Guerre de la Seconde Coalition

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Guerre de la Seconde Coalition
Informations générales
Dénomination "La 2e guerre de coalition"
Description La guerre de la seconde coalition est un conflit armé ayant opposé les forces du Consulat de la Garde à l'alliance coalisée suite à la guerre des Titanides.
Date An 310/311 du Calendrier Erachien
Lieux Continent d'Oldmont
Issue Victoire de la Garde Volontaire
Belligérants
Blason garde.png Garde Volontaire
Saint-empire d'Oster
Empire de Kislev
Royaume de Cerdène
Commandants
Mar. Ghideon Zorn
Mar. Pencroff
Gen. Wendy Marvel
Gen. Thalkion
Gen. Jihair
Gen. Darkalne
Gen. Suljii
Gen. Daugier
Gen. de la Faye
G. Boniface de Listry †
Alignement
Consulat de la Garde
Alliance de la 2e coalition
Forces en présence
175 000 hommes
à compléter
Pertes
à compléter
à compléter,
Personnages Illustres
Ghideon Zorn
Pencroff
Thalkion
Wendy Marvel
Jihair
Darkalne
Suljii
Amédée IV
Katarina de Vovaisk
François II
Batailles
Batailles terrestres Invasion de la Cerdène (310) :
Prise de Dravin, bataille de Donetry, prise Greves, bataille de Gremur, prise de Turain
Batailles navales


La guerre de la seconde coalition est un conflit armé de grande échelle ayant opposé les forces de la Garde Volontaire à l'alliance coalisée des empires d'Oster et de Kislev. Cette guerre a ébranlé le continent d'Oldmont pendant plus d'un an, entrainant trois campagnes successives des forces de la garde sur ce continent qui leur était presque intégralement hostile.

Ne pouvant compter sur des soutiens locaux et se méfiant des alliances de circonstance, la garde déploiera dans cette guerre toute l'étendue de ses capacités stratégiques, logistiques et tactiques

Contexte

Carte du continent d'Oldmont.

Situation politique à Oldmont

En l'an 300, Oldmont est dominé par trois empires : Kislev, Oster et Hohen. Ces trois factions se sont érigées au rang d'Empire depuis plusieurs siècles et ont régné par les victoires militaires. Les trois dirigeants contemporains de ces Empires, la Tsarine Katarina, le Saint-Empereur François II et la Reine Louise de Hohenburg dirigent dans une confiance absolue leurs états. Pour autant, la stabilité sur le continent apportée par le rapport de force entre ces trois puissances rend les opportunités militaires moins nombreuses, et met en évidence l'incapacité de ces dirigeants à gouverner en temps de paix.

La Campagne d'Auersdatte menée par le Maréchal Pencroff en 278 renverse la situation politique du Nord d'Oldmont en fragilisant la Confédération des Kosacs, qui est envahit par son voisin du Sud, le Royaume de Folketing. Cette soudaine campagne éclair prend de court les empires d'Oldmont, qui cherchent à trouver la provenance de cette force militaire inconnue. En effet, s'ils ont connaissance de l'existence de l'Empire Stendelien, la Garde Volontaire, surtout active au Sud jusqu'à peu longtemps, leur reste méconnue. Les dirigeants de l'époque mettent sur pieds des missions de renseignement pour en apprendre plus.

Quelques années plus tard, en 299, le Général Thalkion mène la Campagne d'Aboukyr au Sud d'Oldmont, où il défait le califat éponyme. Cette nouvelle intrusion de la Garde sur Oldmont met en alerte les puissances du continent. Pour autant, entre leurs renseignements et les informations issues de cette campagne, ils estiment la Garde à une force armée comptant environ une centaine de milliers d'hommes : à peine les effectifs militaires réguliers d'un des trois Empires. Leurs dirigeants émettent alors l'idée d'une invasion conjointe vers le Sud pour y établir des colonies et rallier le soutien populaire par le soutien à une guerre lancée contre les 'Envahisseurs du Sud' ayant à deux fois perturbés la vie sur Oldmont.

Situation opérationnelle de la Garde

Depuis la grande réforme de l'an 300, la garde volontaire se trouve à un niveau de préparation et d'opérabilité jamais égalé dans son histoire. Durant cette décennie, elle a vu ses effectifs s'agrandir de non moins de deux corps d'armée supplémentaires, sans compter l'ajout d'un bataillon entier à tous ses régiments de ligne. Les effectifs sont plus nombreux et mieux organisés que jamais, et les rangs comptent en leur sein de très nombreux vétérans affichant plusieurs campagnes à leur actif.

En outre, l'encadrement de la garde est lui-même hautement opérationnel et aguerri, et ne demande rien de mieux qu'une occasion de mettre en pratique ses nouveaux outils et ses nouveaux moyens.
Bien que le moral et le niveau de confiance soit haut, les généraux de l'état-major n'en restent pas moins circonspects et méfiants vis-à-vis des menaces extérieures, dont l'expérience a montré qu'elles pouvaient toujours créer la surprise.
Pour cette raison, en plus de ses forces combattantes, la garde a développé durant toute la décennie de vastes moyens de renseignement, en réformant ses unités d'exploration et en développant son maillage de gendarmerie.

L'an 310 est donc, à l'insu de ses ennemis, le pire moment imaginable pour entrer en guerre avec la garde.

Carte du continent d'Oldmont, zoom fait sur les empires centraux.
Ile et terre capitale de la Cerdène.

Déroulement

Avant-guerre et tensions

Ayant eu vent des velléités belliqueuses de la coalition, l'état-major général de la garde décide, en 309, de déployer les demi-brigades d'exploration sur le continent d'Oldmont.
Plusieurs mois durant, les bataillons et groupes-francs effectuent dans le plus grand secret des opérations de reconnaissance, de cartographie, de sabotage, de renseignement humain et de préparations diverses.
Ces mesures préventives réalisées en amont du conflit donnent à la garde l'avantage d'une excellente vue d'ensemble de la situation militaire et politique de ses adversaires, malgré quelques frayeurs pour les chasseurs-éclaireurs déployés seuls si loin de leurs bases.

Début de l'invasion

Depuis l'envoie des demi-brigades d'exploration en 309 sur Oldmont, l'état-major de la Garde a fait mettre l'ensemble de ses corps d'armée sur le pieds de guerre. Ghideon et les officiers du Conseil de l'Ordre savent qu'il n'est qu'une question de temps avant que les empires centraux d'Oldmont ne scellent leur coalition et montent une expédition vers l'Empire. Cette possibilité leur est inacceptable : même en cas de victoire de la Garde, elle laisserait sur Stendel un sillage de morts. Il est décidé de frapper l'ennemi au moment propice chez lui.

Dès début Tronvard, la Garde disperse des appels aux volontaires pour remplir au maximum les bataillons de dépôt de ses régiments, et lance une conscription dans ses préfectures et les villages du Sud de Stendel. De Pénavard à fin Nérévard, les effectifs des corps, complets, sont entrainés.
L'état-major lui, fixe un plan stratégique pour la guerre. Les chefs de corps en informe leurs officiers : le départ est fixé à fin Fifrelune 310. Une missive pour le général Malmaison est envoyée le 2 Pampélune 310 l'informant que la Garde partait en guerre et de la marche qu'il devait suivre.
Depuis milieu Fifrelune, l'ensemble des corps d'armée sont stationnés entre Férincs et le Refuge de Pan. Le 13 Mimélune, ils quittent tous à l'exception du 5e corps leurs camps pour le Nord et franchissent la frontière impériale.

Logistique de guerre

La doctrine militaire adoptée par la Grande Armée est celle du mouvement et de l'offensive. L'état-major veut des corps d'armée mobiles, et il est donc nécessaire de les alléger au maximum. Il est donné à charge de l'intendance de 'suivre', et d'organiser des dépôts à chaque étape pouvant fournir matériel et nourriture. Si l'organisation des dépôts et ressources est une affaire simple en terre impériale, elle ne l'est plus hors de l'Empire. En sol impérial, deux cœurs logistiques sont installés l'un au Refuge de Pan, où transitent l'ensemble des ressources acheminées du Sud, et l'autre à Férincs, d'où partent les navires pour aller sur Oldmont.
L'état-major, une fois la prise de l'île de Cerdène, souhaite en faire le cœur logistique sur Oldmont, pour redistribuer le matériel sur les deux théâtres prévus.

Sur Oldmont, l'intendance est chargée d'organiser des dépôts sur les traces des corps d'armée, qui devront être fournis en matériel et nourriture. Pour cela, outre l'approvisionnement de Stendel, ils sont chargés de fournir ces dépôts par tous les moyens à disposition sur place : achats et perquisition. Poudre, boulets, balles, armes, souliers, uniformes, rien ne doit manquer et l'ensemble des usines et magasins des préfectures et territoires de la Garde sont mobilisés : le Consulat entre en économie de guerre. Les provisions en nourriture sont elles pensées uniquement pour alimenter les corps quand le pays ne suffit pour en nourrir tous les effectifs, ce cas pouvant arriver lorsque plusieurs corps se retrouvent trop proches.

Afin de remplir constamment les régiments pour combler les pertes humaines, des bataillons de conscrits et volontaires sont envoyés sur Oldmont. Il est prévu qu'ils rattrapent les corps en passant par les dépôts de l'armée, auxquels ils servent de garnison temporaire.
Dans cette stratégie de logistique de l'armée, la flotte de la Garde et son amiral Wariow jouent un rôle clef. Les convois étant maritimes, il est à leur charge d'assurer qu'ils parviennent à bon port.

Débarquement de Claircelune 310

Campagne de Hallstatt

Campagne de Cerdène

Campagne d'Oster

Conséquences

Pour le consulat

Pour la coalition

Pour le continent d'Oldmont

Forces en présence

Garde Volontaire

Etat-major général de la Grande Armée
Commandant en chef : 1er Consul Zorn
- Chef d'état-major de l'armée : Général Wendy Marvell
- Inspecteur-Général : Maréchal Pencroff
- Commandant de l'Artillerie : Général de Division Songis
- Commandant du Génie : Général de Division Chasseloup
- Commandant de la Gendarmerie : Général de Brigade Jacquin

Effectifs de la Grande Armée
- 199 bataillons
- 105 escadrons
- 173 231 hommes (+ états-majors + parc d'artillerie) dont :
--> 117 314 (+ 23 339) fantassins
--> 22 177 (+ 5532) cavaliers
--> 4539 artilleurs
--> 330 mages

Liste des unités déployées

Corps de la Garde Consulaire, commandé par le 1er consul Zorn.
Effectifs du corp: 8610 fantassins, 3780 cavaliers, 1250 artilleurs, 50 canons, 10 obusiers
- Etat-major général de l'armée
- Division de la Vieille-garde
- Division de la Jeune-garde

Corps de cavalerie, commandé par le maréchal Pencroff.
Effectifs du corps: 7 210 cavaliers, 116 artilleurs, 8 canons, 4 obusiers
- 1ère division de cavalerie
- 2e division de cavalerie
- 3e division de cavalerie

1er corps d'armée, commandé par le général Jihair.
Effectifs du corps: 22 300 fantassins, 2 500 cavaliers, 492 artilleurs, 28 canons, 12 obusiers
- 1ère division d'infanterie
- 2e division d'infanterie
- 1ère brigade de cavalerie
- 1er bataillon d'exploration (attaché comme avant-garde)

2e corps d'armée, commandé par le général Thalkion.
Effectifs du corps: 24 530 fantassins, 2 500 cavaliers, 548 artilleurs, 30 canons, 12 obusiers
- 3e division d'infanterie
- 4e division d'infanterie
- 2e brigade de cavalerie
- 2e bataillon d'exploration (attaché comme avant-garde)

3e corps d'armée, commandé par le général Darkalne.
Effectifs du corps: 20 800 fantassins, 3 300 cavaliers, 500 artilleurs, 28 canons, 12 obusiers
- 5e division d'infanterie
- division d'infanterie de montagne
- 3e brigade de cavalerie
- 3e bataillon d'exploration (attaché comme avant-garde)

4e corps d'armée, commandé par le général Suljii.
Effectifs du corps: 26 760 fantassins, 1 680 cavaliers, 548 artilleurs, 30 canons, 12 obusiers
- 6e division d'infanterie
- 7e division d'infanterie
- 4e brigade de cavalerie
- 4e bataillon d'exploration (attaché comme avant-garde)

5e corps d'armée, commandé par le général Daugier.
Effectifs du corps: 15 440 fantassins, 1 680 cavaliers, 588 artilleurs, 32 canons, 12 obusiers
- 8e division d'infanterie
- 9e division d'infanterie
- 5e brigade de cavalerie
- 5e bataillon d'exploration (attaché comme avant-garde)

6e corps d'armée, commandé par le général Drouot.
Effectifs du corps: 15 440 fantassins, 1 680 cavaliers, 588 artilleurs, 32 canons, 12 obusiers
- 10e division d'infanterie
- division d'infanterie étrangère
- 6e brigade de cavalerie
- 6e bataillon d'exploration (attaché comme avant-garde)

Ordre de bataille

Avant-Garde
Commandant: Maréchal Pencroff
- Corps de cavalerie

Première Armée
Commandant: Premier Consul Zorn
- Corps de la Garde Consulaire
- 1er corps d'armée
- 2e corps d'armée
- 3e corps d'armée
- 4e corps d'armée

Deuxième Armée
Commandant: Général Thalkion
- 5e corps d'armée
- 6e corps d'armée

Alliance coalisée

Saint-empire d'Olster

Armée de Cerdène
(d'abord 70 000 hommes, puis 40 000, armée humaine, troupes levées en Oster)
Au début de la guerre, cette armée est pensée comme le 1er pivot du théâtre. Les généraux Osteriens s'attendent à une attaque majeure de la Garde par la Cerdène.

Armée de l'Ouest
(60 000 hommes, armée principalement humaine (quelques nains et elfes))
Initialement, 45 000 hommes envoyés d'Oster, dont une colonne de nains, renforcés rapidement par 15 000 hommes levés dans les états vassaux de l'Empire (à l'arrivée de la Garde, les levées dans ces états auraient du être le double, mais les états vassaux, peu enclins à la guerre et ses raisons, prirent leur temps).

Armée de l'Est
(35 000 hommes, levés dans les pays vassaux de l'Est et en Oster)
Armée assignée à la défense de la frontière Sud de l'Empire. A ce moment là, Oster est pense à une possible poussée de la Garde par le territoire Bursan.

Armée du Centre
(25 000 hommes, armée de réserve)
Armée la plus tardivement levée, elle est d'abord pensée comme renfort à celle de Cerdène après la nouvelle de la chute de la capitale du pays (île prise par la Garde), puis envoyée vers les états de l'Est suite au débarquement de la Garde.

Empire de Kislev

Trivia

Citations

- "Voici venir le temps du sang et de la poudre, voici venir le temps de la folie et du mépris."
1er Consul Zorn, à la veille de la guerre.