Au début du 4e siècle, François Varnel entre dans la [[Guilde des Explorateurs]] comme novice, et commencera à se faire connaître dans les rangs de la guilde pour sa ferveur lors de chasses aux gobelins. En 305, il sera gradé quartier-maître explorateur, et forma sa propre escouade, qu’il nommera succinctement '''l’Escouade de Varnel'''. François fera sa mission principale d’assurer que son escouade devienne la plus connue de l’Empire, surpassant des groupes comme la [[5e Exogile]] du [[Néo-Dominion]], mais sans jamais atteindre la renommée des escouades des '''Sentinelles'''. Néanmoins, la réputation de l’efficacité de son escouade se répandit rapidement, et de nombreuses demandes de service à la guilde la nommait spécifiquement.
En 312, lors d’une mission en bordure de la forêt de '''Fanghorn''', l’escouade fit la découverte d’un artefact dans les ruines d’une [[La Chapelle|chapelle]]. L’artefact, nommé plus tard le Lex Imperatorum, était une tablette de pierre sur laquelle étaient inscrits différentes doctrines et préceptes, ainsi que les coordonnées d’autres fragments. François fit de la collection des fragments sa nouvelle mission principale, et au fur des années, devint convaincu qu’il s’agissait de reliques divines écrites par les Empereurs en personnes. L’escouade se transforma lentement en une formation plus inquisitoriale qu’exploratrice, servant ce qu'il était convaincu d'être la voix des empereurs.
Conformément aux doctrines du Lex Imperatorum, les missions de guildes entreprises par l’escouade se focalisèrent sur l'élimination aveugle de créatures et monstres interférant avec la vie de citoyens humains impériaux, favorisant l’exécution sans distinction au dialogue. Ces actes de violence gratuite et ainsi que leur position devenue radicale sur des sujets touchant la morale reçurent des réponses mitigées, certains soutenant les exécutions de masses, tandis que d’autres, notamment les représentants de la 5e Exogile, s’opposèrent au massacre sans justification.