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Férincs

856 octets ajoutés, 15 avril
{{Infobox Projet de Minefield
| image = [[Fichier:Logo ferincsBlason Ferincs.png]]
| alias = Le marquisat de Férincs
| description = Férincs est un marquisat situé à la frontière Nord de l'empire.
En 340, le Bourg des Bruyères fait peau neuve et se dote de nouveau logements lui permettant d'accroitre sa population. Cette hausse de l'offre immobilière permet de loger les nombreux candidats à l'installation dans le marquisat, dont la liste s'était sensiblement allongée.<br>
En outre, les travaux d’aménagements du bourg en font une plaque tournante de la pèche et du commerce, grâce à la mise en place d'un nouveau port commercial qui vient compléter celui de Port-aux-chats.<br>
 
En Lériloa 345, le [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#6e_Corps_d.27arm.C3.A9e|6e corps d'armée]] est déplacé dans la [[Région Militaire Septentrionale]] et toutes les unités du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#4e_Corps_d.27arm.C3.A9e|4e corps d'armée]] sont délocalisées dans la [[Région Militaire du Coeur]] au sein du [[Refuge de Pan]].<br>
La [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#7e_Division_d.27infanterie|13e Brigade d'infanterie]] et ses 3 régiments est remplacée par la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#10e_Division_d.27infanterie|10e division d'infanterie]] et ses 4 régiments.<br>
Le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#7e_r.C3.A9giment_de_Hussards|7e régiment de hussards]] est également délocalisé au Refuge de Pan, ne laissant au marquisat que les régiments de la Brigade de Cavalerie comme forces montées.<br>
== Géographie ==
=== Population et démographie ===
En 340, la population de Férincs était de quelques '''26 000''' âmes civiles auxquelles s'ajoutaient quelques '''7 7008 590''' militaires dont 6 400 7 320 soldats de la [[Garde Volontaire]] et 1 270 cavaliers de la '''Brigade de Cavalerie de Férincs'''.<br>
On compte donc '''11 440''' habitants à Port-aux-chats, '''6 760''' habitants au bourg des Bruyères, '''4 160''' habitants au bourg de Félicie et '''3 640''' habitants dans les campagnes.<br>
Parmi les habitants de Férincs, 94% étaient de nationalité Stendelienne, tandis que 6% étaient issus de nations étrangères principalement situées au nord de Stendel.<br>
On comptait également 53% de femmes pour 47% d'hommes, les proportions revenant peu à peu à la normale depuis 277.<br>
Toujours d'après ce recensement, 25% de la population a mois de 50 ans, 18% de la population a entre 50 et 100 ans, 21% entre 100 et 150 ans, 20% entre 100 et 150 et 16% a plus de 150 ans.<br>
Enfin, avec l'agrandissement du marquisat et l'incorporation de deux localités; on comptait 57% de la population résidant au sein du bourg de Férincs, pour 16% de la population résidant dans le bourg de Félicie, 12% de la population résidant dans le hameau des Bruyères, et 14% de la population résidant dans la campagne.<br>
Parmi les habitants de Férincs, 97% étaient de nationalité Stendelienne, tandis que 3% étaient issus de nations étrangères principalement situées au nord de Stendel.<br>
On comptait également 55% de femmes pour 45% d'hommes, observant ainsi un léger déséquilibre expliqué, en partie, par le fait que les hommes de la région sont plus facilement amenés à partir aux armées où à l'aventure.<br>
Toujours d'après ce recensement, 30% de la population a mois de 50 ans, 17% de la population a entre 50 et 100 ans, 19% entre 100 et 150 ans, 20% entre 100 et 150 et 14% a plus de 150 ans.<br>
Enfin, avec l'agrandissement du bourg des Bruyères et l'augmentation du nombre d'habitations; on comptait 44% de la population résidant au sein du bourg de Port-aux-chats, pour 26% de la population résidant dans le bourg des Bruyères, 16% de la population résidant dans le hameau de Félicie, et 14% de la population résidant dans la campagne.<br>
On comptait alors 11 440 habitants à Port-aux-chats, 6 760 habitants au bourg des Bruyères, 4 160 habitants au bourg de Félicie et 3 640 habitants dans les campagnes.<br>
De par leur formation initiale de gardes volontaires, les soldats de ces régiments adoptèrent rapidement leurs nouvelles missions d'ordre public, en plus de leurs missions habituelles de défense et de patrouilles sur les routes, chemins et frontières.<br>
En 296, souhaitant réinvestir la population de Férincs de sa sécurité et à la demande de cette dernière, le maréchal Pencroff recrée une unité de garde locale sur le modèle des gardes préfectorales du consulat. Il doute dote cette unité de pouvoirs judiciaires similaires à ceux des gendarmes, et la nomme '''Maréchaussée de Férincs'''.<br>
En 321, le 19e régiment d'infanterie de ligne est relevé de sa mission Férinxienne, et regagne le reste des unités du 2e corps d'armée à Tolwhig.
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