Pencroff
Bonaventure Pencroff | |
Alias | Maréchal Pencroff Le Maréchal Hussard Le renard impérial |
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Naissance | 49 Démévent de l'an 46 du Calendrier Erachien |
Sexe | Homme |
Espèce | Humain |
Activité | Gouverneur Militaire Colonel-Général de la Cavalerie |
Caractéristique | Maréchal d'Empire |
Affiliation | Empire de Stendel |
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Le Maréchal Bonadventure Pencroff est un des Gouverneurs de l'empire Stendenlien. Originaire d'une contrée étrangère à l'empire,
il a gravi les échelons des Forces armées impériales, partant du grade de soldat. Survivant de la bataille de Nyan-Cat et fondateur de la
Garde Volontaire, il rejoindra; plus tard, les rangs de la prestigieuse chevalerie de Stendel.
Participant activement à la sauvegarde des populations impériales; ses faits d'armes tant dans la garde qu'auprès de la chevalerie lui valurent,
plus tard, d'être nommé Gouverneur par l'état. Il est également le fondateur de la Guilde des Explorateurs.
Sommaire
Biographie
Le Maréchal Pencroff est ce que l'on pourrait appeler un "soldat-né". Engagé sous les drapeaux dès la fin de l'enfance, il aura été de toutes les guerres dans le camp Stendelien depuis la grande guerre civile, combattant sur tous les théâtres et gravissant tous les grades de l'armée impériale à force de passes d'armes.
Ces longues années de combat, qui l'auront mené à croiser le fer des steppes glacées jusqu'aux déserts les plus ardents contre tous les ennemis de l'empire, auront fait de lui un stratège et un tacticien aguerri, rompu à tous les exercices de la guerre, et particulièrement adroit dans son art.
Son expérience sous les armes aura également développé chez lui ses principaux traits de caractère: Une loyauté absolue envers l'empire et son peuple, un sens aiguisé du devoir, un solide esprit de corps et une insolente témérité.
Son passage dans la chevalerie impériale achèvera d'ancrer en lui sa vocation de protéger et servir les populations civiles stendelienne contre les dangers de toutes natures, et lui aura appris un dernier principe: celui de ne jamais sous-estimer un ennemi, et de toujours aborder une menace avec la même cironspection, qu'il s'agisse d'un nid de gobelins ou d'une armée rebelle. Le doute n'a jamais de place, pas plus que la demi-mesure ou les compromis. Tout ce qui est entrepris doit être terminé, "une menace n'est abolie que quand son inexistence ne fait plus de doute".
Malgré son rang, le maréchal Pencroff se démarque souvent par son rejet des mondanités et du luxe. Habitué à mener une vie de soldat, véritable "homme des casernes", il se satisfait sans mal d'un mode de vie rustique. Il n'entretient aucune fortune personnelle, ne porte jamais rien de plus que son uniforme et n'a de possessions que son manoir, acquis sur le tard et où il ne loge que rarement. Il ne parait à la cour que lors des conseils d'état ou à d'autres occasions officielles, et suit systématiquement ses troupes dans toutes leurs campagnes. La vie de la cour ne l'émeut pas, pas plus que les intrigues politiques. Il perçoit le rôle de gouverneur comme une mission dont il s'acquitte avec soin.
L'arme de prédilection du maréchal Pencroff est la cavalerie, dont il a l'honneur d'être le colonel-général. Issu de la cavalerie légère, il participera activement au développement des techniques de reconnaissance et de guerilla; allant même jusqu'à publier une thèse intitulée "De la petite guerre, tactique et stratégie des houzards". Excellent cavalier, le maréchal est particulièrement à l'aise dans la conduite des troupes au feu; mais il a parfois le défaut d'être trop téméraire et se considère volontiers comme moins bon stratège que son camarade et ami le maréchal Ghideon Zorn.
En temps de paix, le maréchal s'affaire à réformer les Forces armées impériales, afin de les adapter aux nouvelles formes de conflit.
Jeunesse
Né en l'an de grâce 46 de notre ère dans une modeste famille de marins résident dans une contrée lointaine de l'empire, Bonaventure Pencroff a passé sa jeunesse
au bord de la mer et semblait voué à devenir pêcheur.
Adolescent, il s'est engagé comme matelot à bord d'un navire marchand, ou il participa à plusieurs traversées sur les mers qui bordaient sa contrée natale.
Son destin changea radicalement quand, pris dans une tempête, son bâtiment dût faire escale en capitale de Stendel pour y réparer des avaries. Profitant des quelques jours de permission qu'il avait devant lui, le jeune Pencroff découvrit cette terre pleine de promesses qu'est celle de l'Empire Stendelien.
Au moment ou son navire devait reprendre la mer, le jeune Pencroff résigna son contrat et se lança donc dans cette nouvelle aventure.
Au cours des premiers mois de sa vie Stendelienne, il devint bûcheron et fut employé dans différentes exploitations autour de la capitale. Il s'installa dans la banlieue sud de Stendel où il se lança dans la construction d'une modeste chaumière. En dehors de ses heures de travail, il prit l'habitude de se rendre en capitale pour y assister aux moult activités qui animaient la vie stendelienne de l'époque, et visiter les diverses tavernes dans lesquelles la population se ruait à toutes heures. Au fil du temps, semaines après semaines, il se constitua de modestes économies et commença à songer à se mettre à son compte en temps que bûcheron. Villageois, il envisageait également de candidater au rang de citoyen.
La guerre civile allait malheureusement contrecarrer ses plans.
La Guerre Civile
Lorsque la guerre civile éclata entre l'Empire de Stendel et le Nivem, le jeune Pencroff prit tout de suite le parti de sa patrie d'adoption. Quand l'appel aux armes fut diffusé dans la population, il quitta sa chaumière, abandonna son métier de bûcheron et se présenta sous les drapeaux. Après quelques semaines de formation, il fut incorporé avec le grade de soldat dans les Forces armées impériales, dans la garnison du fort nyan-cat.
De par son niveau d'instruction acceptable, et grâce à son expérience de marin, il fut nommé sergent, et on le chargea de diverses tâches au sein de la forteresse. Quand les armées du Nivem vinrent assiéger la forteresse, il organisa, avec ses compagnons d'armes, la défense active des murailles. Le jour de la bataille, alors que les hordes de soldats Nivemis se jetèrent aux pieds du fort, il combattit plusieurs des vagues d'assaut avant d'être grièvement blessé. Lorsque les combats cessèrent, on le retrouva inanimé sous une pile de cadavres et on l'évacua vers la capitale avec les rares survivants.
Il passa plusieurs jours à récupérer de ses blessures, et notamment d'un traumatisme crânien. Loin d'être refroidi par l'expérience terrible des combats et la mort de ses compagnons et n'ayant pas de famille chez qui rentrer; il décida alors de se vouer corps et âmes à la protection de l'empire qui l'avait adopté. Alors que la guerre battait son plein, il suivit une formation d'officier en capitale; le recrutement des cadres ayant été élargi pour combler les trous laissés par les batailles dans les effectifs.
Une fois sa formation accomplie, il fut nommé Lieutenant, au moment ou les combats devaient cesser. La menace étant toujours présente, et les régions désertes au sud de la capitale représentant une faille dans le système défensif impérial, on lui proposa un poste.
Le 22e de Cavalerie
Sa nouvelle affectation devait le conduire dans ce qui, plus tard, deviendrait le fief de la Garde Volontaire: Herobrine Valley. Il commandait alors une troupe de cavalerie en qualité de capitaine, et avait été chargé par l'état-major impérial d'établir une base avancée dans ce désert inhospitalier. Il était accompagné de deux autres officiers, les lieutenants Liths et Isaac Asimov, qu'il avait rencontré lors de son instruction. Notons qu'à l'époque, le désert choisi pour abriter cet avant-poste n'était entouré d'aucun territoire et n'était donc couvert par aucune route. Il fallait s'y rendre à pieds ou à cheval et les convois de matériaux et de ravitaillement se faisaient de jour. Alors, à bras d'hommes et à force de sueur et de sang, on construisit la première version de Fort Herobrine, qui n'était alors qu'un petit ensemble de baraquements entourés d'une muraille de bois et de grès. Les jours passèrent, puis les semaines, puis les mois. La modeste garnison ne fut pas relevée et resta à son poste, guettant l'arrivée d'ennemis qui devaient ne jamais venir. Au bout de quelques mois, la nouvelle arriva aux oreilles des soldats du 22e de cavalerie: La guerre civile était terminée, les soldats du 22e avaient gagné sans combattre.
S'ensuivit alors une longue période de paix pendant laquelle l'utilité de la garnison de Fort Herobrine perdit grandement de sa substance et durant laquelle les troupes allouées à la protection furent diminuées pour ne conserver qu'un service minimum.
La Garde Volontaire
Plusieurs années après la fondation de Fort Herobrine, la composition du 22e de cavalerie commença à montrer des signes de faiblesse. Dans un élan de modernisation, l'unité fut dissoute et on chargea le Capitaine Pencroff de reformer une nouvelle unité plus polyvalente et qui devait être en mesure d'effectuer de nouvelles missions plus variées et impliquant diverses composantes en plus de la cavalerie. La Garde Volontaire naquit ainsi, réunissant pour la première fois sous une même bannière des cavaliers, des fantassins et des artilleurs. Le régiment, fraichement créé, entreprit alors la rénovation de sa forteresse et de ses différentes infrastructures. Petit à petit, les rangs s'étoffèrent de nouveaux officiers et le capitaine Pencroff fut promu commandant
De nouvelles menaces vinrent alors planer sur l'empire, comme la magie noire ou la banditisme qui sévissait plus que jamais depuis la fin de la guerre et le rappel des troupes. Les soldats de Fort Herobrine, en plus de leur mission de défense et de contrôle de la zone Sud de Stendel, se virent alors dans l'obligation de patrouiller toujours plus loins de leurs murailles, sur les routes et les sentiers, pour assurer la protection des populations civiles innocentes. On recruta plus de soldats, qui s'engageaient dans cette jeune arme pour grossir les rangs des premiers défenseurs de leurs familles. Le régiment vit, en quelques mois, ses effectifs doubler; et le nombre de ses missions alla croissant.
Le commandant Pencroff, qui se retrouvait alors aux commandes de cette formidable force; put s'appuyer sur le soutien solide de ses nouveaux adjoints qui allaient devenir, plus tard, l'état-major de la garde Volontaire: Ghideon Zorn, Thalkion, Wariow ou encore Wendy Marvel.
Le temps passa et, afin d'accueillir les nouveaux membres et de s'accorder avec l'accroissement permanent des missions, il fut décidé de rénover à nouveau la forteresse pour procéder à son agrandissement et à une série d'améliorations. Le régiment, qui avait alors pris une dimension considérable, devint alors une brigade. Le commandant pencroff fut promu Colonel maistre-de-camp et poursuivit avec ses officiers la modernisation de son arme et la réorganisation permanente des troupes. Les soldats, qui pour beaucoup avaient servi depuis la création du fort, avaient considérablement gagné en expérience et représentaient alors une force formidable au service de la population impériale. Les gardes s'illustraient par leurs grandes qualités militaires et leur fort attachement à l'empire en avait fait un fidèle et précieux allié pour ce dernier et pour son peuple.
Après plusieurs années de service au sein de cette force de volontaires fidèles à l'empire, et après s'être assuré que la continuité du commandement de la garde serait assurée par son officier en second Ghideon Zorn; le colonel Pencroff décida de se lancer dans l'aventure chevalière. Il déposa alors sa candidature en capitale de Stendel.
Dans la Chevalerie
Après plus d'un an de candidature, le Colonel Pencroff fut chevalierisé par l'Empereur Dokmixer en compagnie de Shrui, son camarade de promotion. En parallèle de ce nouveau rang, il prit le grade et l'appellation de Général de la Garde Volontaire, dont il conservait encore le commandement représentatif mais où, déjà, il n'occupait plus que des fonctions de contrôleur Général; ses devoirs de chevalier devant le tenir souvent éloigné de sa garnison.
Il passa alors plusieurs mois à parcourir les routes et les chemins de Stendel, allant de ville en ville pour y passer en revue les troupes et y réprimer le banditisme; tout en se tenant à disposition des populations civiles lorsque celles-ci avaient besoin d'assistance.
Malgré ses longues patrouilles en solitaire et le temps qu'il devait passer en garnison à la chevalerie de Stendel, le général Pencroff continua de visiter le Fort Herobrine aussi souvent que possible, pour y rencontrer ses troupes. Le commandement effectif était alors assumé par le Colonel Ghideon Zorn et les officiers Thalkion et Wariow. La Garde Volontaire poursuivait ses missions dans les Terres du sud et tendait à étendre son influence petit à petit vers de nouveaux territoires: les Terres sans drapeau, qui regroupent toutes les zones neutres de l'empire qui ne sont revendiquées par aucune communauté ou aucun peuple.
Au cours de son service dans la chevalerie, le général Pencroff participa à de nombreuses missions d'éliminations de monstres, arrêta nombre de bandits et se rendit dans de nombreux villages dans lesquels il participa activement à étendre l'influence impériale et à améliorer la sécurité des populations.
Après plusieurs mois de service dans la chevalerie, le général Pencroff reçut du gouvernement l'autorisation d'en moderniser le casernement en capitale. Il est à l'origine de la tour-bibliothèque et de la salle de permanence dans laquelle les chevaliers d'aujourd'hui passent le temps durant leurs tours de garnison.
Quelques mois plus tard, il devait être appelé à de nouvelles fonctions mais conserva toujours un lien étroit avec la chevalerie. Aujourd'hui encore, en qualité de Maréchal, il est à l'origine de la création de l'escouade des sentinelles: un groupe de chevaliers qu'il commande personnellement.
Gouverneur de l'Empire
Après ses nombreuses années de service sous les drapeaux de l'empire, en qualité de Garde Volontaire puis de Chevalier; le général Pencroff fut nommé Gouverneur par le gouvernement impérial et adopta le grade et l'appellation de Maréchal d'empire. Gouverneur militaire, il entretient un lien étroit avec les Forces armées impériales, autour desquelles il concentre son activité. il n'est pas rare par exemple de le voir commander directement des troupes sur les théâtres d'opération, ou de le voir passer en revue diverses unités. Il dispose de son propre état-major et de sa propre Division qui forme sa garde rapprochée; et conserve de solides attaches après de la chevalerie et de la Garde Volontaire, ses armes d'origine.
En parallèle de ses activités auprès des armées impériales, il est également le fondateur de la Guilde des Explorateurs qui permet aux aventuriers de tous rangs et de tous niveaux de se rassembler dans un cadre officiel pour participer à diverses missions d'intérêt général.
Outre cette mission, il officie également à l'autorité impériale de l'état-civil qui traite les candidatures des villageois et des citoyens.
En l'an 239, dès le commencement de la Première guerre démoniaque, le maréchal Pencroff prend le commandement des Forces Mixtes Stendeliennes. Accompagné de chevaliers, de soldats impériaux et d'explorateurs de la guilde; il participa à toutes les batailles visant à défendre l'empire de l'invasion des démons. Moins présent qu'il ne le souhaiterait sur le champ de bataille, il planifie les opérations avec les principaux officiers et chevaliers.
En l'an 252, pour la première fois depuis sa nomination au poste de Gouverneur, le Maréchal Pencroff a repris un commandement opérationnel au sein de la garde volontaire. En effet, il a été chargé, à la demande de l'état-major de la garde, du commandement de la Division de Cavalerie. Composée de cuirassiers et de dragons, cette unité, entièrement montée, a pour but de servir de réserve de cavalerie à la garde au moment ou cette dernière entame la montée en puissance de ses troupes.
En Iffelia de l'an 253, suite à la nomination de son ancien subalterne, le général Ghideon Zorn, au rang de Gouverneur; le maréchal Pencroff et son nouvel homologue formèrent Corps des Maréchaux, un corps d'armée régulier regroupant leurs deux divisions.
En Mériola de l'an 255, face aux difficultés rencontrées par les forces impériales et par la guilde des Explorateurs dans la lutte contre les démons au cours de la Première guerre démoniaque; le Maréchal Pencroff prit l'initiative de former une unité spécialisée dans la lutte contre les forces obscures: la Brigade des chasseurs de démons. Cette brigade, dont le commandement fut confié à d'éminents membres de la Chevalerie et à des citoyens parmi les plus renommés; fut casernée en banlieue sud de Stendel, dans une forteresse fraichement bâtie pour l'occasion: le Fort Argos.
En l'an 260, suite à la réorganisation de la Garde Volontaire en prévision de son passage progressif vers l'échelon de groupe d'armées, le Maréchal Pencroff est nommé inspecteur général de la garde et est missionné pour passer en revue les différentes unités pour contrôler leur opérabilité. Soucieux du détail et partisan de l'excellence opérationnelle, il entreprend également une vaste campagne de manœuvres visant à aguerrir les régiments de la garde aux
déplacements par corps d'armée dans un contexte martial.
En l'an 265, il est également nommé "Colonel-Général des hussards de la garde volontaire", titre honorifique faisant référence à son arme d'origine et à son fort attachement à celle-ci.
Rapport aux Forces Armées
Etat-major personnel
De par ses fonctions au sein des forces armées, et afin de mener à bien les missions qui lui font confiées; le maréchal Pencroff dispose de son propre état-major qui ne le quitte que très rarement. Cet état-major fait également office d'état-major divisionnaire au sein du corps des maréchaux lorsque le maréchal est présent auprès de celui-ci.
Le personnel de cet état-major a été sélectionné nominativement par le maréchal au sein des diverses unités qu'il fréquent le plus, notamment la garde volontaire et le corps des maréchaux. Il ne s'agit que d'hommes et de femmes de confiance, qui doivent être suffisamment braves pour suivre leur chef dans toutes les campagnes et suffisamment intègres pour ne jamais démériter de sa confiance.
Par ordre hiérarchique, voici la composition de cet état-major:
- Général de division Marceline De Bercheny, commandant en second de la division Bonaventure
Le commandant en second de la division Bonaventure est en réalité le commandant exécutif de l'unité, le Maréchal ayant une multitude d'autres taches à effectuer tant dans les armées qu'au gouvernement. Ce dernier prend cependant le commandement direct de l'unité lors des campagnes. La fonction de commandant en second est empreinte d'un fort prestige et de grandes responsabilités: C'est elle qui encadre la division en temps de paix, vérifie la bonne tenue des troupes, leur armement et leur entrainement; et qui assure leur disponibilité permanente. Cette mission implique d'avoir la confiance totale des maréchaux, et le respect des troupes: deux choses que ne s'obtiennent qu'au feu, au mérite.
Au combat, le maréchal Pencroff met un point d'honneur à mener les assauts en personne, depuis la première ligne. Il incombe donc souvent à son lieutenant-général d'assurer la suite des opérations depuis l'arrière et d'ajuster les manœuvres au besoin.
Le général De Bercheny est issue du 1er régiment de hussards de la garde et a été adoptée par le maréchal Pencroff à la mort de ses parents. Entrée sous les drapeaux, elle est admise à l'école militaire et rejoint la cavalerie. Blessée dans une embuscade alors qu'elle n'était encore que lieutenant, elle a quitté son unité pour servir auprès de son mentor. Elle a depuis fait la démonstration d'excellentes qualités militaires et d'un grand esprit stratégique et tactique.
- Général de brigade Evariste Martineau, major-général
Le major-général est le chef d'état-major du Maréchal. Il est en charge de faire la synthèse de tous les ordres du maréchal et de les faire exécuter, tant dans la division que dans toutes les autres armes pouvant dépendre de son commandement. Il est au sommet de l'arborescence opérationnelle des forces du maréchal. En temps de paix comme en temps de guerre, le major-général suit le maréchal partout où il va, à l'exception des combats. Lors des assauts, le major-général doit rester auprès du lieutenant-général, afin d'observer l'action avec du recul et s'assurer de son bon déroulement.
Le général Martineau est également issu du 1er régiment de hussards de la garde. Il y était soldat à l'époque ou le maréchal en était le chef de corps, et a suivi ce dernier comme ordonnance, avant de devenir un de ses plus proches aides de camp avec le général De Bercheny. Brillant tacticien, sa carrière aurait toutefois pu souffrir de ses incartades et nombreux duels, si le maréchal ne l'avait pas couvert de son nom. Le général Martineau suit le Maréchal Pencroff dans tous ses déplacements, si bien qu'on le surnomme "l'ombre du maréchal".
- Colonel Armand d'Hubert, premier aide de camp du maréchal
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.
Le colonel d'Hubert est issu du régiment de maréchal-hussards. Auparavant, il avait fait ses armes dans l'armée impériale, plus précisément dans les chevau-légers. Il y rencontra d'ailleurs Gabriel Feraud, qui allait devenir son rival et avec lequel il eut de nombreux duel, avant que les deux hommes ne se sauvent mutuellement la vie lors d'une bataille. Ils furent depuis inséparables, et sont entrés au service du maréchal.
- Colonel Gabriel Feraud, second aide de camp du maréchal
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.
Comme son camarade Armand d'Hubert, le colonel Feraud est issu du régiment de maréchal-hussards, après fait ses armes dans l'armée impériale. Officier aussi téméraire et impétueux que son camarade, il est entré au service du maréchal et assiste ce dernier dans tous ses travaux. Comme le colonel D'Hubert, le colonel Feraud est un duelliste avide de combat.
- Lieutenant-colonel Gabriel Pajol, troisième aide de camp du maréchal
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.
Le lieutenant-colonel Pajol est issu de l'escadron des mousquetaires, ou il a servi en tant que capitaine avant de devenir commandant de l'unité. Couvert de gloire, il a intégré l'état-major du Maréchal avec le grade de lieutenant-colonel.
- Lieutenant-colonel Tokugawa Yamato, quatrième aide de camp du maréchal
Les aides de camp du maréchal sont ses principaux conseillers. Ils apportent une vision tactique et stratégique différente, qui sera souvent complémentaire à celle de leur commandant. Ce sont des hommes de confiance, et ils sont souvent envoyés par le maréchal pour transmettre ses ordres de vive-vois et s'assurer de leur bonne exécution. Sur le terrain, il est fréquent que les aides-de-camp soient envoyés pour prendre le commandement direct d'un mouvement ordonné par le maréchal, afin que ce dernier soit éxécuté le plus rapidement et le plus efficacement possible.
Le lieutenant-colonel Yamato est issu de la légion de l'aurore, ou il était Rikugun-Shōsa, et a combattu à Birak-heim contre la garde volontaire. Malgré la défaite de son armée, il a été remarqué par ses grandes qualités de stratège et sa bravoure personnelle, et a intégré les dragons d'Asayaka après la campagne éponyme. Devenu lieutenant-colonel, il est entré dans l'état-major du maréchal.
- Lieutenant-colonel Mathilde de Chamborant, aide de camp du général De Bercheny
Les aides de camp des généraux sont à la fois leurs conseillers et leurs représentants sur le terrain. Ils aident les généraux dans leurs fonctions, et veillent à l'application de leurs ordres dans un contexte opérationnel.
Le lieutenant-colonel Mathilde de Chamborant est issue du régiment des hussards-vélites. Elle s'est illustrée en sauvant la vie du général De Bercheny lors d'une campagne du corps des maréchaux, ce qui lui valut d'abord d'être nommée commandant au sein de son régiment. Elle sert désormais dans l'état-major, comme aide de camp du général De Bercheny.
- Lieutenant-colonel David Turenne, aide de camp du général Martineau
Les aides de camp des généraux sont à la fois leurs conseillers et leurs représentants sur le terrain. Ils aident les généraux dans leurs fonctions, et veillent à l'application de leurs ordres dans un contexte opérationnel.
Le lieutenant-colonel Turenne est issu des chevau-légers de l'armée impériale. Après s'être illustré à de nombreuses reprises lors de batailles contre les armées démoniaques, il a candidaté pour rejoindre l'escadron des mousquetaires de la garde. Malheureusement trop gradé, il ne trouva pas de poste dans cette unité mais le général Martineau se refusa à laisser un tel officier échapper au corps des maréchaux, et le recruta comme aide de camp.
- Colonel Diane Kavendix, chirurgien-major
Le colonel Diane Kavendix est une chirurgienne de renom, également archimage de son état. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateur, elle a gagné le surnom "d'ange des batailles".
Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, elle est également reconnue pour ses travaux de recherche dans les magies de soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaire.
- Capitaine Naaza Larray, chirurgien-aide-major
La capitaine Naaza Larray est tout simplement l'assistante et le disciple du colonel Kavendix. Fille du docteur Charles Larray, précédent chirurgien aide-major du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font d'elle un médecin de premier rang, dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La capitaine Larrey n'avait jamais servie dans les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation de son père et du colonel Kavendix ont convaincu le maréchal de la recruter.
- 6 officiers d'ordonnance de l'état-major
Issus de diverses unités montées, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir le maréchal. Ce sont de véritables couteaux suisses, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers.
Parmi les 6 officiers d'ordonnance, on compte 1 capitaine et 5 lieutenants.
- 2 ingénieurs géographes
Ces officiers sont chargés d'établir les cartes et plans d'état-major utilisés pour les campagnes. Ils sont tous les trois ingénieur-géographe,et ont servi dans la garde volontaire avant d'intégrer l'état-major du maréchal.
Les 2 ingénieurs ont le grade de commandant.
- 3 officiers de logistique
Ces officiers sont en charge de superviser toute la logistique de la division Pencroff, en relation avec les unités du train des équipages. En somme, ils sont en charge de l'approvisionnement en vivres, en munitions et en équipement.
Parmi les 3 officiers logisticiens, on compte 1 capitaine et 2 lieutenants.
- 2 commissaires aux armées
Ces deux officiers, au grade de commandant, sont en charge de toutes les finances de la division. Ils sont en charge des soldes et des commandes de ressources.
- 1 officier de renseignement
- Commandant Piquart, officier d'artillerie
- 1 officier du génie
- 1 vétérinaire-principal
- 2 clairons
- 2 porte-étendards
Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par un escadron de deux compagnies de mousquetaires de la garde. En temps de paix, une compagnie reste en permanence auprès du maréchal et assure sa garde et son escorte, tandis que l'autre compagnie est adjointe comme compagnie de réserve des unités de garde d'élite. En temps de guerre, les deux compagnies restent groupées et accompagnent l'état-major en campagne.
La Garde Volontaire
La maréchal Pencroff est le fondateur de la garde volontaire. Chef de corps à l'époque ou l'unité n'était encore qu'un régiment, il resta à sa tête jusqu'à ce que la garde ne devienne une brigade, période à laquelle il fut nommé chevalier et appelé en capitale. Il conserva, un temps encore, le commandement nominatif de l'arme; le commandant executif étant alors assuré par le Colonel Ghideon Zorn et la Lieutenant-colonel Wendy Marvel.
Après sa nomination au gouvernement impérial, le Maréchal Pencroff passa le commandement de la Garde Volontaire au Général Ghideon Zorn, qui devait lui-même être nommé Maréchal quelques années plus tard.
Il conserve toutefois de fortes attaches avec son arme d'origine et retourne fréquemment au Fort Herobrine ou se trouvent ses quartiers et sa résidence principale.
La Garde Volontaire est également restée sa force de prédilection, à laquelle il recourt pour la plupart de ses missions et qu'il préfère souvent aux Forces armées impériales. Ses liens profonds avec les troupes de la garde et sa longue expérience à sa tête présentent de nombreux avantages dans la conduites d'opérations parfois complexes et se déroulant aux confins des territoires impériaux. L'emploi de cette unité autonome permet également de conserver une certaine opacité sur les missions accomplies, là ou l'utilisation de l'armée impériales appellerait à plus de transparence.
En 260, après plusieurs années en capitale, le maréchal Pencroff reprend pour la première fois une fonction à l'état-major de la Garde Volontaire. Nommé inspecteur général de l'armée, il participe activement à la montée en puissance de l'armée afin de préparer cette dernière à faire face aux nouvelles menaces qui planent sur la population impériale. Sa principale fonction consiste alors à passer les troupes en revue, afin de veiller à leur qualité. Il entame également la rédaction d'un livre, "De la garde", qui devait devenir l'encyclopédie de la garde volontaire, de son fonctionnement et de ses doctrines.
En 265, toujours présent au Grand Quartier Général de la Garde, il est nommé "Colonel-général des hussards de la garde" par son camarade et actuel commandant de la garde volontaire Ghideon Zorn. Ce titre, en partie honorifique, l'investit également de la mission de moderniser les tactiques de reconnaissance employées dans la garde et notamment l'usage de la cavalerie légère.
La Chevalerie
Ancien Chevalier, le Maréchal Pencroff conserve un lien étroit avec cette unité d'élite qu'il a appris à bien connaitre. Il propose souvent lui même diverses missions aux chevaliers, et passe régulièrement la garnison de la chevalerie de Stendel en revue. Lorsque cela est possible, il participe lui même aux opérations accompagné des Chevaliers thalkion et Wariow et du Maréchal Ghideon Zorn.
Durant la Première guerre démoniaque, et alors qu'il fallait organiser les Forces Mixtes Stendeliennes pour résister à l'invasion des démons, il s'est naturellement tourné vers les combattants de la prestigieuse Chevalerie pour occuper les fonctions d'encadrement des troupes au combat. Guerriers valeureux et respectés, les chevaliers étaient en effet les candidats idéals pour cette lourde tâche, et s'en sont toujours acquittés avec gloire.
Le Corps des Maréchaux
En 253, suite à la nomination de Ghideon Zorn au rang de Gouverneur et au grade de maréchal d'empire, Le maréchal Pencroff et le maréchal Zorn décidèrent de former ensemble une nouvelle unité d'élite: le Corps des Maréchaux. Ce corps d'armée, formé de deux divisions, recruta alors parmi les soldats les plus aguerris disposés à servir l'empire. Les meilleures candidatures furent retenues, et le corps devint rapidement une arme de renom. Le corps, constitué et organisé de manière à être le plus autonome et le plus rapide possible, reçut alors pour mission de servir d'avant-garde en cas de conflit. Sa principale mission est donc se se rassembler en premier et de se jeter sur les troupes ennemies pour donner aux autres corps le temps d se rassembler et de se mettre en marche. La pugnacité, la bravoure et le haut sens du devoir de ses soldats doivent alors permettre à l'unité de tenir seule jusqu'à l'arrivée de renforts.
La Brigade des Chasseurs de Démons
La Brigade des chasseurs de démons est une unité militaire formée en l'an 255 afin de répondre à la menace démoniaque, apparue au cours de la Première guerre démoniaque. Commandée par des chevaliers et par d'illustres citoyens, cette brigade est basée au Fort Argos, en banlieue sud de Stendel.
Faits d'Armes Notoires
Distinctions et Décorations
- Gouverneur
- Maréchal d'empire
- Chevalier d'empire (révolu)
- Croix de guerre "Guerre Civile" avec agrafe "Nyan-cat"
- Croix de guerre "Expéditionnaire" avec agrafe "Mousse-tache" et "Chatal-Kion"
- Croix de guerre "Frontières" avec agrafe "Birak-Heim"
- Croix de guerre "Première guerre démoniaque" avec agrafe "Arkole" et "Freedland"
- Croix de guerre "Immaculés" avec agrafe "Veine noire" et "Fersen"
- Capitaine d'honneur de la Guilde des Explorateurs
- Membre d'honneur de la Guilde des Caverniers
- Fondateur de la Brigade des chasseurs de démons
- Colonel-général des Hussards de la Garde Volontaire (honorifique)
Commandements et grades successifs
- Maréchal d'empire (Gouverneur), colonel-général de la cavalerie (présent)
- Maréchal d'empire (Gouverneur), gouverneur militaire de Stendel (présent)
- Général (Chevalier), détaché auprès de la Chevalerie (passé)
- Colonel (Citoyen), chef de corps de la Garde Volontaire (passé)
- Commandant (Citoyen), commandant de la Garde Volontaire (passé)
- Capitaine (villageois), commandant du 22e détachement de cavalerie (passé)
- Lieutenant (villageois), commandant en second du 21e détachement de cavalerie (passé)
- Sergent (villageois), sous-officier volontaire dans une cohorte impériale (passé)
- Soldat (villageois), engagé volontaire dans une cohorte impériale (passé)
Citations
"Tuez les tous, l'empire reconnaitra les siens."
"On a vraiment la paix que lorsque l'on a plus d'ennemis."
"L'empire est comme le lever du jour: immuable, absolu; il recouvre chaque parcelle d'ombre de sa lumière"
"Le Maréchal Zorn est un corps d'armée à lui seul. Donnez lui mille hommes, il en défera dix-mille."
"Il n'y a pas de bon général qui n'ait été bon caporal un jour."
"Vous voyez ces colonnes ? C'est le général Jihair. Repliez les cartes, l'ennemi est déjà perdu."
"On meurt tous un jour. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante qu'un coup de mitraille."
"On ne fait pas la guerre par haine de ce qui n'est pas impérial mais par amour de ce qui l'est."
"La cavalerie ne reconnait qu'un seul ordre: celui d'attaquer tout et n'importe quoi qui soit à sa portée."
"La guerre remet les hommes à leur juste place. Fussiez-vous simple soldat ou grand général, votre cadavre aura la même odeur."