En voici quelques exemples:<br>
- Les cadets:<br>En souvenir des premières recrues de la Garde Volontaire, les aspirants issus du recrutement externe sont appelés "Cadets" durant toute leur formation. Plus jeunes recrues au sein de l'école, ils doivent -de manière très informelle- faire leurs preuves et combattre à main nue contre un vétéran dans des combats souvent alcoolisés organisés à la fin de leur soirée d'accueil au sein de l'école. L'issue de ce combat compte peu, d'autant plus que les cadets ne gagnent que rarement, mais le fait de se battre contre un adversaire plus aguerri et plus fort en dépit des chances de succès est une qualité recherchée et valorisée au sein de la garde. Leurs blessures à l'issue de ce combat sont souvent vues comme des gages d'honneur.<br> - Fusiller le sac:<br>Pour marquer la fin de leurs années "de troupe", les aspirants issus de recrutement interne, adjudants ou non, ont pour coutume de "fusiller leur sac" au crépuscule du jour de leur promotion au grade de sous-lieutenant. Cette tradition découle du fait que le sac de campagne fait partie des premiers éléments perçus par chaque garde après son arrivée, et que ce dernier n'est plus nécessaire une fois devenu officier; les bagages des officiers étant pris en charge et transportés pour eux.<br> - L'adoubement:<br>Si les différents cursus de formation des officiers font achever leurs formations respectives à au moins trois moments différents, toutes les cérémonies partagent le même déroulement: Après avoir complété leur formation et, si nécessaire, leur stage en unité de combat; les aspirants sont réunis dans la cour de l'école militaire supérieure avant l'aube. Ils y retrouvent le Premier Consul Ghideon Zorn devant qui ils posent le genou et qui, de sa propre épée de lieutenant, les adoube. Puis, une fois relevés, ils reçoivent leurs nouvelles épaulettes, leur sabre d'officier et leur très précieuse lettre de lieutenance.<br> - La lettre de lieutenance:<br>C'est la plus vieille tradition des officiers de la garde. Au commencement de l'arme, lorsque ce cette dernière n'était encore qu'un régiment, les grades d'officiers étaient encore considérés comme des charges qui n'étaient accessibles que sur lettre patente du chef de corps. Le lettre de lieutenance donnait alors accès au rang d'officier et à tous ses avantages. Elle donnait également accès au commandement d'une compagnie, bien que l'échelon de commandement des actuels lieutenant soit la section. Aujourd'hui, la lettre de lieutenance est devenue le document officiel annonçant l'inscription du garde sur la liste des cadres.<br>
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