Modifications

Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Campagne Verte

62 208 octets ajoutés, 1 août 2023 à 23:58
aucun résumé de modification
La fin de la campagne met un terme à "la menace verte" pressentie par le Général Zorn en 242 lors de la Bataille Verte, ayant vu la Garde se heurter à une force de reconnaissance ennemie. Commencée par l'embuscade et le presque anéantissement du bataillon d'exploration le 2 Tronvard 258, elle mène au déploiement d'une force initiale d'environ 23 400 impériaux à plus de sept-cents kilomètres de chez eux pour trois mois.
{{Infobox/Début}}Conflit Militaire{{Infobox/Titre|{{{lieu|{{PAGENAME}}}}}|AEC2DC}}dénomination = "Invasion de la Cerdène"{{Infobox/Image|{{{image|}}}|{{{légende|}}}|{{{taille image|220}}}|{{{légende|Illustration.}}}|||Fiction}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Description|description = La campagne Verte est une série d'opérations au-delà des frontières impériales opposant la [[Garde Volontaire]] aux forces orques de '''l'Union des clans'''.{{{description|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Lieux|Royaume de Belvy{{{lieux|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Periode| date = De Tronvard de l'an 258 à Fifrelune Pampélune de l'an 259 du [[Calendrier Erachien]]{{{periode|}}}}}lieux = Royaume de Belvy{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Belligérants|issue = Victoire de la [[Garde Volontaire]], [[Corps * Traité des Maréchaux]], Royaume Valeureux* Opération de Belvy, Union des clans{{{belligérants|}}}}}la Sape{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Commandants |* [[Ghideon ZornCampagne de la Maur'Ya]] {{{commandants|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Alignement|Impérial, Extérieur{{{alignement|}}}}}{{Infobox/Ligne mixte optionnelle|Forces en présence| '''Corps d'armée "l'Infernal" ''' :27 270 <br>
'''|belligérants={{{!}} style="width:100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} [[Fichier:Blason_garde.png|sans_cadre]] [[Garde Volontaire]]<br>[[Corps des Maréchaux]]<br>Royaume de Belvy{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} Union des Clans''' clans<br/>{{!}}} |commandants={{{!}} style="width: ~ 110 000 100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} Mar. [[Ghideon Zorn]]<br/> Gén. Lannes<br> Gén. Degole<br>Gén. Rollet{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {Forces{!}} Chef de guerre Bugrol <br/>{{!}}} |alignement={{{!}} style="width:100%;"{{!}}style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}}Impérial<br/>{{Infobox!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} Union des clans<br/Ligne mixte optionnelle>{{!}}} |Issueforces={{{!}} style="width:100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}} 27 270 hommes<br/>{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} ~110 000 orques<br/>{{!}}} |Victoire de la Gardepertes={{{issue|!}}style="width:100%;"{{!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0.1em 0.2em 0; text-align: left;" {{!}}?? morts<br/>{{Infobox!}} style="width: 50%; padding: 0.2em 0 0.2em 0.1em; text-align: left;" {{!}} 98 000 morts<br/Ligne mixte optionnelle|Batailles>7 000 prisonniers{{!}}} |batailles terrestres = Bataille de la Grande Botte<br>
Bataille des Colonnes <br>
Bataille des Cendres <br>
Bataille de la Vallée Rouge
{{{gentile|}}}}}{{Infobox/Notice|Infobox Campagne Militaire|AEC2DC}}{{Infobox/Fin}}
= Contexte =
Le 47 Tronvard 258, neuf hussards rentrent sur Fort Herobrine : ce sont les uniques survivants du bataillon d'exploration. Le Général Zorn leur fait rendre les honneurs au commandement de Fort Herobrine, où défilent tour à tour les troupes casernées dans le désert, suivies de la Garde d'Elite. Le hussard le plus gradé, un maréchal-des-logis, est nommé Commandant du bataillon. Les huit autres sont promus officiers et assignés comme cadres. Il leur est confié de reformer le bataillon sous trois semaines. Le Général Zorn a lui enfin retrouvé la trace des orques qu'il recherchait. Il écrit à son second, le Général [[Thalkion]].<br>
''Nous ne pouvons laisser cette menace orque persister plus longtemps. Les massacres qu'elle a mené dans le Sud ne peuvent être laissés impunis et pire encore, réitérés sur les terres impériales. Je vais ordonner la mobilisation d'un corps d'armée de campagne. Il sera la plus grande force armée que n'ayons jamais mise à l'œuvre. J'en prendrai personnellement le commandement et je vous confie à vous, mon ami, la direction de la Garde en mon absence. Le Maréchal Pencroff saura vous assister si le besoin ds'en fait sentir.''<br>
Deux jours plus tardLe lendemain, le massacre du bataillon d'exploration est affiché à la une du journal de l'Armée et indigne les troupes. Le lendemain Deux jours plus tard, est transmis l'ordre de mobilisation d'une partie des troupes terrestres pour la création d'un Corps d'Armée : l'Infernal.La division Glavallis, la brigade de la Vieille Garde et une partie de la réserve sont mobilisées, et reçoivent l'instruction de rejoindre Fort Herobrine. A côté, le Général Zorn fait également mettre sur le pieds de guerre une partie du [[Corps des Maréchaux]] : sa division et quelques régiments de cavalerie du Maréchal [[Pencroff]].<br>Après plusieurs jours de marche pour une partie des troupes, l'ensemble du Corps est réuni le 61 Tronvard 258. Les jours suivants officiers sont consultés, les cartes étudiées, et les ordres de marche et de bataille sont transmis. La chaîne logistique est préparée avec minution sous la supervision du général Berthier. Approvisionner des troupes situées à des centaines de kilomètres est sans doute le plus grand défi de la campagne. Enfin, le 9 Pénavard, l'Infernal quitte Fort Herobrine aux sons du "Chant du départ" et de "l'Empire est éternel".<br>
== Secours du royaume de Belvy ==
=== Traversée du Col des Hommes sans Peur ===
A la sortie du territoire impérial par le Sud, l'absence de routes sur le chemin de l''{Infernal se fait sentir, et ralentit sa progression. Malgré cela, 1e 31 Pénavard, il arrive en cours contrebas de rédaction}'''Pour déboucher au plus vite sur les terres cibles la Chaîne des Titans après avoir marché pendant vingt-deux jours. Les deux divisions du Corps sont séparées de dix kilomètres, et la Campagneréserve elle, le est stiuée derrière à cinq kilomètres. Le Général-en-chef Zorn prend la décision de traverser par sait que contourner cette chaîne montagneuse lui prendrait au moins un mois, et ne l'a donc pas fait. Il veut repérer des cols, et les montagnesemprunter. Des hussards sont envoyés en repérage et le lendemain, trois cols sont jugés praticables. <br><br>Le corps d34 Pénavard, les troupes reçoivent l'armée emprunte trois instruction de traverser les colsdes Braves, des Hommes sans Peur et des Vaillants, ainsi nommés de manière à pour les encourager . Les canons sont démontés et installés sur des luges en bois tirées par des cordes. Des hussards sont envoyés dans chaque col les gardes à traverser, signaler les possibles obstacles puis sont chargés d'atteindre les emprunterplaines de l'autre côté et d'y faire de la reconnaissance. Engagé dans le col des Hommes sans Peur, le Général Zorn galvanise ses hommes et avance en tête de la colonne. En peu douze jours, les massifs sont traversés. Seuls sept gardes y auront trouvé la mort, enlevés par un éboulement de tempsrocs. Ainsi, vingt kilomètres de montagnes sont franchisle 46 Pénavard 258, et la Garde gagne l'Infernal s'engage sur le territoire du royaume de précieux joursBelvy.
=== Combats de Tamur ===
'''{en cours de rédaction}'''
Rencontre entre l'arrière garde orque et l'avant-garde de la 1ère division, composée de voltigeurs, carabiniers et grenadiers. Les voltigeurs tiennent à distance les assauts orques et les repoussent, avant que des colonnes 'rouge' (de grenadiers et carabiniers) s'emparent du village à la baïonnette.
=== Bataille Le 47 Pénavard, des éclaireurs de la Grande Botte===première division rencontrent un détachement orque en marche vers le Sud. Ce détachement est rapidement identifié comme une arrière-garde, et pris en chasse par l'avant-garde de la division constituée de mille voltigeurs, huit cents grenadiers et deux cents carabiniers. A leur tête, le Général de la 1ère brigade Lecourbe rattrape l'ennemi le 48 à un petit bourg : Tamur. L'état de ruine du bourg confirme la présence d'{une plus grande force orque plus au Sud. Lecourbe, en cours connaissance de la supériorité physique des peaux-vertes, fait détacher ses voltigeurs en compagnies pour entreprendre une manœuvre de rédaction}tiraillement aux abords du bourg. <br> A 14h l'assaut est donné et les tirailleurs avancent. Ces habiles tireurs fauchent pendant de longues minutes tout ce qui se trouve devant eux et ne manquent pas de reculer à chaque tentative de charge de l'adversaire. La masse orque, éclaircie et rendue inoffensive se replie sur Tamur même après trente minutes d'La Garde rattrape échecs. Leur chef, Mork (ou Gork selon les sources des combattants) veut forcer les gardes à entrer dans le bourg où il pense dominer au combat au corps à corps. Cette erreur coutera la Horde vie du reste de l'arrière-garde orque. Une des erreurs communes des Crocs ennemis de la Garde est de penser que ses forces sont uniquement constituées d'Acier humains. Or, Lecourbe fait mettre ses grenadiers et carabiniers en route pour trois colonnes, avec à la tête de chacune une compagnie de chimères : "La Meute", hommes-loups de la capitale 2e de grenadiers du royaume 7e de Belvyligne, "Les démons du Nord", hommes-ours de la 1ère de grenadiers du 4e de ligne et sa cavalerie légère " ", hommes-reptiles de la force 2e de carabiniers du 1er léger. Les colonnes se mettent en marche à faire volte fasse 14h50, Lecourbe et les officiers en tête. Quand les premiers orques se ruent sur elles, c'est en levant la tête qu'ils découvrent alors l'harcelantennemi qu'ils affrontent. La Tamur est nettoyé à la baïonnette en moins d'une heure. Les fuyards orques sont cueillis par les voltigeurs déployés autour du bourg.<br> === Bataille de la Grande Botte === A la suite des combats de Tamur, un détachement de hussards et dragons (1er bataillon du 1er de hussards et du 1er de dragons) est formé et chargé de rattraper la horde orque plus au Sud et de la ralentir. Plusieurs charges sont menées. A quelques reprises, les dragons sont démontés et tiraillent l'arrière orque. Après deux jours d'harcèlement, le 49 Pénavard, les orques cessent leur mouvement pour faire face aux troupes de la Garde.<br>  A 18h à cinq kilomètres au Nord, Zorn fait positionner la première division prend elle en même temps position sur le plateau de la Grande Botte. Au rapprochement La deuxième division est elle arrêtée derrière la forêt de Ture, à cinq kilomètres au Nord-Ouest. Ghideon veut faire croire aux orques leur nette supériorité numérique. A 21h, alors que la Horde horde orques'avance en direction du plateau, il ordonne le Maréchal Zorn départ de celui-ci et fait abandonner le plateaureculer à deux kilomètres au Nord la première division. Les orques en prennent possession, assurés que ce mouvement était un début de repli. <br>  La première brigade (brigade Lecourbe) est séparée dans les villages de Socole et positionner Tèle à l'Ouest. Son artillerie est gardée au centre. La deuxième brigade (brigade Desaix) est placée au centre, appuyée par la 1ère brigade de la 2e division en face(brigade Wakouna), appelée en contrebasrenfort lors du départ du plateau. La deuxième division troisième brigade (brigade Ney) elle est dissimulée plus loinpositionnée sur l'aile gauche, à l'Est, aux environs du village de Santon. Enfin, la réserve, composée de la brigade de réservistes tolwhigiens (brigade Lamarque), de la 1ère brigade de cuirassiers (brigade Nansouty) et de la Vieille Garde est gardée derrière le centre. La Horde pense 2e et 3e brigade (brigades Bondaulde et Srajo) de la 2e Division sont chargées d'attendre le lendemain matin, puis de venir se placer en réserve derrière l'aile droite. Celle-ci, défendue par le 1er léger et quelques hussards et chevau-légers a été volontairement dégarnie par Ghideon. Il souhaite que les orques mènent leur attaque en ce point le lendemain. Le plateau moins défendu, il lui suffira alors de le prendre, de couper le dispositif orque en un repli deux. Les orques sont eux formés en trois masses et une avant-garde. <br> [[Fichier:1er_léger_Tèle.jpg|300px|thumb|right|Avancée du 1er léger dans le village de Tèle.]] Le 50 Pénavard, à 5h, une première masse, précédée par l'avant-garde, quitte le plateau et se met en marche vers les villages de Socole et Tèle. Une deuxième tient le plateau avec la Garde dû à son infériorité numériqueréserve orque. Enfin, une troisième prépare l'assaut de l'aile gauche garde pour faire diversion. Prise A 6h, les brigades Desaix et Wakouma avancent sous le couvert du brouillard vers le plateau et se tiennent prêtes à l'attaque. A 7h30, les orques attaquent Tèle. Deux mille peaux-vertes avancent sur le village, défendu par la Hordele 2e bataillon du 1er léger. Les gardes se battent à un contre quatre et repoussent l'attaque. Attaques Un second assaut appuyé de nuit monteurs orques : repousséesest lancé. Attaque Le 2e bataillon du plateau par 2e chevau-légers, placé à l'Estarrière du village le contourne et chargeant lances en main, culbute les monteurs orques et leurs loups et les repousse. Arrivée Le bataillon du commandant Thomas est lui forcé de reculer, mais reprend le contrôle de Tèle dans une contre-attaque à la baïonnette, le Général Lecourbe et ses carabiniers en tête. A 8h, la deuxième division brigade Bondaulde, tout juste arrivée, prend la relève du bataillon léger. La brigade Srajo se positionne derrière Socole. Un troisième assaut est lancé en vain sur Tèle : les orques se heurtent aux deux régiments d'impérial-grenadiers, menés par le Chevalier-Grenadier Bondaulde. A 9h, quelques bombardes orques sont orientées sur le village de Socole et font feu. Trois mille guerriers arrangés en colonnes entre alors le village, qui a été abandonné par le 1er bataillon du 1er léger. Les troupes légères se reforment à l'Ouestarrière puis reprennent le village appuyées par la brigade Srajo. La charge du colonel-général repousse un nouvel assaut. A 9h30, un assaut général orque appuyé par mille monteurs parvient à arracher Socole et Tèle aux gardes, qui prend se disposent en ligne de flanc la horde au matinfeu cent mètres plus loin. Les troupes orques<br>  En parallèle, mal déployéesà 9h45, surprises par Ghideon se place en tête des brigades Desaix et Wakouma et attaque. La surprise est totale chez les orques. Leur centre est enfoncé à la baïonnette aux cris de "Vive l'arrivée dEmpire" et "Vive la Garde". A 10h15, les gardes ont repris le contrôle du plateau et Ghideon y fait installer son artillerie en deux batteries : l'une pointée sur la masse ayant abandonné le plateau, l'autre division (dont sur les villages de Socole et Tèle. La brigade Lamarque rejoint à son tour le dispositif. En face, à 11h30 les orques envoie toute leur réserve à la reconquête du plateau, la nuit avait caché lcohue d'élite de colosses en tête. L'artillerie stoppe leur avancée), puis Ghideon fait charger la brigade Nansouty. La masse orque n'est pas seulement balayée : elle est détruite. Il n'y a plus de centre ennemi, et ses forces sont coupées en deux. Socole et Tèle sont écrasées encerclés par les brigades Lecourbe, Srajo, Bondaulde et Lamarque. Aucun survivant n'y est fait. Sur l'aile gauche, la dernière masse orque parvient à se replier en ordre après avoir repoussé les assauts des brigades Ney et contraintes au repli vers le SudDesaix.<br>A 14h, la victoire de la Garde est totale.
=== La Bataille de la Grande Culbute ==='''{en cours Le 51 Pénavard, après un jour de rédaction}'''Les porusuite, les fuyards de la Horde des Crocs d'Acier sont poursuivis atteints par la brigade Desaix, puis le reste de la division, et du corps. De l'Infernal. Ils sont stoppés au Sud autre côté, leur fuite est stoppée par la cavalerie du le royaume de Belvy. Sa cavalerie, disposée en trois colonnes, charge. Simultanément, le 1er de dragons, les dragons de Filranmel et broyées des deux côtésle 2e de chevau-légers chargent également. Aucun survivant n'La Horde est laisséréduite au néant.<br>
== Percée de Nérévard 258 : l'offensive de Zorn ==
54 Le 52 Pénavard , les troupes de la Garde font une entrée triomphante dans la capitale de Belvy : accord Grandcité. L'état-major rencontre le gouvernement du royaume. Celui-ci remercie avec grâce l'arrivée insoupçonnée de la Garde ayant limité les dégâts de l'intrusion de la horde orque sur le territoire du royaume . Le gouvernement fait une bien belle impression au Général Zorn, qui écrira plus tard :<br> "Ces gens aiment sincèrement leur peuple. Son bien vient avant le leur. Voilà des dirigeants admirables et dévoués. Eux et leurs gens sont à présents mes amis."<br> Le 53 Pénavard, Ghideon va proposer au roi de Belvy --> création de détruire la menace orque dans son intégralité, objectif qui était de toute façon celui initial de la 3e division Garde. En contre partie, il demande à intégrer une partie des troupes de Belvy à son dispositif, et réorganisation de donc sous ordres. Le roi accepte. Le lendemain, le 54, l'accord est officialisé et le Général Zorn revoit son ordre de batailleen y intégrant une troisième division. Durant l'après-midi de la même journée, deux zeppelins atterrissent sur les plaines devant la capitale, envoyés depuis Fort Herobrine. Construits sur Nabes au chantier de l'ancienne Rock's Corp Company, ils permettent à la Garde d'établir des lignes logistiques longues et sécurisées. Des boulets, des balles et de la poudre sont débarqués.<br>Ravitaillement (bouletsLe soir, l'état-major de la Garde et celui de Belvy sont réunis. Ghideon confit alors ses directives pour la suite. Début Nérévard, les trois divisions du corps quitterront Grandcité et marcheront vers le Nord-Ouest jusqu'à Beltour, bastion posé sur l'Inébranlable, ballesseul passage sur ce fleuve servant de nouvelle frontière au royaume humain. La première division empruntera la route principale, poudre) fait par et les deux zeppelinsautres la suivront en parallèle à 40 kilomètres de distance de chaque côté environ. Le Corps traversera ainsi toute la région Centre et Ouest du pays située au Nord des montagnes de la Maur'Ya. Ghideon espère y intercepter une autre partie des forces orques. Il ne lui restera ensuite plus qu'à se diriger vers le lieu de rassemblement orque pour en finir avec cette campagne.<br>L'ensemble du corps part ainsi le 1er Nérévard 258. Beltour est atteint le 4. Le 5 au soir, le corps est déployé de l'autre côté de l'Inébranlable, et se met en marche le 6.
=== Combats de Saulin ===
Le 8 Névéard la brigade Esperey, menée par le général de cavalerie éponyme arrive aux abords des ruines du bourg de Saulin à 14h, au Sud de la route principale empruntée par la première division. Là, des forces orques estimées à environ quatre mille têtes sont trouvées stationnées dans les ruines. Esperey fait faire prévenir l'état-major de la troisième division et déploie sa batterie d''{en cours artillerie à pieds face au bourg. A 14h30, les six bouches à feu de rédaction}'douze livres ainsi que les deux obusiers font feu dessus. Ayant essuyés pendant prêt d'une heure les tirs d'La 3ème division rencontre des troupes orques sur son cheminartillerie, dans les ruines peaux-vertes tentent une sorte du bourg à 15h30 en direction des batteries les visant. Leur assaut est repoussé par les tirs du 2e d'infanterie réserviste, suivi d'une charge sur le flanc gauche du 3e bataillon de Saulincavalerie étrangère. Saulin A 16h, la brigade Esperey est canonné puis pris sous rejointe par la cavalerie et l'assaut artillerie à cheval de la 1ère brigadeSarlovèze. L'infanterie n'est plus elle qu'à trente minutes de marche. La batterie d'artillerie est alors agrandie à dix bouches à feu et quatre obusiers. Esperey fait mettre en colonnes le 2e de réservistes et le 1er bataillon du 3e d'infanterie étrangère. A leur tête, il attaque le bourg. Simultanément, les dragons de Filranmel charge les rues du bourg sur son flanc droit. Les orques sont culbutés et contraints à abandonner le bourg. Presque deux mille sont tués.  [[Fichier:Artillerie_narnin.jpg|300px|thumb|right|Artillerie de la Garde à Narnin. ]]
=== Combats de Narnin ===
Dans la fin d'après-midi du 10 Nérévard, la brigade Wakouma atteint le bourg de Narnin, et s'arrête à un kilomètre de celui-ci. Depuis deux jours, les éclaireurs ont repéré une force orque à proximité de la brigade. N'ayant plus trouvé sa trace depuis le 10 au matin, le Chevalier-Grenadier Wakouma est certain que la masse orque s'est tapie dans les ruines du bourg. Ne souhaitant pas dévier de leur route les brigades Bondaulde et Srajo, il fait prévenir l'état-major de la deuxième division qu'il a les forces nécessaires pour s'occuper de cette menace. Avant d'aller rejoindre le bivouac de ses hommes, il profite de l'obscurité pour s'approcher des abords du bourg accompagné d'une dizaine de hussards-vélites. Au Nord, entre le bourg et le fleuve la Sentinelle, il repère un mince filet de terre d'un peu plus de cinq cent mètres de large. Lui alors vient en tête que se serait l'endroit parfait pour être attaqué en embuscade.<br>Le 11 au matin, la brigade se met en marche sur le filet de terre repéré par la veille. Le 2e bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers est disposé en ligne. Entre lui et le bourg, le 1er de fusiliers avance en colonnes. A côté de ces colonnes, cachées de la vue du bourg par celles-ci, l'artillerie de la brigade (composée de deux pièces de douze et deux pièces de six) se déplace une colonne. A 7h30, comme Wakouma l'attendait, des orques sortent du bourg et attaquent la colonne d'infanterie. Mise en ligne, elle fait feu. Derrière, l'artillerie se déploie. Alors que malgré le feu la nuée orque progresse, le centre de la ligne recule derrière l'artillerie, déployée et chargée à la mitraille. Un seul tir suffit à faire stopper l'{avancée ennemie : il arrache tout son avant. Le bataillon de tirailleurs-grenadiers se dispose sur la droite de la ligne, et ouvre le feu sur le flanc orque. En vingt minutes de combat, les orques débandent en désordre dans le bourg. Ils sont arrêtés par la cavalerie de la brigade, la 4e compagnie de cavalerie "colonel-général" en cours tête, ayant attendue qu'ils quittent les ruines pour y passer et se disposer derrière eux. Les peaux-vertes sont encerclées. A la vue de rédaction}l'avancée des bouches à feu dont elles avaient vu le carnage, elles déposent les armes et se rendent. Il est 8h30, environ deux mille orques sont capturés, et un millier est déjà tombé. Wakouma est stupéfait de voir ce qu'il considérait comme de violents guerriers se rendre après une si mauvaise lutte. Il fait amasser les prisonniers au bord de la Sentinelle et met en place une "grande baignade". Les deux mille orques sont poussés à l'eau. Ceux qui tentent de remonter sur la rive sont attendus à la baïonnette. A 10h, la brigade reprend sa route.
=== Prise de Rampare ===
Le 15 Nérévard, la division Lannes arrive devant Rampare, l'ancienne capitale du royaume de Belvy. Devant les troupes se trouve alors une cité réduite à néant. Les éclaireurs repèrent rapidement la présence d'orques, en grand nombre. Une première estimation est faite à huit mille, mais l'état-major divisionnaire en suppose le double. A 15h, L'artillerie est disposée en deux batteries et ouvre le feu, mais la taille imposante de la ville réduit son utilité et ses dégâts. Le 1er léger ainsi que huit cents voltigeurs tirés des régiments de ligne sont réunis et envoyés tirailler les abords des ruines, le Général Lecourbe à leur tête. Quelques tirs font mouche, mais les orques se cantonnent à leur position conscients des erreurs commises à Saulin et Narnin. A 16h30, le Général Zorn arrive sur le théâtre avec son état-major et le régiment de Vieille Garde à cheval. Un aide de camp du Maréchal rapporte : "Le Maréchal Zorn est arrivé à toute allure, si bien que son cheval, exténué, s'est écroulé de fatigue. S'approchant du Général Lannes, il s'est alors exclamé : "Damnit ! J'ai bien cru que j'allais arrivé trop tard et que tu aurais déjà dévoré toutes ces bêtes. Me voilà rassuré, commençons notre besogne."" Ghideon réunit l'état-major et distribue ses ordres. La division Lannes doit rester devant Rampare. Les combats se poursuivront le lendemain, en présence des deux autres divisions. La 2e et 3e division arrivent respectivement à 22h et 23h30. Elles sont disposées chacune sur un flanc de la ville. Les orques n'ont ainsi plus qu'une voix de retraite, surveillée et prête à être le lieu d'une charge de cavalerie si le besoin venait à se faire. Seule l'artillerie de la division Lannes continue de tirer jusqu'à 1h. Elle couvre ainsi l'arrivée et le positionnement des deux autres divisions. Au matin du 16 Nérévard, à 6h, quand le Soleil éclaire le champ de bataille, le commandement orque est réveillé par le feu& de six batteries d'artillerie et découvre son quasi-encerclement. Sa surprise est bientôt suivie de sa panique après qu'une premier déluge de boulets et obus balaye les ruines. Certains bâtiments, déjà fragilisés, s'écroulent et emportent avec eux des groupes entiers d'orques. A 6h30, la ville est enveloppée d'un nuage de poussière. Chaque division fait alors s'avancer trois colonnes. A l'Est de la ville, le Général Lannes mène le 1er et 2e de ligne, suivis des grenadiers et carabiniers du 4e, du 7e et du 1er léger. Au Sud, le Général Rollet précède les trois régiments d'infanterie étrangère, animés par la ferme volonté de reprendre leur capitale d'origine. Enfin, au Nord-Est, le Maréchal Zorn prend la tête des 1er et 2e impérial-grenadiers et du 2e de fusiliers-grenadiers, suivi du général Bondaulde et après avoir distribué ses dernières instructions.<br> A 7h15, les colonnes avancent. Les tirs d'artillerie et la poussière ayant entourée les ruines rendent leur avancée indécelable. A 7h30, les neuf colonnes se jettent sur la ville, tandis qu'à son arrière, au Nord-Ouest, la brigade Nansouty et le "colonel-général" attendent. Dans les ruines, les orques n'ont pas le temps de réagir. Ils sont culbutés de tous côtés. Les fuyards s'entremêlent, échappent à une colonne pour tomber sur l'autre. Une centaine de monteurs orques réussissent à atteindre leurs montures et tentent une charge sur le 2e d'infanterie. Ils sont percutés à la perpendiculaire par le 2e bataillon du 1er hussard avant d'atteindre leur objectif. A 8h15, les forces orques se regroupent au Nord-Ouest de la ville, et se divisent en deux groupes. L'un sort des ruines par l'Ouest, l'autre par le Nord. Au Nord, les fuyards sont chargés par Nansouty, rétrogradent à nouveau dans Rampare et y sont cueillis à la baïonnette. Environ sept mille peaux-vertes parviennent à s'échapper. Dans la ville, les combats se finissent définitivement à 9h. Quatre mille orques sont morts pendant la bataille. Deux mille blessés sont trouvés, et exécutés. <br> A la fin de la bataille, un aide de camp questionne le Maréchal sur la raison d'une charge à la baïonnette aussi risquée.<br>"Il y a deux façons de battre des orques. La première, la plus innée, est de les tenir à distance. Les tirailler, avancer et reculer des lignes de feu, tirer à l'artillerie. La seconde est de jouer sur leur nature même. Les orques sont des créatures confiantes dues à leurs capacités physiques. Ils inspirent la peur à leurs ennemis, et trouvent un malin plaisir à les charger jusqu'à leur débandade. Aujourd'hui, nous les avons brisés. Immobilisés dans ces ruines, forcés de se cacher pour éviter nos balles et incapables de sortir avec nos canons pointés sur eux, tétanisés à l'idée de faire comme leurs camarades de Saulin et Narnin. Alors voilà qu'au matin, ils sont encerclés, noyés sous des tas de gravas, et chargés à leur surprise de plein fouet. Leur moral a été brisé et la bataille remportée avant même que le premier coup de baïonnette soit donné."<br> A 10h, Les divisions se regroupent. La deuxième engage la poursuite des fuyards, suivie de chaque côté par la première et la troisième. === Batailles Bataille des Morts ===Le 19 Nérévard, la brigade Srajo de la deuxième division arrive à 12h aux portes du Grand Cimetière, à la suite de la masse de peaux-vertes en fuite. Ce lieu, couvert d'armoiries et ossements, est le champ de bataille ayant mené à l'ultime défaite du royaume de Belvy contre les orques, et à la chute de sa capitale. La brigade entre dans le cimetière. Srajo veut attaquer dès que possible les orques présents pour les forcer à l'arrêt. A 12h30, le contact avec l'arrière orque est commencé. La brigade renforce sa position et déploie ses pièces pour tenir les orques à distance. A 13h, toute la masse orque fait demi tour pour attaquer la brigade en nette infériorité numérique. Au même instant, à un kilomètre et demie, les brigades Wakouma et Bondaulde entrent à leur tour dans le cimetière. Pendant trente minutes, Srajo et ses hommes repoussent les assauts des peaux-vertes. Le 1er bataillon du 2e de fusiliers-grenadiers accueille à la baïonnette une charge orque et la repousse. Les hussards-vélites sont lancés à plusieurs reprises sur les flancs orques pour éviter des débordements et l'encerclement de la brigade. A 13h30, Wakouma et Bondaulde déploient leurs brigades respectivement sur le flanc droit et gauche. A 13h45, les 1er et 2e de fusiliers-grenadiers, les 1er et 2e de tirailleurs-grenadiers et le 2e "impérial-grenadiers" forment une longue ligne et font feu. Derrière, l'artillerie regroupe quatorze bouche à feu et est disposée en deux batteries de cinq canons et deux obusiers chacune. A 14h15, des monteurs orques se rassemblent en direction de l'aile gauche. Le général de division Degole fait mettre le 2e de tirailleurs-grenadiers et le 2e impérial-grenadiers en carrés bataillonnaires. Ghideon et son état-major arrivent peu après. A 14h40, les monteurs chargent les carrés et s'engouffrent entre. Ils sont décimés. Les peu d'entre eux qui parviennent à percer et rentrer dans les carrés sont abattus à l'intérieur. A 15h15, les forces orques reculent. Ghideon décide de ne pas les poursuivre. Il pense que les orques attendront la nuit pour partir dans l'obscurité, plutôt que d'être poursuivis à nouveau. C'est ce qu'il se passe. Pour autant, ils ignorent alors que la première et la troisième division sont arrivées vers 18h, et qu'elles encerclent la sortie du cimetière. A 22h30, les peaux-vertes tentent de sortir. Elles sont accueillies par une gerbe de feu. Alors qu'elles tentent de rebrousser chemin, le Maréchal Zorn surgit sur un léger promontoire, sabre en main et s'écrit : "Pour l'Empire ! Tuez les tous !". Il charge alors suivi des deux régiments d'Impérial-Grenadiers. Dans la mêlée, environ deux milles orques parviennent à s'échapper. Les autres sont massacrés.  
=== Bataille des Colonnes ===
Le 19 Nérévard au soir, le corps établit plusieurs bivouacs après la bataille des Morts. Le 20 Nérévard au matin, des hussards sont projetés pour essayer de trouver la trace des fuyards de la veille. Vers 13h, le groupe orque est repéré plus au Nord, le corps se met alors en marche. A la façon d'avancer des orques, Ghideon remarque que ceux-ci semblent se laisser poursuivre. Il en déduit que le corps est conduit vers une nouvelle force orque. Pour autant, en vue des batailles gagnées depuis le début de Nérévard et donc des effectifs ennemis décimés, il estime celle-ci à dix mille peaux-vertes environ, au plus.<br>
 
Après plusieurs jours de poursuite, le 26 Nérévard, le corps atteint à midi le bas d'un ensemble de grandes collines. Les divisions sont arrêtées à quelques kilomètres pour pouvoir au besoin faire tirer l'artillerie sur les pentes. La deuxième division (division Degole) est disposée au centre, la première (division Lannes) sur l'aile droite et la troisième (Division Rollet) sur l'aile gauche. La réserve comme à son habitude est arrêtée derrière le centre. A 13h, de lourds tambours se font entendre par les troupes de la Garde. Peu de temps après, une nuée verte est aperçue à l'horizon et avance. Plus de six mille orques dévalent les pentes des collines, en une épaisse masse. L'artillerie est disposée en trois grandes batteries. A 13h30, une cinquantaine de pièces se tiennent prêtes à faire feu. Derrière, sur le sommet des hauteurs, une nouvelle nuée fait son apparition. C'est plus qu'une quinzaine de milliers d'orques qui s'avancent alors au loin, à la surprise de l'état-major. Sur l'aile gauche, des monteurs orques sont repérés tentant d'approcher la deuxième batterie. Le 2e de chevau-légers, équipé de lances et le 1er de dragons sont envoyés en leur direction. A 13h45, la première nuée orque n'est plus qu'à un kilomètre du dispositif de la Garde, et semble s'amasser pour attaquer le centre. Ghideon veut profiter de son espacement avec le reste des guerriers pour la faire débander, puis se redéployer pour faire face ensuite à la deuxième attaque. Sous les ordres du maréchal, le colonel Pernetti prépare à faire charger la première batterie située au centre à la mitraille, après qu'elle ait tiré de premiers boulets ronds. Le choc est inévitable, l'état-major le sait. Malgré le travail de l'artillerie, la troupe ennemie est trop dense pour être brisée. Ghideon fait alors mettre en colonnes les six régiments d'infanterie de la division Degole. Sur chaque flanc de la division, les brigades Esperey et Ney se préparent à avancer et faire feu sur les cotés ennemis. A 13h50, les chevau-légers du 2e chargent de plein fouet les monteurs orques, lances en main. Ceux-ci sont immobilisés. Derrière, le 1er de dragon se scinde en bataillons. Le premier rejoint la mêlée, et permet le recul des chevau-légers, leur travail de choc étant fait. Les deux autres s'écartent vers la gauche et la droite, et chargent de flanc le groupe orque. Après plusieurs minutes de combat, les monteurs sont débandés. A cinq-cents mètres du centre, le premier groupe orque essuie lui les tirs de la première batterie d'artillerie et est troué de toutes parts. A 14h, il n'est plus qu'à soixante-quinze mètres de la batterie, et des colonnes. Plusieurs orques semblent alors s'avancer. Un aide de camp du maréchal Zorn relate la scène :<br>
 
"La cinquantaine d'orques qui s'avança semblait différente des autres guerriers. Pour seul habit une sorte de tunique, ils portaient des colliers et bracelets d'os. Certains tenaient en main des bâtons. Ils commencèrent à agiter leurs bras, et brailler dans un de ces dialectes incompréhensibles. Nous comprirent plus tard qu'il s'agissait de shamans, de puissants sorciers orques. Qu'importe, leur comportement agaça rapidement le Maréchal, qui fît un signe de tête au colonel Pernetti. Les vingt bouches à feu de la batterie ouvrirent le feu à la mitraille. Des shamans et de l'avant orque, il ne resta rien."<br>
 
A la suite des premiers tirs à la mitraille, les colonnes d'infanterie, menées par Ghideon se mettent en marche. Mise en choc par la perte ridicule de leurs shamans, les plus sages et puissants de leurs tribus, et les tirs d'artillerie, la nuée orque est culbutée en douze points (chaque régiment ayant formé une colonne par bataillon). Ses guerriers débandent sur le moment. Après s'être éloignés, une partie d'entre eux tente de se regrouper. Les régiments d'infanterie des brigades Esperey et Ney ouvrent le feu et achèvent de détruire leur volonté de se battre. Derrière, la seconde nuée orque s'arrête et fait demi-tour. Le commandement orque ne veut pas jeter à nouveau tous ses guerriers, et comprend que les attaques de masse ne fonctionnent pas. Il fait retraiter en pseudo-ordre ses troupes. Il veut tenter de gagner le Sud, poursuivi par le corps l'Infernal, là où toutes les autres hordes se sont déjà amassées. La cavalerie légère élimine une partie des fuyards de la première nuée. A 16h, la bataille est terminée. L'état-major accorde au corps un peu de repos jusqu'au lendemain matin.
 
 
=== Combats du bois des Caures ===
 
[[Fichier:Ghideon_boisdescaures.jpg|300px|thumb|right|Le Général Zorn au bois des Caures.]]
 
 
Le 27 Nérévard à 6h, l'Infernal reprend sa route à la suite de la Horde orque. Le 30 Nérévard, celle-ci s'engouffre dans le bois des Caures, énorme forêt étendue sur des dizaines de kilomètres. Arrivé à son orée, la troisième division forme une avant-garde et fait rentrer son infanterie. Le reste de la division (cavalerie et artillerie) et les divisions Lannes et Degole contourne la forêt par le Sud et le Nord. <br>
 
A 10h30, le 32 Nérévard, l'avant-garde entre en contact avec l'arrière garde orque. Elle est alors composée du 2e d'infanterie étrangère, du 1er bataillon du 2e d'infanterie réserviste et de deux-cents dragons de Filranmel démontés. L'arrière-garde ennemie est elle estimée à trois mille guerriers, et cinq cents lanceurs de javelots. L'avant-garde, disposée pour du tiraillement, ouvre le feu et force le déploiement de l'arrière garde orque. A 11h, cinq cents orques se jettent sur l'aile gauche de l'avant-garde. Celle-ci recule pour continuer à tirer, avant de les repousser à la baïonnette. Les combats continuent jusqu'à 13h. Le 1er et 3e d'infanterie étrangère, le 1er d'infanterie réserviste et le 2e bataillon du 2e d'infanterie réserviste arrivent alors, menés par le Maréchal Zorn. Celui-ci ayant fait distribuer ses instructions avant d'entrer dans les bois.
 
 
=== Bataille des Cendres ===
Dans le bois des Caures, Ghideon fait déployer le 1er et 3e d'infanterie étrangère, respectivement sur l'aile gauche et droite. Les troupes réservistes tolwhigiennes sont gardées à l'arrière du centre. Le soudain surnombre des gardes fait reculer l'arrière garde orque. La poursuite est engagée toute la journée. Le lendemain, le 33 Nérévard au matin, l'arrière garde orque sort de la forêt et est rattrapée par les forces de la Garde. Le Maréchal Zorn fait mettre en colonne le 1er d'infanterie étrangère et le 1er de réservistes et perce à leur tête le groupe orque. La ligne de feu du centre et de l'aile droite achève le travail et met en débandade l'arrière garde ennemie à 9h. A 9h15, la Horde, dont la dénomination est retenue comme "la Horde des Gueules de Dragon", fait déployer sept mille peaux-vertes pour faire face à l'avancée de la Garde, et couvrir la retraite du reste de ses effectifs. A 10h, la cavalerie et l'artillerie de la division Rollet rejoignent son infanterie. Les pièces à pieds de l'artillerie sont déployées. A 10h30, les divisions Lannes et Degole débouchent de part et d'autre de la forêt, et avancent sur les flancs orques. Le corps progresse alors sur les orques qui lui font face. A 12h, la Horde est contrainte à s'engager au complet dans la bataille. <br>
 
Le champ de bataille se situe sur une large plaine, délimitée à l'Est par le bois des Caures, au Sud par une vieille route et au Nord par le village de Nore. A 12h30, les orques sont dans une situation difficile. Leurs troupes ont du avancer sous le feu de l'artillerie, et leur déploiement tardif leur a couté plusieurs centaines de combattants. Pour autant, les combats s'éternisent. Les trois divisions de la Garde se sont cette fois déployées sous les yeux orques, et aucun renfort n'est à attendre pour surprendre l'ennemi sur un flanc. De 13h30 à 15h le village de Nore est le lieu de répétés combats à l'arme blanche, sans qu'un camp puisse s'en rendre maître. Cette fois-ci, l'état-major orque limite les charges suicidaires, si bien que sa formation tient tête à celle de la Garde. A 16h, voyant que la situation n'évolue toujours pas, le Général Zorn remarque que le vent a tourné et qu'il souffle à présent vers l'Ouest. Il ordonne un recul organisé du centre dans le bois des Caures, et un recul des flancs gauche et droit en extérieur de la forêt. Aux yeux de l'ennemi, le mouvement paraît être celui d'un repli. Exaltés par ce qu'elles appellent déjà une victoire, les troupes orques s'engouffrent en majorité dans les bois à la poursuite de la division Rollet. A 17h15, Zorn fait arrêter la division et demande à ce que des feux soient allumés partout devant. En moins de quinze minutes, l'incendie devient incontrôlable. Le vent pousse un mur de flammes sur la Horde, affolée. A l'extérieur du bois, les divisions Lannes et Degole avancent à nouveau et écrasent les unités ennemies qui n'étaient pas entrées dans le bois. L'artillerie est déployée en lisière de la forêt. La mitraille accueille les survivants des flammes. A 19h, la bataille est gagnée.
 
== Manœuvre des Braves ==
A la suite de la bataille des Cendres, le Maréchal Zorn fait mettre l'Infernal se met en bivouacs, et envoie plusieurs groupes d'éclaireurs au Sud. Entre le Corps et les éclaireurs, des petits relais sont installés, pour fournir les cavaliers en chevaux frais, et accélérer l'arrivée des informations. Ainsi, l'Infernal reste en bivouac du 34 Nérévard au 47. Durant ce temps, les éclaireurs envoyés ont rapportés l'installation d'orques dans plusieurs ruines, mais n'ont remarqué aucun grand mouvement de troupes. Pour Zorn, le Sud est bel et bien le lieu de rassemblement de la Grande Horde. Il veut faire manoeuvrer le plus rapidement le Corps pour enlever le plus d'orques possibles avant que ne ceux-ci ne rassemblent en une grande masse. Le 48 Nérévard, les trois divisions de l'Infernal se mettent en marche pour le Sud et traversent les grandes falaises. Passée cette étape, les vingt-cinq mille gardes de l'Infernal se retrouvent au milieu d'un territoire sous possession d'un ennemi d'un deux à trois fois plus nombreux.
 
[[Fichier:Dragons_obre.jpg|300px|thumb|right|Dragons de la Garde à Obre.]]
 
=== Combats d'Obre ===
Les combats d'Obre sont à l'origine de la mise à l'honneur par le Général Zorn du 1er de dragons et du 2e de chevau-légers après la campagne Verte. Le 48 Nérévard, le corps a pour instruction de filer vers l'Est. Pour autant, le bourg d'Obre, à l'Ouest, a été pointé comme abritant une force d'environ trois mille peaux vertes. Pour que l'action soit rapide, Zorn fait réunir les officiers des deux régiments de cavalerie, leur donne ses directives par papier, et leur annonce "Prenez vos cavaliers, six pièces d'artillerie à cheval et pacifiez moi ces ruines." La brigade provisoire arrive aux abords du bourg le 48 au soir, et se met en bivouacs derrière un repli de terrain, au Nord-Est. Le lendemain matin, l'artillerie est déployée à 7h en une unique batterie plus à l'Est et pilonne Obre. Les dragons du 1er démontent, et s'approchent des abords du bourg à 7h30. A 7h45, l'assaut est donné, ils attaquent au mousqueton de premières rues. Les orques, d'abord repoussés sous le feu, chargent. Sous le couvert de l'artillerie, le 1er effectue un mouvement de recul sans cesser le feu, digne de tirailleurs et parvient jusqu'au repli de terrain où étaient attachés leurs chevaux. Quand les peaux vertes arrivent au sommet du repli, ils sont chargés par six cents dragons à cheval. La surprise est totale. Après plusieurs minutes de mêlées, ils sont à nouveau chargés sur chaque flanc par les chevau-légers lanciers et débandent. Les survivants sont poursuivis et sabrés jusqu'à 11h, puis la brigade plie bagage. Elle rejoint sa division au soir.
 
 
=== Combats de Graisier ===
Le 52 à 13h, la division Degole arrive en vue du bourg de Graisier. La présence orque sur place ayant été estimée faible une semaine plus tôt par les éclaireurs, la division avait reçu pour ordre de prendre le bourg. Le Général Degole fait placer son artillerie en une unique batterie de quatorze bouches à feu à l'Ouest, sur une surélévation du terrain. A 14h, les première et troisième brigades sont lancées à l'assaut du bourg. Mais, à mi chemin, à la surprise de l'état-major divisionnaire, des détonations surviennent : la brigade Srajo essuie des tirs de boulets en provenance du Sud-Est. Le Général Srajo réagit rapidement, et la 4e et 5e compagnie de hussards vélites s'élancent en direction des tirs. Degole fait envoyer à leur suite un bataillon de cavalerie colonel-général. Aux abords de Graisier, les brigades poursuivent leur marche. A 14h30, avant qu'elles puissent atteindre le bourg, ce sont les troupes orques qui en sortent. S'attendant à une charge ennemie, Srajo et Wakouma mettent en place une première ligne de feu. Longue vue en main, l'aide de camp de Wakouma lui signale alors que les guerriers orques n'ont pas de haches en main, mais ce qui semble être des arquebuses. C'est la première fois dans la campagne qu'une arme à feu est vue dans les mains d'une peau verte, ce qui déstabilise quelque peu les deux généraux. Informé cinq minutes plus tard, Degole fait mettre en marche la brigade Bondaulde pour rejoindre le front. En parallèle, les hussards vélites atteignent l'artillerie ennemie, défendue par une centaine de monteurs orques. Rejoins par le bataillon de cavalerie colonel-général, les cavaliers chargent. En supériorité numérique, les gardes encerclent rapidement les monteurs et les défont. Peu de temps après, l'artillerie orque est tue. A 14h45, de premiers échanges de tirs ont lieu entre les première et troisième brigade et la masse verte. Si les tirs orques sont imprécis, le conflit n'a jusque là connu aucune intensité de feu comparable. Presque poussés par la masse orque qui ne cesse de gonfler, la ligne de feu des deux brigades tient. Elle est rejointe trente minutes plus tard par la brigade Bondaulde sur son flanc droit. Le 2e de tirailleurs-grenadiers ouvre alors le feu sur le côté ennemi. A gauche, les 1ère, 2e et 3e compagnies de hussards-vélites, épaulées par les 4e et 5e de colonel-général chargent. Compressés, les orques se replient dans Graisier. Il est 16h40. Le Général Degole décide d'attendre avant d'attaquer le bourg. Il continue son bombardement dessus. A 18h, la brigade Ney arrive sur le champ de bataille. En effet, plus tôt, entendant au loin les tirs d'artillerie, le Général Lannes n'y avait pas reconnu que le bruit de canons de la Garde. Il avait alors pris l'initiative de faire marcher ses troupes au canon. Ney fait déployer ses six bouches à feu en une deuxième batterie. A 19h45, alors que la brigade Desaix arrive sur le champ de bataille et déploie son artillerie, 4 colonnes d'infanterie, de mille cinq cents à plus de deux mille gardes chacune, attaquent simultanément les ruines du bourg. Débordées, et éprouvées par l'artillerie et les précédents combats, les peaux vertes sont débandées puis massacrées. A 20h30, Graisier est totalement entre les mains de la Garde. Le Général Zorn, informé de l'équipement improbable des troupes orques arrive sur place au soir, vers 21h30. Il inspecte l'artillerie ennemie, puis ses arquebuses. Consterné, il constate l'équipement n'est pas bâtard mais semble avoir été produit en série.
 
 
=== Passage de la Veilleuse ===
 
[[Fichier:Ghideon_en_campagne.png|300px|thumb|right|Ghideon Zorn avant le passage de la Veilleuse.]]
 
Le 56 Nérévard, l'ensemble de l'Infernal arrive en bordure de la Veilleuse, fleuve de quarante mètres de large le séparant du reste des forces orques. Le seul pont traversant le fleuve saboté, la Garde n'a pour seule option que de faire travailler ses pontonniers. En face, plusieurs milliers de peaux vertes narguent le corps, prêtes à ouvrir le feu sur le moindre ouvrir. Déployées en deux grande batteries à 13h, l'artillerie du corps a vite raison de l'enthousiasme ennemi. Sous le couvert des tirs de boulets, des bouches à feu sont déployées au bord du fleuve et chargées à la mitraille. Rapidement, arrosées, les troupes orques reculent. Du 56 au 58, les pontonniers bâtissent deux ponts de bateaux sur la rive. Ceux-ci doivent permettre la traversée du corps dans son intégralité. Le 59 au matin, toujours sous le couvert de l'artillerie, ils sont déployés sur l'eau. A 12h, le Général Zorn prend la tête de la brigade Desaix qui traverse la Veilleuse. Elle se dispose de manière à tenir la position le temps que le reste du corps traverse. Le premier de dragon se tient sur l'aile droite de la ligne, prêt à intervenir. De premiers canons sont déployés et chargés à la mitraille. A 13h, un premier assaut orque est lancé. De premiers échangent de tirs ont lieu à 13h20. Les tirailleurs des 1er et 2e de ligne sont réunis en un bataillon, et se disposent de manière à ouvrir le feu sur le flanc droit adverse. Après plusieurs volées de tirs, la mitraille a raison de l'assaut. A 15h, une nouvelle attaque orque se jette sur les troupes de la Garde. La division Lannes vient alors de finir de traverser le pont. Les brigades Ney et Lecourbe viennent s'adjoindre à la brigade Desaix. Une vingtaine de bouches à feu sont alignées et ouvrent le feu en batterie. A 15h30, division dans son ensemble avance sous le couvert des boulets. Quatre régiment de lignes sont au front, tandis que le 7e de ligne reste en réserve. Le Général Zorn, en première ligne, analyse la situation. Quelques cinq mille orques s'avancent. Plus loin, un masse deux à trois fois plusieurs nombreuse s'organise. A ses côtés, à la longue vue, le Général Lannes lui fait remarquer des pièces d'artillerie sont mises en batterie du côté de l'ennemi. Plutôt que de faire allonger encore plus sa ligne, Zorn fait demander la traversée immédiate de la brigade Nansouty, du colonel-général, du 1er de dragons de Filranmel et de l'artillerie à cheval restante. A l'avant, le flanc gauche est engagé avec les troupes orques. Les tirailleurs et le 1er d'infanterie légère, menés par Lecourbe, tiennent tête aux peaux vertes. Après des échanges de tirs, Leourbe fait faire charger le 2e bataillon du 2e de chevau-légers, lances en main, sur le flanc ennemi. Au centre, le feu est ouvert à 16h. Le Général Zorn fait avancer ses lignes tout en réunissant sous sa main quatre compagnies de grenadiers. A leur tête, il ordonne la charge. Le centre ennemi, contacté, plie. Ce recul amène à la débande du flanc droit orque, déjà en mal face aux lanciers de la garde. La cavalerie de Lecourbe poursuit les fuyards, tandis que l'infanterie se referme sur les unités ennemies encore debout. A 17h, les combats sont terminés. La division Lannes est alors à deux kilomètres des ponts. Derrière elle, plus de deux mille cavaliers attendent, bientôt rejoints par le 1er de dragons. Une deuxième batterie d'artillerie est formée sur le flanc gauche avec dix bouches à feu. Enfin, la Division Rollet commence à arriver de l'autre côté de la rive. Celle de Degole, plus expérimentée, couvre l'arrière du corps avec la Vieille Garde.<br>
 
A 17h30, l'artillerie orque ouvre le feu. Zorn ordonne à ce que la division Lannes avance, et à ce que les troupes de Degole se positionnent sur son flanc droit. La masse orque elle, organisée en deux lignes maladroites, avance aussi, en supériorité numérique. Le Général Zorn fait parvenir un ordre au Général Nansouty :<br>
 
"Réunissez les cavaliers que vous avez sous la main, percutez les rangs ennemis, faites taire leurs canons et revenez à moi. Vive l'Empire."<br>
 
A 18h, les deux camps ne sont plus qu'à cinq cent mètres l'un de l'autre. Nansouty, suivi de deux mille cinq cents cavaliers, disposés en deux lignes, s'avance au devant des lignes. La charge est donnée. La première ligne de cavaliers écrase les rangs orques, puis peine à traverser la deuxième. La deuxième ligne, composée de cuirassiers, arrive à sa suite et ouvre le chemin au sabre. Derrière les lignes ennemies, les cavaliers reforment leur rang tandis que les dragons de Filranmel continuent leur avancée pour prendre l'artillerie orque. Le centre orque lui, est désorganisé et à moitié anéanti. Sur le flanc droit, les premiers fantassins de Rollet arrivent et font pression sur les rangs orques. Du flanc gauche au droit orque, le moral baisse : le gauche est prise avec les renforts de Rollet, le centre a été presque détruit, le droit subit les tirs de vingt bouches à feu, tandis qu'à l'arrière, l'artillerie orque ne supporte plus l'avancée de ses fantassins. A l'arrière, les cavaliers de Nansouty s'avancent à nouveau, cette fois vers la gauche orque. De l'autre côté, le 1er de cavalerie étrangère se prépare aussi à la charge. A 18h50, le flanc gauche orque est percuté par l'arrière et l'avant par la cavalerie. Il débande, et entraine avec lui le centre. Le flanc droit lui, tient un peu plus. Les trente bouches à feu de l'artillerie se concentrent alors dessus. Des groupes entiers sont fauchés pendant que, de part et d'autre, l'infanterie se referme sur la formation orque. Celle-ci débande. Il est 19h30, la voie est ouverte pour les troupes de la Garde.<br>
 
A l'arrière, la division Degole et la Vieille Garde ont fini de traverser les ponts, qui sont ensuite retirés. Le Général Zorn annonce alors à ses officiers la manœuvre qu'ils devront exécuter le lendemain matin.
 
=== La percée des Valeureux ===
Au matin du 60 Nérévard, la Campagne Verte approche de son dernier acte. La suite est événements est claire pour le Général Zorn, aussi confiant qu'à l'habitude. Pour autant, au lendemain de la traversée de la Veilleuse, il connait sa situation : l'ennemi est partout. Des masses de 5000 à 10 0000 peaux vertes encerclent l'Infernal de part et d'autre. La manœuvre que veut effectuer Zorn est simple : il ne veut qu'à aucun moment le corps ne s'arrête avant d'avoir atteint la vallée au Sud de Belvy, lieu où il suppose le rassemblement orque. Les divisions doivent manœuvrer, affronter en supériorité l'ennemi en plusieurs points pour lui ôter le plus de troupes possibles, puis continuer à avancer. S'arrêter serait mourir en laissant le temps aux différentes troupes orques de tomber sur le corps en plusieurs points.<br>
 
Le corps marche d'abord vers le Sud-Est. Le 61, à 17h, la division Degole se projette sur un premier agroupement de peaux-vertes. A 21h, l'affrontement est remporté, la division se remet en marche. Simultanément, les divisions Rollet et Lannes affrontent dix mille peaux-vertes plus à l'Est. Après avoir presque encerclé l'ennemi, elles le mettent en déroute. La voie par le Sud est ouverte. Le 63, le corps est poursuivi par une masse de plus de vingt mille peaux-vertes. Ghideon veut éviter la bataille, qui le forcerait à se déployer et à être exposé à l'arrivée de renforts ennemis. Il charge alors la division Rollet de faire s'arrêter l'ennemi. Le 64, à midi, la division arrive au contact de la force adverse. Elle déploie de premiers canons en plusieurs points, et étire le plus possible ses troupes, mimant une force bien plus conséquente qu'elle ne l'est. A 14h, les troupes orques se mettent en ordre de bataille, pensant affronter la majorité du corps, et commencent à avancer. La division se remet en ordre de marche, et repart. <br>
 
Du 1er Pampélune 269 au 7, le corps continue sa manœuvre. Il esquive habilement les quelques grosses masses orques et ses divisions écrase des attroupements de plusieurs milliers de peaux vertes. Le 8 Pampélune, l'Infernal arrive par le Nord-Ouest à la Vallée rouge. Il prend position sur les hauteurs de la partie Ouest de celle-ci. S'il a dans sa manœuvre ôté la vie à plus de vingt mille peaux vertes, et mis presque autant en déroute, les forces qui se dressent autour de lui sont conséquentes. De l'autre côté de la vallée, devant lui à dix kilomètres, trente mille peaux vertes attendant l'ordre de marcher à la bataille. De même, derrière au Nord, vingt mille orques se rassemblent et marchent en direction de la vallée. La bataille la plus violente de la campagne se profile.
 
 
=== Bataille de la Vallée Rouge ===
'''{en cours de rédaction}'''
Le 9 Pampélune 269, l'Infernal dispose de 22 500 troupiers sur les 27 000 d'origine, en comptant 1 500 volontaires du Royaume de Belvy envoyés avant la manœuvre des braves pour combler les trous de certains régiments. S'il est en nette infériorité numérique, Zorn n'en est pour autant pas inquiété. Le matin du 9, regardant sa montre à gousset, il dira simplement "Nous sommes dans les temps.". Le corps est disposé sur plusieurs clairières, plus ou moins plates, situées sur différentes hauteurs. La division Degole est placée au centre, la division Lannes sur le flanc gauche et la division Rollet sur le droit. Plus en arrière et en hauteur, la réserve est prête à être déployée si nécessaire. Une particularité de la disposition des troupes est que la division Lannes n'a déployée sur le flanc gauche que la brigade Desaix. Les deux autres brigades Ney et Lecourbe sont tenues plus en arrière, prêtes à marcher.<br>
 
A 8h, les orques positionnent leurs forces en bas de la vallée. L'état-major orque est confiant. Il se sait en supériorité numérique, et sous-estime les effectifs de la Garde qu'il pense très diminués suite à la percée de celle-ci depuis la traversée de la Veilleuse. Une partie des forces orques estimée à dix mille s'avance jusqu'à une ferme abandonnée, position centrale de la vallée. Dans le même temps, Ghideon fait regrouper les tirailleurs de l'ensemble des régiments, appuyés par le 1er et 2e de grenadiers-tirailleurs. Cette brigade à l'équivalent de trois régiments est confiée au Général Lecourbe, qui est chargé de prendre position à deux kilomètres dans la vallée pour tirailler l'ennemi. A cette distance, les orques seront sujet aux tirs de mousquets mais aussi de canons. De l'autre côté, plusieurs bombardes orques sont déployées et commencent à ouvrir le feu sur les tirailleurs. Bien qu'affectés par les tirs, ceux-ci s'en accommodent pourtant notamment en raison de leur déploiement espacé qui limite les dégâts de l'artillerie. A l'inverse, les troupes orques en marche arrivent à 9h30 à portée des premiers gardes. Les tirs partent et couchent les têtes de file orques ce qui n'arrête pour autant pas l'avancée de la masse verte. Comme cela s'était vu pour la première fois à Graisier, quelques unités orques équipées d'arquebuses ripostent elles aussi en ouvrant le feu. A 9h40, l'ensemble des batteries d'artillerie de la Garde, à distance de feu, reçoit l'ordre d'émonder les colonnes vertes. A 10h, après avoir reculé en tiraillant les ennemis, les troupes de Lecourbe reçoivent l'ordre de se replier derrière les positions de la Garde. Lecourbe retourne au commandement de sa brigade. Les orques forment eux peu après une colonne de plusieurs de peaux vertes, qu'ils projettent sur la brigade Desaix, la pensant isolée. Les peaux vertes arrivent au contact de la brigade et se déploient de manière à l'attaquer de face et par les flancs. <br>
 
 
Au milieu de la vallée se dresse une vieille ferme, abandonnée, à environ quatre kilomètres de la position des troupes de la Garde.
1er temps : Flanc gauche dégarni : attaque orque. Premiers combats d'avant-garde (tirailleurs) + tirs d'artillerie. Orcques déploient de l'artillerie dans la vallée. Attaque sur le flanc gauche : repoussée + contre attaque décisive. Envoie de renforts orques. En parallèle, attaque de cav + grenadiers sur l'artillerie : réussie. Trou dans le dispositif d'attaque orque, repli pour orga. <br>
2e temps : Pendant le repli orque, avancée d'une partie des troupes de chaque division : mime d'assaut sur les troupes orques en repli. Les orques lancent une deuxième attaque, cueillie en première ligne par les tirailleurs, qui les poussent à avancer. Le dispositif avancé recule jusqu'à reprendre position sur les hauteurs. Les troupes orques se retrouvent sous le feu d'artillerie, et déjà bien engagée. Elles tentent un assaut n'ayant plus tellement le choix : repoussé.
3e temps : au repli du deuxième assaut orque, le Général Zorn regarde l'heure puis lance une attaque généralisée : les trois divisions avancent. L'état-major orque engage alors une grande partie de ses forces : vingt-cinq-mille peaux-vertes. A hauteur de la ferme, et à 3 kilomètres de l'ennemi; Zorn fait placer le 1er bataillon du 7e de ligne dans la ferme, et demande à son commandant de la barricader et d'y tenir jusqu'au bout. Le reste des forces de la Garde se replie en bas des hauteurs de l'Ouest. Cette fois ci, les orques ne commettent pas la même erreur et tiennent position à 600 mètres de la ferme. Un groupe d'orques est lancé pour la prendre et est repoussé. Au loin, des navires commencent à être aperçus. Le Général Zorn ordonne alors aux troupes d'avancer et à l'artillerie de se déployer en avant pour faire feu sur les positions orques. Les orques, alors sous le feu, redoublent d'effort pour faire céder la position de la ferme, à présent encerclée, dont le bataillon qui la tient fait feu à 360°, accumulant les cadavres ennemis autour de sa position.
 
= Conséquences =
A l'issue de la Campagne, les pertes orques sont estimées "indénombrables". En effet, plus de 98 000 orques sont pointés morts ou disparus. Environ 7 000 sont faits prisonniers, puis exécutés les jours suivants.<br>
== Traité des Valeureux ==
Au lendemain de la Campagne Verte, l'état-major de la Garde rencontre le gouvernement du Royaume de Belvy le 24 Pampélune 269. L'ancien territoire du royaume éponyme a été entièrement nettoyé des hordes orques qui en avaient pris possession. Le Royaume de Belvy retrouve alors l'entièreté de son ancien territoire. En signe de sa reconnaissance, il jure fidélité au Consulat de la Garde et à l'Empire. En plus de cela, des troupiers volontaires de Belvy sont offerts à la Garde, et forment la première génération de ce qui devient la première division étrangère, division d'élite.
== Opération de la "Sape" ==
Du 27 au 61 Pampélune 269, les divisions de l'Infernal sont dispersées pour détruire les camps et villages orques situés au Nord-Ouest de Belvy. Les uns sont brûlés, les autres emportés par les eaux déviés de fleuves, et encore d'autres sont entièrement rasés à la hache. L'objectif est d'éviter la reconstitution d'une horde, dont les soldats seraient animés de haine et vengeance. Les orques résistants sont massacrés sans traitement de faveur. Si l'opération prévoyait à l'origine de ne laisser aucun survivant, dans sa grande pitié le Maréchal Zorn força la population orque restante à l'exil dans les montagnes Ouest de Belvy.<br>
 
L'opération de la Sape marque la fin de la Campagne Verte.
== Traité des Valeureux ==
== Opération de la "Sape" ==
== Campagne de la Maur'Ya ==
Le 2 Fifrelune, l'Infernal arrive aux abords de Saulin, bourg en reconstruction par la population revenue vivre sur les terres alentours débarrassées des orques. Des bruits de tir hâtent l'avancée des troupes en direction du bourg. Arrivé en vue de celui-ci, l'état-major y découvre un carnage. Des centaines de nains, en armure, se prêtent à un massacre en règle : les parcelles de champs sont imbibées du sang des fermiers qui les remettaient en état. Les rues sont en proie au chaos de leurs habitants, tentant d'échapper à leur mort. La mince garde du bourg elle, jonche à ses portes, décimée en ayant tenu son devoir. <br>
 
La vue de ce massacre et surtout de cette trahison met en colère le Maréchal Zorn. Restant calme, il dira simplement "Tuez les tous." avant de s'élancer avec la cavalerie de la Vieille Garde en direction du bourg. Après la reprise du bourg, le commandement nain demande aux forces de la Garde se retirer de Belvy. Il pense que sa supériorité numérique face à des troupes fatiguées d'une première campagne lui assure la victoire, et que l'état-major de la Garde ne prendra pas le risque d'entrer en Campagne. <br>
Pour autant, les Maréchaux Zorn et Pencroff ne laissent pas passer cet affront. Le clan des Barbes Argentés, après avoir laissé son ancien partenaire aux mains des orques, le trahit à présent pour s'emparer de ses terres. De plus, il pense pouvoir insulter l'honneur des troupes de la Garde, assuré que celle-ci abandonnera son nouvel allié. Le 4 Fifrelune, Zorn fait adresser aux soldats un discours de départ en Campagne.
"[...] C'est enfin vos lauriers qu'ils veulent arracher de votre front. Ils veulent que nous évacuions Belvy à l'aspect de leur armée ! Les insensés ! Qu'ils sachent donc qu'il serait mille fois plus facile de détruire la grande capitale que de flétrir l'honneur des enfants de l'Empire ! Soldats, il n'est aucun d'entre vous qui veuille retourner en Stendel par un autre chemin que celui de l'honneur. Nous ne devons rentrer que sous des arcs de triomphe !"
<br>
C'est le début de la [[Campagne de la Maur'Ya]].
= Description =
==== 1er ordre de bataille ====
'''1ère Division :brigade Lecourbe<br>
''Composée de la division Glavallis.<br>''
- 2e bataillon du 2e de chevau-légers<br>
* 2e brigade :brigade Desaix
- 1er d'infanterie de ligne<br>
- 2e d'infanterie de ligne<br>
- 1er de dragons<br>
* 3e brigade :brigade Ney
- 4e d'infanterie de ligne<br>
- 7e d'infanterie de ligne<br>
''Composée de la Division Zorn, de la brigade d'Esperey, et des dragons de Filranmel.<br>''
* 1ère brigade :brigade Wakouma
- 1er de fusiliers-grenadiers<br>
- 2e bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers<br>
- 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
* 2e brigade :brigade Bondaulde
- 2e de tirailleurs-grenadiers<br>
- 1er d'infanterie "impérial-grenadier"<br>
- Batterie d'artillerie à pieds divisionnaire <br>
* 3e brigade :brigade Srajo
- 2e de fusiliers-grenadiers<br>
- 1er bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers<br>
'''Réserve :<br>
* Brigade de réservistes tolwhigiens :brigade Lamarque
- 1er d'infanterie réserviste<br>
- 2e d'infanterie réserviste<br>
==== 2e ordre de bataille ====
'''1ère Division :Division Lannes<br>
''Composée de la division Glavallis.<br>''
* 1ère brigade :brigade Lecourbe
- 1er d'infanterie légère <br>
- 1ère batterie du 1er bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
- 2e bataillon du 2e de chevau-légers<br>
* 2e brigade :brigade Desaix
- 1er d'infanterie de ligne<br>
- 2e d'infanterie de ligne<br>
- 1er de dragons<br>
* 3e brigade :brigade Ney
- 4e d'infanterie de ligne<br>
- 7e d'infanterie de ligne<br>
'''2e Division :Division Degole<br>
''Composée de la Division Zorn et de la brigade d'Esperey.<br>''
* 1ère brigade :brigade Wakouma
- 1er de fusiliers-grenadiers<br>
- 2e bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
* 2e brigade :brigade Bondaulde
- 2e de tirailleurs-grenadiers<br>
- 1er d'infanterie "impérial-grenadier"<br>
- 2 obusiers de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 * 3e brigade :brigade Srajo
- 2e de fusiliers-grenadiers<br>
- 1er bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers<br>
- 2 pièces de 12 livres d'artillerie à pieds<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* Arrière :
'''3e Division :Division Rollet<br>
''Composée de la brigade de réservistes tolwhigiens, de réguliers du Royaume de Belvy, du 3e bataillon d'artillerie à pieds et des dragons de Filranmel.<br>''
* 1ère brigade :brigade Sarlovèze
- 2e d'infanterie étrangère<br>
- Dragons de Filranmel<br>
- 2e batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
* 2e brigade :brigade Lamarque
- 1er d'infanterie étrangère<br>
- 1er d'infanterie réserviste<br>
- 1er et 2e bataillon de cavalerie étrangèrevétrangère<br>
- 2e batterie du 3e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
* 3e brigade :brigade Esperey
- 3e d'infanterie étrangère<br>
- 2e d'infanterie réserviste<br>
- Régiment de la Vieille Garde à cheval<br>
 
==== Etat des troupes à la Vallée Rouge ====
'''1ère Division : Division Lannes<br>
''Composée de la division Glavallis.<br>
 
* 1ère brigade : brigade Lecourbe
- 1er d'infanterie légère (958)<br>
- 1ère batterie du 1er bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
- 1er et 2e bataillons du 1er de hussards (329)<br>
- 2e bataillon du 2e de chevau-légers (176)<br>
 
* 2e brigade : brigade Desaix
- 1er d'infanterie de ligne (893)<br>
- 2e d'infanterie de ligne (1076)<br>
- 2e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
- 1er bataillon du 2e de chevau-légers (132)<br>
- 1er de dragons (518)<br>
 
* 3e brigade : brigade Ney
- 4e d'infanterie de ligne (911)<br>
- 7e d'infanterie de ligne (1105)<br>
- 2e batterie du 1er bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
- 3e bataillon du 1er de hussards (167)<br>
- 3e bataillon du 2e de chevau-légers (138)<br>
 
* Arrière :
- 2e et 3e compagnies de sapeurs<br>
- 1ère et 2e compagnies du train d'artillerie<br>
- 2e compagnie du train d'équipage<br>
- Compagnie médicale de la Garde<br>
 
 
'''2e Division : Division Degole<br>
''Composée de la Division Zorn et de la brigade d'Esperey.<br>
 
* 1ère brigade : brigade Wakouma
- 1er de fusiliers-grenadiers (842)<br>
- 2e bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers (413)<br>
- 2e et 3e compagnies de hussards-vélites (164)<br>
- 4e compagnie de cavalerie "colonel-général" (76)<br>
- 2 pièces de 12 livres d'artillerie à pieds<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 2e brigade : brigade Bondaulde
- 2e de tirailleurs-grenadiers (796)<br>
- 1er d'infanterie "impérial-grenadier" (917)<br>
- 2e d'infanterie "impérial-grenadier" (936)<br>
- 1ère compagnie de hussards-vélites (61)<br>
- 1ère, 2e et 3e compagnies de cavalerie "colonel-général" (239)<br>
- 2 pièces de 12 livres et 2 obusiers d'artillerie à pieds<br>
- 2 obusiers de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 3e brigade : brigade Srajo
- 2e de fusiliers-grenadiers (877)<br>
- 1er bataillon du 1er de tirailleurs-grenadiers (398)<br>
- 4e et 5e compagnies de hussards-vélites (159)<br>
- 5e compagnie de cavalerie "colonel-général" (84)<br>
- 2 pièces de 12 livres d'artillerie à pieds<br>
- 2 pièces de la 1ère batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* Arrière :
- Bataillon du train de la division Zorn<br>
- Ambulance de la division Zorn<br>
 
 
'''3e Division : Division Rollet<br>
''Composée de la brigade de réservistes tolwhigiens, de réguliers du Royaume de Belvy, du 3e bataillon d'artillerie à pieds et des dragons de Filranmel.<br>
 
* 1ère brigade : brigade Sarlovèze
- 2e d'infanterie étrangère (786)<br>
- Dragons de Filranmel (413)<br>
- 2e batterie du 2e bataillon du 1er d'artillerie à cheval<br>
 
* 2e brigade : brigade Lamarque
- 1er d'infanterie étrangère (809)<br>
- 1er d'infanterie réserviste (746)<br>
- 1er et 2e bataillon de cavalerie étrangère (324)<br>
- 2e batterie du 3e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
 
* 3e brigade : brigade Esperey
- 3e d'infanterie étrangère (863)<br>
- 2e d'infanterie réserviste (817)<br>
- 3e bataillon de cavalerie étrangère (132)<br>
- 1ère batterie du 3e bataillon du 1er d'artillerie à pieds<br>
 
* Arrière :
- Train étranger<br>
- Service médical étranger<br>
- Génie étranger<br>
 
 
'''Réserve :<br>
 
* Brigade Nansouty :
- 1er de cuirassiers (564)<br>
- 2e de cuirassiers (583)<br>
 
* Brigade de la Vieille Garde :
- Régiment de la Vieille Garde à pieds (500)<br>
- Régiment de la Vieille Garde à cheval (400)<br>
 
 
==== Troupes débarquées à la Vallée Rouge ====
 
'''Division de renfort : Division Pencroff<br>
''Composée de fusiliers marins de la Garde et de cavalerie issue du Corps des Maréchaux.<br>''
 
* 1ère brigade :
- 1er de fusiliers marins<br>
- Régiment de Maréchal-hussards<br>
 
* 2e brigade :
- 2e de fusiliers marins<br>
- Régiment de Threa-thaesi Dragons<br>
- Régiment de Maréchal-cuirassiers<br>
=== Union des Clans ===
 
'''Horde des Crocs d'Acier
 
* Avant-garde :
- Cohue de guerriers<br>
- Cohorte de lanceurs<br>
 
* 1ère masse :
- 1ère cohue de guerriers<br>
- 2e cohue de guerriers<br>
- 6e cohue de guerriers<br>
- 1ère cohue de lanceurs<br>
 
* 2e masse :
- 3e cohue de guerriers<br>
- 4e cohue de guerriers<br>
- 2e cohue de lanceurs<br>
 
* 3e masse :
- 5e cohue de guerriers<br>
- 3e cohue de lanceurs<br>
 
* Arrière :
- 1ère cohue de monteurs<br>
- 2e cohue de monteurs<br>
- Cohorte d'artilleurs<br>
- Cohue de colosses<br>
 
'''Horde des Gueules de Dragon
 
'''La Grande Horde
== Bataille des "Mille Maux" ==
'''{en cours de rédaction}'''
Affrontement entre la marine de la Garde et les créatures maritimes de l'Océan des Milles Maux.
== Trivia ==
A l'approche de la traversée du Col des Hommes Sans Peur, Ghideon pinça l'oreille d'un des grenadiers avec lesquels il marchait alors qu'il contemplait cette muraille de roc : "Regarde donc mon brave, tu as tellement bien fait ton travail qu'il te faut maintenant marcher sur des centaines de kilomètres et traverser ces imposants massifs pour affronter ton ennemi le plus proche !"<br>
 
A la fin de la Campagne Verte, le Général Zorn s'exclama : "Je suis sincèrement le plus grand ami du peuple orc. Je l'ai débarrassé d'une tâche qui salissait son existence. Je suis certain qu'il saura m'en être reconnaissant."<br>
 
"Pressé fortement sur ma gauche, mon cendre cède, impossible de me mouvoir. Situation excellente : j'attaque." Le Général Zorn à la bataille de la Vallée Rouge.
== Bibliographique ==
[[Catégorie:Garde Volontaire]]
contributeur
986

modifications

Menu de navigation