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Guerre de succession d'Atalante

4 927 octets ajoutés, 15 décembre 2022 à 22:45
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Le maréchal Pencroff, la générale Marvell, le général Jihair, le général Darkalne et le général Suljii rencontrèrent alors la princesse Anne, et purent passer en revue la garnison de 30 000 hommes que cette dernière avait réunie autour d'elle pour la défense de son fief.<br>
Ils planifièrent ensemble la suite des opérations, que l'on voulut expéditive.<br>
 
Il fut décidé, pour que les combats ne s'attardent pas, que l'armée du nord se séparerait en deux colonnes aux objectifs distincts.<br>
En premier lieu, le maréchal Pencroff, le général Suljii et la générale Marvell; accompagnés du 4e corps d'armée, de la division de jeune garde et de la division de cavalerie, devaient se lancer dans les campagnes à la recherche des armées républicaines qui s'y formaient et risquaient de semer le chaos dans le pays.<br>
En parallèle de ce mouvement, les généraux Jihair et Darkalne, armés des 1er et 3e corps, devaient se jeter sur la route de la capitale, et dans la mesure du possible déceler et anéantir l'armée du duc en cours de route.<br>
'''Bataille de Clymene'''<br>
Pencroff, wendy et suljii se lancent contre la nombreuse armée républicaine qui se forme dans les campagnes et embrase le pays.<br>Après une longue marche, la colonne surprend aux abords de Clymene une concentration massive de 40 000 hommes fraichement enrôlés. Le maréchal Pencroff fait alors masser le corps du général Suljii en avant de la ville, et ordonne à ses quatre régiments de dragons et deux régiments de hussards d'encercler la position. A la vue de ce puissant flot de cavaliers, les républicains se jettent dans les rues de la ville et en abandonnent les abords, puis en barricadent les portes.<br> Le général suljii, qui s'est alors avancé jusqu'à une colline dominant la position, y fait mettre en batterie les 7e, 14e et 21e batteries d'artillerie à pied de sorte à les mettre en évidence à la vue des ennemis. Fort de cette menace, il ordonne également le déploiement de la 11e brigade d'infanterie en tirailleurs dans les champs à l'ouest de la ville, entre sa position et le bourg.<br>Face à cette démonstration de force, les troupes républicaines ne démordent cependant pas et se terrent dans les murs de la cité, qui n'est cependant que peu fotifiée.<br> Peu désireux de s'attarder à un siège dans cette guerre qui le projette si loin de ses bases, et d'être enlisé alors que les autres corps de l'armée progressent; le maréchal Pencroff ne se laisse cependant pas imposer une guerre d'usure, et compte pour précipiter les choses sur l'appui de la division de la jeune garde qu'il a emporté avec lui.<br>Il ordonne alors au général Cambronne, au général Rostand et au général Lignères de préparer les carabiniers de la jeune garde à des combats de rue nocturnes; moins pour profiter de l'obscurité que pour conclure l'affaire avant la lendemain.<br>En combattant régulier, peu désireux de prendre ses adversaires par surprise, il leur adresse toutefois un dernier ultimatum dans lequel il décrit ses intentions.<br>Mais les républicains, prenant acte de la missive, adressent alors depuis la ville le signe qu'ils refusent la reddition. Le maréchal en prend acte, alors que le jour décline, et fait intimer au général suljii et au général Cambronne leurs ordres respectifs.<br> Moins d'une heure plus tard, la colonne d'assaut des 1ère et 2ème brigades de jeune garde se mettent en marche l'arme au bras, tambour battant.<br>Conscient que la ville est encore peuplée de nombreux civils, le maréchal Pencroff ne fait cependant pas précéder l'attaque par une préparation d'artillerie, et ce malgré les nombreux canons dont il dispose. Cette décision, risquée, se montrera bénéfique plus tard.<br> Pour l'heure, et conformément à leurs consignes, alors que la jeune garde approche des portes sud de la ville, le 4e corps d'armée du général Suljii se présente par l'ouest. Le Nord et l'Est, pour palier à toute sortie adverse, est couvert par la division de dragons et la brigade de cavalerie lourde de la jeune garde.<br>L'attaque débute alors dans les faubourgs Ouest et Sud, et tourne rapidement à l'avantage de la Garde Volontaire plus aguerrie. En outre, l'armement incomplet des républicains et les préparations sommaires de leurs défenses ne leur permettent pas d'offrir une résistance suffisante. Ils n'en combattent non moins, et même d'autant plus bravement, et ne cèdent du terrain qu'aux prix d'une lutte acharnée.<br> Finalement, vers Lykaiondeux heures du matin, la tête de colonne du 4e corps d'armée pénètre au coeur de la ville. Quelques minutes plus tard, c'est le maréchal Pencroff et la générale Wendy en personnes qui y font irruption, ayant pris le devant des troupes de jeune garde pour diriger directement leurs efforts.<br>Là, dans les grands entrepôts des Halles aux grains de la ville, ils trouvent les derniers combattants républicains en état de se battre. Ces derniers, vaincus, acceptent alors de se rendre à condition de pouvoir rassembler leurs blessés et leurs unités isolées.<br> Le maréchal Pencroff leur accorde ces conditions, justifiant cette largesse par la volonté de la princesse Anne; avançant que cette dernière ne souhaite pas voir couler plus longtemps le sang de son peuple. Ces mots trouvent echo dans la réputation de la princesse auprès de la population et au fait que la garde, malgré ses moyens, n'a pas bombardé la ville. Obligés par l'affection de la princesse et les faveurs de la garde pourtant victorieuse; les républicains présents promettent alors de ne plus prendre part aux combats et de rester dans les campagnes, promesse qui n'engage cependant pas les 60 000 républicains restants au Nord du pays et directement commandés par le général Hippomène est capturé vivanthippomène. Malgré <br> Enfin, au lendemain de la bataille, la colonne de violents combatsla garde commandée par le maréchal Pencroff et le général suljii cantonne à Clymene, et passe les trois jours suivants à traiter les blessés et enterrer les morts.<br>Quelques jours plus tard, poursuivant toujours l'objectif d'arrêter les troupes républicaines offrent leur redditiondu général Hippomène, la colonne prend la route du Nord d'Atalante, et s'éloigne ainsi de la capitale et des 1er et 3e corps d'armée.<br>
'''Bataille de Pelion'''<br>
Jihair et darkalne poursuivent l'armée ducale. Cette dernière est rejointe par l'armée princière, après un accord passé entre le duc et le dauphin.<br>
Les deux corps affrontent alors une armée de plus de 50 000 hommes, renforcés en cours de route par un contingent de 10 000 soldats princiers.<br>
Il remportent néanmois la victoire après une charge de cavalerie groupée menée par le général Jihair, alors que le général Darkalne organise le redéploiement des forces pour faire face à l'arrivée des troupes princières. Finalement, la charge de cavalerie de jihair parvient à rompre l'aile de l'armée ducale, et l'artillerie du général Darkalne barre la route de l'armée princière. Les troupes princio-ducales se replient vers la capitale.<br>
'''Bataille de Lycur'''<br>
'''Bataille de Lycur'''<br>
'''Bataille d'Osterod'''<br>
 
'''Bataille d'Atalia'''<br>
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