans contre-attaque majeure, les arbalétriers dominiens ne prenant pas le risque de se montrer sur les créneaux. Autour de 10h30, l’entrée du fort est forcée à coup de bélier, et les templiers pyriste se lance dans la mêlée contre les hallebardiers dominiens. Les forces pyristes sont repoussées, et les hallebardiers, sous couvert d’une nuée de carreaux, réussissent à former leurs lignes à l’entrée du fort. La chorale divine est remise en marche, ciblant les lignes néo-dominienne. La Première Lance [[Astoria Akunthil]] ordonne le départ immédiat d’une vingtaine de cavaliers légers en ordonnance vers les terres de Lyndaë, demandant un soutien militaire immédiat. Vers 12h30, pendant que les forces de la 9e se renforcent à l’abris de l'artillerie dans les confins du solum, les messagers sont interceptés par la cavalerie varnelite. Des 20, 1 seul réussit à échapper l’embuscade, continuant sa route vers le fort Croisillon à Lyndaë. Vers 15h, la chorale divine s’arrête, réalisant la futilité du bombardement continu, et avec le retour de cavalerie varnelite annonçant l'échappée d’un cavalier néo-dominien, François ordonne le replis temporaire de ses forces, préparant une reprise du siège du fort pendant la nuit. Le messager faisant bonne route, François estima que des renforts arriveraient endéans les 3 jours, et voulait assurer que les forces de l’alliance ne puissent solidifier leur position sur le moyen terme. L’objectif était donc de neutraliser le fort. ''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille de la Baie des Martyrs====''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille du Fort Estelle====''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille de Valcourt====''en cours de rédaction, coming soon™''====Bataille de Malenque====''en cours de rédaction, coming soon™''
=Organisation et Structure=
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