Aégis : Différence entre versions
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+ | La force de l’armée Aégi réside dans la discipline de fer imposée à ses unités. Les militaires sont recrutés dès le plus jeune âge et leur formation mise tant sur leur endurcissement physique que mental et intellectuel. Cependant, contrairement à de nombreux systèmes militaires similaires, l'initiative n'est pas proscrite si elle est utilisée de manière raisonnée et que la réussite est au rendez-vous. Cela a pour objectif de rendre les troupes moins vulnérables et désorientées lors de la potentielle perte des généraux et officiers qui chargent avec le reste des troupes. | ||
+ | Un culte de la nation est observé tant chez les militaires que les civils, qui s'engagent généralement spontanément lorsque l'intégrité de la ville est menacée comme ce fut le cas lors du [[conflit de l'Arhydar]]. Toujours dans cette optique, une grande importance est accordée aux couleurs de la ville, que toutes les unités arborent fièrement. Les portes-étendards jouissent ainsi d’un statut élevé au sein de la société Aégi. | ||
+ | ==== Armée terrestre ==== | ||
+ | Tout en bas de la hiérarchie militaire, on retrouve ainsi les hoplites. Avec leur pavois pouvant protéger la quasi-totalité de leur corps, ce sont des unités particulièrement adaptée aux formations militaires “en tortue”. Plutôt lentes, elles avancent vers l’ennemi avec cette formation jusqu’à être à portée de javelot. Une fois la volée envoyée, les hoplites passent alors à une attaque au corps à corps. Leur technique de combat repose sur des parades au pavois suivies de violentes ripostes avec ce dernier ou à l’épée. Les ennemis se retrouvent bien souvent face à de véritables murs capables de sonner les plus solides éléments d’un revers de bouclier. | ||
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+ | Les charges Aégi sont toujours précédées d’un pilonnage des troupes adverses par l’artillerie lourde. Bien que celle-ci soit peu mobile et n’engendre pas toujours beaucoup de victimes, le moral des troupes adverses est fortement impacté par le déluge de feu qui s’abat sur elles. De plus, c’est alors un paysage lunaire qui s’offre aux hoplites, facilitant leur charge. | ||
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+ | Les troupes de choc forment l'élite de l’infanterie Aégi. Ce sont des combattants hors pairs particulièrements mobiles, venant soutenir les hoplites là où la bataille est la plus intense. Plus d’une fois l’issue d’une bataille a été dictée par l’intervention de ces troupes d'élite. | ||
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+ | Enfin, les commandants sont des stratèges militaires coordonnant les différentes cohortes. Ils communiquent entre eux et avec les différents fronts via pigeons voyageurs. | ||
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+ | ==== Armée de l'air ==== | ||
+ | Les unités aériennes aégi relèvent plus du prototypage que du réel poumon de l’armée. L’élément le plus notable de l’armada est sans aucun doute le dirieable l’[[Oeil d'Aégis]], bâtiment stratégique d'observation militaire capable d'évoluer au dessus des champs de bataille et d'effectuer des patrouilles de surveillance, sa principale fonction. L'Oeil est généralement ancré au sommet de l'Egide, où il s'apprivoisonne en carburant, vivres et munitions. | ||
== Culture == | == Culture == |
Version du 15 décembre 2019 à 03:29
Aégis | |
Dénomination | Aégis La Grande Aégis La ville d'Aégis |
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Description | Cité état humaine s'appuyant sur une économie de luxe et une puissante armée |
Monde | Stendel |
Existence | fondations pré-Stendelienne Ville actuelle : an 60 du Calendrier Erachien |
Fondateur(s) | Benmarmar et Squirkiz |
Souverain(s) | Maire d'Aégis |
Alignement | Impérial |
Langues | Stendelien |
Personnages illustres | Carlyto, Dieuxx621 |
Gentilé | Aégi |
Frontières | République de Freiwald au Nord Glindelhall au Sud Egeon à l'Est |
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Aégis est une ville au style médiéval-renaissance occidental, avec une architecture et un système politique basés sur l'autocratie et le militarisme. La ville soutient indéfectiblement l'Empire depuis les premiers contacts mais opère un controle des environs fort. La ville fut considérée pendant longtemps comme le seul bastion et garant des frontieres Occidentales de Stendel.
Sommaire
Histoire
Etymologie
Le nom actuel de la ville est une déformation de "Aargis", nom du temple érigé en l'honneur des deux fondateurs mythologiques : Pentagis et Aarkea. Le temple fut ensuite rasé pour des raisons inconnues et bien des années plus tard, Aégis fut érigée sur les ruines de celui-ci. Il est possible que la modification du nom soit dû à une erreur de traduction lors des recherches archéologiques.
Régions
Formation
Géographie
Description générale
La ville est bâtie sur une ancienne jungle dont il ne reste aujourd'hui presque aucune trace. Seuls subsistent la végétation basse et la terre particulièrement fertile, qui explique la verdoyance de l'herbe poussant dans la ville.
Localisation
Aégis se trouve à l'Ouest de Stendel et a pour voisins GlindeHall, Egeon et la République de Freiwald. Sa localisation se trouve aux confins de l'Empire, dont elle a longtemps été considéré comme l'unique bastion Occidental.
Climat
Situé sur une ancienne jungle, le centre-ville d'Aégis bénéficie de terres fertiles et de jardins particulièrement luxuriants. Les alentours sont eux composés en grande partie de marais qui furent progressivement assechés (notamment suites aux dissensions avec Glindel) afin d'y développer l'agriculture.
Société et Institutions
Gouvernement
Système politique
Souverains
Diplomatie
Aégis se présente depuis sa montée en puissance comme le premier rempart de l'Empire sur sa frontière Ouest. La ville a pendant longtemps été suzeraine de Glindel mais les deux entités s'éloignèrent suite à la révolte des paysans du 9 Mimélune de l'an 77.
Economie
Monnaie
Démographie
Forces Armées
La force de l’armée Aégi réside dans la discipline de fer imposée à ses unités. Les militaires sont recrutés dès le plus jeune âge et leur formation mise tant sur leur endurcissement physique que mental et intellectuel. Cependant, contrairement à de nombreux systèmes militaires similaires, l'initiative n'est pas proscrite si elle est utilisée de manière raisonnée et que la réussite est au rendez-vous. Cela a pour objectif de rendre les troupes moins vulnérables et désorientées lors de la potentielle perte des généraux et officiers qui chargent avec le reste des troupes. Un culte de la nation est observé tant chez les militaires que les civils, qui s'engagent généralement spontanément lorsque l'intégrité de la ville est menacée comme ce fut le cas lors du conflit de l'Arhydar. Toujours dans cette optique, une grande importance est accordée aux couleurs de la ville, que toutes les unités arborent fièrement. Les portes-étendards jouissent ainsi d’un statut élevé au sein de la société Aégi.
Armée terrestre
Tout en bas de la hiérarchie militaire, on retrouve ainsi les hoplites. Avec leur pavois pouvant protéger la quasi-totalité de leur corps, ce sont des unités particulièrement adaptée aux formations militaires “en tortue”. Plutôt lentes, elles avancent vers l’ennemi avec cette formation jusqu’à être à portée de javelot. Une fois la volée envoyée, les hoplites passent alors à une attaque au corps à corps. Leur technique de combat repose sur des parades au pavois suivies de violentes ripostes avec ce dernier ou à l’épée. Les ennemis se retrouvent bien souvent face à de véritables murs capables de sonner les plus solides éléments d’un revers de bouclier.
Les charges Aégi sont toujours précédées d’un pilonnage des troupes adverses par l’artillerie lourde. Bien que celle-ci soit peu mobile et n’engendre pas toujours beaucoup de victimes, le moral des troupes adverses est fortement impacté par le déluge de feu qui s’abat sur elles. De plus, c’est alors un paysage lunaire qui s’offre aux hoplites, facilitant leur charge.
Les troupes de choc forment l'élite de l’infanterie Aégi. Ce sont des combattants hors pairs particulièrements mobiles, venant soutenir les hoplites là où la bataille est la plus intense. Plus d’une fois l’issue d’une bataille a été dictée par l’intervention de ces troupes d'élite.
Enfin, les commandants sont des stratèges militaires coordonnant les différentes cohortes. Ils communiquent entre eux et avec les différents fronts via pigeons voyageurs.
Armée de l'air
Les unités aériennes aégi relèvent plus du prototypage que du réel poumon de l’armée. L’élément le plus notable de l’armada est sans aucun doute le dirieable l’Oeil d'Aégis, bâtiment stratégique d'observation militaire capable d'évoluer au dessus des champs de bataille et d'effectuer des patrouilles de surveillance, sa principale fonction. L'Oeil est généralement ancré au sommet de l'Egide, où il s'apprivoisonne en carburant, vivres et munitions.
Culture
Langues
La langue officielle parlée est le stendelien bien que l'aégi reste enseigné dans la majorité des établissements scolaires.
Religion
Bin qu'une religion paienne, aujourd'hui en grande partie oubliée, ait longtemps dominé les environs, le gouvernement est aujourd'hui totalement laïque. L'ancienne idole Aarkea réincarnée en panthère est devenue aux alentours de l'an 200 un des symboles allégoriques forts de la ville.